• Beaumont-Hague (50)

     

    Normandie - France - Ovnis

    Beaumont-Hague (50)

     

    Mise à jour de la carte le 02/06/2023

     

    [Beaumont-Hague/habitants : 6 044 (40.7 hab/km2) en 1968 - 11 173 (75.01 hab/km2) en 2019 - Commune rurale peu ou très peu dense - Superficie : 7.90 km2 - Climat océanique franc]

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    Beaumont (50)

     

    Le Champ Clos du Jarl

     

    D'azur au chevron d'argent chargé de trois merlettes du champ, celles en pointe affrontées, et accompagné de trois trèfles d'or.

     

    Beaumont-Hague (50) - fin 1975 - vers 03 h

     

     

    [Fin de l'année 1975, un Engin Ovoïde Volant Non-Identifié muni de Hublots a stationné au-dessus de l'Usine Nucléaire de Cherbourg ce qui est le plus ancien cas connu de la connexion Ovni/Nucléaire en France Métropolitaine avec celui de 1973 de la Hague (50) :

      CHERBOURG (Fin 1975). Samedi vers trois heures, alors qu'il travaillait à sa fournée de pain et jetait un coup d’œil par une fenêtre de l'atelier, M. Roger Baudry, 44 ans, boulanger à Beaumont-Hague (Manche) n'en crut pas ses yeux

    Au-dessus de l'usine de fabrication de plutonium, destiné aux têtes chercheuses des missiles armant les sous-marins à propulsion nucléaire de la force de dissuasion nationale, se tenait, immobile, un " ovni " rougeoyant, ayant la forme d'une montgolfière, muni de hublots aux couleurs changeantes.

    Fort intrigué et surpris par ce " spectacle ", M. Baudry, croyant être l'objet d'une illusion d'optique, appela son employé, M. Jean-Paul Hirard, 20 ans, et sortit de son lit son épouse pour venir regarder cette troublante apparition.

    Ces trois personnes, après avoir observé le phénomène, en ont conclu qu'il s'agissait d'une apparition de soucoupe volante et en ont informé la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

    L'ovni , après être resté immobile pendant dix minutes, est parti à grande vitesse vers le Nord-Est.

    Il y a deux ans (1973), un autre ovni volant au-dessus du C.E.A. de La Hague avait été aperçu par trois pêcheurs à pied de Barneville-Carteret. Quelques jours après, la gendarmerie maritime enquêtait sur des combinaisons anti-radioactives qui avaient été retrouvées sur la plage. - A.P.]

    03 Témoins. Sources : Journal belge Le Peuple, La Meuse ou La dernière Heure - https://www.forum-ovni-ufologie.com/t12848-ovni-au-dessus-d-une-centrale-nucleaire-cherbourg]

     

    La Demoiselle de Gruchy

     

    La demoiselle de Gruchy est une jeune fille qui sait prendre l'apparence de toutes sortes d'animaux. On peut la rencontrer en belette, gros chien ou levrette, toujours impitoyable et cruelle.

    Elle attire les jeunes hommes chez elle et une fois lassée, elle les transforme en animaux ou en plantes. Sans pitié envers ceux qui lui résistent, elle les éventre et fait sécher leurs intestins sur les haies d'aubépine.

    Son pouvoir lui vient, dit-on, d’une peau magique ou d’une grossière en crin ou en poil de chèvre. Ce talisman la rend invincible. Un matin , surprise au lit, elle ne peut revêtir son talisman et se laisse arrêter sans résistance. Gruchy est un hameau de Gréville-Hague (50). Source : Wikimanche.

     

    Les Goubelins et les Lutins

     

    Le goublin du Fal-Ferrand, à Gréville (50), apparaissait ordinairement sous la forme d'un lièvre familier. Il venait se chauffer au feu pendant qu'on cuisait le soir la chaudronnée de pommes de terre. Il assistait à la fabrication du pain, et, à chaque cuisson, on lui faisait une galette qu'on lui mettait en dehors de la fenêtre. Si l'on l'oubliait, on en avait pour quinze jours de tapage dans la maison. Ceci se passait il y a environ soixante ans.

    Le lutin du fort d'Omonville-la-Rogue (50) était encore plus familier, mais il était aussi plus espiègle.

    C'était parfois un mouton blanc; d'autrefois [sic] un petit chien qui se couchait sur la jupe de la jeune fille de la maison et se faisait traîner. La nuit, on l'entendait tourner le rouet, laver la vaisselle. Dans la cour, c'était souvent un veau que l'on voyait apparaître à l'improviste.

    D'autres fois, c'était un lièvre qui s'amusait tout à coup à partir au galop avec du feu sous le ventre. Parfois c'était un gros chien noir qui faisait sa ronde le soir en grondant. La jeune fille s'était prise d'amitié pour lui ; il s'amusait à lui jouer toutes sortes de tours plaisants. Elle voyait à terre un peloton de fil, par exemple, elle le ramassait en se reprochant sa négligence; tout à coup le peloton de fil éclatait de rire dans ses mains et sautait à terre.

    C'était le goublin qui s'ébattait. Chez les Fleury de Jobourg, le goublin prenait ordinairement la forme d'un lièvre familier qui se laissait caresser comme un chat. Source : Wikimanche.

    La Demoiselle de Tonneville

     

    De nos jours, on trouve sur les cartes le nom d'un lieu-dit proche du bourg de Tonneville (50), L'Étang de Percy. Aujourd'hui asséché, le terrain aurait longtemps accueilli un étang, au milieu des landes qui couvraient une commune non encore urbanisée, à l'habitat dispersé. Et selon une légende locale, ce plan d'eau aurait été l'ultime sépulture de plusieurs voyageurs perdus, jetés là par les maléfices d'une Dame Blanche. 

    Ce fantôme serait celui d'une noble du XIIIe siècle, Blanche de Percy, aussi belle que dominatrice. Seule héritière des terres à la mort de ses parents, elle vit seule, éconduisant tout prétendant, et étudie la magie noire. Lorsque la possession d'une lande est contestée entre la paroisse de Tonneville et celle de Flottemanville, la châtelaine la réclame, déclarant : « Si, après ma mort, j'avais un pied dans le ciel, et l'autre dans l'enfer, je retirerais le premier pour avoir toute la lande à moi. »

    A l'heure de sa mort, elle refuse les sacrements du prêtre et ne rétracte pas ses mots quant à la possession de la lande. Et, lors de son enterrement, le cercueil devient si lourd, qu'il est impossible de le sortir, malgré tous les efforts faits, au point qu'on décide de l'inhumer à l'endroit même, à l'entrée de la cour. Depuis, en accord avec sa déclaration, elle hante la lande et s'attaque aux promeneurs nocturnes.

    Et lorsqu'en 1949, on a fait des travaux à l'emplacement du manoir démoli, on a retrouvé une tombe sans inscription, sous le seuil du pressoir, là où la légende situe depuis plusieurs siècles, la sépulture de la demoiselle de Tonneville. 

    Avec le développement de l'automobile, les légendes d'autostoppeuse fantomatiques se sont multipliées le long des routes normandes.

    Si vous voyagez dans ces parages isolés, un soir d’automne sans lune, après une rude journée, quelque peu fatigué ou la tête un peu lourde, après un repas bien arrosé et que vous apercevez la Dame Blanche, ne vous laissez pas tenter, passez votre chemin même si votre « bon cœur » vous incite à recueillir cette créature énigmatique et mystérieuse près de vous, ne vous arrêtez pas, l’aventure serait trop risquée ,à moins que vous ne vouliez vraiment connaître le fin mot de cette légende qui remonte aux temps les plus lointains. Source : Wikimanche.

     

    Tumili et Menhirs et Pierres Tournantes (Toc et Toquillon) de la Hague

     

     


    En 1962, les premiers travaux de construction du centre de retraitement des déchets nucléaires de la Hague a nécessité la fouille du groupe d’une dizaine de tumuli sur la lande de Jobourg, signalés ci-dessus par De Gerville au début du XIXe siècle et probablement « fouillés » par lui.   En fait, il en existait encore 10 en novembre 1961, trois d’entre eux fortement ébranlés par l’occupant allemand, trois autres fouillés antérieurement, les trois derniers apparemment intacts. Les diamètres de ces tumuli variaient de 9 à 17 m et leur hauteur de 0,3 à 2,10 m.   

     

    Un seul tumulus put être fouillé entre novembre 1961 et mars 1962, le mauvais temps ne laissant aux fouilleurs que…13 jours. C’est R. Lemière, directeur de la Société Nationale des Sciences de Cherbourg, qui mena ces fouilles et en publia un rapport (comprenant un plan) le 19 septembre 1962, en collaboration avec M. Bogard.. Les conclusions de ce rapport mettaient en relief l’existence de fossés et de talus antérieurs à ces tumuli (un camp protohistorique assez vaste existait entre Jobourg et le Hague-Dick), et confirmaient la datation dont nous parlions ci-dessus.  rès peu de matériel (essentiellement des éclats de silex) fut collecté. La structure interne laissait apparaitre des murettes dont le rôle n’a pu être clairement établi. Il ne fallut pas plus de quelques minutes aux bulldozers pour rayer de la carte ces témoins vieux de près de 3000 ans.

    Ces structures sont tout-à-fait comparables aux tumulus bretons, datés du Bronze ancien, encore que leur richesse soit moindre (rareté du matériel lithique, pauvreté des structures internes, absence d’armes susceptibles d’être examinés…) mais encore aurait-il fallu des fouilles complètes et plus nombreuses pour réellement pouvoir comparer. Pour les spécialistes, les tumuli bretons, normands, anglais forment un ensemble cohérent. Source : Les Mégalithes de la Manche.

     

     

    L'Invasion des Profanateurs de Sépultures

     

    Selon une légende urbaine, la profanation des sites mortuaires préhistoriques de la Hague-Beaumont et de Flammanville, par l'implantation des usines nucléaires, serait la raison de la malédiction qui frapperait la France, depuis les années 1960, et à l'origine du déclin de sa civilisation et de la perte de son rayonnement spirituel dans le Monde. Source : Ufo-Génpi.

     

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.

      

     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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