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L'Apocalypse des Ovnis : Livre III - Chapitre XXXVI : Ceux-des-Autres-Mondes
Par MERKATOR dans L'Apocalypse des Ovnis - Livre III - Le Vrai Visage des Aliens le 18 Décembre 2020 à 00:58Ni mas ni menos
« Le Diable n’est pas de notre Temps ! »
[Le Voyageur Imprudent » - René Barjavel - 1943]
Entre la Légende et l’Histoire : Ceux-des-Autres-Mondes : Le Comte de Saint-Germain
« C’est un homme qui ne meurt point, et qui sait tout ! »
[Le Comte de Saint-Germain -Voltaire (1694 - 1778)]
Le Mythique et Somptueux Comte de Saint-Germain, à l’Habit d’Arménien [renvoi à l'Arche d'Alliance de Noé : NdT] couvert de bijoux, fait partie de ces Personnages qui se situent entre l’Histoire et la Légende, Représentants de ce que la Tradition nomme la Sphère de l’A-Temporalité , « Ceux-des-Autres-Mondes ».
Le Comte de Saint-Germain, apparaissant principalement sur la scène historique européenne au 18ème siècle [cf. Wkipédia] est bien l'un de ces personnages,mystérieux & énigmatiques, qui illuminent les Chroniques Antiques ou Historiques, qu’ils traversent de manière surprenante, comme ces Météoroïdes, qui de temps en temps, éclairent nos nuits.
Ce fabuleux Comte de Saint-Germain, est ce grand amateur de pierres précieuses, dont il avait toujours de grandes quantités, souvent d'une grosseur extraordinaire, et qui prétendait détenir un secret permettant de faire disparaitre les défauts des diamants, musicien virtuose, excellent artiste, chimiste, savant, polyglotte, et racontant l'histoire, même biblique, à la première personne comme si il l'avait vécu, etc.
Élément très étonnant, sa Jeunesse qui semble éternelle (âgé au moins de 172 ans ou 222 ans, voire beaucoup plus, selon les témoignages !?)
Le Comte de Saint-Germain : Alchimiste
Il est vrai qu’il a la réputation d’être Alchimiste [auteur hypothétique de : La Très Sainte Trinosophie - XVIIIème siècle, ou de : L'entrée au palais fermé du roi -XVIIème siècle, attribué à Eyrénnée Philalèthe], au même titre que le resplendissant et éblouissant Fucanelli (âgé au moins de 113 ans !?) qui est le signataire de : Le Mystère des cathédrales, 1926, et de : Les Demeures philosophales, 1930, et Chevalier Prophète, selon son ouvrage Eschatologique « Finis gloriae mundi » (De la Gloire du Monde, synopsis publié en 1988) qui annonce :
La décadence de notre civilisation et la déchéance des sociétés humaines
Incrédulité religieuse et crédulité mystique. Effets néfastes de l'enseignement officiel. Abus des plaisirs par la crainte de l'avenir. Fétichisme à notre époque. Symboles plus puissants qu'autrefois dans la conception matérialiste. Incertitude du lendemain. Méfiance et défiance généralisées. La mode et ses caprices révélateurs. Les initiés inconnus gouvernent seuls. Le mystère pèse sur les consciences.
Témoignages terrestres de la fin du monde
Les quatre Âges. Les cycles successifs scellés dans les couches géologiques. Fossiles. Flore et faune disparues. Squelettes humains. L'Asiatide. Monuments de l'humanité dite préhistorique. Cromlechs. Chandelier des trois croix.
Les causes cosmiques du bouleversement
Le système de Ptolémée. L'Almageste. Erreur du système de Copernic démontrée par l'étoile polaire. Précession des équinoxes. Inclinaison de l'écliptique. Variations inexplicables du pôle magnétique. Ascension solaire au zénith du pôle et retour en sens contraire provoquant le renversement de l'axe, le déluge et la fusion à la surface du globe. (cf. Wkipédia)]
Le Comte de Saint-Germain : Prophète
Dans ses « Souvenirs », la comtesse d’Adhémar, dame du palais de la reine Marie-Antoinette, raconte la visite de Saint-Germain (il se fait alors appeler monsieur de Saint-Noël) qui veut prévenir le roi Louis XVI des malheurs à venir de la Révolution française : « Ce règne lui sera funeste [à Louis XVI]. Il se forme une conspiration gigantesque qui n'a pas encore de chef visible, mais il paraîtra avant peu. On ne tend à rien moins qu'à renverser ce qui existe, sauf à le reconstruire sur un nouveau plan. On en veut à la famille royale, au clergé, à la noblesse, à la magistrature. Cependant, il est temps encore de déjouer l'intrigue : plus tard ce serait impossible ». Elle l'introduit discrètement auprès de la reine Marie-Antoinette (sans doute en 1774) et est témoin de ses étonnantes révélations à la reine : « Le parti encyclopédiste veut le pouvoir, il ne l'obtiendra que par l'abaissement total du clergé, et pour parvenir à ce résultat, il bouleversera la monarchie ». Il prédit le rôle du duc de Chartres et sa fin funeste : « on lui proposera la couronne de France, et l'échafaud lui tiendra lieu de trône », ainsi qu'une guerre civile et « une république avide dont le sceptre sera la hache du bourreau ». L'entrevue avec le roi Louis XVI, dans le but de lui donner des révélations plus complètes, n'aura pas lieu, car le comte de Maurepas, son ministre, voudra faire arrêter Saint-Germain. Ce dernier, le pressentant, disparaîtra.
La comtesse d'Adhémar conclura ainsi de cette étonnante entrevue : « La reine y pensa encore quelquefois, mais insensiblement elle en perdit le souvenir ». [cf. Wkipédia]
Entre la Légende et l’Histoire : Ceux-des-Autres-Mondes : Le Diable Vert
« C'est au diable Vauvert ! Allez au diable Vauvert ! C'est-à-dire : « Allez vous promener aux Champs-Élysées. »
[Gérard de Nerval, Le monstre vert - Le Château du Diable -1849]
A la « Belle Époque » un bien curieux personnage [Précurseur du personnage de fiction de Maurice Leblanc d’Arsène Lupin (1905) - Le Gentleman Cambrioleur ?] défraya aussi les Chroniques du Temps !
« … surnommé le « Diable Vert » en raison du costume qu’il arborait [Combinaison Militaire ?] se fit remarquer en 1890. La première apparition recensée de cet étrange personnage se fit rue du Faubourg-Saint-Honoré, au dépend de la belle Suzanne, une demi-mondaine allant chez sa modiste dans la voiture découverte à quatre chevaux du baron du Bois de l’Orme son amant. Le même jour on le recroisa dans une grande banque proche de la Bourse, s’emparant des sacs de caisse et entraînant le suicide du guichetier. Le soir même, il apparaissait à l’opéra où l’on donnait Faust, s’en prenant au collier de perle de la grande-duchesse de Bérindol, aux bijoux du marchand de vin Fortoni et de sa femme. »
« [On] ne trouva pas moins de six cents ouvrages consacrés au Diable Vert. Des journalistes, des savants, des médecins, des criminologistes avaient cherché à élucider le mystère de ces apparitions et de ces vols. […] Le Diable Vert avait fait parler de lui bien plus que la bête du Gévaudan, ou Mandrin ou Cartouche, et […] il s’était taillé dans la tradition populaire une place plus grande que celle de Croquemitaine. Tous les assassinats impunis de l’an 1890 étaient mis sur son compte, ainsi que quelques disparitions et rapts d’enfants [Pédo-Abductions : NdT]. »
« Plus étrange fut sa dernière manifestation. Il apparut un jour dans la bijouterie de M. Gaston Roulet, rue de la Paix. L’honorable joaillier recevait alors un courtier de Pretoria, M. William Dubington, venu lui vendre des diamants. Sans doute le Français se serait évanoui à la simple évocation du spectre, mais l’Africain, avec le bon sens pratique qui caractérise les Boers, sortit prestement un couteau et frappa l’apparition, sans réussir à le blesser mais en déchirant sa combinaison. Pourquoi le Diable Vert n’utilisa pas sa capacité tant démontrée à disparaître, nul ne le sait. Il préféra cette fois là se lancer dans une fuite bien physique à travers les boulevards où il sema la panique, mais fut finalement rattrapé place de la Concorde par M. Dubington, bien décidé à récupérer les diamants qui ne lui avaient pas été payés. Assommé, dépouillé de sa combinaison et conduit au poste de police le plus proche, on trouva dans ses poches des objets étonnants : un livret militaire de 1939 au nom de Pierre Saint-Menoux, né en 1910 (!), une lettre qui portait un timbre au nom de l’État français avec la tête d’un vieillard inconnu [Le Maréchal Pétain ?], des feuilles de papier divisées en petits carrés [Fiches Bristol ?] sur lesquels était imprimés « Pain », « Pommes de terre », « Viande », ou encore « Matières diverses. »
« Interrogé au palais de Justice par le juge d’instruction M. Vigne, l’homme resta muet devant les questions qu’on lui posait, demandant seulement la présence, non d’un avocat, mais de distingués membres de l’Académie des Sciences. Il perdit même connaissance lorsque sa combinaison disparut d’entre les mains de l’homme de loi. Reconduit en cellule, on avait pris la précaution exceptionnelle d’y placer un solide gardien de la paix pour éviter toute tentative d’évasion. Inutilement, une heure plus tard on retrouvait le fonctionnaire assommé sur le sol, le Diable Vert s’était envolé. On n’entendit plus jamais parler de lui. »
« L’évasion fit cependant un scandale comme on n’en avait plus vu depuis l’affaire des décorations en 1887, entraînant les démissions en chaîne du directeur de la prison, du préfet de police, du ministre de l’intérieur et du garde des Sceaux, avant, finalement, de faire tomber le gouvernement. Diable ... » [cf. le Blog De Charbon et d’éther].
Le Diable n’est pas de notre Temps !
C’est ainsi que dans son Roman de Science-Fiction intitulé « Le Voyageur Imprudent » (1943), qui traite du Voyage dans le Temps, René Barjavel soulève le Voile sur ces Bien Étranges Nautes (Voyageurs) du Temps qui font de brèves apparitions sur Terre, comme ces nombreux « Alien-Nautes » en provenance des Autres Mondes, Endogènes ou Exogènes, où ils repartent avec nos Valeurs [bijoux, gènes ou autres ?] et en Kidnappant nos Enfants, comme les Fées du Temps-Jadis [Pédo-Abductions : NdT], et que nos Anciens nommaient : Ceux-des-Autres-Mondes !
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