• Les Abductions Légendaires

     

     

    « Sathan et ses diableries n'existent pas, ce ne sont que des alienneries ! »

    [L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Geipan]

     

     [Crédit Photo : Ufo-Génpi]

     

    Les Abductions Légendaires

     

    Par Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     Les abductions, qui fascinent tant les ufologues, ne sont pas apparues à l'ère moderne des Soucoupes Volantes, puisque nous les retrouvons dans les chroniques historiques et les récits des époques ancestrales, occultées sous le voile du mystère, du merveilleux, de la magie et autre diableries du même genre.

     

     

    Depuis la Genèse, nombre de courants pseudos religieux, théologiques, philosophiques ont pour origine ces parodies des Rencontres Rapprochées avec des faux-dieux, des démons, des défunts, des fées et autres esprits de la nature ou élémentaux.  

     

     

    Parisii, Tête d’Apis, Parisii Têtes d’Anubis !

    (Dicton Neustrien)

     

     

    Les Photographies des Visiteurs Polymorphes par Daniel Nemes
     

     

     
     
    Trois des nombreuses Images réalisées par Daniel Nemes avec son appareil photographique appelé "L' Hexagone"
     

    « Je suis un scientifique et inventeur espagnol, en 2013 j'ai découvert la technologie Energivision qui nous permet de capturer des êtres d'origine inconnue (autres plans).»

    [Daniel Nemes -  Les Visiteurs Multidimensionnels]

     

     

     

     « Sathan et ses Diableries n'existent pas, ce ne sont que des Alienneries ! »

    [Guillaume Chevallier]

     

     [Crédit Photo : Ufo-Génpi]

     

    Comme l'a parfaitement démontré René Le Tenneur [Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les manifestations paranormales & les apparitions des créatures, dites surnaturelles, perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Puisqu'en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les Fées, Dames Blanches, Lavandières, Sirènes, Garwall, Garous, Varous ou Wargus, Lycanthropes, Hommes-Loups, « Bonhommes Blancs », Revenants, Fantômes, « Rongeurs d'Os », Lémuriens, Stryges, Bierres, Goules, Laitices, Milloraines, Fouines, Chabrettes, Taranes, Huards, Bigornes, Succubes, Incubes, Satyres, Nymphes, « Hommes-Papillons » et « Hommes en Noir » aux yeux de Zombies, Horlas, « Simulacres », Répliquants, Substituts, Drôles, korrigans, Goublins ou Gobelins, Lutins & Lubins ou « Hommes Rouges », Jacquets, Follets, Gnomes, « Petits-Gris », Génies, et Apparitions ou Manifestations dites Religieuses, etc. ; ces Créatures Étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des « Féeries ou des Diableries », ou aujourd'hui des « Alienneries », se méprennent sur la nature réelle, de ces Êtres Poly-Métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni terrestres ou extraterrestres mais « ultra-terrestres », comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975].

     

     

     Le Bort Noir Le Grant

    Le Bort

     

    Dieux Bùri & Odin dont le Dieu Le Bo (Le Grant Bor-Borr-Bur Mannus) est, respectivement :

    le Fils et le Père, des Dieux des Temps Anciens, chez les Normands-Scandinaves.

     

     

     

     

    La Gigogne

     

    « Tous les samedis tu seras serpente du nombril au bas du corps. Mais si tu trouves un homme qui veuille bien te prendre pour épouse et promettre de ne jamais te voir le samedi, tu suivras le cours normal de la vie. Toutefois si ton mari vient à percer ton secret, tu seras condamnée à retourner au tourment jusqu'au jugement dernier. »

    [La Fée Mélusine]

     

    Ces ultra - terrestres sont partout, & très actifs ; en Normandie, par exemple, un peu plus d’une communes sur quatre dans le Calvados sont concernées (25,65 % de la totalité des communes), et beaucoup de ces lieux sont devenus leur terrain de chasse favori.

    C’est sur ces territoires, souvent inchangés depuis des siècles, que ces créatures exercent, en totale impunité, leurs prédations, leurs mutilations, leurs hybridations perpétuelles, et sous couvertures changeantes, en fonction des croyances dominantes, car elles ont la capacité d'apparaître, sous toutes les formes, dont elles se servent pour mieux instrumentaliser les personnes qui en sont les témoins, ou les victimes abusées.

     

    Hic Sunt Draco !

     Les Trois Clés du Vaisseau !

     

    Les Anciens, qui les connaissaient bien, les qualifiaient de créatures chimériques puisqu'elles sont poly-métamorphiques, & ils les ont abondamment fait figurer sur les pages de leurs encyclopédies, de leurs armoriaux, de leurs traités alchimiques, sur les murs et les vitraux, les fresques de leurs cathédrales ou de leurs temples, mastabas, etc., tandis que nos pseudos-contactés ufologiques les assimilent, à notre époque, à des visiteurs-aliens, depuis que la science dominante et la religion ont évacué, chez nous, le concept même de l'inframonde, et de ses nombreux peuples & représentants endogènes.

     

    Addiction aux Abductions !

     

    La Tradition écrite ou orale, héritée chez tous les peuples de la Terre nous les décrivent pourtant longuement, de même que les comptes rendus des enquêtes en sorcellerie qui relatent dans le détail les Rencontres Rapprochées avec ces êtres poly-métamorphiques, avec toutes les caractéristiques des Rencontres Rapprochées ufologiques, les traces physiques & au sol, les cercles de fées, de sorcières et les crop-circles, les abductions ufologiques, ainsi que les mutilations, les implants, les marques corporelles, les missing-time & les missing-space ou les accouplements & hybridations forcés, et autres « diableries » ovnilogiques du Type IV & plus.

     

     

    « La phénoménologie des crop-circles nous autorise à les considérer comme étant des incidents de nature démoniaque. »

     [Diamonic Reality - Patrick Harpur - 1994]

     

    Le Croc...aux...griffes !

     

    Blason de la Dame-Fée du Manoir d'Argouges (14)

     

    Blason de la Dame-Fée du Lac

     

    « Dans la province de Langres, un noble seigneur descend sans doute d'une race de vipères. Son trisaïeul rencontra en effet, au plus profond d'un bois, une belle femme portant de riches habits. Il ne resta pas insensible à sa beauté et l'épousa. Un jour cependant, on la vit en train d'onduler dans son bain sous la forme d'un serpent. Accusée par son mari et surprise alors qu'elle se baignait, elle disparut pour toujours » .

    [Les Croisements Polymorphiques - Geoffroy d'Auxerre - XIIème siècle]

     

    [La commune de Gratot, dans le département de la Manche (50), abrite un château construit au XIIIème siècle. Cette demeure dont la sauvegarde, aujourd’hui terminée, a été entreprise en 1968 par une équipe de passionnés fut pendant sept siècles la propriété de la famille d’Argouges.

    L’histoire dit qu’un jour, un des seigneurs de Gratot se perdit dans la forêt lors d’une chasse au loup. Il rencontra une jeune fille extraordinairement belle. Celle-ci lui indiqua son chemin avant de disparaître. Les jours suivants, le seigneur retourna dans la forêt dans l’espoir de la retrouver. Sa persévérance fut récompensée, si bien que l’amour finit par habiter leurs deux cœurs. Notre fée, puisque c’en était une, accepta d’épouser le châtelain mais celui-ci dut consentir, sur l’honneur, à ne jamais prononcer le mot mort. Le seigneur jurant qu’il ne sortirait plus de sa bouche, le mariage put être célébré.

    Pendant dix ans, ils vécurent heureux dans leur château jusqu’au jour où, alors qu’ils devaient assister à un tournoi, le seigneur attendait son épouse qui s’apprêtait. L’impatience le gagnant, il s’emporta : Belle Dame, vous êtes si longue à vos besognes que seriez bonne à aller quérir la MORT. Le mot maudit à peine prononcé, la fée poussa un cri déchirant et bascula par l’une des fenêtres, pour disparaître dans les douves du château. Aujourd’hui encore, on peut voir l’empreinte que son pied a laissé sur le rebord de la fenêtre. A ce qu’on dit, les soirs de tempêtes, on peut l’entendre, dans les ruines du château, poussant un cri déchirant : La mort, la mort...

    On notera que cette légende est également racontée à propos du château de Rânes près d’Argentan dans le département de l’Orne (61), ainsi que d’un autre situé près de Bayeux (14) ; ces propriétés ayant toutes deux appartenu à la famille d’Argouges. http://www.normandie-heritage.com/spip.php?article173]

     

    A Rânes, dans la forêt d'Argouges, revient la fée Andaine qui avait épousé le seigneur d'Argouges à condition qu'il ne prononçât jamais le mot : mort.

    La fée Andaine disparut subitement le jour où le sire d'Argouges dit le mot fatal.

    [selon l'enseignement de la kabbale le mot, mort = METH, et le mot EMETH = vérité ; le mot, EMETH, écrit sur le front du Golem = être embryonnaire, lui donnait la vie, et lorsque le Golem devenait incontrôlable, on effaçait la première lettre, du mot, EMETH pour lui donner la mort = METH]

    Source : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

     

    Le Château du Duc Robert - L'Enfant du Diable
     
     

     

    D’après la légende née au XIIe siècle, Robert est le fils du Duc Aubert et de la duchesse Indre. Le surnom de « Diable » provient de sa conception même, sa mère n’arrivant pas à avoir d’enfant, demanda au diable de l’aider.

    Cette parenté diabolique eut pour conséquence de rendre Robert coléreux, violent et cruel dès son plus jeune âge. Alors que son père le fit chevalier, il prit alors la tête d’une bande de brigands qui terrorisait la campagne normande.

    Se rendant compte de sa violence et de sa méchanceté, Robert en chercha la cause et découvrit le mystère de sa naissance. Il se rendit alors à Rome afin de rencontrer le pape puis de se confesser à un ermite qui lui demanda de faire vœu de silence et de disputer sa nourriture aux chiens comme pénitence.

    Suite à cet épisode, Robert est recueilli par l’empereur de Rome. À l’époque, des pillards terrorisaient Rome, mais personne n’osait les combattre. Robert le Diable les affronta alors, seul et dissimulé sous une armure blanche. L’empereur promit alors la main de sa fille à ce valeureux chevalier.

    Bien que l’ermite l’ait délivré de sa pénitence, Robert refusa d’épouser la princesse et vécut en ermite jusqu’à la fin de ses jours. Source : Rouen

     

    Sur le fond la frontière entre ces témoignages du passé et les témoignages du présent n’existe pas, la Rencontre Rapprochée ufologique de Type VII - classe B du XXIème siècle est, par exemple, la projection ou l'actualisation moderne de la Légende du XIIème siècle de la Dame Blanche ou Fée d'Argouges, qui relate l’accouplement d’un homme avec une créature surnaturelle, avant qu’elle ne disparaisse.

    Cette procédure d'accouplement ou d'hybridation entre deux espèces différentes est devenue centrale dans les abductions ufologiques, depuis le cas du brésilien Antônio Villas - Boas fondateur des Kidnappings - Abductions ufologiques, la nuit du 16 au 17 octobre 1957, qui rapporta avoir eu des rapports charnels, à l'intérieur d'un vaisseau, avec une créature non-humaine aux caractéristiques physiologiques très étranges, qu'il trouva très laide, et au comportement mi-humain & mi-animal.

    [cf. l'article intitulé Les Enquerres Ufo - Logiques ! : http://ufo-genpi-news.eklablog.com/13-les-enquerres-ufo-logiques-a130652346]

    On retrouve ces « accouplements hétérogènes », par les voies naturelles ou par clonage, dans toutes les légendes ou les mythologies, un des plus connu est celui de Héraclès avec la Femme-Serpent Échina [du grec ékhidna = vipère] à la tête, torse et bras d'une belle femme, et au reste du corps celui d'un reptile aux écailles multicolores & aux couleurs changeantes.

    Cette femme-vipère est identifiable à la « Vouivre », qui hante toujours nos campagnes, & aux Mélusine-Reptiles, Fée-Serpents ou Fée-Oiseaux, qui sont les « Marâtres » du Serpent de l'Archange Luciférien qui continuent à « Pacter » avec les Humains en leur promettant « Monts & Merveilles ».

    Cependant, certains humains résistent à ces Gorgones et ne succombent pas à leurs « charmes envoûtants », tels Persée avec la Méduse ou Ulysse avec les Sirènes, et quelques-uns gardent le souvenir de leurs Rencontres Rapprochées avec ces créatures, en frappant leurs Blasons, ou leurs Annulus Draconis (Chevalières), aux Portraits-Robots de ces chimères. 

    [Au sujet des Rencontres Rapprochées ufologiques avec ces « démons-aliens » cf. l'article intitulé, Les Mauvaises Rencontres : http://www.orden-de-chevalerie.org/les-mauvaises-rencontres-a114492458 et la RR3  de Narbonne, « Malvési », Aude, 12 décembre 1987, 10h45. Témoin : M. Gérard Lamy.]

     

    Furie

     Les Hétères !

     

    « Les légendes sont vraies, plus vraies que l'histoire. »

    [La clef des choses cachées de Maurice Magre - 1935]

     

    Ces Furies, ces Tarasques, & ces Goules sont des créatures poly-métamorphiques d'essence éthérée, primitivement d'origine extraterrestre, et qui ne cessent d'envahir notre monde, pour se croiser avec les humains, et afin de s’incarner dans le monde physique qui représente pour ces incubes et ces succubes, infra-physiques & de nature subtile, le « Plénum » de l'existence.

     

    in coelo

    Lumen In Coelo !
    « Une lumière dans le ciel »

     

     

    « Tu as dissous les ténèbres et fait naître la lumière afin de créer toutes choses dans la lumière et de donner consistance à la matière instable en la façonnant en forme de monde. Tu as ici-bas introduit l'image de la splendeur d'en-haut, afin que par la lumière l'homme regarde la lumière et devienne tout entier lumière. »

             [Martyrologe romain - Saint Gatien - Fêté le 18 décembre]

     

     

     La Nuit des Étoiles !

     

    Ces créatures voyagent dans l'espace & colonisent toutes les planètes qu'elles peuvent atteindre, en « surfant », sur les vagues et les marées des rayonnements cosmiques, ou en « accrochant » le sillage des géocroiseurs et des comètes. [c'est ainsi que l'apparition d'une comète a souvent mauvaise réputation, ou annonce des malheurs (mal-heures) à venir], ou en parasitant, directement, les autres voyageurs extraterrestres qui explorent, avec leurs vaisseaux aérospatiaux, l'univers.

    [comme nos propres cosmonautes & astronautes, cf. : par exemple, le « malaise » subi par l’astronaute Mary Anne Stefany Shyn Piper, au retour de la Mission STS 115, de la navette Atlantis, en 2003 : http://www.orden-de-chevalerie.org/134-l-invasion-des-chimeres-aliens-a145285010]

    [Leur but est : « Étendre leur Empire et leur Domination, et faire de notre Terre leur Univers. NdT]

    Ces créatures surnaturelles aliens ont la réputation d’être immortelles, et semblent y parvenir en « vampirisant » les corps, les âmes et les esprits des hôtes qu'elles « possèdent » de l'intérieur.

     

    Sur le fond, elles se comportent comme un Type de Virus ou de Spores Psychiques Aliens.

     

    « L’anti-virus », pour résister, individuellement, à leur emprise pandémique consiste à développer, un système immunitaire de nature psychologique : demeurer lucide, libre de ses choix et de ses actions, en effectuant au quotidien son propre « examen de conscience », et à le renforcer, en poursuivant une hygiène de vie saine & équilibrée, sur les trois plans corporel, sentimental et mental.

    [cf. à ce sujet l'article intitulé, La Résistance : http://www.orden-de-chevalerie.org/la-resistance-a114013796 ]

     

    Et sur le plan collectif, la meilleure défense, est le développement d'une société solidaire égalitaire établie sur l'économie du libre partage et de l'échange gratuit.

    L’emprise pandémique exercée sur l’humanité par ces créatures surnaturelles aliens continue à perpétuer le « pacte diabolique du profit d'intérêt », et à maintient l'humanité sous le « harnais-luciférien », retardant sa sublimation éthique, qui l’autorisera à explorer l’univers et à peupler ses planètes inhabitées.

     

    Les abductions modernes, qui fascinent tant les ufologues, concernent les contacts avec ces créatures-aliens surnaturelles poly-métamorphiques, qui continuent à s'auréoler des mystères spirituels, fantastiques, merveilleux, ou magiques pour mieux dissimuler leurs exactions exercées à l'encontre de l'humanité. 

    Le fond légendaire de Normandie, comparé au fond des Rencontres Rapprochées ufologiques ou para-ufologiques de notre époque, le montre explicitement.

    Leurs géolocalisations sont communes, ainsi que les ressorts et les événements, qui les structurent et les sous-tendent, poursuivant la même finalité, le croisement ou l'hybridation de deux espèces différentes, l'une humaine, l'autre non-humaine.

     

     

    Les Abductions Légendaires !

     

    Engin Volant Non-Identifié

     

     

    « On ne devient pas, du jour au lendemain, expert en Kratophanies, en Épiphanies et en Théophanies ! »

    [Les ovnis, énigme d’hier et d’aujourd’hui - Fabrice Kircher & Dominique Becker - 2016] 

     

     

    Comme, par exemple, avec la légende (et suivantes)  de la Fée de Carrouges, avec le Comte des Marches Normandes, du VI siècle, qui a une rencontre charnelle (très) rapprochée [une RR7 Classe B selon la Typologie ufologique] avec une Dame Blanche-Fée, alors même que son épouse légitime lui annonce, enfin un heureux événement à venir, après 07 ans d'union heureuse, mais stérile.

    Le Comte, qui a été envoûté par la Dame Blanche-Fée, est alors victime de ce que les ufologues nomme le missing-time ou lost-time  (temps-manquant ou temps-perdu).

    La Comtesse s'en aperçoit, tue la Dame-Blanche-Fée, mais perd du même coup son époux, et meurt à son tour en donnant naissance à son héritier, qui est marqué, comme elle, par une tâche rouge, qui s'imprimera jusqu'à la 7ème génération de ses descendants, jusqu'à la naissance d'une Fille.

    Cette marque ou tâche rouge est ce que les ufologues identifient aux marques ou aux implants des aliens, dont sont porteurs nombre d'abductés-ufologiques de notre époque.

     

     

    Si les membres émérites des écoles traditionnelles & occultes ont développé, le thème des visiteurs aliens, en soutenant discrètement, le courant de pensée ufologique, c’est qu’ils en sont, en réalité, les véritables parrains et initiateurs, comme l’illustre l'engagement direct de George Hunt Williamson auprès du premier contacté par les extraterrestres de l'époque moderne, George Adamski (1891 - 1965).

     

     

    Cette implication est en conformité avec la fonctionnalité logique de ces cercles de magie ésotérique qui est d’assurer les communications avec les différents visiteurs des mondes parallèles ou endo-terrestres & des univers stellaires ou exo-terrestres, en villégiature sur Terre, depuis des temps immémoriaux.

     

     

    Les Daïmons !

     

    « Le soleil devient noir,

    la terre s'enfonce dans la mer,

    les brillantes étoiles disparaissent.»

     

    [Völuspá - Strophe 57 - Edda Poétique - Vers L'an 1000]

     

    Le Vaisseau

     

     

     

     

     

    La Dame de Carrouges (61)

     

    La légende de la fée de Carrouges (61)

     

    Fée-Cygne 

     Les Abductions Légendaires !

     

    « L'ombre est noire toujours même tombant des cygnes. »

    [La Fin de Satan - Victor Hugo]

     

     

    Le Chant du Cygne

     

    « Un prince à la chasse rencontre une princesse ensorcelée en Cygne qu'il peut libérer en acceptant de l'épouser. »

    [Les Volatiles ne sont pas tous des enfants du Bon Dieu - Guillaume Chevallier]

     

     

    (Orne - Normandie - France)

    Le comte Ralph, seigneur de Carrouges, était un beau et valeureux chevalier chargé de défendre le duché de Normandie contre les invasions éventuelles des Angevins ou des seigneurs du Maine, ses voisins, via le poste frontalier qu’était son château fort. Il avait épousé la fille d’un seigneur voisin, la comtesse Louise de La Motte-Fouquet, (ou la charmante Éveline du Champ-de-la-Pierre, selon une autre version) fort jolie du reste et parée de toutes les qualités du cœur et de l’esprit. Et après huit ans de mariage (ou sept ans, selon une autre version), une seule chose ternissait leur bonheur : « Elle ne lui avait point encore donné d’enfant. ».

    Aussi, quelle ne fut pas la joie de Ralph à l’annonce de la grossesse de son épouse ! Il décida sur-le-champ de convier tous les seigneurs voisins et ses amis chevaliers à venir festoyer quelques jours au château pour marquer l’événement.

    Au programme, chasses sur ses terres, détentes et ripailles, jeux, jongleries et ménestrandie. Le dernier jour, le comte décida d’une grande chasse au gros gibier qui durerait jusqu’au soir. Dès l’aube, les veneurs, cors en bandoulière, avaient découplé les chiens. Ceux-ci flairèrent rapidement une piste et levèrent un dix-cors rusé et agile : le genre de cerf qui met à l’épreuve la résistance et l’habileté des chasseurs. Au bout du jour, ces derniers, épuisés, abandonnèrent les uns après les autres la poursuite afin de ne pas rater l’ultime banquet.

    Seul le comte Ralph, obstiné et fier, ne s’avouait pas vaincu et poursuivit le dix-cors qui l’entraîna aux confins de la forêt de la Motte. Il finit par se retrouver au fond d’une vallée sauvage et fraîche où coulait une petite rivière que le comte suivit et qui le conduisit au milieu d'une clairière plantée de grands arbres en quinconce autour d’une petite chapelle.

    Il faisait se désaltérer son destrier à l’eau de la fontaine qui murmurait juste derrière l’édifice quand il perçut des bruits sous les feuillages. Promptement il enfourcha sa monture : il le rapporterait coûte que coûte, son dix-cors, en l’honneur de son futur héritier ! Il était déjà venu à bout d’ennemis bien plus redoutables ! Le cerf remonta le cours du ruisseau et s’enfonça au creux de gorges dont les berges se révélaient difficilement praticables. Des blocs éboulés, venant des escarpements rocheux où semblaient se lover des grottes, rendant le terrain trop pénible aux sabots de son cheval, Ralph mit pied à terre tout en s’extasiant sur la splendeur sauvage de ce coin de forêt que son épouse avait négligé de lui faire découvrir. Il songeait à lui en faire la remarque quand un murmure cristallin attira son attention. Il remarqua des nuées légères s’élevant au milieu d’un bassin de fortune et distingua une ravissante créature qui se baignait en chantant et dansant joliment dans les vapeurs chaudes. C’était un enchantement de la voir ainsi onduler avec souplesse et grâce, et le comte en fut charmé. Aussi, quand la déesse des eaux l’aperçut et l'invita à venir la rejoindre, sans hésitation Ralph se laissa entraîner, ravi, dans le tourbillon des eaux.

    Quand Ralph revint au château, une frange dorée à l’Orient annonçait le lever du soleil. Il expliqua à son épouse en pleurs qu’il avait dû passer la nuit dans la chaumière d’un bûcheron après s’être égaré en suivant son cerf. Seulement, le soir venu, il courait déjà rejoindre en secret l’enchanteresse. Pendant un temps il put s’échapper sans que nul n’en sache rien, mais une nuit Louise fut prise de douleurs et pria ses servantes d’aller quérir son mari et l’on découvrit sa couche vide. Intriguée et inquiète, le soir suivant la comtesse fit le guet et constata les escapades nocturnes de son époux (Pendant sept mois il continua le même manège. La comtesse n'avait pas tarder à s'apercevoir des absences de son mari et des longues songeries qui lui étaient devenues habituelles, selon une autre version). Elle résolut de le suivre et découvrit son infortune.

    La jalousie l’envahit aussitôt mais elle attendit que la nymphe se retrouve seule pour jaillir et la poignarder en plein cœur. Sa rivale émit un long gémissement tout en la maudissant et s’écroula dans la fontaine avant de disparaître dans les nuées blafardes.

    Satisfaite, la châtelaine regagna promptement sa demeure pour y apprendre avec stupeur que son époux venait d’être découvert sans vie dans sa chambre, une fine blessure à la poitrine. Louise fut au désespoir. Des fièvres ardentes, au cours desquelles elle prétendait qu’une tache rouge l’aveuglait, troublèrent son sommeil et au matin elle accoucha d’un fils, beau comme son père, mais avec une tache rouge au milieu du front. C’était la marque de la malédiction. Celle-ci frappa les héritiers de Ralph et de Louise jusqu’à la septième génération. La naissance d’une fille, à qui la tache fut épargnée, mit fin au mauvais sort.

     

     

    Cette alliance ancienne (psychique/physique) de l'aristocratie nobiliaire avec des êtres de nature surnaturelle est très rependue, l'exemple le plus fameux est celui du mythique Roi Mérovée dont la mère et épouse du roi des Francs Saliens Clodion, déjà enceinte, fut séduite par une « bête de Neptune semblable au Quinotaure » [Quinotaure = une Entité Serpentine fluviale ou Anguipède à Cinq Cornes : NdT] alors qu'elle se baignait dans l'océan.

    [Enceinte une deuxième fois, les deux sangs se mélangèrent pour donner naissance à une nouvelle dynastie dont les membres étaient investis de grands pouvoirs et d'une aura de magie et de surnaturel, caractéristique de la Dynastie des Mérovingiens. cf. Wikipédia]

     

     

    L'Incorporation Extraterrienne

     

    La Syntrophie (relation symbiotique)

     

    Les héritiers de cette « ancienne noblesse hybridée », dite au « Sang Bleu », qu'il faut lire en langage blasonné, au « Sang Dieu », autrement-dit au « Sang des (Faux) Dieux », en ont perpétué le souvenir, dans leurs armoiries familiales, à l'aide des figures & des meubles astucieusement utilisés ou agencés, parmi lesquels l'on peut citer : les Chimères, Lions, Léopards, Aigles, Cygnes, Ailes, Serpents, Lys, Étoiles, Molettes, Croissants, Croix, Molettes, Macles, Anneaux, Chevrons, Pièces Ondées, Dentelées, Denchées ou Engrêlées, Deltas de Sable ou Triangles Noirs, etc. qui sont des indicateurs discrets de leurs « croisements avec des non-humains », & dont ils se réclament pour prétendre régner de « droit faussement divin », compte-tenu de cette origine pour partie surnaturelle.

    Ce marquage surnaturel endo-exogène affleure souvent sur la peau sous la forme de griffures, de trois Points Rouges laissées par les pointes de la Clavicula Nox, ou Trident, dessinant le Triangle de l'Ostie Noire ou Nigrum Ostia utilisée au cours des messes noires des sabbats, qui est aussi la forme des vaisseaux-portails-égrégoriels appelés Triangles Noirs, justement non-identifiés, par les ovnilogues modernes.

     

    L'Ostie Noire

     

     

    Cet agrogramme est la figuration des pointes de la Clavicula Nox, ou Trident, dessinant le Triangle de l'Ostie Noire ou Nigrum Ostia utilisée au cours des messes noires des sabbats. 

    Ce marquage surnaturel endo-exogène affleure souvent sur la peau sous la forme de griffures, de trois Points Rouges , qui est aussi la forme des vaisseaux-portails-égrégoriels appelés Triangles Noirs ou Ufo-Triangles modernes. 

    La date d'apparition du 04/07/2008, fête de St Florent, nous le confirme en renvoyant à Florens Tertullianus, dit Tertullien, théologien berbère (+220) inventeur de la Trinité et adepte du mouvement hérétique du motanisme, dont les derniers feux ont brillé avec Raspoutine (+ 1916), admirateur de la secte des khlysty (des flagellants) pratiquant l'ascétisme, le végétarisme, la flagellation, les transes rituelles et orgiaques extatiques, caractéristiques des cercles occultes et des sabbats de possessions.  Guillaume Chevallier 

     

     

     

    Le Trident Ukrainien

    (Ukraine  = La Frontière)

     

     

     

    Le Trident-Triangle fait référence à la Fleur de Lys ou Fer-Trident de Lance avec Pointe et Crochets, le Langon ou javelot des Francs, et au Blason de France & d'Anjou aux Trois Fleurs de Lys des Comtes Angevins Ingelger / Engilger signifiant Nés des Anges / Élohim, ces Fameux Anges-Volants-Non-Identifiés décrits par Maurice Guingand qui s'hybrident volontiers avec les Humains, et qui sont traditionnellement représentés par les  Anges / Lys = Étoiles / Lys, sans nombre, au Semé de France.

     [Cf. : Sur la piste des anges non identifiés - Maurice Guingand – 1976]

     

    Le Triangle du Diable

     

     

    Mise à jour de la carte : Structure Nomande des Ovnis - le 09/06/2023

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

     

    Leopardes !

     

    Cette ascendance surnaturelle des Comtes d’Anjou est une carte maitresse du Pouvoir comme l’affirmait Richard Cœur de Lion qui était Roi d’Angleterre, Duc de Normandie, Comte d’Anjou, du Maine et de Touraine et qui le faisait savoir avec sa Devise : 

    « Du diable nous venons et au diable nous retournons ! ».

    Cette prétention d'appartenir à une « espèce supérieure » ou d'ambitionner de la créer, par « hybridation dirigée & programmée », est malsaine et très dangereuse, car elle ouvre les portes aux pires idéologies criminelles, et contredit le libre développement que garantit la diversité de la Vie.

    C'est pourtant, actuellement le discours aberrant et dominant des pseudos « entités aliens », relayé par les abductés ufologiques, et que proposaient déjà les récits devenus mythiques ou légendaires, des alliances matrimoniales des humains avec les « anciens dieux » ou avec les peuples des « Petites Gens ou Petit Peuple », dont les Contes ont fait des Fées ou des Lutins.

    Derrière ces « faux dieux » et ces « petites gens », se dissimule une espèce d'aliens poly-métamorphiques, de nature non-biologique & d'essence fluidique ou énergétique qui parasitent corporellement, psychiquement & spirituellement l'humanité depuis des temps immémoriaux.

    Leur présence permanente, sur toute la surface de la Terre & leurs ingérences récurrentes, à toutes les époques, et sous des apparences diverses, puisque adaptées à chaque âge de l'humanité, et à chaque culture, leur procure un avantage considérable, pour mieux instrumentaliser efficacement les humains.

    Ces poly-métamorphes se sont « sédentarisés » sur Terre comme sur de nombreuses autres planètes, avec l'aide des « planètériens indigènes » qu'ils réussissent à contrôler et qui leur libèrent,  ou leur aménagent, des territoires, où ils peuvent pratiquer aisément leurs prédations.

    Ces nombreux sites se rencontrent partout, par exemple en Provence, avec celui du Col de Vence, qui intrigue tant les Ufologues qui l'ont investigué, en Bretagne avec celui de la Forêt d'Huelgoat, ou par exemple en Normandie, le fief de la Dame Blanche de la Queurie, à La Courbe dans l'Orne, dont la légende significative, est révélatrice de cette « Sédentarisation », confirmée par la présence d'un « Castrum Templum », identifié à un camp fortifié préhistorique, dit Logis ou Château, entre les lieux-dits, 1 : Le Haut du Château et 2 : Le Bas du Château.

     

    Voici, pour l'illustrer, deux différentes versions de cette légende, qui confirme ce type d'appropriation des lieux, par cette Espèce d'Aliens Poly-Métamorphiques qui colonise notre Terre ! :

     

     Le Manoir de La Queurie (61) - Normandie - France

     

    [Crédit Photo : Ufo-Génpi]

     

    1/ La légende du Manoir de la Queurie

    Le Manoir de la Queurie est situé presque sur les bords de l’Orne et au pied de l’église de la paroisse de La Courbe (61).

    La Queurie devrait son nom et sa construction à une famille Le Queux ou Le Queu. Elle avait sa légende.

    [Le Patronyme : Le Queu ou Le Queux  fait référence au latin coquus  (coquo) = cuisinier, cuire, ou celui « qui » prépare le repas comme un Maître Queux, ou comme les Sorcières, dont l'attribut traditionnel est le Chaudron parce qu'elles sont sans pareille pour assaisonner la Recette de l'Onguent, confectionné à partir de la graisse des Enfants-Morts-Nés, permettant aux Sorciers de s'envoler pour le Sabbat. : NdT]

     

     

    La Dame de la Queurie

     

    On contait que lors de la délivrance d’une Dame de la famille Le Queu l’enfant - c’était une fille - qui disparut, tout à coup, la nuit même de sa naissance, en s’envolant par la fenêtre sur l’appui de laquelle elle laissa l’empreinte de son pied. Depuis, on n’entendit plus parler d’elle, jusqu’au moment où ses frères se partagèrent l’héritage paternel.

    Au moment où ils étaient réunis pour procéder à la « choisie » des lots, une voix se fit entendre. La fée – c’en était une – réclamait sa part. Saisis de frayeur les frères lui abandonnèrent les manoirs de la Queurie, de Giel, et de Crévecoeur avec leurs circonstances et leurs dépendances. L’héritière aussi étrange qu’inattendue se déclara satisfaite.

    On ne dit pas comment elle administra ses biens. On sait seulement que le meunier du moulin seigneurial de la Queurie était obligé de porter chaque semaine une chaudronnée de bouillie dans le creux d’un frêne qui se trouvait dans le bois. S’il y manquait il était outrageusement tourmenté et battu par ses mains invisibles. De plus la fée se montrait très jalouse des bois. Si quelque paysan se permettait la moindre bûche sur le domaine sans en avoir humblement demandé la permission à la Dame Blanche de la Queurie, il était roué de coups la nuit suivante.

    La fée, à part cela, se montrait assez bonne fille. On la voyait de temps à autre, au crépuscule, se promener le long du bois et il arrivait parfois qu’elle sautât en croupe sur le cheval d’un voyageur attardé et qu’elle l’accompagnât sans souffler mot jusqu’au bout du domaine. S’il se montrait discret et sage la mystérieuse sylphide le remerciait gracieusement en le quittant. Mais si, surmontant sa légitime frayeur et émoustillé par cette belle jeune femme dont le bras enlaçait sa taille, il se permettait la plus légère liberté il était souffleté de main de fée.

    Avec le temps le charme fut rompu et la fée disparut.

    Une autre diablerie existait au manoir de la Queurie, c’était un trou dans la toiture qu’on ne parvenait pas à boucher. Les couvreurs qui se risquaient à tenter l’aventure étaient secoués par des mains invisibles, leurs échelles se détachaient, les tuiles ou ardoises s’envolaient et la « brèche au diable », comme on l’appelait, restait toujours à l’état de trou béant rendant une partie du manoir inhabitable. Il fallut attendre le début du XIXe siècle pour vaincre l’esprit malin.

     

    2/ La légende du Manoir de la Queurie

     « Il y a longtemps, bien longtemps, les terrains qui forment la commune actuelle de La Courbe appartenaient à une dame bien riche et fort puissante. Cette dame étant venue à mourir, ses enfants se réunirent dans l’habitation de la défunte et commencèrent le partage des biens. Le partage était presque terminé lorsque tout à coup on vit apparaître une belle dame tout habillée de blanc. C’était la fée.

    Je suis, dit-elle, la fille aînée de notre maison et je vois que vous ne m’avez pas réservé ma part dans l’héritage maternel : je veux, dans mon lot ; les bois et le moulin de la Queurie.

    Mademoiselle, reprirent les frères et sœurs, votre demande est juste. En qualité d’aînée vous avez le droit de choisir votre lot ; prenez donc ce que vous désirez.

    Aussitôt la fée disparut et retourna habiter ses bois favoris. Peu de temps après, elle loua son moulin à un brave homme du voisinage, moyennant une redevance journalière d’une chaudronnée de bouillie.

    Cette bouillie devait lui être portée chaque jour dans le creux d’un chêne voisin de son habitation. Si le meunier, oublieux de ses engagements ou trop pressé par la besogne, négligeait de porter la fameuse bouillie à l’endroit indiqué, avant le coucher du soleil, aussitôt la farine se transformait en un terreau noirâtre : c’était là un avertissement.

    La fée tenait beaucoup à sa propriété, mais elle était bonne personne ; aussi quand un voyageur voulait traverser ses bois, pour éviter de longs détours, il pouvait passer sans encombre ; un bûcheron voulait-il couper un peu de bois pour se chauffer avec ses enfants pendant l’hiver, il n’avait qu’à se présenter à l’entrée du bois et dire : Mademoiselle, voulez-vous me permettre de couper du bois ? et il pouvait couper, couper toute la journée, tout était pour lui. Mais si un bûcheron voulait amasser quelque fagot de bois sans sa permission, alors la fée était impitoyable : c’était à grands coups de bâtons qu’elle chassait le malheureux, de ses propriétés.

    On dit qu’elle se montrait parfois à ses protégés sous la forme d’une grande dame habillée de blanc, ayant toujours les mains froides ou plutôt glacées, comme les mains d’une morte, souvent aussi elle montait en croupe derrière les cavaliers qui traversaient la propriété et ne les quittait qu’à la limite de ses bois ».

    Depuis bien longtemps on ne l’a revue dans le pays.

    [cf.:http://mairielacourbe.unblog.fr/category/lhistorique-de-la-commune/le-manoir-de-la-queurie/]

     

    CHACUN SA CHIMÈRE

    Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.

    Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain.

    Mais la monstrueuse bête n’était pas un poids inerte ; au contraire, elle enveloppait et opprimait l’homme de ses muscles élastiques et puissants ; elle s’agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture ; et sa tête fabuleuse surmontait le front de l’homme, comme un de ces casques horribles par lesquels les anciens guerriers espéraient ajouter à la terreur de l’ennemi.

    Je questionnai l’un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu’il n’en savait rien, ni lui, ni les autres ; mais qu’évidemment ils allaient quelque part, puisqu’ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.

    Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n’avait l’air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos ; on eût dit qu’il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d’aucun désespoir ; sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d’un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours.

    Et le cortège passa à côté de moi et s’enfonça dans l’atmosphère de l’horizon, à l’endroit où la surface arrondie de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain.

    Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.

    Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1869

     

     

     

    « Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendez le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du Diable est de vous persuader

    qu’il n’existe pas ! »

     [Le Spleen de Paris - Petits-Poèmes en prose - 1862 - Charles Baudelaire]

     

    « Les poly-métamorphes ont réussi à illusionner, pendant des siècles les Ministres de l'Église, avec leur parodie-démoniaque, avant de duper, les ufologues avec leur imposture-alien, mais pour combien de temps encore ? »

    [L'Office de la Sainte Inquisition est l'Ancêtre du Geipan - Guillaume Chevallier] 

     

     

     

     

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