• Athis-de-l'Orne (61)

     

    Normandie - France - Ovnis

    Athis-de-l'Orne (61) 

     

    Mise à jour de la carte le 16/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    [Athis-de-l'Orne/habitants  :  3 739 (48.7 hab/km2) en 1968 - 4 066 (53.0 hab/km2) en 1999 - 4 217 (55.0 hab/km2) en 2019 - Commune rurale peu ou très peu dense et au climat océanique franc - Superficie : 76.74 km2]

     

    Athis-de-l'Orne (61) 

     L'Ascendance des Volatiles
     
    • D'argent aux deux chevrons de sable accompagnés de trois canettes du même.
     
     

     

    Athis-de-l'Orne (Athis-Val-de-Rouvre) - Le Buat - Le Cercle d’Émeraude (61) - début des années 2000 (à 02 reprises avril et décembre)

     

     

    Observation une première fois durant 03 h d’une sphère lumineuse qui stationnait apparemment fixe dans le ciel (avec un déplacement infime)  au-dessus du site, de nuit, et qui a été filmée avec un téléphone portable au Buat (Typhene C.), à côté du Pont-Grat, à la librairie Pub du Cercle d’Émeraude de Mr. Thierry Châtillon. Plusieurs Témoins. Source : Ufo-Génpi.

     

    Athis-de-l'Orne (61) - 28/07/1994 - en soirée

     

     

    Demeure Philosophale

     

     De gueules, à une tête humaine d'argent le poil levé d'or.

     

    [Nicolas de Pellevé, Ier Comte de Flers (61) - 1598, apparenté aux Grosparmy (de l'Ecole Alchimique Normande), Seigneur de Condé-sur-Noireau (14), dont les Armes Parlante au Poil/Poêle (d'or)-Levé, pour le Pain-levé de l'or, autrement-dit, le Pain/Pâte de la Pierre Philosophale, cuit(e) au four-athanor des alchimistes, en leur Demeure Philosophale du Buat (du Lavoir/Lavure Alchimique) de la Vallée de la Vère, entre Athis-de-l'Orne, Flers et Condé-sur-Noireau - Bellator]

     

    L'Ecole Alchimique Normande

     

    Comme celles de Carcagny, de Fontaine-Etoupefour (où l'on retrouva dans les douves des fioles, pleines de poudre de projection), les Demeures Philosophales de Caen, Hôtel d'Escoville, Hôtel de Than, la Maison des Quatre Ans, la Manoir de la Tour des Gens d'Armes, la Maison Osmond du boulevard Leroy, etc. témoignent encore de la présence du cercle des alchimistes que fréquentaient, en leur temps, Fulcanelli, Canseliet, Champagne.

    Fait intéressant la Normandie, et en particulier la ville de Flers, qu’une des traductions du Traité d’Artefius, intitulé : Clavis majoris sapientiœ est due à un gentilhomme normand, seigneur et baron de Flers au XVIème siècle, Nicolas de Grosparmy, et a passé pour une œuvre originale.

    Le seigneur de Flers ne se livrait pas seul à la pratique du grand-œuvre ; il avait deux associés : l’un était un autre gentilhomme bien connu dans les annales de la ville de Caen, il se nommait Nicolas Le Valois ; les documents que je vais citer disent de Valois, évidement dans le but de donner un cachet plus nobiliaire à ce nom déjà fort noble. Le second était un prêtre du nom de Vicot, qui s’intitule le serviteur de ses deux associés.

    M. Chevreul est possesseur de plusieurs manuscrits dont il a fait l’analyse : l’un est attribué par lui à de Crosparmy, les autres contiennent les élucubrations des deux associés. Il est prouvé par le travail du savant chimiste que ces œuvres ne sont que des traductions plus ou moins libres du Clavis majoris sapientiœ.


    Le manuscrit du seigneur de Flers porte le titre :

     

    GROPARMIS  SEIGNEUR  DE  FLERS.

    Ensuite la copie d’un manuscrit fait par M. de Gros Parmy (sic), seigneur et baron de Flers, et ayant acquis la dite baronnie et fait construire le chasteau du dit lieu.


    Lequel manuscrit contient théorie et pratique, et en dit autant que tous les autres livres ; néanmoins qu’il soit bien couvert, toute l’œuvre y est contenue ; estant bien entendu ; ce qui se peut faire par le moien des autres livres cités au présent.


    Au nom du grand Dieu Trin, un qui a créé toutes choses de rien, qui vit et règne sans commencement et sans fin. 


    A tous féaus disciples de philosophie naturelle.

    Sçachant tous que je Nicolas Grosparmy, natif du pays de Normandie, par la volonté de Dieu, allant par le monde de région en région, depuis l’aage de douze ans jusques à l’aage de vingt-huict ans : cherchant et désirant sçavoir l’art d’alchymie qui est la plus subtille partie de philosophie naturelle qui traitte et enseigne de la très-parfaite transmutation des métaux et des pierres précieuses ; et comme tout corps malade peut être ramené et réduit en santé. Le dit temps durant, ay enquis comme l’un des métaux se peut transmuter en l’espèce de l’autre et en ce faisant, ay soutenu moult de peines et de dépences, injures et reproches ; et en ay abandonné la communication du monde et la plus part de ceux qui se disoient mes meilleurs amis, pour ce qu’ils m’avoient en dédain, moy estant en nécessité, en me voulant détourner de l’inquisition du dit art pour ce qu’il leur sembloit que je m’y occupois, et que je détournois de mes autres affaires, et pour a celle chose parvenir, ay quis et esté avec maint compagnon cherchant le dit art comme je faisois, cuidant le trouver par leur moien ; et pour avoir amitié et entrée avec eux, me suis fait leur serviteur, et ay soutenu la plus part de la peine de leurs ouvrages et ay veu et estudié plusieurs livres auxquels la science est contenue en deux manières, l’une fauce, l’autre vraie.

    Que Grosparmy fit la maison des comtes de Flers, en Basse-Normandie, très illustre et très riche, et que l’original de tous ses écrits est entre les mains du comte de Flers, lesquels il tient si chers, et avec raison, qu’il se les cache à luy mesme.

    Ils étaient trois, qui ont possédé l’œuvre , M. de Grosparmy, trisaïeul de M. le comte de Flers, Nicolas Valois, son amy, Pierre Vitcoq ou Vicot, son chaplain.

    Le comte de Flers dont il est ici question, comme arrière-petit-fils de Nicolas de Grosparmy, était Louis de Pellevé, qui après avoir eu une superbe position, mourut dans la détresse en 1660, sans doute toujours en possession du précieux manuscrit, qui ne lui apprit point à faire l’or dont il avait grand besoin.

     M. de Valois, de la maison d’Escoville, a composé cinq livres reliés en un même volume, où il y a au commencement une grande figure ronde enlumunée, et deux fourneaux admirables, de M. de Grosparmy, par le moien des registres duquel on peu éclore les œufs et fondre l’or, lequel livre il faisoit en forme de testament à son fils, le petit chevalier.

    Nicolas de Valois, second amy et compagnon de science et de possession de l’élixir, a basti une maison très splendide à Caen et a laissé quatre terres nobles à ses successeurs, dont l’aîné porte le nom de sieur d’Escoville-Valois, grand seigneur en Normandie, près de la ville de Caen.

    Les quatre terres que M. de Valois avait acquises, il les a basties magnifiquement ; chaque bastiment ne se feroit pas pour cinquante mille escus ; dans l’une, il y a une chapelle, où tous les hiéroglyphes de l’œuvre sont représentés. Il avait épousé, en premières noces une dame Hennquin, qui, par son contract de mariage, ne devoit remporter de douaire que quinze cents livres ; mais le douaire de la seconde femme a esté de plus de vingt mille livres.

    Il a de plus composé un livre très-excellent et très-rare, traittant de la philosophie hermétique, tout plein de figures hiéroglyphiques, lequel est intitulé : Hebdomas hebdomadum cabalistarum magorum bracmanorum antiquorumque omnium philosophorum impteriœ continens.

    Ce personnage a justement acquis une grande célébrité dans la ville de Caen, par la construction de l’hôtel situé place St-Pierre, qui fait encore l’ornement de la cité ; cet édifice, après avoir passé par succession à la famille de Touchet, qui le tenait du poète latin Moysant de Brieux, fut acheté par la ville en 1733, pour en faire un hôtel-de-ville, et, de nos jours, devint l’hôtel de la Bourse.

    Tous les auteurs qui ont écrit sur Caen ont célébré cette somptueuse demeure. De Bras nous apprend quelques particularités sur sa construction.

    Il raconte que, vers l’an 1537, alors que les imaginations étaient encore fort excitées par la quantité de métaux précieux apportés à la suite de la découverte du Nouveau-Monde.

    M. Chevreul cite un écrit de ce personnage, intercalé dans le volume manuscrit attribué à Nicolas de Grosparmy, intitulé :   Recueil par extrait de quelques philosophes adeptes, par ordre alphabétique, où sont reportez (sic) quelques-uns de leurs passages, avec quelques traits de leur vie, par messire Jean Vauquelin, chevalier seigneur et patron des Yveteaux (1700).


    Personne ne pouvait être plus à même de connaître les particularités historiques sur les associés que ce normand.


    M. des Yveteaux, à l’article Valois, dit que :   Celui-ci acheva le grand œuvre en la ville de Caen, où les hiéroglyphes de la maison qu’il y fit bâtir et que l’on y voit encore en la place St.-Pierre , vis-à-vis de la grande église de ce nom, font foy de sa science .


    On se rappelle que ce personnage avait fait graver les hiéroglyphes de l’œuvre dans une chapelle de l’une de ses terres.


    M. Choisy, dans sa charmante description du château et des jardins des Yveteaux, lue à la session de 1864 de l’Association normande, tenue à Falaise, dit de Jean Vauquelin :

    C’était un homme d’étude. Il avait, dans son château, un vaste et riche laboratoire de chimie, science sur laquelle il aurait composé quelques ouvrages. À certaines expressions grosses de mystères, et en grand honneur chez les alchimistes, il est de plus fort à croire qu’il a été adepte des passionnantes chimères du grand œuvre. Source : Alchimie Pratique - Bellator.

     

    Les Templiers à Condé-sur-Noireau

     

    Domaine du Temple de Condé-sur-Noireau

     

    Le domaine du Temple de Condé-sur-Noireau

     

    C'est une ancienne tradition à Condé qu'il y avait des Templiers dans la maison du Sieur le Fournier, Avocat, située à l'orient de la rue du vieux Château, à seize toises environ de la partie méridionale du Pont, et que leur Ordre ayant été détruit l'an 1312 sous le règne de Philippe le Bel, Roi de France, leur revenu fut donné à l'Hôtel-Dieu, dont le Prieur ne dépend que de Saint-jean de Jérusalem, pour y établir des Prêtres qui dévoient acquitter les Fondations des Templiers et jouir d'une partie de leurs prérogatives. Source : Templiers.net.

      

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

     

     

    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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