• Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations des Surnaturels

     

    Les Demoiselles des Monts !

     

    Damblainville (14)  - Source : Ufo-Génpi -Normandie-France-Ovnis - Photos-Auto - 03 Guetteurs-Opérateurs

     

    « Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans « l’intelligence » de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »

    [Les gîtes secrets du lion, George Hunt-Williamson, 1958] 

     

    « Richard, Cœur de Lion, Duc de Normandie et Roi d'Angleterre, disait souvent : Du Diable nous venons, au Diable nous retournerons. 

    Il descendait véritablement d'une lignée maudite. Un de ses ancêtres, Foulque le Rouge, avait bien épousé une sorcière, et le Duc Robert était un Enfant du Diable.

    On lit dans le Liber Nige : 

    Au cours de la 3é Croisade (1189-1192), faisant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Richard, Cœur de Lion, releva le courage de ses troupes en remettant à certains de ses officiers une jarretière de cuir, qu'ils se mirent autour de la jambe ; cette pratique venait des sorcières qui passaient leur jarretière, autour de la jambe de leurs victimes, pour les ensorceler. »

    [Le dieu des sorcières]

     

    « La présence des ovnis étant prouvée, et, l'ingérence des créatures polymorphes endo-exogènes enfin reconnue, il nous reste maintenant à démontrer l'existence des visiteurs extraterrestres. »

    [Guillaume Chevallier]

     

     

    Les Apparitions des Ovnis et les Apparitions des Surnaturels en Normandie

    Les Ovnis et les Surnaturels

     

     

    Mise à jour de la carte le 17/01/2022 

     

    «  Le Pouvoir Politique est assujetti à l'Autorité Religieuse qui est inféodée à la Puissance Occulte. »

    [Le Tricéphale - Bellator]

     

    Le Tricéphale 

     

     

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre - Guillaume Chevallier]

     

    Le Transformisme Endogène-Exogène

     

    Guillaume Chevallier

     

     Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement et afin de diriger la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR6 classe B/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatés en Normandie, et ailleurs (plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes surnaturels).

     

    Les Manifestations Surnaturelles en Normandie (extraits)

     

     

    141 - La route de Condé-sur-Iton (27) - Le Diable Architecte

     

     

    Les habitants gallo-romains de Condé-sur-Iton avait un besoin pressant d'une route allant vers suindinum (Le Mans 72), mais il leur apparu impossible de l'achever dans les délais. Le diable leur proposa de se charger de l'entreprise, et de la mener si promptement à fin qu'un cheval lancé au galop ne pourrait suivre les progrès de son travail. Par contrat et avec témoins, le diable acheva le travail dans le temps arrêté.

    Source : J. F. Gabriel Vaugeois, Histoire des antiquités de la ville de L'Aigle, et de ses environs, 1841.

     

     

     142 - Donville-les-Bains (50) - Le Sciard  / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    1950 : Tous les ans, il y a des fait de sorcellerie dans la paroisse et chaque fois on fait appel à un spécialiste pour découvrir l'enquéraudeur (le sorcier/envouteur). La femme de Donville, arrêtée par la police, se dit médium, en faisant parler la table elle a découvert l'enquéraudeur, un voisin. Mais ce voisin se servait d'un défunt qu'il avait assujetti à son pouvoir pour exécuter ses mauvais tours. Le défunt demandait une messe pour se délivrer de cette emprise, et l'enquéraudeur se servait d'un sciard (grande scie des bûcherons) pour ses sorts.

    Source : Communication de l'abbé Cossé, curé de Saint-Michel-de-Montjoie (50), aux Cahiers Léopold Delisle, 1950.

     

     

     

     143 - Elbeuf (76) -  Les 13 / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Aux environs de 1865, une jeune fille des environs d'Elbeuf dépérissait victime du mal donné par le procédé de l'épingle dit du mauvais bout, par un berger/sorcier qui lui présenta une épingle par le mauvais bout.  Médecins et pèlerinages furent sans effet. Sur le conseil d'un sorcier on pratiqua le rituel suivant : la jeune fille pris place dans un cercueil, placé au milieu de sa chambre, revêtue des habits qu'elle portait au moment du mal donné. A minuit, 13 chandelles furent allumées, 13 prêtres récitèrent les prières des morts et 13 mots connus d'eux seuls. Un grand bruit de chaînes fut entendu, et sa guérison fut totale et radicale. La tante de la jeune fille et une religieuse de Normandie en témoignèrent.

    Source : Olga de Bassilan, Revue des Traditions populaires, 1894.

     

     

     144 - Villedieu-les-Bailleul (61) -  Les Bailleul

     

     

    Tout près de l'église de la commanderie des chevaliers Hospitaliers, dans un vallon, se trouve un trou, dans les rochers de carrière, où se retirait un monstrueux serpent.

    On lui présentait les prémices des moissons et le lait le plus pur des troupeaux pour calmer sa fureur, et cependant il exigeait encore, à certaine époque, des offrandes bien plus funestes : on devait lui livrer une jeune fille qu'il traînait dans son antre où il la dévorait.

    Le vallon était alors rempli d'eau, et le dragon se promenait à la surface en vomissant des flammes qui laissaient après lui un long sillage de feu ; quelque fois, il parcourait la campagne avec un grand bruit et se rendait à Exmes (61), à Fontaine (61) ou à Bière (61), où il exerçait ses ravages. A son retour, on entendait de loin résonner ses bruyantes écailles, et chacun rentrait effrayé dans sa demeure.

    Enfin, ayant dévoré une demoiselle de l'ancienne et noble famille des Bailleul, qui a donné deux rois à l'Écosse, lorsque cette demoiselle allait voir les frères de la commanderie de Villedieu, un monsieur de Bailleul, fort comme Satan, résolut d'affranchir le pays d'un tel monstre et se prépara à soutenir une attaque à outrance contre lui.

    Il se couvrit d'une armure de fer-blanc sur tous les points ainsi que son cheval, et, bardé jusqu'aux dents, il s'avança vers le monstre si redouté. Il nageait fièrement sur l'eau quand le monstre le découvrit et vint se jeter sur lui avec une grande fureur. Le chevalier soutint le choc et porta sur son ennemi des coups tellement sûrs que sa perte devint certaine.

    Mais le monstre, dans l'excès de sa rage, vomit tant de flammes que le chevalier en fut suffoqué. Pour comble de malheur, son cheval étant venu à se détourner, les crins de sa queue, qu'on avait point entourée de fer-blanc comme tout le reste du corps, s'enflammèrent en un moment, et l'animal et celui qu'il portait furent consumés intérieurement.

    Le monstre expira sur leurs restes, et les habitants de Villedieu, sauvés par cet héroïque dévouement, ajournèrent le nom de leur libérateur à celui de leur commune.

    Source : Histoires et légendes de la Normandie mystérieuse, Sand.

     

     

     

      145 - Brécé (53) - La Poulinière

     

     

    Samedi 22 août 2020, Serge Guérinel se rend dans son champ de Brécé (53), où se trouvent deux de ses poulinières. Il est environ 17 h quand il fait cette sordide découverte. Il retrouve sa jument trotteuse de 11 ans, qui porte un poulain, « avec une plaie profonde, ouverte sur le flanc droit ». Chez le vétérinaire, à Javron-les-Chapelles, à une quarantaine de kilomètres : « Sans que je ne lui dise le fond de ma pensée, il m’a dit : une plaie si profonde et si nette, qui traverse le cuir et rentre dans l’abdomen, ce n’est pas un accident », raconte Serge Guérinel, tout en faisant défiler les photos de la blessure sur son smartphone. À ses côtés, son fils Cyril a du mal à les supporter. « C’est vraiment horrible », commente-t-il.« Je prends des nouvelles régulièrement, mais je ne sais pas si le poulain qu’elle portait va survivre », explique-t-il.

    Source : Ouest-France, du 25/08/2020.

     

     

      146 - Carentan (50) - Transformisme / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    En 1669, avec les procès des sorciers de Carentan (50) et de la Haye-du-Puits (50) on trouve des documents sérieux relatifs aux sabbats. Constantin de Renneville, qui habitait alors Carentan, rapporte la déposition qui a été faite par le valet de madame La Couture Le Gouëx, déposition qu'on peut résumer : 

    La dame Le Gouëx avait participé à un sabbat au village des Bohons (Saint-André et Saint-Georges de Bohon 50) chez M. du Taillis-Yver. Au retour, ne retrouvant pas le cheval qui devait la ramener chez elle, la sorcière n'hésita pas :  elle mit un mors entre les dents de son valet, monta sur son dos et, par magie, le valet l'emporta d'une vitesse extraordinaire en sa maison. 

    La dame Le Gouëx confirma devant le tribunal la déposition de son domestique ; un nommé Auvray, boucher à Carentan, entendit plusieurs sorciers qu'il crut être en l'air, entre lesquels il distingua fort bien la voix de du Taillis-Yver.

    Auvray vit ces sorciers renverser la croix de pierre du pont de Gémare (Giesmard, ce pont enjambant la rivière des Gouffres, existait encore dans les années 1940), et lorsqu'il cria au sacrilège et appela les voisins, il se sentit saisi par derrière par quelqu'un cherchant à le terrasser ; prenant alors son couteau il frappa au hasard l'adversaire invisible qui, blessé, demanda quartier et implora miséricorde ; Auvray fut surpris de reconnaître du Taillis dont le bras avait été transpercé.

    De Renneville assura avoir vu, peu après, la croix renversée dans la rivière, et du Taillis-Yver dont le bras en écharpe.

    Source : C. de Renneville, L'Inquisition françoise ou l'histoire de la Bastille.

     

     

    147 - Château de Gisors (27) - Sanctuaire Occulte / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

     Les premiers maçons (ancêtres des francs-maçons du XVIIIe siècle) étaient connus en France depuis les environs du VIIIe siècle. Ils furent soupçonnés de s'adonner aux sciences occultes, à l'alchimie, à l'astrologie et d'être des sorciers.

    L'Église les combattit, et en 1189, le synode de Rouen fulminait contre ces sociétés que la Sainte Église a en horreur.

    Un document donnant la liste des grands maîtres de la maçonnerie indique, au titre de l'année 1066, le nom du seigneur normand Roger de Montgomery, compagnon du duc Guillaume à Hastings cette même année.

    C'est un fils de Roger de Montgomery, Robert de Bellême, comte d'Exmes (61), qui, selon un de ses biographes modernes, le vicomte de Motey, était un véritable personnage diabolique dont on ne prononçait le nom qu'avec crainte, ses gestes, vrais ou faux, étaient des choses merveilleuses qu'on racontait avec effroi, et on pensait qu'il était l'incarnation d'une sorte de démon, fut le bâtisseur du château de Gisors, dont il établit le plan et dirigea personnellement les travaux, signes d'appartenance à cette mystérieuse corporation des frères maçons.

    Le roi Henri Ier d'Angleterre, fils du duc Guillaume de Normandie, lui-même grand maître des maçons d'Angleterre, fit vers 1110, achever la construction du château de Gisors, par des maçons-architectes Templiers, selon la norme hermétique, et en fonction de l'état du ciel du 24 décembre à minuit, pour y installer un sanctuaire souterrain réservé aux pratiques occultes (Les Templiers furent accusés, en 1307, d'hérésie, d'occultisme, de magie et de sorcellerie ; et le donjon du château de Gisors recèle de mystérieux graffiti, que l'on retrouve aux forteresses de Chinon (37) ou de Domme (24), où furent incarcérés les Templiers.).

    Sources : Thory Acta Latomorum, Publ. Anderson, 1715. E. H. Langlois, Mémoire sur les tombeaux Gallo-Romains découverts à Rouen.

     

     

     

    148 - Merville-Franceville-Plage (14) - La Redoute / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    Ce mercredi 18 octobre 2017, pompiers et gendarmes ont ratissé les dunes de Merville-Franceville à la recherche d’un homme parti pêcher à pied la veille, dans l’après-midi. C’est son épouse, domiciliée à Évrecy (14), qui a donné l’alerte, ne voyant pas son mari revenir au domicile conjugal. Sa voiture a bien été retrouvée sur le parking de la Redoute, non loin de la plage. 

    Source : Le Pays d'Auge, du 18/08/2017.

     

     

    149 - Évreux (27) - La Fête des Fous / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

    Depuis le XIIe siècle, l'Église avait autorisé des représentations des miracles et des mystères des Saintes Écritures. Mais, par suite d'un dérèglement moral qui atteignit jusqu'au clergé. Des mauvais clercs, dévoyés, les goliards, se livrèrent même à l'intérieur des églises et dans les cimetières, à des parodies des offices, des bouffonneries parfois licencieuses, dans lesquels le diable et les démons, tenaient leurs rôles.

    A Évreux, au 1er mai, l'évêque coupait des rameaux dans le bois de l'Évêché. Les chanoines procédèrent d'abord à cette coupe, puis y envoyèrent leurs clercs, et la cérémonie, devenue la Procession noire où les diables et les démons étaient représentés, dégénéra vite en partie de plaisir : la population s'en mêla, on se livra à mille excentricités, jusque dans l'église. 

    Deux chanoines qui, sous Henri II, roi de Normandie et roi d'Angleterre, avaient voulu s'y opposer furent pendus par les aisselles aux fenêtres d'un des clochers.

    Source : Du Tilliot, Mémoire pour servir à l'histoire de la Fête des Foux.

     

     

    150 - Notre-Dame-de-Courson (14) - Les Implants / Point-Chaud Surnaturel + Point-Chaud Ufologique

     

     

     

    En 1717, Lange, conseiller, médecin du roi à Lisieux, rédigea un Mémoire qui lui fut demandé sur le cas extraordinaire d'une maléficiée, Madeleine Morin, âgée de 22 ans, de la paroisse de Courson (Notre-Dame-de-Courson 14) au diocèse de Lisieux. L'affaire avait commencé en 1715. Madeleine Morin ayant eu quelque démêlé avec une voisine accusée de plusieurs maléfices pour lesquels elle était dans les prisons d'Orbec (14) avec son mary, cette sorcière luy dit : Autant de paroles que je te diray ce seront autant de Diables qui t'entreront dans le corps.

    Aussitôt, Madeleine Morin fut prise de violentes douleurs et de soulèvements d'estomach ; depuis lors elle fut souvent réduite à l'extrémité par des accidents surprenants, ayant jetté par la bouche en présence de plusieurs personnes des chenilles et un lézard tous vivans.

    Le Sieur du Bois, chirurgien du Bourg de Farvaques (Fervaques 14) l'ayant visitée, luy conseilla pour la soulager de grandes douleurs de têtes de faire couper ses cheveux et d'y faire appliquer un pigeon vivant ; ce fut la Voisine en question qui les luy coupa.

    Elle continuait à souffrir et voulut implorer le secours divin : elle fit le voyage de la chapelle de Notre-Dame-de-la-Délivrande (14) où elle fit dire neuf messes, elle s'évanouit pendant la Consécration de cinq et vomit plusieurs chenilles jusque au nombre de vingt huit, et revint parfaitement guérie.

    Au matin du 22 juin 1716, Madeleine Morin croisa sa sorcière de voisine qui l'assomma à coups de bâton et s'évanouit. Des multiples contusions sérieuses à la tête, à l'épaule au foie fut soignées par le sieur du Bois, dont il extirpa des aiguilles et des épingles, et ceci régulièrement jusqu'en 1717, des différentes parties et membres de son corps, ainsi que les Messieurs les Médecins, les Chirurgiens, les Apothicaires, et personnes de bon sens de l'Hôpital Général de Lisieux, où on la mit à la garde de deux Sœurs qui la surveillèrent, jour et nuit.

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie. Dr. Giraud, Etude sur les procès de sorcellerie en Normandie.

     

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