• Apocalypse des Ovnis : Livre III - Chapitre XI : Du Diable nous venons, au Diable nous retournons

     

     

     

     « Sathan et ses Diableries n'existent pas, ce ne sont que des Alienneries ! »

    [Guillaume Chevallier]

     

     Comme l'a parfaitement démontré René Le Tenneur [Magie, Sorcellerie et Fantastique en Normandie des premiers hommes à nos jours - 1979] les Manifestations Paranormales & les Apparitions des Créatures dites Surnaturelles perdurent depuis des temps immémoriaux, jusqu'à notre époque moderne.

    Car en effet, ils n'ont pas disparu, ni avec la révolution industrielle, ni après l'avènement du numérique :

    Les Fées, Dames Blanches, Lavandières, Sirènes, Garwall, Garous, Varous ou Wargus, Lycanthropes, Hommes-Loups, « Bonhommes Blancs », Revenants, Fantômes, « Rongeurs d'Os », Lémuriens, Stryges, Bierres, Goules, Laitices, Milloraines, Fouines, Chabrettes, Taranes, Huards, Bigornes, Succubes, Incubes, Satyres, Nymphes, « Hommes-Papillons » et « Hommes en Noir » aux yeux de Zombies, Horlas, « Simulacres », Répliquants, Substituts, Drôles, korrigans, Goublins ou Gobelins, Lutins & Lubins ou « Hommes Rouges », Jacquets, Follets, Gnomes, « Petits-Gris », Génies, et Apparitions ou Manifestations dites Religieuses, etc., et ces Créatures Étranges venues d'ailleurs sont toujours observées ou photographiées dans notre environnement, où elles prennent occasionnellement possession de nos demeures, de nos âmes et de nos corps, et tous ceux qui en ont fait des « Féeries ou des Diableries », ou aujourd'hui des « Alienneries », se méprennent sur la nature réelle, de ces Êtres Poly-Métamorphiques, qui ne sont, à proprement parler, ni Terrestres ou Extraterrestres mais « Ultra-terrestres », comme John A. Keel aimait à les qualifier. [cf. : La Prophétie des Ombres - 1975 : NdT].

    « Tous les samedis tu seras serpente du nombril au bas du corps. Mais si tu trouves un homme qui veuille bien te prendre pour épouse et promettre de ne jamais te voir le samedi, tu suivras le cours normal de la vie. Toutefois si ton mari vient à percer ton secret, tu seras condamnée à retourner au tourment jusqu'au jugement dernier. »

    [La Fée Mélusine]

    Ces Ultra - Terrestres sont partout & très actifs, [en Normandie, un peu plus d’une communes sur quatre dans le Calvados sont concernées (25.65 % de la totalité des communes) : NdT] et beaucoup de lieux sont devenus leur « Terrain de Chasse Favori ».

    C’est sur ces Territoires, souvent Inchangés depuis des siècles, que ces Créatures exercent, en totale impunité, leurs Prédations, leurs Mutilations, leurs Hybridations perpétuelles, et sous couvertures changeantes, en fonction des croyances dominantes, car elles ont la capacité d'apparaître, sous toutes les formes, dont elles se servent pour mieux instrumentaliser les personnes qui en sont les Témoins, ou les Victimes Abusées.

     Les Anciens, qui les connaissaient bien, les qualifiaient de Créatures Chimériques puisqu'elles sont Poly-Métamorphiques, & ils les ont abondamment fait figurer sur les pages de leurs Encyclopédies, de leurs Armoriaux, de leurs Traités Alchimiques, sur les murs de leurs Cathédrales ou de leurs Temples, Mastabas, etc., tandis que nos Pseudos-Contactés Ufologiques les assimilent, à notre époque, à des Visiteurs-Aliens, depuis que la Science Dominante et la Religion ont évacué, chez nous, le concept même de l'Inframonde, et de ses nombreux Peuples & Représentants Endogènes.

    La Tradition écrite ou orale, héritée chez tous les Peuples de la Terre nous les décrivent pourtant longuement, de même que les Comptes Rendus des Enquêtes en Sorcellerie qui relatent dans le détail les Rencontres Rapprochées avec ces Êtres Poly-Métamorphiques, avec toutes les caractéristiques des Rencontres Rapprochées Ufologiques, les Traces Physiques & au sol, les Cercles de Fées, de Sorcières et les Crop-Circles, les Abductions Ufologiques, ainsi que les Mutilations, les Implants, les Marques Corporelles, les Missing-Time & les Missing-Space ou les Accouplements & Hybridations Forcés et autres « Diableries » Ovnilogiques du Type IV & plus.

     

     

    Blason de la Dame-Fée du Manoir d'Argouges (14)

     

     

    Blason de la Dame-Fée du Manoir d'Argouges (14)

     

     

    « Dans la province de Langres, un noble seigneur descend sans doute d'une race de vipères. Son trisaïeul rencontra en effet, au plus profond d'un bois, une belle femme portant de riches habits. Il ne resta pas insensible à sa beauté et l'épousa. Un jour cependant, on la vit en train d'onduler dans son bain sous la forme d'un serpent. Accusée par son mari et surprise alors qu'elle se baignait, elle disparut pour toujours » .

    [Les Croisements Polymorphiques - Geoffroy d'Auxerre - XIIème siècle]

     

    [La commune de Gratot, dans le département de la Manche (50), abrite un château construit au XIIIème siècle. Cette demeure dont la sauvegarde, aujourd’hui terminée, a été entreprise en 1968 par une équipe de passionnés fut pendant sept siècles la propriété de la famille d’Argouges.

    L’histoire dit qu’un jour, un des seigneurs de Gratot se perdit dans la forêt lors d’une chasse au loup. Il rencontra une jeune fille extraordinairement belle. Celle-ci lui indiqua son chemin avant de disparaître. Les jours suivants, le seigneur retourna dans la forêt dans l’espoir de la retrouver. Sa persévérance fut récompensée, si bien que l’amour finit par habiter leurs deux cœurs. Notre fée, puisque c’en était une, accepta d’épouser le châtelain mais celui-ci dut consentir, sur l’honneur, à ne jamais prononcer le mot "mort". Le seigneur jurant qu’il ne sortirait plus de sa bouche, le mariage put être célébré.

    Pendant dix ans, ils vécurent heureux dans leur château jusqu’au jour où, alors qu’ils devaient assister à un tournoi, le seigneur attendait son épouse qui s’apprêtait. L’impatience le gagnant, il s’emporta : "Belle Dame, vous êtes si longue à vos besognes que seriez bonne à aller quérir la MORT". Le mot maudit à peine prononcé, la fée poussa un cri déchirant et bascula par l’une des fenêtres, pour disparaître dans les douves du château. Aujourd’hui encore, on peut voir l’empreinte que son pied a laissé sur le rebord de la fenêtre. A ce qu’on dit, les soirs de tempêtes, on peut l’entendre, dans les ruines du château, poussant un cri déchirant : "La mort, la mort..."

    On notera que cette légende est également racontée à propos du château de Rânes près d’Argentan dans le département de l’Orne, ainsi que d’un autre situé près de Bayeux ; ces propriétés ayant toutes deux appartenu à la famille d’Argouges. http://www.normandie-heritage.com/spip.php?article173 : NdT]

    Sur le fond la Frontière entre ces Témoignages du Passé et les Témoignages du Présent n’existe pas, la Rencontre Rapprochée Ufologique de Type VII - classe B du XXIème siècle est, par exemple, la projection ou l'actualisation moderne de la Légende du XIIème siècle de la Dame Blanche ou Fée d'Argouges, qui relate l’Accouplement d’un Homme avec une Créature Surnaturelle, avant qu’elle ne disparaisse.

    Cette procédure d'Accouplement ou d'Hybridation entre deux Espèces différentes est devenue centrale avec les Abductions Ufologiques, depuis le cas du brésilien Antônio Villas - Boas fondateur des Kidnappings - Abductions Ufologiques, la nuit du 16 au 17 octobre 1957, qui rapporta avoir eu des rapports charnels, à l'intérieur d'un Vaisseau, avec une Créature non-humaine aux caractéristiques physiologiques très étranges, qu'il trouva très laide, et au comportement mi-humain & mi-animal.

    [NdT / cf. l'article intitulé Les Enquerres Ufo - Logiques ! : http://ufo-genpi-news.eklablog.com/13-les-enquerres-ufo-logiques-a130652346]

    On retrouve ces « Accouplements Hétérogènes », par les voies naturelles ou par clonage, dans toutes les Légendes ou les Mythologies, un des plus connu est celui de Héraclès avec la Femme-Serpent Échina [du grec ékhidna = vipère / NdT] à la tête, torse et bras d'une belle femme, et au reste du corps celui d'un reptile aux écailles multicolores & aux couleurs changeantes.

    Cette Femme-Vipère est identifiable à la « Vouivre », qui hante toujours nos campagnes, & aux Mélusine-Reptiles, Fée-Serpents ou Fée-Oiseaux, qui sont les « Marâtres » du Serpent de l'Archange Luciférien qui continuent à « Pacter » avec les Humains en leur promettant « Monts & Merveilles ».

    Cependant, certains résistent à ces Gorgones et ne succombent pas à leurs « Charmes Envoûtants », tels Persée avec la Méduse ou Ulysse avec les Sirènes, et quelques-uns gardent le souvenir de leurs Rencontres Rapprochées avec ces Créatures, en frappant leurs Blasons, ou leurs Annulus Draconis, aux Portraits-Robots de ces Chimères.

     

    Annulus Draconis

     

     

     

    [Au sujet des Rencontres Rapprochées Ufologiques avec ces « Démons-Aliens » cf. l'article intitulé, Les Mauvaises Rencontres : http://www.orden-de-chevalerie.org/les-mauvaises-rencontres-a114492458 et la RR3  de Narbonne, « Malvési », Aude, 12 décembre 1987, 10h45. Témoin : M. Gérard Lamy. : NdT]

    Ces Furies, ces Tarasques, & ces Goules sont des Créatures Poly-Métamorphiques d'Essence Éthérée, d'origine extraterrestre, et qui ne cessent d'envahir notre Monde, pour se croiser avec les Humains, et afin de s’incarner dans le Monde Physique qui représente pour ces Incubes et ces Succubes, Infra-Physiques & de nature subtile, le « Plénum » de l'existence.

    Ces Créatures voyagent dans l'Espace & colonisent toutes les Planètes qu'elles peuvent atteindre, en « surfant », sur les Vagues et les Marées des Rayonnements Cosmiques, ou en « accrochant » le sillage des Géo-croiseurs et des Comètes. [c'est ainsi que l'apparition d'une Comète a souvent mauvaise réputation, ou annonce des Malheurs à venir : NdT], ou en Parasitant, directement, les autres Voyageurs Extraterrestres qui explorent l'Univers, avec leurs Vaisseaux Aéro-Spatiaux.

    [NdT : comme avec nos propres cosmonautes & astronautes, cf. : par exemple, le « malaise » subi par l’astronaute Mary Anne Stefany Shyn Piper, au retour de la Mission STS 115, de la navette Atlantis, en 2003 : http://www.orden-de-chevalerie.org/134-l-invasion-des-chimeres-aliens-a145285010]

    [Leur but est : « Étendre leur Empire et leur Domination, et faire de notre Terre leur Univers. : NdT]

    Ces Créatures Surnaturelles Aliens ont la réputation d’être Immortelles, et semblent y parvenir en « Vampirisant » les Corps, les Âmes et les Esprits des Hôtes qu'elles « Possèdent » de l'intérieur.

    Dans le principe, si on peut les considère comme un Type de « Virus ou de Spores Psychiques Aliens ».

    « l’Anti-Virus » pour résister Individuellement à leur Emprise Pandémique consiste à développer, un Système Immunitaire de Nature Psychologique, pour demeurer Lucide, Libre de ses Choix et de ses Actions, en effectuant au quotidien son propre « Examen de Conscience », et à le renforcer, en poursuivant une Hygiène de Vie Saine & Équilibrée, sur les trois plans Corporel, Sentimental et Mental.

    [cf. à ce sujet l'article intitulé, La Résistance : http://www.orden-de-chevalerie.org/la-resistance-a114013796 : NdT]

    Et sur le plan collectif, c'est la réalisation d'une Société Solidaire Égalitaire établie sur l'Économie du Libre Partage et de l'Échange Gratuit.

    L’Emprise Pandémique exercée sur l’Humanité par ces Créatures Surnaturelles Aliens continue à perpétuer le « Pacte Diabolique du Profit d'Intérêt », et à maintient l'Humanité sous le « Harnais-Luciférien », retardant sa Mutation Éthique, qui l’autorisera à explorer l’Univers et à Peupler ses Planètes Inhabitées.

    Les Abductions modernes, qui fascinent tant les Ufologues, concernent les Contacts avec ces Créatures-Aliens Surnaturelles Poly-Métamorphiques, continuent à s'auréoler des Mystères Spirituels, Fantastiques ou Merveilleux pour mieux dissimuler leurs exactions auprès de l'Humanité. 

    Cette Trompeuse Usurpation a donné naissance,  par le Passé à nombre de courants pseudos Religieux, Théologiques, Philosophiques et aux Parodies des Rencontres Rapprochées avec des Faux-Dieux, des Démons, des Fées et autres Esprits de la Nature ou Élémentaux.  

    Le Fond Légendaire de Normandie, lorsqu'on le compare à ces Rencontres Rapprochées Ufologiques ou Para-Ufologiques de notre époque, l'illustre également.

    Et leurs Géolocalisations Communes, leurs ressorts et événements qui les structurent et les sous-tendent, ont la même finalité, le Croisement ou l'Hybridation de deux Espèces différentes, l'une Humaine, l'autre Non-Humaine.

     

    Les Abductions Légendaires !

     

    Comme en rend compte la légende de la Fée de Carrouges, avec le Comte des Marches Normandes, du VI siècle, qui a une Rencontre Charnelle (très) Rapprochée [une RR7 Classe B selon la Typologie Ufologique : NdT] .avec une Dame Blanche-Fée, alors même que son épouse légitime lui annonce, enfin un heureux événement à venir, après 07 ans d'union heureuse mais stérile.

    Le Comte, qui a été envoûté par la Dame Blanche-Fée, est alors victime de ce que les Ufologues nomme le Missing-Time ou Lost-Time.

    La Comtesse s'en aperçoit, tue la Dame-Blanche-Fée, mais perd du même coup son époux, et meurt à son tour en donnant naissance à son héritier, qui est Marqué, comme elle, par une Tâche Rouge, qui s'imprimera jusqu'à la 7ème génération de ses descendants, jusqu'à la Naissance d'une Fille.

    Cette Marque ou Tâche Rouge est ce que les Ufologues identifient aux Marques ou aux Implants des Aliens, dont sont Porteurs nombre d'Abductés-Ufologiques de notre époque.

     

    La Dame de Carrouges (61)

     

     

    La légende de la fée de Carrouges (61)

     

    « Un prince à la chasse rencontre une princesse ensorcelée en Cygne qu'il peut libérer en acceptant de l'épouser. »

    [Les Volatiles ne sont pas tous des enfants du Bon Dieu – Guillaume Chevallier]

     

    (Orne - Normandie - France)

    Le comte Ralph, seigneur de Carrouges, était un beau et valeureux chevalier chargé de défendre le duché de Normandie contre les invasions éventuelles des Angevins ou des seigneurs du Maine, ses voisins, via le poste frontalier qu’était son château fort. Il avait épousé la fille d’un seigneur voisin, la comtesse Louise de La Motte-Fouquet, (ou la charmante Éveline du Champ-de-la-Pierre, selon une autre version : NdT) fort jolie du reste et parée de toutes les qualités du cœur et de l’esprit. Et après huit ans de mariage (ou sept ans, selon une autre version : NdT), une seule chose ternissait leur bonheur : « Elle ne lui avait point encore donné d’enfant. ».

    Aussi, quelle ne fut pas la joie de Ralph à l’annonce de la grossesse de son épouse ! Il décida sur-le-champ de convier tous les seigneurs voisins et ses amis chevaliers à venir festoyer quelques jours au château pour marquer l’événement.

    Au programme, chasses sur ses terres, détentes et ripailles, jeux, jongleries et ménestrandie. Le dernier jour, le comte décida d’une grande chasse au gros gibier qui durerait jusqu’au soir. Dès l’aube, les veneurs, cors en bandoulière, avaient découplé les chiens. Ceux-ci flairèrent rapidement une piste et levèrent un dix-cors rusé et agile : le genre de cerf qui met à l’épreuve la résistance et l’habileté des chasseurs. Au bout du jour, ces derniers, épuisés, abandonnèrent les uns après les autres la poursuite afin de ne pas rater l’ultime banquet.

    Seul le comte Ralph, obstiné et fier, ne s’avouait pas vaincu et poursuivit le dix-cors qui l’entraîna aux confins de la forêt de la Motte. Il finit par se retrouver au fond d’une vallée sauvage et fraîche où coulait une petite rivière que le comte suivit et qui le conduisit au milieu d'une clairière plantée de grands arbres en quinconce autour d’une petite chapelle.

    Il faisait se désaltérer son destrier à l’eau de la fontaine qui murmurait juste derrière l’édifice quand il perçut des bruits sous les feuillages. Promptement il enfourcha sa monture : il le rapporterait coûte que coûte, son dix-cors, en l’honneur de son futur héritier ! Il était déjà venu à bout d’ennemis bien plus redoutables ! Le cerf remonta le cours du ruisseau et s’enfonça au creux de gorges dont les berges se révélaient difficilement praticables. Des blocs éboulés, venant des escarpements rocheux où semblaient se lover des grottes, rendant le terrain trop pénible aux sabots de son cheval, Ralph mit pied à terre tout en s’extasiant sur la splendeur sauvage de ce coin de forêt que son épouse avait négligé de lui faire découvrir. Il songeait à lui en faire la remarque quand un murmure cristallin attira son attention. Il remarqua des nuées légères s’élevant au milieu d’un bassin de fortune et distingua une ravissante créature qui se baignait en chantant et dansant joliment dans les vapeurs chaudes. C’était un enchantement de la voir ainsi onduler avec souplesse et grâce, et le comte en fut charmé. Aussi, quand la déesse des eaux l’aperçut et l'invita à venir la rejoindre, sans hésitation Ralph se laissa entraîner, ravi, dans le tourbillon des eaux.

    Quand Ralph revint au château, une frange dorée à l’Orient annonçait le lever du soleil. Il expliqua à son épouse en pleurs qu’il avait dû passer la nuit dans la chaumière d’un bûcheron après s’être égaré en suivant son cerf. Seulement, le soir venu, il courait déjà rejoindre en secret l’enchanteresse. Pendant un temps il put s’échapper sans que nul n’en sache rien, mais une nuit Louise fut prise de douleurs et pria ses servantes d’aller quérir son mari et l’on découvrit sa couche vide. Intriguée et inquiète, le soir suivant la comtesse fit le guet et constata les escapades nocturnes de son époux (Pendant sept mois il continua le même manège. La comtesse n'avait pas tarder à s'apercevoir des absences de son mari et des longues songeries qui lui étaient devenues habituelles, selon une autre version : NdT). Elle résolut de le suivre et découvrit son infortune.

    La jalousie l’envahit aussitôt mais elle attendit que la nymphe se retrouve seule pour jaillir et la poignarder en plein cœur. Sa rivale émit un long gémissement tout en la maudissant et s’écroula dans la fontaine avant de disparaître dans les nuées blafardes.

    Satisfaite, la châtelaine regagna promptement sa demeure pour y apprendre avec stupeur que son époux venait d’être découvert sans vie dans sa chambre, une fine blessure à la poitrine. Louise fut au désespoir. Des fièvres ardentes, au cours desquelles elle prétendait qu’une tache rouge l’aveuglait, troublèrent son sommeil et au matin elle accoucha d’un fils, beau comme son père, mais avec une tache rouge au milieu du front. C’était la marque de la malédiction. Celle-ci frappa les héritiers de Ralph et de Louise jusqu’à la septième génération. La naissance d’une fille, à qui la tache fut épargnée, mit fin au mauvais sort.

     

     Cette Alliance Ancienne de l'Aristocratie Nobiliaire avec des Êtres de Nature Surnaturelle est très rependue, l'exemple le plus fameux est celui du Mythique Roi Mérovée dont la Mère et épouse du roi des Francs Saliens Clodion, déjà enceinte, fut séduite par une « bête de Neptune semblable au Quinotaure » [Quinotaure = une Entité Serpentine fluviale ou Anguipède à Cinq Cornes : NdT] alors qu'elle se baignait dans l'océan.

    [NdT : Enceinte une deuxième fois, les deux sangs se mélangèrent pour donner naissance à une nouvelle dynastie dont les membres étaient investis de grands pouvoirs et d'une aura de magie et de surnaturel, caractéristique de la Dynastie des Mérovingiens. cf. Wikipédia]

    Les héritiers de cette « Ancienne Noblesse Hybridée », dite au « Sang Bleu », qu'il faut lire en Langage Blasonné, au « Sang Dieu », autrement-dit au « Sang des (Faux) Dieux », en ont perpétué le souvenir, dans leurs Armoiries Familiales, à l'aide des Figures & des Meubles astucieusement utilisés ou agencés, parmi lesquels l'on peut citer : les Chimères, Lions, Léopards, Aigles, Cygnes, Ailes, Serpents, Lys, Étoiles, Molettes, Croissants, Croix, Molettes, Macles, Anneaux, Chevrons, Pièces Ondées, Dentelées, Denchées ou Engrêlées, Deltas de Sable ou Triangles Noirs, etc. qui sont des indicateurs discrets de leurs « Croisements avec des Non-Humains », & dont ils se réclament pour prétendre régner de « Droit Faussement Divin », compte-tenu de cette Origine pour Partie Surnaturelle.

    Ce Marquage Surnaturel Exogène affleure souvent sur la peau sous la forme de Griffures, de Trois Points Rouges laissées par les Pointes de la Clavicula Nox, ou Trident, dessinant le Triangle de l'Ostie Noire ou Nigrum Ostia utilisée au cours des Messes Noires des Sabbats, qui est aussi la forme des Vaisseaux-Portails-Égrégoriels appelés Triangles Noirs justement Non-Identifiés par les Ovnilogues modernes.

    Le Trident-Triangle fait référence à la Fleur de Lys ou Fer-Trident de Lance avec Pointe et Crochets, le Langon ou javelot des Francs, et au Blason de France & d'Anjou aux Trois Fleurs de Lys des Comtes Angevins Ingelger / Engilger signifiant Nés des Anges / Élohim, ces Fameux Anges-Volants-Non-Identifiés décrits par Maurice Guingand qui s'hybrident volontiers avec les Humains, et qui sont traditionnellement représentés par les  Anges / Lys = Étoiles / Lys, sans nombre, au Semé de France.

    [Cf. : Sur la piste des anges non identifiés - Maurice Guingand – 1976 : NdT]

    Cette Ascendance Surnaturelle des Comtes d’Anjou est une carte maitresse du Pouvoir comme l’affirmait Richard Cœur de Lion qui était Roi d’Angleterre, Duc de Normandie, Comte d’Anjou, du Maine et de Touraine et qui le faisait Savoir avec sa Devise : « Du diable nous venons et au diable nous retournons ! ».

    Cette prétention d'appartenir à une « Espèce Supérieure » ou d'ambitionner de la créer, par « Hybridation Dirigée & Programmée », est malsaine et très dangereuse, car elle ouvre les portes aux pires Idéologies Criminelles, et contredit le libre développement que garantit la diversité de la Vie.

    C'est pourtant, actuellement le discours aberrant et dominant des pseudos « Entités Aliens », relayé par les Abductés Ufologiques, et que proposaient déjà les Récits devenus Mythiques ou Légendaires, des Alliances Matrimoniales des Humains avec les « Anciens Dieux » ou avec les Peuples des « Petites Gens ou Petit Peuple », dont les Contes ont fait des Fées ou des Lutins.

    Derrière ces « Faux Dieux » et ces « Petites Gens », se dissimule une Espèce d'Aliens Poly-Métamorphiques, de nature Non-Biologique & d'essence Fluidique ou Énergétique qui parasitent Corporellement, Psychiquement & Spirituellement l'Humanité depuis des Temps Immémoriaux.

    Leur Présence Permanente, sur toute la surface de la Terre & leurs Ingérences Récurrentes, à toutes les époques, et sous des Apparences Diverses, puisque Adaptées à chaque Âge de l'Humanité, et à chaque Culture, leur procure un avantage considérable, pour mieux Instrumentaliser efficacement les Humains.

    Ces Poly-Métamorphes se sont « Sédentarisés » sur Terre comme sur de nombreuses autres Planètes, avec l'aide des « Planètériens Indigènes » qu'ils réussissent à Contrôler et qui leur libèrent,  ou leur aménagent, des Territoires, où ils peuvent pratiquer aisément leurs Prédations.

    Ces nombreux sites se rencontrent partout, par exemple en Provence, avec celui du Col de Vence, qui intrigue tant les Ufologues qui l'ont investigué, en Bretagne avec celui de la Forêt d'Huelgoat, ou par exemple en Normandie, le Fief de la Dame Blanche de la Queurie, à La Courbe dans l'Orne, dont la légende significative, est révélatrice de cette « Sédentarisation », confirmée par la présence d'un « Castrum Templum », identifié à un Camp Fortifié Préhistorique, dit Logis ou Château, entre les lieux-dits, 1 : Le Haut du Château et 2 : Le Bas du Château.

     

    Voici, pour l'illustrer, deux différentes versions de cette Légende, qui confirme ce Type d'appropriation des lieux, par cette Espèce d'Aliens Poly-Métamorphiques qui Colonise notre Terre ! :

     

     Le Manoir de La Queurie (61) - Normandie - France

     

    [Crédit Photo : Ufo-Génpi]

     

    1/ La légende du Manoir de la Queurie

    Le Manoir de la Queurie est situé presque sur les bords de l’Orne et au pied de l’église de la paroisse de La Courbe (61).

    La Queurie devrait son nom et sa construction à une famille Le Queux ou Le Queu. Elle avait sa légende.

    [Le Patronyme : Le Queu ou Le Queux  fait référence au latin coquus  (coquo) = cuisinier, cuire, ou celui « qui » prépare le repas comme un Maître Queux, ou comme les Sorcières, dont l'attribut traditionnel est le Chaudron parce qu'elles sont sans pareille pour assaisonner la Recette de l'Onguent, confectionné à partir de la graisse des Enfants-Morts-Nés, permettant aux Sorciers de s'envoler pour le Sabbat. : NdT]

     

     

    La Dame de la Queurie

     

    On contait que lors de la délivrance d’une Dame de la famille Le Queu l’enfant - c’était une fille - qui disparut, tout à coup, la nuit même de sa naissance, en s’envolant par la fenêtre sur l’appui de laquelle elle laissa l’empreinte de son pied. Depuis, on n’entendit plus parler d’elle, jusqu’au moment où ses frères se partagèrent l’héritage paternel.

    Au moment où ils étaient réunis pour procéder à la « choisie » des lots, une voix se fit entendre. La fée – c’en était une – réclamait sa part. Saisis de frayeur les frères lui abandonnèrent les manoirs de la Queurie, de Giel, et de Crévecoeur avec leurs circonstances et leurs dépendances. L’héritière aussi étrange qu’inattendue se déclara satisfaite.

    On ne dit pas comment elle administra ses biens. On sait seulement que le meunier du moulin seigneurial de la Queurie était obligé de porter chaque semaine une chaudronnée de bouillie dans le creux d’un frêne qui se trouvait dans le bois. S’il y manquait il était outrageusement tourmenté et battu par ses mains invisibles. De plus la fée se montrait très jalouse des bois. Si quelque paysan se permettait la moindre bûche sur le domaine sans en avoir humblement demandé la permission à la Dame Blanche de la Queurie, il était roué de coups la nuit suivante.

    La fée, à part cela, se montrait assez bonne fille. On la voyait de temps à autre, au crépuscule, se promener le long du bois et il arrivait parfois qu’elle sautât en croupe sur le cheval d’un voyageur attardé et qu’elle l’accompagnât sans souffler mot jusqu’au bout du domaine. S’il se montrait discret et sage la mystérieuse sylphide le remerciait gracieusement en le quittant. Mais si, surmontant sa légitime frayeur et émoustillé par cette belle jeune femme dont le bras enlaçait sa taille, il se permettait la plus légère liberté il était souffleté de main de fée.

    Avec le temps le charme fut rompu et la fée disparut.

    Une autre diablerie existait au manoir de la Queurie, c’était un trou dans la toiture qu’on ne parvenait pas à boucher. Les couvreurs qui se risquaient à tenter l’aventure étaient secoués par des mains invisibles, leurs échelles se détachaient, les tuiles ou ardoises s’envolaient et la « brèche au diable », comme on l’appelait, restait toujours à l’état de trou béant rendant une partie du manoir inhabitable. Il fallut attendre le début du XIXe siècle pour vaincre l’esprit malin.

    2/ La légende du Manoir de la Queurie

     « Il y a longtemps, bien longtemps, les terrains qui forment la commune actuelle de La Courbe appartenaient à une dame bien riche et fort puissante. Cette dame étant venue à mourir, ses enfants se réunirent dans l’habitation de la défunte et commencèrent le partage des biens. Le partage était presque terminé lorsque tout à coup on vit apparaître une belle dame tout habillée de blanc. C’était la fée.

    Je suis, dit-elle, la fille aînée de notre maison et je vois que vous ne m’avez pas réservé ma part dans l’héritage maternel : je veux, dans mon lot ; les bois et le moulin de la Queurie.

    Mademoiselle, reprirent les frères et sœurs, votre demande est juste. En qualité d’aînée vous avez le droit de choisir votre lot ; prenez donc ce que vous désirez.

    Aussitôt la fée disparut et retourna habiter ses bois favoris. Peu de temps après, elle loua son moulin à un brave homme du voisinage, moyennant une redevance journalière d’une chaudronnée de bouillie.

    Cette bouillie devait lui être portée chaque jour dans le creux d’un chêne voisin de son habitation. Si le meunier, oublieux de ses engagements ou trop pressé par la besogne, négligeait de porter la fameuse bouillie à l’endroit indiqué, avant le coucher du soleil, aussitôt la farine se transformait en un terreau noirâtre : c’était là un avertissement.

    La fée tenait beaucoup à sa propriété, mais elle était bonne personne ; aussi quand un voyageur voulait traverser ses bois, pour éviter de longs détours, il pouvait passer sans encombre ; un bûcheron voulait-il couper un peu de bois pour se chauffer avec ses enfants pendant l’hiver, il n’avait qu’à se présenter à l’entrée du bois et dire : Mademoiselle, voulez-vous me permettre de couper du bois ? et il pouvait couper, couper toute la journée, tout était pour lui. Mais si un bûcheron voulait amasser quelque fagot de bois sans sa permission, alors la fée était impitoyable : c’était à grands coups de bâtons qu’elle chassait le malheureux, de ses propriétés.

    On dit qu’elle se montrait parfois à ses protégés sous la forme d’une grande dame habillée de blanc, ayant toujours les mains froides ou plutôt glacées, comme les mains d’une morte, souvent aussi elle montait en croupe derrière les cavaliers qui traversaient la propriété et ne les quittait qu’à la limite de ses bois ».

    Depuis bien longtemps on ne l’a revue dans le pays.

    [cf.:http://mairielacourbe.unblog.fr/category/lhistorique-de-la-commune/le-manoir-de-la-queurie/ : NdT]

     

     

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