• La BD des Ovnis - Planche 09 : Les Mauvaises Rencontres Rapprochées

     

     

    01 fois, c'est le hasard, 02 fois c'est une coïncidence, 03 fois, c'est tout le contraire !

    Planche 09

     

     Premier Enlèvement d'Adolescentes 

     

     

    Les Mauvaises Rencontres Rapprochées !

     

    Normandie

     

    Les Foyers et les Points Chauds des Ovnis en Normandie +

     

     

     

     

    La Pointe du Siège - Baie de l'Orne - Estuaire de la Seine (14) 

     

    Le Mollusque Géant !

     

     

     

    Damville (27)

     

    Sous Emprise !

    Mme Duvallet, 55 ans, habituellement vers 18 h se rend à son pré, vers l’écurie où elle s’occupe de son cheval.

    Ce soir-là, au lieu-dit La Porte Aizière, elle perçoit une lueur sur le bord du chemin, près d’une maison en construction. Pensant à un feu laissé par les ouvriers, elle n’y prête pas attention et continue son chemin.

    Un peu plus loin, en s’engageant dans le chemin qui mène à l’écurie, elle a une deuxième perception de cette lueur. Cette deuxième perception dure quelques secondes, impressionnée, elle continue néanmoins son chemin, mais un sentiment de frayeur commence à l’envahir.

    C’est alors, dans le pré, qu’a lieu la troisième perception. J’insiste sur ce terme qui traduit exactement ce que ressent le témoin. Mme D. n’aperçoit pas l’objet lumineux, elle le perçoit dans tout son être, elle se sent comme saisie par une force mystérieuse et se trouve prise de panique, avec impossibilité de réagir et de se mouvoir. L’objet a la forme d’un cercle, au bord très net, sa distance est évaluée à 25 m, son diamètre de l’ordre du mètre. Sa couleur, unie très vive, se situe au 128u sur le nuancier Pantonne. Le disque est horizontal, sur l’herbe. Il semble sans épaisseur et reste immobile.

    Aucune vibration ne l’anime, mais il devient de plus en plus lumineux. Madame D. avance d’un pas pour voir : l’objet disparait. Alors le témoin retrouve ses forces et s’enfuit en courant sur les 50 m qui la séparent encore de l’écurie, dans laquelle elle s’enferme pendant une ½ heure, sous le coup d’une violente émotion. La jument n’a aucune réaction.

    Le lendemain l’examen de l’herbe et le grattage du sol à l’endroit de l’apparition n’ont rien révélaient d’anormal. Mme D. est restée commotionnée plus d’un mois, jusqu'à ce que les jours s’allongent. L’impression de l’enquêteur est que le phénomène lumineux a tenté d’établir un contact avec la témoin.

    01 Témoin.

    Source : Enquête de Mr. Robert Crépin - Déléqué Régional LDLN - LDLN n° 261/ 262.

     

     

     

    Ectot - lès - Baons (76) 

     

    Rencontre Traumatique !

    Ectot - lès - Baons (76) - 1976 ou 1977 entre avril et octobre - environ 23 h.

    Mr. X (technicien en électronique, 45 ans) est accompagné par Mr. Y., un collègue de travail : Nous roulions, mon collègue et moi-même chacun dans notre voiture lorsque nous vîmes à environ 150 m de nous dans le champ, un objet métallique en suspens à environ 6 m du sol.

    Cet objet en forme de cigare mesurait entre 30 et 50 m de long pour un diamètre approximatif de 8 m. (C’était bien plus haut qu’une tour d’immeuble).

    Nos moteurs ont presque aussitôt calé. Nous sommes sortis de nos véhicules pour regarder cet engin pendant quelques longues minutes.

    Soudain il s’est penché sur un angle d’environ 45 degrés, on a cru qu’il allait s’écraser sur les voitures.

    A ce moment on a distingué 4 hublots à l’avant de l’appareil et au travers de ceux-ci on distinguait du remue-ménage. On l’a bien vu tous les deux, il y avait du monde à l’intérieur. C’est alors qu’on a pris peur.

    D’un des hublots sont sorties 2 sources lumineuses dirigées sur chacun de nous. C’était aveuglant.

    Mon collègue s’est évanoui et est tombé sur le capot de la voiture. J’ai mis mon bras devant mes yeux qui me piquaient.

    Parallèlement à cela, nous ressentions une vive chaleur, les calories dégagées étaient considérables.

    L’engin a décollé doucement, une flamme bleue sortait du dessous de l’appareil et deux rayons lumineux éclairaient le sol.

    L’engin est parti en douceur, c’est ce qui est le plus curieux, il n’y avait pas de poussées comme un décollage de fusée.

    Ensuite l’appareil est parti à une vitesse inouïe sans aucun bruit. Lorsque j’ai retiré le bras de devant mes yeux, c’était un point déjà loin quant au champ, il donnait l’impression de brûler pendant quelques minutes ; cela ressemblait plus à des feux-follets qu’à des flammes.

    J’ai voulu m’approcher de l’endroit exact, contre l’avis de mon collègue apeuré, mais il fut impossible d’approcher à moins de 15 m tant la chaleur était intense.

    On est remonté en voiture et nous sommes rentrés. Mr. X. est rentré avec les yeux rouges et Mr. Y. fut mal à l’aise et eut des sueurs froides pendant quelques jours.

    Mr. X. s’est relevé vers 2 heures du matin, ne pouvant pas dormir, et être retourné sur les lieux de l’atterrissage avec une torche électrique. Aucune trace apparente.

    02 Témoins.

    Source : Mr. Luc Jean, Délégué Régional LDLN. LDLN n° 222.

     

     

     

     

    Théville - La Rue de Sauxtour - lieu-dit « Gris-pré » (50)

     

     

     La Céphalée !


    20 h 45, Mr. Mahaut Alexandre muni d’une lampe torche se prépare à changer de place les chèvres qu’il fait paître dans un champ isolé au milieu d’un site très bocageux et boisé. Il fait nuit, nous sommes le 2 mars 1976.

    Soudain, la chèvre qu’il tient à la chaine, tire sur celle-ci, agite ses oreilles et semble avoir peur, ainsi d’ailleurs que les autres. Mr. Mahaut surpris par cette réaction éteint sa lampe, pensant à un rôdeur ou encore à un animal, il y a du chevreuil dans cette région préservée des routes.

    A peine avait-il éteint sa lampe qu’une très forte détonation se fait entendre, sèche, brève, et quasi simultanément le témoin perçoit une odeur d’huile brûlée, nauséabonde qui se dissipe doucement, toujours à ce moment, il entend un léger sifflement, comme une baudruche qui se dégonfle, ce sifflement devenu audible juste après le claquement bref et puissant demeurera constant, et ne variera jamais en intensité durant toute l’observation de l’objet qui va durer de 20 h 45 à 21 h 30, trois quart d’heure et quand Mr. Mahaut s’en va, l’objet est toujours là.

    Donc, le témoin, le premier moment de surprise passé part s’enquérir sur ce qu’il vient d’entendre derrière lui, il décide donc de traverser le bois dans la direction supposée, mais il fait seulement quelques mètres, car sans lumière (pour éviter d’être repéré) il s’empêtre dans les broussailles.

    Il redescend dans le chemin car l’endroit où se situe le bruit est en contre-haut, pour éviter les broussailles il remonte le bois, mais en longeant une haie qui borde un champ, soudain il aperçoit une lumière au travers des arbres, se dirigeant vers elle en suivant la haie du champ le témoin se trouve tout-à-coup en face d’un objet, cet objet se trouve de l’autre côté du champ à environ 10 m au-dessus du grand hêtre, haut environ de 15 m, dans la direction Nord / Nord-Est.

    Au même instant Mr. Mahaut perçoit des battements derrière la nuque, à la hauteur du cervelet battements forts et douloureux, Mr. Mahaut dit n’avoir jamais ressenti cela auparavant.

    Certaines personnes soumises à un électro-encéphalogramme subissaient ce genre de douleur. Ces battements durèrent ¼ d’heure. Tout d’abord, le témoin fut fasciné par la beauté de ce spectacle sans cesse il répéta qu’il n’avait jamais rien vu d’aussi beau. L’objet qu’il voit est à 100 m de lui et à 25 ou 30 m d’altitude, cela ressemble à un réfrigérateur de 5 m x 5 m x 5 m environ deux bandes noires d’environ 50 cm de large apparaissent verticalement Et de chaque côté de la façade ; Le témoin n’a jamais vu l’arrière de l’objet ni le dessus. De chaque côté à environ 15 cm du bord de la façade, commençant à 30 cm de la corniche et s’arrêtant à la hauteur de la bande noire, se trouvaient une trentaine de petits orifices circulaires de quelques cm de diamètre, de chaque orifice sortait une sorte de flamme d’un bleu électrique et d’une longueur constante d’environ 30 cm inclinée à 45° vers le sol, le sifflement paraissait venir de ces sortes de tuyères. L’objet n’a jamais varié en altitude, mais par contre n’a jamais cessé d’opérer un mouvement d’horlogerie. Ce mouvement s’effectuait suivant un ½ hexagone en marquant un bref temps de va et vient rythmer comme un mouvement d’arrêt sur chaque côté.

    Le témoin s’est déplacé le long de la haie sur une vingtaine de mètres afin de mieux observer l’objet.

    Vers 21 h 30 le témoin est rentré chez lui, il avait peur que l’on s’inquiète de son absence prolongée. A son retour sa femme le trouve le regard fixe et l’air bizarre, interrogé, il raconta son aventure. Depuis Mr. Mahaut ne ressent rien de particulier sa montre fonctionne bien. Aucune trace n’a été relevée aussi bien au sol, qu’au sommet de l’arbre sur les branches. A noter la proximité de l’aérodrome civil et militaire de Maupertus.

    01 Témoin.

    Source : Enquête de Mr. Jean Legras. LDLN n° 173.

     

     

     

    Asnelles  (14) 

     

     Premier Enlèvement d'Adolescentes 

     

     

     

    L'Enquerre Ufologique

     

    Les enquerres de la rencontre rapprochée des temps concordants de Asnelles (14), réalisée par deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans), en 1971, font écho à l'intuition de Fabrice Kircher et Dominique Becker :

    [les enquerres : en héraldisme, dans les mythes, les contes et les légendes, les œuvres d'art et architecturales, les poèmes, les récits, les rêves, les visions, etc., les enquerres (les incohérences apparentes), ont pour fonction d'attirer l'attention, au même titre qu'une signalétique (dont il nous faut nous enquérir), pour correctement orienter la lecture du formel à l'essentiel, en référant un double langage encodé.

    Les enquerres propres aux apparitions ufologiques ont la même utilité]

     

    A Bouter-Fringon

     

    « Les anciens grecs ont révélé les enjeux fiduciaires de la vie, des résidents terrestres indigènes, des visiteurs extra-stellaires exogènes et des intrus endogènes de l’autre monde, dans la rivalité fratricide de Poséidon, de Zeus et de Hadès. »

    [Le Mythe éclaire l'Histoire - Bellator]

     

     Deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans) revenaient en fin d'après-midi de chez des amis, et rejoignaient l'installation de camping de leurs parents à Asnelles (14) , sur le littoral du Calvados, en Normandie.

     

     

      

     

    Elles s'apprêtent à traverser un bois, lorsque tout-à-coup, elles s'aperçoivent au-dessus d'elles, à peu près à 50 m d'altitude une soucoupe volante (sic).

    Elle est ronde et munie d'une lumière orange sur le dessus.

    Elles ne croyaient pas à l'existence des soucoupes volantes et elles ont pensé à un hélicoptère, mais c'était bien une soucoupe volante qui se mit à décrire un arc de cercle et donna l'impression de vouloir se poser.

     

    [enquerres du phare orange = or/ange, or pour initiale de horloge + ange pour esprit/intelligence céleste = instruction sur l'horloge de la mécanique céleste/astronomique, et de la boucle temporelle suggérée par la trajectoire de la soucoupe volante qui va se poser/c'est-à-dire activer une pause dans le cours du temps]

     

    Elle finit par disparaître cachée par les arbres.

    Les deux sœurs continuèrent alors leur chemin en commentant l'événement.

    Lorsqu'elles débouchèrent dans une carrière, elles virent la soucoupe volante posée au sol, et à ce moment-là, la soucoupe s'ouvrit (comme la boîte de Pandora) et deux personnages en descendirent.

    Tout d'abord, un petit vieux, suivi d'un énorme colosse.

     

    [double enquerre du petit vieux = le vieillard = Cronus = Chronos = Saturne qui personnifie le temps présent qui s'auto-dévore/s'auto-annihile et du colosse = titanic deus = attribut du dieu titanesque = le dieu Saturne = le temps.]

     

    Elles s'aperçurent alors qu'elles étaient paralysées, elles ne pouvaient ni crier, ni bouger, mais elles continuèrent à être conscientes et elles voyaient parfaitement.

     

    [enquerre (et métaphore) du temps pétrifié/immobilisé/arrêté, ce temps perdu (missing-time/lost-time), de notre temps ordinaire (celui de Myriame D. et de Joëlle D, dont la fuite éperdue vers le futur est figé, le temps de se concorder à celui des soucoupiens (« les 2 sœurs sont tombées Sous la Coupe du Vol-Lent ... de la Sou-Coupe Vol-Lante ! ») :

    « Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ?  ... Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! ... Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. »

    Le Lac - Alphonse Lamartine (1790/1869)]

     

    Elles avaient bien-sûr très peur.

    Lorsque les deux personnages (le petit vieux et le colosse qui n'en font qu'un, à l'image de cette rencontre rapprochée qui unit le temps sidéral et le temps solaire), parfaitement humanisés, arrivèrent à leur hauteur, ils les rassurèrent en leur parlant en français :

    N'ayez crainte nous ne vous voulons aucun mal !

    (le colosse parlait un langage argotique)

     

    [enquerre : signalant, le double message (encodé dans le récit littéral) dont il faut s'enquérir au-travers de cette rencontre rapprochée des temps concordants ; un argot étant une variété linguistique spécifique à un groupe social ou socio-professionnel, qui permet de se différencier des non-initiés et de se créer une identité propre en utilisant des termes cryptiques Cf. Wikipédia]

     

    et ils les emportèrent dans la soucoupe où les effets du gaz paralysant (métaphore de notre temps atmosphérique/écosystème) se dissipa progressivement.

    La soucoupe volante était munie d'un tableau de bord avec toutes sortes de manettes, et autour une baie vitrée permettant de voir l'extérieur.

    La plus âgée arriva à contenir sa peur et son émotion, tandis que la cadette n'arrêtait pas de pleurer (renvoi à notre temps atmosphérique/écosystème, et allusion à la pluie du ciel, personnifié par la divinité Ouranos/Uranus/Cœlus = Cielqui l'envoie aux hommes). 

    Mais à partir de ce moment-là, un dialogue assez étonnant s'engagea avec surtout le petit vieux et la sœur aînée Myriame.

    En effet le petit vieux explique qu'il était un humain, et qu'il avait été enlevé, comme elles, il y a 15 ans alors qu'il revenait de visiter un malade, étant médecin à l'époque.

     

    [si l'on calcule l'année de l'enlèvement du petit vieux médecin, 1971 - 15 ans = 1956, on trouve l'année bissextile 1956, ce qui constitue une enquerre  signalant le temps sidéral et le temps solaire, décalé de : 4 minutes, et 4 à 5 secondes, qui sont harmonisés tous les 4 ans, avec les  fameuses 24 heures ajoutées aux années bissextiles]

     

    Le colosse confirma ses dires, en expliquant que lui était docker.

    Par contre les pilotes de la soucoupe sont des Suraniens (des coloniaux) de la planète Suranus et qu'ils viennent capturer des humains pour les emporter sur leur planète où, s'ils sont de beaux sujets, ils sont placés et gardés dans des sortes de zoos, ... et s'ils sont dociles et forts (les métayers et les fermiers généraux) ils rentrent au service des Suraniens.

    Pour autant, s'ils sont bien dodus, ils sont mangés (les Suraniens sont des prédateurs) au cours des fêtes. (écureuils /homme-nivore, de 1.80 m !)

    Les beaux spécimens dans les zoos vivent une existence paradisiaque (référence au Jardin paradisiaque de la Genèse/destiné à la reproduction et à l'élevage), selon le docteur, il y aurait même beaucoup de terriens qui sont parfaitement heureux sur Suranus et qui ne voudraient pas revenir sur terre.

    Suranus qui est située derrière (au-delàla face cachée de la Lune, possède des satellites (les autres planètes colonisées par les Suraniens) avec d'autre formes de vie, par exemple des êtres qui ressemblent à des chauves-souris, d'autres des sortes d'algues aquatiques.

     

    [enquerre : derrière/au-delà de la face cachée de la Lune = monde sup-lunaire/sup-solaire, par opposition au monde terrestre qui est sub-lunaire/solaire]

     

    Les Suraniens eux sont comme nous, à part qu'ils ont une tête d'écureuil sans poils, oreilles pointues, museau.

     

    [enquerre étymologique : écureuil = ombre/queue = esprit issu de l'armée des ombres (queue = filem = filiation) +  enquerre/tête d'écureuil-sans poils signalant la marque des âmes vagabondes, des nomades, des visage glabres, imberbes ; signe de Caïn, l'Exilé ! (du Paradis Terrestre).

    [Le Seigneur lui dit : Si quelqu'un tue Caïn, Caïn sera vengé sept fois. Et le Seigneur mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouve ne le tue pas. Puis Caïn s'éloigna de la face du Seigneur, et il habita dans la terre de Nod (racine hébraïque "errer"), à l'orient d'Éden. (Genèse IV, 16) - "A l'Est d'Eden, what else James ?]

    [«  Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans « l’intelligence » de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »]

     [Les gîtes secrets du lion - 1958  de George Hunt-Williamson]

     

    La Lune (renvoi au monde terrestre qui est sub-lunaire)  est aussi habitée (y compris la Terre), et les Suraniens s'y sont réfugiés dans son sous-sol (bases souterraines + allusion au double-sens véhiculé).

    Et lorsque l'homme a posé le pied pour la première fois sur son sol (le 21 juillet 1969) cela ne leur a pas plu (cela ne devrait pas plaire non-plus aux abonnés de Top-Secret !), mais heureusement pour l'humanité les Suraniens sont pacifiques (sauf avec les Pères Dodus !).

    Les Suraniens sont par ailleurs mécontents à cause de tous les satellites qu'envoie l'humanité car cela crée un encombrement monstre (surtout ne le dites pas à Elon Musk !).

    Pour leur part les Suraniens ont plusieurs milliers d'années d'avance sur nous, et ils vivent une existence paisible puisqu'ils ont également résolu tous les problèmes posés par la modernité (les écolos peuvent dormir sur leurs 2 oreillers !).

    Selon le docteur, nous ne sommes pas prêts à mettre les pieds sur Mars (référence à la colonisation interplanétaire, Mars étant le dieu de la guerre et de l'agriculture) étant donné qu'il nous manque plusieurs milliers d'années à notre évolution pour être à même de réaliser ce projet (cela devrait déplaire à Elon Musk, même s'il prétend, avec Enrico Fermi, que les extraterrestres n'existent pas !).

     

    [parmi les pseudos révélations coutumières des RR3/RR4, plus ou moins/volontairement délirantes (anomalies qui représentent des enquerres), se dissimulent celles relatives aux différences des lignes de temps ; la face cachée/face visible de la Lune métaphore du temps visible/connu et du temps non-visible/non-reconnu ; avec les différences des degrés d'évolutions éthiques qui leur correspondent ; le néologisme de Suranus, composé de l'initial de Saturne et de Uranus (S + Uranus), le fils  (Saturne) précédent ainsi son père (Uranus), signalant le factuel de l'inversion de l'écoulement du temps, et le concept de la rétro/temporalité/causalité de la mécanique quantique, ... la finalité Zeus/Jupiter (petit-fils de Ouranos/Uranus/Cœlus) se superpose à celle de son origine Ouranos/Uranus/Cœlus (grand-père de Zeus/Jupiter) suivant la logique du principe de superposition quantique]

     

    Au début, la sœur aînée avaient très peur du colosse, mais très vite elle s'est aperçu qu'il était très gentil, comme le docteur qui était particulièrement aimable, faisant tout pour les rassurer.

    Cependant, elle ne pouvait pas se résoudre à l'idée d'être réduite à l'état d'esclavage pour le compte des (colonisateursSuraniens, et elle se révolta à plusieurs reprises face à une telle perspective, allant jusqu'à reprocher au docteur et au docker d'être devenus les chiens de chasse serviles (l’oligarchie des métayers et des fermiers généraux des classes occulto-politico-religieuses) des Suraniens, ce qui a vexé le docteur.

    Elle leur a demandé, pourquoi ils ne s'étaient pas évadés, ... le docteur répondit que c'était impossible car les Suraniens avaient un fusil paralysant capable de tirer jusqu'à 2 km. (ce qu'ils avaient probablement tenté, sans succès).

    Maintenant notre courageuse héroïne, étant plus assurée, et à présent plus aguerrie, a décidé de réagir afin de conserver sa liberté.

    Elle propose directement un plan d'évasion à ses compatriotes devenus captifs des Suraniens.

    Elle exposa donc son plan d'évasion avant de le réaliser. Les deux sœurs vont faire semblant de s'évanouir ou de tomber en syncope (évocation des pertes de consciencemissing-time, du temps-manquant, ou temps-perdu des victimes des RR3/RR4), à ce moment là, les deux captifs iront chercher les pilotes, et à ce moment précis, ils pourront neutraliser les Suraniens.

    Les deux sœurs s'exécutent, et pour faire plus authentique, l'aînée ferma réellement les yeux.

    Les deux captifs vont chercher l'un des deux pilotes dans la cabine de pilotage. 

    A l'instant où l'extraterrestre s'approche d'elle, du haut de ses 1.80 m (en 1971, les petits-gris/gremlins ne sont pas encore à la mode en France, ... Merci E.T. Téléphone-Maison ! A noter que curieusement le petit-gris est le nom vernaculaire donné à plusieurs espèces d'écureuil !), l'aînée ouvre les yeux et bondit sur lui par surprise et lui casse le bras avec un Harmlok (prise de Judo qu'elle pratique depuis l'âge de 13 ans), à cet instant elle se saisit de son fusil paralysant, le donne au docteur qui va paralyser l'autre pilote resté dans la cabine de pilotage.

     

    [enquerre de la révolte du petit vieux docteur (personnification de Saturne) évoquant l'usurpation mythique du pouvoir d'Uranus par son fils Saturne]

     

    Ils en profitent alors pour quitter la soucoupe volante, les deux sœurs, et le docteur armé du fusil paralysant qui disparut dans les bois.

    Le docker n'est pas sorti avec eux.

     

    [enquerre : du collaborateur (du métayer et fermer général) avec le personnage du docker (pendant/doublure/et attribut du petit vieux docteur/ Saturne) qui se désolidarise du petit vieux docteur (qui devient résistant en se rebellant), et allusion emblématique à la future usurpation/rébellion mythique du pouvoir de Saturne, qui sera à son tour détrôné, et de la même façon, par son propre fils Zeus/Jupiter]

     [enquerre : du petit vieux docteur qui incarne Abel (le Mars/agriculteur qui se libère de la tutelle des Suraniens) tandis que le colosse/docker personnifie Caïn (le Mars/guerrier qui suit les colonisateurs Suraniens) - Cf. le mythe des 2 frères Abel (fidèle à la loi du Seigneur) et Caïn (infidèle à la loi du Seigneur)]

     

    Après, environ une heure enfermées dans la soucoupe volante, les deux sœurs ont rejoint leurs parents, essoufflées et en pleurant.

    Mais ces derniers n'ont jamais voulu les croire, ni prévenir la Gendarmerie.

    02 Témoins. Source :  Les 2 Premières Adolescentes Kidnappées par des Extraterrestres - Enquête Génpi. 

     

    (à suivre) 

     

    Nord - Man -Die !

     Tartan de la Normandie

    «  Le Normand est toujours en deçà de la vérité ! »

     

     

     

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