• La BD des Ovnis - Planche 20 : Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations des Surnaturels (4)

     

     

    Les Apparitions des Ovnis et les Apparitions des Surnaturels en Normandie

    Les Ovnis et les Surnaturels

     

     

    Mise à jour de la carte le 17/01/2022 

     

     

    « Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans « l’intelligence » de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »

    [Les gîtes secrets du lion, George Hunt-Williamson, 1958] 

     

    « Richard, Cœur de Lion, Duc de Normandie et Roi d'Angleterre, disait souvent : Du Diable nous venons, au Diable nous retournerons. 

    Il descendait véritablement d'une lignée maudite. Un de ses ancêtres, Foulque le Rouge, avait bien épousé une sorcière, et le Duc Robert était un Enfant du Diable.

    On lit dans le Liber Nige : 

    Au cours de la 3é Croisade (1189-1192), faisant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Richard, Cœur de Lion, releva le courage de ses troupes en remettant à certains de ses officiers une jarretière de cuir, qu'ils se mirent autour de la jambe ; cette pratique venait des sorcières qui passaient leur jarretière, autour de la jambe de leurs victimes, pour les ensorceler. »

    [Le dieu des sorcières]

     

    « La présence des ovnis étant prouvée, et, l'ingérence des créatures polymorphes endo-exogènes enfin reconnue, il nous reste maintenant à démontrer l'existence des visiteurs extraterrestres. »

    [Guillaume Chevallier]

     

     

    Le Transformisme Endogène-Exogène

     

    Guillaume Chevallier

     

     Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement et afin de diriger la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolutiondont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR6 classe B/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs (plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels).

     

    Les Manifestations Surnaturelles en Normandie (extraits)

     

     62 - Rouen (76) - Le Faiseur de Pluie  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

     

    Vers 1810, vivait à Rouen un riche industriel, Pierre-Louis Le Barbier, adepte des théories de Messmer et du magnétisme. Il se disait Dominatmosphérateur, prétendait dompter les éléments, commander aux nuages et aux tempêtes, et provoquer pluies et orages ; persécuté par les menées d'ennemis invisibles et occultes, il mourut triste et délaissé.

    Source : Archives Départementales Seine-Maritime, C. 121.

     

     

     63 - La Courbe (61) - La Queurie  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Le Manoir de la Queurie (XVe) est situé presque sur les bords de l’Orne et au pied de l’église de la paroisse de La Courbe  La Queurie devrait son nom et sa construction à une famille Le Queux ou Le Queu. Elle avait sa légende. 

    [Le Patronyme : Le Queu ou Le Queux  fait référence au latin coquus  (coquo) = cuisinier, cuire, ou celui « qui » prépare le repas comme un Maître Queux, ou comme les Sorcières, dont l'attribut traditionnel est le Chaudron parce qu'elles sont sans pareille pour assaisonner la Recette de l'Onguent, confectionné à partir de la graisse des Enfants-Morts-Nés, permettant aux Sorciers de s'envoler pour le Sabbat.]

    1/ On contait que lors de la délivrance d’une Dame de la famille Le Queu l’enfant - c’était une fille - qui disparut, tout à coup, la nuit même de sa naissance, en s’envolant par la fenêtre sur l’appui de laquelle elle laissa l’empreinte de son pied. Depuis, on n’entendit plus parler d’elle, jusqu’au moment où ses frères se partagèrent l’héritage paternel.

    Au moment où ils étaient réunis pour procéder à la « choisie » des lots, une voix se fit entendre. La fée – c’en était une – réclamait sa part. Saisis de frayeur les frères lui abandonnèrent les manoirs de la Queurie, de Giel, et de Crévecoeur avec leurs circonstances et leurs dépendances. L’héritière aussi étrange qu’inattendue se déclara satisfaite.

    On ne dit pas comment elle administra ses biens. On sait seulement que le meunier du moulin seigneurial de la Queurie était obligé de porter chaque semaine une chaudronnée de bouillie dans le creux d’un frêne qui se trouvait dans le bois. S’il y manquait il était outrageusement tourmenté et battu par ses mains invisibles. De plus la fée se montrait très jalouse des bois. Si quelque paysan se permettait la moindre bûche sur le domaine sans en avoir humblement demandé la permission à la Dame Blanche de la Queurie, il était roué de coups la nuit suivante.

    La fée, à part cela, se montrait assez bonne fille. On la voyait de temps à autre, au crépuscule, se promener le long du bois et il arrivait parfois qu’elle sautât en croupe sur le cheval d’un voyageur attardé et qu’elle l’accompagnât sans souffler mot jusqu’au bout du domaine. S’il se montrait discret et sage la mystérieuse sylphide le remerciait gracieusement en le quittant. Mais si, surmontant sa légitime frayeur et émoustillé par cette belle jeune femme dont le bras enlaçait sa taille, il se permettait la plus légère liberté il était souffleté de main de fée.

    Avec le temps le charme fut rompu et la fée disparut.

    Une autre diablerie existait au manoir de la Queurie, c’était un trou dans la toiture qu’on ne parvenait pas à boucher. Les couvreurs qui se risquaient à tenter l’aventure étaient secoués par des mains invisibles, leurs échelles se détachaient, les tuiles ou ardoises s’envolaient et la « brèche au diable », comme on l’appelait, restait toujours à l’état de trou béant rendant une partie du manoir inhabitable. Il fallut attendre le début du XIXe siècle pour vaincre l’esprit malin.

    2/ « Il y a longtemps, bien longtemps, les terrains qui forment la commune actuelle de La Courbe appartenaient à une dame bien riche et fort puissante. Cette dame étant venue à mourir, ses enfants se réunirent dans l’habitation de la défunte et commencèrent le partage des biens. Le partage était presque terminé lorsque tout à coup on vit apparaître une belle dame tout habillée de blanc. C’était la fée.

    Je suis, dit-elle, la fille aînée de notre maison et je vois que vous ne m’avez pas réservé ma part dans l’héritage maternel : je veux, dans mon lot ; les bois et le moulin de la Queurie.

    Mademoiselle, reprirent les frères et sœurs, votre demande est juste. En qualité d’aînée vous avez le droit de choisir votre lot ; prenez donc ce que vous désirez.

    Aussitôt la fée disparut et retourna habiter ses bois favoris. Peu de temps après, elle loua son moulin à un brave homme du voisinage, moyennant une redevance journalière d’une chaudronnée de bouillie.

    Cette bouillie devait lui être portée chaque jour dans le creux d’un chêne voisin de son habitation. Si le meunier, oublieux de ses engagements ou trop pressé par la besogne, négligeait de porter la fameuse bouillie à l’endroit indiqué, avant le coucher du soleil, aussitôt la farine se transformait en un terreau noirâtre : c’était là un avertissement.

    La fée tenait beaucoup à sa propriété, mais elle était bonne personne ; aussi quand un voyageur voulait traverser ses bois, pour éviter de longs détours, il pouvait passer sans encombre ; un bûcheron voulait-il couper un peu de bois pour se chauffer avec ses enfants pendant l’hiver, il n’avait qu’à se présenter à l’entrée du bois et dire : Mademoiselle, voulez-vous me permettre de couper du bois ? et il pouvait couper, couper toute la journée, tout était pour lui. Mais si un bûcheron voulait amasser quelque fagot de bois sans sa permission, alors la fée était impitoyable : c’était à grands coups de bâtons qu’elle chassait le malheureux, de ses propriétés.

    On dit qu’elle se montrait parfois à ses protégés sous la forme d’une grande dame habillée de blanc, ayant toujours les mains froides ou plutôt glacées, comme les mains d’une morte, souvent aussi elle montait en croupe derrière les cavaliers qui traversaient la propriété et ne les quittait qu’à la limite de ses bois ».

    Depuis bien longtemps on ne l’a revue dans le pays.

    Source : cf.:http://mairielacourbe.unblog.fr/category/lhistorique-de-la-commune/le-manoir-de-la-queurie/

     

     

     64 - Potigny (61) - La Brèche au Diable - Sabbat  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    L'année 1979, au moment de l'équinoxe d'automne, un promeneur-observateur, âgé de 23 ans, Mr. R. C.,  posté de jour, au site mégalithique de la « Brèche au Diable  » (14), qui est bien connu en Normandie Occidentale, et plus précisément dans le secteur de la « Pierre Ronde » où se tenaient les « Sabbats des Sorciers », lorsqu'il vit surgir une troupe d'une quinzaine d'individus hommes et femmes, aux teints blafards et à l'aspect désincarnés, qui avançaient en file indienne, bizarrement accoutrés, et plutôt agités, comme s'ils sortaient directement d'un Asile de «  forcenés ou d'énervés » du haut moyen-âge. Surpris et effrayé le témoin n'a pas osé les suivre.

    Source :  Enquête du Génpi.

     

    66 - Le Mont Margantin (61) - Les Hallouines / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

      

     

    Dans l'Orne, VIe-XVIIe, le Mont Margantin est un lieu réputé pour la réunion des Hallouines (des Halloweens), prêtresses-magiciennes du culte d'Odin et les sabbats, présidés par un bouc noir. Tout le canton se pressait pour honorer le bouc en lui baisant le derrière, à tel point qu'un partage dut, être fait : certaines communes eurent droit à la fesse gauche, les autres à la fesse droite. Une vieille de Saint-Jean (61), une âme pieuse scandalisée cacha en terre, sur le lieu du sabbat, des reliques sacrées. Le bouc fut si irrité qu'il s'enleva en l'air en poussant des cris qui épouvantèrent tout le canton et répandit sur les bois voisins des odeurs si pestilentielles que jamais les arbres n'y purent pousser depuis. Ce furent les Bois Raguis.

     Source : Revue de folklore français, T. IV.

     

     

     67 - Rouen (76) - Le Cœur Percé / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Le journal l'Éclair de Rouen, en du 06 juillet 1903, publiait un article signalant le cas d'envoûtement d'une morte. Une dame X., âgée de trente-quatre ans, avait été inhumée au cimetière de Rouen. Le 20 mai 1903, le mari de la défunte s'étant rendu sur la tombe : il fut frappé par l'odeur désagréable que la terre exhalait ; il la remua avec une baguette et en ramena bientôt un cœur en complète putréfaction. Très ému, il appela le conservateur du cimetière ; son émotion s'accrut lorsqu'il s'aperçut que le cœur était percé par des clous et plus de cent épingles. On était en présence d'une manœuvre d'envoûtement parfaitement classique.

     Source : L. de Vesly, Légendes et vieilles coutumes de Normandie.

     

     

    68 - Alençon (61) - Marie Anson / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Nombreux sont les habitants d'Alençon qui le savent : un fantôme de femme apparaîtrait sur les tours du château de temps en temps. Mais pu connaissent la légende d'où est tirée cette croyance. Marie Anson habitant la Tour couronnée du château et était mariée au chevalier Renaud, parti faire la guerre. Pendant son absence, Marie refusa les avances d'un autre homme. Mais eu un fils. Le traitre fit reproduire les anneaux d(or de la jeune femme, donnés par son époux, et alla trouver le mari pour lui montrer, et ainsi prouver son infidélité. De retour au château, Renaud, fou de rage, tua l'enfant et attacha Marie à son cheval par les cheveux et la traîna dans les rues d'Alençon. Il n'était ni roche ni buisson qui n'eut sang de Marie Anson, raconte une ancienne chanson. Se sentant mourir, la femme voulut se confesser. Saisissant l'occasion d'apprendre la vérité, Renaud se déguisa en prêtre et recueillit la confession : Marie jura sur le Christ son innocence. Et pardonna sa propre mort à son mari, mais pas celle de son enfant, mort sans être baptisé. Renaud, ravagé par les remords et la tristesse et voyant sa femme innocente, se pendit. Depuis, on peut entendre les cris de douleur de Marie Anson sur les hauteurs du château, ou l'apercevoir laver le linge ensanglanté de son enfant.

     Source : Ouest-France, du 30 juillet 2007.

     

     

     

     69 - Caen (14) - Malherbe / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Caen, rue de l'Houdon, maison natale du poète caennais Malherbe : vers 1614, en nos quartiers de Normandie : dans les couettes des lits, il y avait des pelotons de plumes que les sorciers y avaient mis pour travailler ceux qui couchaient dessus, et, pour les faire mourir dans le bout de l'an. Voilà pourquoi je fis visiter deux couettes où il fut trouvé en chacune une pelote de plume de gorge de chapon, le tuyau vers le centre, mais tissée si ferme et avec tant d'artifice que manifestement on y remarquait une autre main que celle des hommes. Tous ceux qui firent la même recherche trouvèrent la même chose.

     Source : G. Vanel - Caen : Une grande ville aux XVIIe et XVIII siècle.

     

     

    70 - Rânes (61) - Le Golem / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    A Rânes, dans la forêt d'Argouges, revient la fée Andaine qui avait épousé le seigneur d'Argouges à condition qu'il ne prononçât jamais le mot : mort.

    La fée Andaine disparut subitement le jour où le sire d'Argouges dit le mot fatal.

    [selon l'enseignement de la kabbale le mot, mort = METH, et le mot EMETH = vérité ; le mot, EMETH, écrit sur le front du Golem = être embryonnaire, lui donnait la vie, et lorsque le Golem devenait incontrôlable, on effaçait la première lettre, du mot, EMETH pour lui donner la mort = METH]

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

     

     

    71 - Merville-Franceville-Plage (14) - Disparition de Micheline P. / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Le vendredi 24 septembre 1999, 08 h 15, Mme Micheline P., 56 ans, arrive avec son époux André, chez son fils Patrick à Merville-Franceville-Plage, et mont se reposer dans une chambre à l'étage, car elle est légèrement souffrante ; à 09 h Patrick monte à l'étage où se repose sa mère, il découvre alors que la chambre est vide ; la porte communiquant avec l'arrière-boutique et le couloir étant ouverte, il en déduit que sa mère est partie, à pied, chez le médecin situé à environ 200 m, même si elle n'a pas emporté son porte-monnaie, son sac à main et ses papiers ; après 22 ans, Mme Micheline P. n'a toujours pas été retrouvée.

    Source : Ufo-Génpi.

     

     

    72 - Mesnil-Esnard (76) - Nid à Sorciers / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    D'après le registre secret du parlement de Normandie, en date du 07 avril 1612, une information fut ouverte contre un grand nombre de sorciers que l'on dit être au village du Mesnil-Esnard.

    Source : Floquet, Histoire du Parlement de Normandie, T. V.

     

     

    73 - Bernay (27) - L'Entaillé / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Eure (27) : secteur de Bernay, dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 août 2020, un cheval a été attaqué, son corps a été entaillé.

    Source : paris-normandie.fr/actualites.

     

     

     

     75 - Falaise (14) -  RR3 / RR4 en 1761 / Le Pacte Diabolique / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    En janvier 1761, des témoins assuraient, au lieutenant-criminel du bailliage de Falaise, que Jacques Bacon, marchand de Versainville (14), avait fait un pacte avec le Diable : qui lui assurait d'avoir dans sa poche, tous les matins, 36 livres (environ 46.08 euros) ; n'ayant pas exécuté les conditions du pacte, l'esprit malin voulant lui tordre le cou, il s'était adressé aux 04 curés de Falaise et à celui de Versainville qui l'avaient exorcisé, mais sans y réussir ; un jour, étant à la halle de la ville de Falaise, les dits témoins virent le Diable descendre avec ses griffes et vouloir se jeter sur lui pour l'enlever, ce qui serait arrivé si le curé de Saint-Gervais (14) n'eut promptement accouru, revêtu de son étole, et n'eut chassé le Diable et sauvé le sieur Bacon.

    Source : G. Lesage, A travers le passé du Calvados.

     

     

     

     76 - Château d'Assy -  Ouilly-le-Tesson (14) - L'Hôte de Noël  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

     

    A partir de 1979, les nouveaux occupants du château d'Assy, assistèrent à la visite régulière d'un hôte invisible, la nuit du réveillon de Noël. Le visiteur signalait sa présence en s'asseyant sur les fauteuils et canapés du salon vert et près de la cheminée. Chacun, y compris les chats qui sentaient sa présence, pouvait constater l'affaissement des coussins ou le remue-ménage autour du huchet et du serviteur. Sur une peinture sur toile, datant de l'Ancien Régime, qui décorait le salon vert, une femme représentée paraissait vivante, fixait de son regard l'assistance, et semblait communiquer par la pensée. Des bruits de pas étaient aussi entendus dans les galeries et les escaliers. La tradition locale rapporte que l'ombre tourmentée de Madame de Rouvres fait des apparitions tous les ans, la veille de Noël, dans la grande salle du château.

    Source : Enquête Génpi - Galleron, Stastit. de l'arrond. de Falaise, T. III, p 55.

     

     

     

     

     77 - Beaumont-le-Roger (27) - Le Mutilé / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

     

     

    Dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 août 2020, un cheval a été mutilé et entaillé, par de mystérieux inconnus, dans l'Eure (27).

    Source : francebleu.fr/infos.

     

     

    78 - Barfleur (50) - L'Évacueur de Peste Jehan Le François / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    1627 : copies de deux procès criminels, l'un fait à Jehan Le François opérateur, accusé d'envoyer la peste, à qui il voulait, et d'attenter à la pudicité des femmes ; envoyé par arrêt du Parlement de Rouen sans absoudre ni condamner. 

    Évacueurs et esventeurs, opéraient par conjurations ou par des formules, aussi bien pour guérir la peste que pour l'envoyer. L'opérateur Jehan Le François pouvait faire apparaître le Diable (Maître Perrin), et de le faire voir sous telle forme particulière ou moins effrayante comme celle d'un insecte scarabée noir ou celle d'un escargot. Il pouvait obliger les plus belles filles à coucher avec lui, ou trouver les trésors cachés. Il fit élever en l'air une lourde table ou des personnes, ou de charmer une balle pour qu'elle atteigne sa cible à coup sûr. Il fut arrêté à Barfleur après avoir voulu faire disparaître une mystérieuse caisse bardée de fer. L'inventaire de cette caisse révéla qu'elle contenait des livres de secrets médicaux, de nombreux produits bizarres, et dans, dissimulée dans le couvercle, une peinture sur papier représentant des démons, des esprits malins et des silhouettes humaines, et aussi deux morceaux de parchemin sur lesquels étaient rédigés des conjurations, enjoignant à la Peste (Dame Perette) de quitter le corps d'un pestiféré afin de contaminer  un autre.

    Source : Lenglet-Dufresnoy, Extrait du Recueil de dissertation sur les apparitions.

     

     

      79 - La Haye-du-Puits (50) - Les Sabbats de La Haye-du-Puits / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

     

     

    Les sabbats de La Haye-du-Puits (XVIIe) : certains parlèrent des pratiques de ces sabbats, messes sacrilèges à la lueur des chandelles noires et placés sous la présidence du grand noir ou du bouc, danses dos à dos, relations sexuelles de toutes espèces, enfants coupés en  morceaux et bouillis avec des serpents pour la fabrication de produits magiques, dont la graisse distribuée aux participants pour leur permettre de s'oindre le corps avant leur envol ; les enfants y étaient parfois mangés aux sabbats ; Jacques Le Gastelois déclara qu'en quatre ou cinq ans il n'en avait mangé que cinq ou six fois. Marguerite Marguerie dit n'en pas avoir vu apporter plus de deux ou trois qui étaient morts, sauf celui de Michelle Deshayes déjà signalé.

    Source : Bibliothèque départementale de Rouen, Traité des sorciers.

     

     

      80 - Villers-sur-Mer (14) - Disparition de Jean-Claude B. / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique 

     

     

     

    Jean-Claude B., 59 ans, originaire de Saint-Désir de Lisieux (14), a disparu le samedi 22 aout 2015 sur les falaises des Vaches Noires (14). Il avait pour habitude venir en moto sur cette côte, et d'y faire des expéditions  à la recherche de fossiles, dont il était collectionneur.

    Source : Pays d'Auge, 27/08/2015.

     

     

     

    «  Le Pouvoir Politique est assujetti à l'Autorité Religieuse qui est inféodée à la Puissance Occulte. »

    [Le Tricéphale - Bellator]

     

     

    Le Tricéphale 

     

     

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre - Guillaume Chevallier]

     

     

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