• Ces Ovnis qui nous Chassent - 2

     

    Sainte - Marguerite - sur - Duclair (76) - 19/11/2011 

    07 h 15 / 08 h

     

    Le samedi matin, Mr. Fabrice Bertin, se positionne comme à son habitude sur son balcon à l’étage pour observer les oiseaux le matin à o7 h 30, avec ses jumelles.

    Il situera la durée initiale de son observation entre o7 h 30 et 08 h, donc 30 minutes, en face de sa maison au dessus de la forêt, direction Nord-Est sur le premier croquis.

    En face de son balcon à o7 h 30 il a pu observer « 5 ovnis de forme triangulaire en V comme un avion de chasse, avec un fuselage plus « gros » de couleur noire. Ils feront du sur place puis allaient et venaient lentement sans bruit. Une grosse lumière à l’arrière quand ils ont tourné. Ils sont restés pendant plusieurs minutes au même endroit en faisant des aller-retour comme en cercle puis montant et descendant (il : avion ne peut faire ça). « Son observation avec une paire de jumelles était bien réelle, il est certain d’avoir bien vu les 5 ovnis.

    Durée du phénomène estimée à 15 minutes. Il a bien distingué une forme précise : forme en V.

    Il n’a pas remarqué de variations d’aspect, par contre des variations de couleur : une lumière orangée l’arrière de l’Ovni.

    Ses dimensions apparentes : large, plus gros qu’un avion de chasse.

    Mouvements observées : Aller/Retour en cercle/ Montée et descente

    Direction d’où il est apparu : direction Sud.

    Direction où il a disparu : Sud

    Hauteur apparente : 500 mètres.

    Distance estimée : 800 mètres à vue. Vus de plus près même très près avec les jumelles.

    Pas de bruits des objets, il a observé que les vaches du champ d’à côté étaient agitées.

    Temps/Météo : Ciel très beau et dégagé.

    Visibilité : très bien vu de très très près avec sa paire de jumelles, sur son balcon de sa maison, donc à l’extérieur.

    Situation : Observait les oiseaux, s’est rendu compte du phénomène en regardant le ciel, sur le coup a pensé à des avions. Il a observé le phénomène du début jusqu’à la fin, et ses objets.

    Terminé à la disparition des objets.

    Mr. Fabrice Bertin a fait le croquis d’un objet en triangle noir avec une lumière orange à l’arrière, et une petite sphère lumineuse dans le ciel sur la droite.

    Depuis sa terrasse, au RDC,  à l’extérieur, il a observé des boules blanches qui traversaient le ciel le matin vers 07 h 40, direction Nord-Nord-Est. Il a essayé de filmer et photographier mais c’était impossible, il ne voyait rien dans l’objectif, c’était trop sombre.

    Il a vu des triangles au dessus du Bourg, côté opposé à la forêt. Il a aussi vu une sorte de « cargo » au dessus de ces triangles plus haut.

    Il a noté une lueur orange à l’arrière des objets qui semblait leur donner une impulsion.

    Il était là sans être là, comme une sensation de flottement au niveau temps, une sorte de temps manquant en quelque sorte.

    Aussi, une forte d’odeur d’ammoniaque pendant beaucoup de temps après son observation.

    Il entendait des vibrations dans sa tête comme des bourdonnements la nuit, il dormait mal pendant longtemps depuis. Il sentait selon lui « qu’ils étaient là » au dessus de la maison.

    Il avait mal dans le cou depuis, des marques rouges sur la nuque et une sensation de froid permanente. Il supporte mal les bruits, même ceux de son horloge dans sa salle.

    Pendant l’observation sur son balcon, l’attention du témoin était plus portée sur les triangles que sur le fameux « cargo ». Le cargo était un peu comme un porte-avion volant, un avion cargo de l’armée, pas de lumière, de couleur grise.

    Les triangles tournaient presque à l’arrêt très lentement, comme si ils s’attendaient dans un mouvement circulaire de type farandole.

    La seule luminosité du phénomène était les lueurs intenses orange à l’arrière des triangles. Pas de halo ni rayonnement, pas de tracé ni de flammes.

    Le témoin a perçu comme des picotements, des fourmis et un froid permanent depuis.

    Fin de l’observation : Quand la boule lumineuse qui était à proximité des triangles a filé à grande vitesse, les autres engins ont fait pareil et disparu, les triangles et le cargo !

    Comment son attention a-t-elle été captée : il voulait regarder les oiseaux.

    Emotion particulière : il avait la sensation qu’il fallait qu’il soit là, sentiment de joie, de paix pendant l’observation.

    Il n’était distrait par rien pendant l’observation, d’ailleurs le temps s’est un peu perdu, il croyait à 15 minutes au début, ça a pu être beaucoup plus, voire 1 heure ou plus.

    A quoi pensait-il avant : qu’il voulait voir ça.

    A quoi pensait-il pendant : il était content qu’ils soient là.

    A quoi pensait-il après : déçu quand ils sont partis et que sa femme ne soit pas avec lui, également qu’il n’ait pas pu les photographier ou filmer. Il n’a pas eu le réflexe.

    Il n’a même pas pu quitter le phénomène un seul instant.

    Qu’a-t-il appris : qu’il y avait une intelligence venant du phénomène.

    Il est ressorti dehors la nuit souvent depuis pour essayer de les revoir.

    Le balcon est son endroit habituel, il y est tous les matins.

    Avant l’observation, il n’avait pas parlé du phénomène.

    Sa croyance religieuse : Chrétien baptisé.

    Enfance heureuse, dans la région, parents de Oissel près de Rouen.

    Son père lui avait parlé d’observations d’OVNIs sur Le Havre le mois dernier.

    Il ne lit pas, il est plus visuel. Il ne suit pas de traitement médical. Il accepte les idées différentes des siennes facilement.

    Il n’est pas superstitieux, a un tempérament soucieux, anxieux, n’est pas une personne décontractée. Ses loisirs sont la musique, c’est une personne intuitive.

    L’observation s’est faite par ciel bleu dégagé et sans vent, elle n’était pas due au hasard pense-t-il.

    Il ne tente pas d’imposer ses idées. Il n’était fatigué au moment de l’observation, il s’était levé 30 mn en pleine forme 30 minutes avant. Après l’observation? oui il était fatigué.

    A quelle époque aimerait-il vivre ? Il répond « le futur » comme eux.

    Ses qualités : sincérité, honnêteté, douceur.

    Les défauts qu’il accepte mal chez les autres : la violence, le mensonge.

    Il croit à d’autres formes de vies dans l’univers.

    Pourquoi ? Il répond qu’ils ont une technologie plus intelligente que nous, « ces gens sont plus évolués que nous ».

    Il est une personne plus volontaire que passive.

    Il était intéressé par le phénomène Ovni avant. Il croit à une autre vie après la mort, que la notion de bien et de mal existe.

    Les choses les + importantes pour lui : la famille, l’amour et l’amitié.

    Type d’état d’esprit : individualiste.

    Il y a eu déjà un témoin dans sa famille. Sa tante (sœur de son père) Ginette à Petit Couronne, il y a des années, avait vu un OVNI.

    Le témoin croit depuis longtemps qu’on est pas seuls dans l’univers. Il se sent depuis toujours un peu à part des autres.

    Il a des dons prémonitoires depuis tout petit, ce qui dérange son entourage familial.

    Quant à ses dons de médium : il ne faut pas trop en parler dans sa famille.

    Il est entré en contact avec le phénomène, selon lui il est resté en contact depuis. Il en a parlé seulement à son père, sa mère, sa femme et sa fille.

    Il voudrait bien revivre ces moments, est prêt à faire des radios ou un IRM pour détecter un implant potentiel.

    Il était seul comme témoin, son épouse était dans la maison, même si il nous dira plus tard que son épouse a vaguement vu une lumière au loin, mais ne souhaitait pas en parler.

    Retour sur son témoignage et celui de sa femme qui était présente le 19 novembre même si elle n'a pas observé les triangles.

    Selon lui tout a démarré vers 07 h 15, sa femme est partie au travail à 08 h 40, elle déjeunait et devait partir. Il l’a appelé à 08 h 15 pour venir voir sur le balcon. Elle a regardé dans la jumelle et a vu une lumière. Elle nous a dit au début que ça ne l’intéressait pas, elle n’a rien vu, elle n’est pas réfractaire, voudrait bien en voir.

    Elle verra une soucoupe du côté terrasse extérieure dans le ciel, côté Ouest - Nord / Ouest. Au lever du jour, probablement le mardi 6 décembre 2011, ils estiment, Mr. Bertin en balayant le sol, elle a vu un disque dans le ciel. Il faisait 5 mm à bout de bras, il a fait un tour et a disparu. Pour Mr. Bertin, il était jaune pâle, pour elle il était blanc. Il l’a appelé du salon, elle est descendu de l’étage et a pu l’observer, elle n’allait pas si vite que ça. Mr. Bertin avait dit 02 mn, mais on a chronométré son observation en la revivant avec lui, quand il regardait le ciel avec ses jumelles de sa salle à manger, elle faisait 25 secondes environ.

    Il voit des objets encore aujourd’hui (décembre 2011) de type étoiles, au niveau des étoiles justement : fixes d’abord et disparition rapide, dématérialisation ou des fois se déplacent en zig-zag, de couleurs rouges ou bleus.

    Il n’a plus de douleur au cou, ni à la nuque, ça a duré 03 semaines après son observation du 19 novembre, maintenant il dort mieux et bien. Pendant son observation initiale, il a bien perdu la notion de temps, flottement temporel de 30 à 40 mn estimé.

    L’endroit du survol des triangles se situait entre la forêt et le Bourg de Ste Marguerite, il a pris le clocher de l’église du bourg comme point de repère.

    Il n’a plus de bourdonnements dans la tête. On est revenu sur cette forte odeur d’ammoniaque qu’il a bien remarquée.

    Les bœufs, donc pas des vaches selon sa femme, étaient affolés dans les 02 champs opposés autour de sa maison.

    Les triangles tournaient en rond au ralenti, l’un était en retrait au dessus des vaches/bœufs, ils se sont affolés.

    Nous examinons sa nuque, les traces rouges y sont toujours, Charles place sa main au dessus de sa nuque pour tenter de localiser et « déplacer » son "implant" potentiel, en plus des sensations de chaleur normales (dues au magnétisme de Charles) il a eu soudainement des picotements intenses dans l'oreille droite et on a arrêté.

    Charles a retravaillé les photos d’origine, et avec un effet infra-rouge, on peut voir que l’endroit où Charles pense avoir localisé l’implant à la base de la nuque de Mr. Fabrice Bertin, ressort sur l’effet photo comme un point rouge. Il ferait selon Charles entre 05 et 06 cm.

    Il a donc demandé à Mr. Fabrice Bertin la permission de déplacer l’implant, Mr. Fabrice Bertin a accepté, mais a senti monter un fort picotement dans l’oreille droite et a dit stop. Les poils sur la nuque du témoin se sont hérissés aussi pendant l’imposition de la main de Charles, sensation de chaleur donc aussi que les 02 ont senti.

    Nous avons parlé du magnétisme de Charles avec Mr. Fabrice Bertin et sa femme, et également de taux vibratoire de chaque partie du corps.

    Le témoin a relevé qu’il avait été au Kenya il y a 05 ans, en 2007, et au retour a traversé le Sahara en avion et a photographié de là-haut des cercles de culture dans le sable. Il est censé retrouver ses photos et nous l’envoyer.

    Nous partons en voiture parcourir les environs en passant par le bourg, une vallée, les champs et le bois qui ont été survolé par les objets rapportés par notre témoin, ce qui nous permet d’utiliser ces données sur Google Earth pour bien situer le témoignage.

    Enquête à suivre et compléter au fur et à mesure de l’évolution du témoin.

    Source : Enquête de Marc Gray et de l'ufologue Charles.

     

    (à suivre)

     

     

    Tournai-sur-Dive (61) - Août 2003

    presque minuit

     

     

    Août 2003, dans un petit village de campagne qui se nomme Tournai-sur-Dive, pas loin de Argentan et de Trun :


     Il est pratiquement minuit, je suis chez mes parents, j'étais dans le salon et décide de monter les escaliers pour aller dans ma chambre, comme d'habitude ma fenêtre est toujours ouverte le soir, afin que je puisse tout le temps regarder l'horizon et surtout le ciel étoilé, je remarque à l'horizon quelque chose de lumineux qui attire fortement mon attention, je vois une point lumineux assez intense qui prend de l'altitude et qui en perd assez régulièrement, l'objet en question montait et descendait d'une manière rectiligne et assez lentement, j'ai donc pris le temps de regarder le spectacle au moins pendant 1-2 min. 

    Je décide d'appeler mon frangin, il déboule dans ma chambre regarde le phénomène, moi j'étais comme un gosse content de la trouvaille qu'il avait remarqué, malheureusement mon frère me dit : cela doit être un avion ou un hélicoptère, je lui ai ai rien dis de peur qu'il soit surpris de ma réaction, il s'en va tranquillement dans sa chambre, et moi je reste devant le spectacle en train de bien analyser, ce qui m'a paru étrange c'est le fait qu'il n'y eu aucun bruit car on aurait dû entendre quelque chose au loin.

    A ce moment je me suis dis mentalement que je pairais très cher pour que je puisse voir un tel OVNI de plus près, je fus très attiré par tous ces phénomènes depuis déjà assez bien longtemps et j'en n'avais jamais vu un avec exactitude.


    C'est alors que au loin je remarque qu'il n'y a plus la même intensité de lumière l'objet semble se déplacer en direction de la maison de mes parents  Mon dieu ! ; je décide donc de sortir par la porte d'entrée, je regarde au ciel directement, il n'y a rien à première vue, jusqu'à que je vois l'objet arriver, c'est un objet triangulaire avec sur chaque sommet des lumières rouges/jaunes ; l'objet n'émanait plus sa vive lumière que je voyais a l'horizon, je pouvais voir parfaitement les contours de l'objet car le ciel dégagé + étoilé avec une pleine lune me permettait cette description ; je dirais qu'il était à 100 m de distance au dessus de moi, il est passé avec une extrême lenteur et encore mieux sans aucun bruit, je fus plus que ravi de voir en extase cet objet !

    Mon souhait fut réalisé, j'ai senti une drôle d'impression, l'impression que l'on me saluait du haut de cette machine, j'ai ressenti également le non-besoin d'aller chercher mes parents ou mon frère, d'ailleurs je ne sais pas trop pourquoi ?

    j'ai regardé cet ovni jusqu'à sa disparition à l'horizon, il continuait son bout de chemin toujours aussi lent de manière rectiligne, j'étais aux anges d'avoir vécu une telle chose, je pense que cela m'a rendu encore plus curieux et cela a profondément changé ma vision personnelle sur toutes choses.

    Je pense que tout cela s'est passé sur environ une période de 10 min, je tiens à dire que j'étais très sobre à ce moment, aucune substance ingurgitée rien ; depuis je suis de plus en plus passionné par beaucoup de sujets qui touchent à ce genre de phénomènes.

    Pour la description de l'aéronef, que dire ?

    Cet objet de l'horizon à chez moi a fait 10 km en 15 s, selon moi. Temps dégagé, presque aucun nuage, ciel étoilé, pleine lune, en toute honnêteté, je n'ai vu que les contours d'un gros triangle rempli de noir avec un rythme de lumières à chaque extrémité des sommets de ce triangle (jaunes/rouges : lumières alternatives) et je commence à douter de ces couleurs, maintenant, cela fait 3 ans, et je pense que j'ai dû oublié pas mal de détails à mon grand regret.

    La 1ère localisation de l'objet est dans la région de Chambois, connue dans l'histoire de la 2nde guerre, nommé le Couloir de la Mort, et à 3-4 km de chez moi existe une carrière.

    Ce qui me disait que cet aéronef n'était pas de technologie humaine : sa forme triangulaire, son extrême lenteur, son avancement sans perte d'altitude, rectiligne parfaite, et surtout aucun bruit de moteur, rien ; j'entendais seulement une chose le vent qui soufflait légèrement, c'était indescriptible, et émouvant, d'ailleurs, ça me manque beaucoup, j'ai été peiné de voir l'aéronef partir au loin et du fait aussi que j'en ai plus revu, par contre cela est un registre totalement différent, j'ai fait de très nombreux rêves ou projections astrales sur ce genre d'entité.

    Le vœu que j'ai formulé dans mon esprit aurait été capté, perçu ou ressenti, je pense par ces entités ont répondu à mon souhait de voir un de ces  OVNI  plus près, car le fait se réalise juste après, coïncidence ? Je ne pense pas.

    Pour exprimer plus en détail, j'ai ressenti une présence, quand cet objet est passé en dessus de moi, pas une présence qui dérange plutôt une présence rassurante ; je crois qu'ils m'ont fait ressentir que nous étions pas seul, loin de là.

    Moi je l'ai plus perçu comme :  nous te saluons, voila on est au dessus de toi, n'aies pas peur  ;  c'était très émouvant, car à l'époque il me fallait une preuve concrète, voire matérielle de ces phénomènes, je l'ai eu, et je leur en suis très reconnaissant. Eloeüs

    02 Témoins.
    Source : Space OVNI - Le forum du site OVNI - Infos : Ufologie, Astronomie, Technologies, Energies, Aviation.

     

    Saint-Étienne-du-Vauvray (27) - 11/08/1969

    05 h 25

    Le Contact !

    L'ambulance de Jean Miguères et le véhicule kamikaze

     

     

     

    Les investigateurs de Ufo-Génpi se sont, par exemple, intéressés de près aux accidents de la route suspects révélant des anomalies irrationnelles, des faits extraordinaires, ou liés à des événements de nature surnaturelle, dont le modèle iconique est, sans conteste le cas de contact/accident de Jean Miguères : Le lundi 11 août 1969, à 05 h 25, sur la R.N. 13 bis, à Saint-Etienne-du-Vauvray (27), près de Rouen, Jean Miguères, alors ambulancier indépendant est victime d'un terrible accident de la route, heurtant de plein fouet un autre véhicule qu'il ne réussit pas à éviter, car ce dernier se dirigeait automatiquement sur lui, malgré ses multiples manœuvres d'évitement (et dont l'unique conducteur victime d'un malaise n'a pas survécu à l'accident). Paris-Normandie di 13/08/1969 : « Sous le choc effroyable, les deux véhicules furent littéralement désintégrés ».

    La survie de Jean Miguères était due à l'intervention d'un être de l'espace. Après la collision, Jean Miguères vit se matérialiser à ses côtés un être physiquement semblable à un terrien mais dont l'encéphale était beaucoup plus développé.

     Ce dernier lui transmit :« Sois rassuré, tu n'es blessé qu'en apparence. Tu ne ressentiras aucune douleur physique et ne souffriras jamais de cet accident. Je vais te régénérer grâce à un procédé encore inconnu sur ta planète. »

    J.M. reçut alors plusieurs messages télépathiques et c'est ainsi qu'il apprit le nom de celui à qui il devait la vie. STRÔB avait été choisi comme intermédiaire pour remplir une mission diplomatique auprès des terriens afin de les préparer à un contact pacifique à l'échelle planétaire avec des civilisations extra-terrestres beaucoup plus évoluées que la nôtre, lui laissant le libre choix d'accepter ou de refuser cette mission.

    La décision de prendre contact avec un Terrien de la part de nos aînés fut motivée par notre premier pas sur la Lune, car les Terriens, dans leur désir de conquête spatiale, s'ils était capables d'atteindre la Lune en 1969 (le 21 juillet), chercheraient dans le futur à aller de plus en plus loin pour gagner des planètes de plus en plus éloignées.

    Or, si sur Terre, nous choisissons de malmener et de détruire à petit feu notre planète, en aucun cas nous n'avons le droit de transporter notre négativité, nos armes extrêmement meurtrières, nos maladies sur des planètes moins évoluées au plan technologique que la nôtre qui ne sauraient se défendre ni se protéger. Jean Miguères (né le 11/05/1940) a transmis ce message de 1969 à 1992, en racontant inlassablement son extraordinaire aventure. Cf. Jean Miguères, j'ai été le cobaye des extra-terrestres avant de mourir à 52 ans, assassiné par son beau-père, partisan des extraterrestres, lorsque que Jean Miguères comprit qu'il était, en réalité manipulé, depuis 1969, par des êtres éthérés, qu'il identifia à des démons.

    Quelques instants avant l'accident, Jean Miguères ressentit comme des mots qui s'imprimaient dans son cerveau et voici ce qu'il entendit :

     « Ne crains rien, laisse-toi guider, il ne t'arrivera aucun mal. Nous sommes là pour te protéger et tout ne seras que fictif pour toi. Tu ne ressentiras rien, nous te demandons d'être calme. »

    Puis le regard de Jean Miguères fut attiré par un nuage d'un blanc incandescent venant dans sa direction et dont la base était une plate-forme d'aspect métallique.

    Presque simultanément à cette curieuse observation, Jean Miguères put constater à ce moment deux phénomènes troublants : toutes les aiguilles de son tableau de bord s'affolaient et il ne distingua pas de conducteur dans la voiture adverse.

    Après plusieurs manœuvres pour tenter d'éviter la voiture « folle », les deux véhicules se heurtèrent de plein fouet avec une violence inouïe au milieu de la chaussée. Des débris furent retrouvés à 50 m à la ronde.

     Dans son rapport n° 999, la gendarmerie de Louviers évaluait la vitesse du point d'impact à plus de 300 km/h. Jean Miguères devait rester prisonnier des tôles, écrasé et disloqué sous celles-ci, avec de multiples blessures extrêmement graves, durant 03 h 30, temps nécessaire aux pompiers pour le dégager de son véhicule. A 8 h 45, le 11 août 1969, Jean Miguères était admis cliniquement mort dans un hôpital de Louviers (27) où tout fut fait pour le réanimer.

    Premier bilan de ses blessures :

    • pied gauche broyé • multiples fractures des membres inférieurs • fracture du bassin • cage thoracique enfoncée provoquant la perforation d'un poumon • double fracture du nez. A ce bilan déjà très lourd vinrent s'ajouter trois hémorragies internes ( foie, rate et vésicule éclatés ). Il connut trois décès cliniques et dut subir 18 interventions chirurgicales. 

    L'être de l'espace avait pris place à ses côtés dans le véhicule. Il lui appliqua sur la nuque un petit disque lumineux puis lui transmit :

    « Tu es redimensionné. Nous reviendrons te voir. »

    Jean Miguères reconnut qu'il n'avait jamais véritablement souffert de cet accident et qu'au cours des années qui suivirent, son potentiel énergétique se trouva décuplé. Il put remarcher sans rééducation et malgré une jambe plus courte que l'autre il n'a jamais boité.

    Jean Miguères a été reconnu à l'époque comme un cas inexplicable par l'ensemble du corps médical, certains médecins ont même employé le mot miracle pour définir le cas Jean Miguères.

     Jean Miguères reçut dans les mois qui suivirent l'accident d'autres messages et c'est ainsi qu'il apprit l'origine de ces êtres venus d'ailleurs :

     « Nous sommes tes frères de l'espace, des êtres vivants et intelligents comme vous. Nous sommes d'une constitution et d'un physique en bien des points communs aux vôtres. L'envoyé que tu as vu dans ton véhicule s'est présenté à toi sous sa forme originelle, mais il nous arrive parfois de chager d'aspect pour les besoins d'un contact, puisque nous domestiquons la matière. Nous sommes passés par tous les degrés d'évolution physique, comme vous, mais nous avons dépassés votre stade d'évolution depuis un temps qui pourrait équivaloir à 20 millions de vos années terrestres. Nous sommes en mesure de communiquer avec vous télépathiquement dans toutes les langues de votre planète et adoptons pour chacune d'entre elles des mots compréhensibles au stade actuel de vos connaissances. 

    « Vos recherches se sont surtout axées vers le contrôle de forces qui ne vous serviront qu'à votre autodestruction. Nous sommes tes frères de l'espace, nous ne voulons aucun mal aux terriens. Tu devras, si tu l'acceptes, nous aider à préparer notre venue sur votre planète en informant tes frères de notre existence et les rassurer sur nos intentions. »

    01 Témoin.

    Sources : Planète Ôdla, Christian Macé.

     

     

    Entre Montville et Clères (76) - 21/08/2015

    le soir

    Le vendredi 21 août 2015, en fin d’après-midi, dans les secteurs de Criquetot-l’Esneval, Villainville et Vergetot, des témoins ont vu « des choses étranges dans les cieux » et les gendarmes de la région ont reçu un total de 3 appels. L’un d’entre eux a précisé que l’ovni ressemblait à « une boule de feu ».

    Les forces de l’ordre, pensant qu’il pouvait s’agit d’un crash, ont dépêché des pompiers, des agriculteurs ainsi qu’un hélicoptère Dragon 76 dans l’espoir incertain de découvrir l’éventuel lieu du crash.

    D’après la préfecture de Seine-Maritime, ces investigations n’ont rien donné.

    Le soir même, une personne qui se trouvait entre Montville et Clères (au Nord de Rouen) affirme, lui-aussi, avoir photographié un ovni. Ce dernier certifie avoir vu « un avion suivi d’une météorite, puis un grand silence. ».

    01 Témoin.

    Source : Normandie-Actu.

     

    Anet (28) - 17/03/1986 

    au petit matin

    Le 17 mars 1986, au petit matin, un témoin affirme avoir vu une sphère lumineuse, à Anet, projetant un halo de lumière sur une surface de 1.000 m2 durant quelques secondes.

    01 Témoin.

    Source : L’Echo Républicain du 11/05/2016.

     

     
    Bretteville (50) - 30/04/2017
    environ 23 h

    Il était 23 h environ. J'étais en voiture, je roulais sur la D 901 entre Cherbourg et saint - Pierre - L’Église. Je tourne à gauche pour m'engager sur la D 320 et descendre en direction du bourg de Bretteville.
     
     
    Soudain j'ai été témoin du vol d'un engin triangulaire noir avec trois globes lumineux dans chaque coin et un globe lumineux au centre.
    Je crois que ces lumières étaient multicolores et clignotaient.
    L'engin n'était pas très grand mais volait à très basse altitude et très lentement, comme si l'engin était en observation ou qu'il était en train de scanner le territoire.
    Puis l'engin s'est déplacé vers la droite, toujours très lentement, et a disparu, comme si mon passage en voiture l'avait dérangé. Moi-même je roulais très lentement et j'étais presque arrêté pour observer. Il faut noter que Bretteville est située entre Cherbourg, ville ou la présence de la Marine française et importante, notamment comme base et lieu de production sous-marine, et l'aéroport militaire de Maupertus. matt50.
    01 Témoin.
    Source : Ovni-France.
     

     

     

    Agon - Coutainville (50) - 05/11/1990

    19 h 30 environ

    A l'époque je vivais dans une caravane, aux abords des marais de Agon - Coutainville et je ne m'intéressai pas vraiment au problème des ovni.

    Ce soir-là, je suis sorti pour fumer une cigarette et ce que j'ai vu a bouleversé ma vie pour toujours.

     

    C'était une formation de trois engins absolument gigantesques en forme de cigare qui se déplaçaient d'ouest en est, à vitesse constante dans le ciel dégagé. Une vive lumière blanche avec des reflets jaunâtres se dégageait de l'intérieur de ces engins.

     

    Ils étaient relativement à basse altitude, je dirais un peu moins de 500 m. Pendant la première minute d'observation (mon observation a duré un peu moins de 3 minutes en tout), j'étais totalement fasciné, je n'en croyais pas mes yeux !

     

    Mais rapidement la peur m'a envahi, j'étais comme tétanisé, le spectacle était trop mystérieux et grandiose, et je commençais à perdre pied dans la réalité. Je me souviens que je riais beaucoup (je ne sais pas trop pourquoi) je n'arrivais plus à me contrôler. Puis je me suis enfui en courant. Je me suis réfugié dans ma caravane et je me suis enfermé à double tour ! (Je regrette beaucoup car en courant dans les marais, vu à la vitesse où se déplaçaient ces engins, j'aurais pu les suivre un certain temps). J'ai eu la peur de ma vie !


    Pour moi, ces engins étaient d'origine extraterrestre. Pour la simple et unique raison qu'à l'époque et même aujourd'hui, nous sommes dans l'incapacité totale de construire ce type d'appareils !

     

    Depuis, je passe mon temps à regarder le ciel la nuit et à plusieurs reprises j'ai revu des choses très bizarre. Mais jamais quelque chose d'aussi spectaculaire ! zymo.

     

    01 Témoin.

     

    Source : Les Mystères des Ovnis.

     

     

    Blainville - sur - Orne (14) - 08/11/1978

    vers 02 h

    Mme Louisette C. (68 ans) venant de Caen, circulant en voiture le long du canal de Caen à Ouistreham, en compagnie de son petit-fils R. C. (22 ans) aperçoit une sphère lumineuse rouge à la hauteur du bois du parc du château de Bénouville, son petit-fils lui demande alors de revenir en arrière pour l'observer, et voient alors tous les deux un gros phare de lumière qui balaient les environs plongés dans la brume dans leur direction. Peu rassurés ils continuent leur route.

    Sensiblement à la même heure, toujours sur la même route, la D515, Mme Louisette C., le 16/11/1978, seule au volant de sa voiture, alors que le ciel est couvert, observe deux lumières clignotantes blanches plus grosses que les étoiles moyennes, qui clignotaient de façon synchrone, d'abord fixe au-dessus d'Hérouville - Saint - Clair, puis en mouvement et qui paraissent l'accompagner sur environ 10 km jusqu'à Bénouville.

    02 Témoins.

    Source : Enquête Génpi.

     

     

    Ecouis (27) - 23/01/1983

    18 h 15

    Nous revenions chez nous en voiture par la RN 14 bis mon mari (enseignant technique) et moi (diplômée en histoire et en dessin). Nous avions traversé Etrepagny et nous roulions vers Ecouis. Peu de voitures sur la route, ciel très dégagé, la nuit commençait à tomber, et comme j'aime à le faire quand mon mari est en volant, je regardais le ciel. J'attendais les premières étoiles, lorsque mon attention fut attiré par la première étoile, à ma droite vers Ecouis.

    Très vite cette étoile devint grosse comme une ampoule électrique allumée en plein ciel. Cherchant à comprendre, je dis à mon mari : regarde dans le ciel légèrement à droite de la route, cette espèce de lampe qu'est-ce que c'est, à ton avis ? Mon mari, perplexe, me répond : Oui je vois.

    Je cherche alors une explication logique à cette lumière. je pense, en particulier, au satellite, dont toute la journée, la radio et la télé nous ont annoncé la chute (cosmos 14021).

    La lumière grossit et parait s'étirer comme quelque chose en flammes, informe, mais en jaune clair. Je demande à mon mari de s'arrêter pour mieux voir, mais il me répond qu'il n'y a de place sur les côtés de la route. Je coupe le contact de la cassette que je suis en train d'écouter. L'objet devient de plus en plus gros, parait venir vers nous.

    J'entends mon mari me dire de baisser la vitre pour mieux voir, et à ce moment, presque sans lever les yeux, au-dessus du champ, à droite de la route, suivant une trajectoire paraissant parallèle à cette droite, je vois distinctement l'objet.

    Il a la forme d'une cocotte minute renversée, d'où s'échappe un faisceau de lumière jaune, faisceau très dirigé, dont la clarté ne diffuse pas comme celle d'un lampadaire, le dessus de l'objet légèrement bombé est beaucoup moins lumineux, juste deviné.

    Dans la partie supérieure de l'engin, à gauche, apparait par intermittence, une lumière rouge, lançant trois jets courts, de seconde en seconde. L'ensemble est un plus gros qu'un phare de voiture vu de près, sans éblouir.

    Mon mari s'arrête enfin, je descends de la voiture, à peine stoppée ; la lumière reprend de la hauteur, et très vite, en quelques secondes redevient une "étoile", remontant très haut après descendu très bas (à la hauteur d'un étage, soit quelques mètres).

    Nous repartons il est 18 h 15. Nous sommes à peu près à 5 km d'Ecouis, nous n'avons pas l'idée de regarder le compteur kilométrique. Je dois préciser que tout cela s'est déroulé très vite (2 à 4 minutes). Alors que je pensais être en présence de quelque chose d'insolite, j'ai concentré toute mon attention pour l'observer, me disant que je devrais pouvoir représenter ce que je voyais. Ni mon mari, ni moi n'avons entendu le moindre bruit lors de cette rencontre ; aucune perturbation, ni dans le moteur, ni dans le circuit électrique.

    02 Témoins.

    Source : Enquête de Mr. Luc Jean - LDLN n° 300.


    http://web.me.com/christiansoudet/soucoupes_volantes_en_seine-maritime/soucoupes_volantes_en_seine_maritime.html

     

    Le Tronquay (27) - 19/09/1979 22 h

     

    L’attention d’un libraire, est attirée par un objet scintillant ressemblant à une étoile. Puis cet objet se dirige vers lui à 200 m en virant au rouge et après 10 minutes disparait finalement à une vitesse fulgurante.

    01 Témoin. Source : Impartial du 08/12/1979 – Enquête Mr. Crépin et Melle Lafargue.

    L’attention d’un libraire, est attirée par un objet scintillant ressemblant à une étoile. Puis cet objet se dirige vers lui à 200 m en virant au rouge et après 10 minutes disparait finalement à une vitesse fulgurante.

    01 Témoin. Source : Impartial du 08/12/1979 – Enquête Mr. Crépin et Melle Lafargue.

     

     

     

     

    Surville (27) - 28/10/1979

    23 h 30

    Mr. et Mme P. Pottin circulent dans la brume sur la D. 133, ils aperçoivent à 100 m une luminosité derrière le bois. Puis une boule de couleur feu monte lentement et vient accompagner parallèlement la voiture, produisant des effets induits : vitesse réduite de 120 à 50 km/h, baisse de l’intensité des phares, grésillement du transistor, enfin après 10 minutes le phénomène cesse la poursuite et disparait en montant. Le fonctionnement de la voiture redevient normal.

    02 Témoins.

    Source : Enquête de Mr. Josse Guy - B. P. 23.

     

     

     

    Saint - Sébastien - de - Morsent (27) - 04/11/1977

    vers 18 h 15

    Mr. Cassiau, radio-télégraphiste de la Préfecture, marié 02 enfants. En ouvrant la fenêtre de ma demeure, afin de fermer les volets, j’ai vu à 30 degrés environ au-dessus de l’horizon une boule lumineuse se déplacer du sud-est au nord-est, à environ 1 km. Elle était de la grosseur apparente d’un ballon mesurant à l’œil à peu près 15 cm de diamètre. Elle m’est apparue légèrement enflée en son centre. J’ai observé son déplacement pendant environ 02 minutes. Elle planait puis brusquement elle s’est élevée et a disparu. Cette boule était de couleur blanc lumineux. En tant qu’astronome amateur, je peux affirmer qu’Il ne s’agissait pas d’un satellite, d’une comète ou d’un quelconque phénomène atmosphérique connu.

    C’est la troisième fois que j’observe un phénomène non-identifié. Il y a une dizaine d’années, vers 23 h, il s’agissait d’un objet ayant la forme de deux assiettes creuses ovales accostées par leurs extrémités, rouge vif dessus, jaune lumineux dessous, et dans un après-midi ensoleillé du mois d’août 1976, il s’agissait d’un disque ovale d’un blanc grisâtre.

    Par la presse locale du samedi 05/11/1977, j’ai appris que deux personnes avait fait la même observation, le même jour, et à la même heure. Journal : Au Jour Le Jour du jeudi 10/11/1977 : Le vendredi 04/11/1977, sur le coup de 18 h 15, deux Maçons, levant incidemment les yeux au ciel, ont aperçu, dans la nuit tombante, une boule blanche lumineuse de la grosseur d’une balle de tennis. L’objet était volant et, malgré leur peu de connaissance en astronomie, les deux hommes étaient en mesure d’affirmer qu’il ne s’agissait pas d’un avion, d’une étoile filante ou d’un phénomène connu. Dès lors, on pouvait parler d’ovni, et les faits ne sont pas arrêtés là, car vers 22 h, alors qu’il circulait en voiture sur le chemin l’un des Témoins a eu en effet la surprise de retrouver cette boule blanche dans le ciel. L’ovni le suivit jusqu’à son domicile, s’arrêta quelques instants au-dessus de sa maison, avant de disparaitre dans le ciel.

    03 Témoins.

    Source : P. V. G. + Journal : Au Jour Le Jour du jeudi 10/11/1977.

     

     

    Breteuil - sur - Iton (27) -28/10/1977

    vers 18 h 15 /20  et de 22 h à 22 h 30 / 45

    Le vendredi 28 octobre 1977 je me trouvais en compagnie d’un Monsieur, maçon (qui a déjà vu ce genre de phénomène, il y a deux mois environ, alors que qu’il circulait à bord de son véhicule, c’était une boule assez grosse de couleur rouge-rose. Elle ressemblait à un ballon de rugby. Il était 17 h, il faisait jour et le temps était clair. Cet objet, qui ne semblait pas être à à une altitude importante, l’a suivi en silence sans varier d’altitude ni de couleur, jusqu'à ce qu’il arrête son véhicule, et ce moment-là il est parti à très grande vitesse.).

    La nuit commençait à tomber. Mon attention a été attirée par une lueur dans le ciel de la grosseur d’une balle de tennis, très lumineuse et d’une clarté blanche. Cette boule lumineuse se déplaçait rapidement. Nous l’avons suivie des yeux environ deux minutes avant qu’elle ne disparaisse. Elle ne laissait pas de traînée. Le temps était clair. A aucun moment elle n’a changé de trajectoire, ni de couleur et n’émettait aucun bruit.

    Le même soir revenant seul, à bord de ma voiture, vers 22 h, j’ai aperçu une boule semblable à la première, mais plus grosse et encore plus lumineuse, elle se déplaçait dans la direction de marche de ma voiture.

    Je me suis rendu chez mon frère qui est journaliste pour lui faire constater cette chose, mais il n’était pas chez lui. Cette boule lumineuse s’est arrêtée à l’aplomb de ma voiture je présume.

    J’ai alors appelé, une amie résidente à cette endroit, étudiante de 20 ans, qui a elle-même vu ce phénomène (lorsque je repartais elle a vu cette lueur varier de couleur, parfois blanche, parfois orange et qui lui semblait clignoter et a pris la direction du centre ville où je me rendais, fortement impressionnée elle est allé réveiller sa mère avec laquelle il a continué à observer le phénomène, après mon départ, et avant d’aller se coucher, sa mère a pu observer à coté de la boule un clignotant).

    Je suis donc reparti et cette boule lumineuse m’a suivi, jusque sur la place Lafitte, où j’ai rencontré mon frère qui a lui-même vu cette chose non-identifiée, un bon moment.

    Je sui rentré chez moi, et avant de renter dans ma maison, j’ai encore vu cette boule lumineuse un bon moment dans le ciel. Puis je suis aller me coucher.

    05 Témoins.

    Source : P. V. G.

     

     

    Ambenay (27) - 25/04/1975

    22 h 30



    Au Hameau des Siaules une famille observe une demi sphère blanche immobile. Il émet une lumière qui illumine le mur de la chambre des enfants.

    04 Témoins.

    Sources : LDLN n° 259/260 - Base-Ovni.

     

    Heurteauville (76) - 18/08/1984 

    vers 22 h  / 22 h 15

     

    Madame V., retraitée, 64 ans : Je montais me coucher lorsque j’ai entendu un bruit pendant une ou deux secondes (ce n’était pas pas un « boum », mais nous l’avons interprété comme un chuchotement de cocotte minute). Je suis donc redescendue, ai ouvert ma porte de dehors et ai vu ma cour toute éclairée. Ça éclairait tous le côté et le chemin (un carré de 15 m de côté environ).

    On se serait cru en plein jour. Au-dessus de moi, venant de l’est, j’ai vu une boule rouge vif de la taille de la pleine lune (pantone : Red U super warm) qui tombait. Je sui rentrée une fois cette lumière disparue derrière les arbres.

    Environ un quart d’heure plus tard, un bruit identique. J’ai regardé par le fenêtre de la cuisine et j’ai vu cette boule qui remontait direction nord-est, mais cette fois-ci elle était plutôt verte (pantone 368 U). Elle était assez loin et je l’ai perdue de vue derrière la colline.

    Monsieur et Madame D. commerçants, se trouvaient dehors. Leur observation correspond à la première boule vue par madame V. Par contre, ils n’ont pas souvenir d’avoir perçu le moindre bruit. Leur attention a été attirée par cette forte lumière d’un rouge très intense, sans halo, avec une trajectoire régulière. Ils situent la distance entre le phénomène à plus d’un km.

    03 Témoins.

    Source : Enquête de Mr. Luc Jean, Délégué Régional LDLN - LDLN n° 252

     

     

    Ouville - l'Abbaye (76) - Octobre ou novembre 1981 (probablement le 24/10/1981)

    vers 23 h

    En octobre ou novembre 1981 (probablement le 24 octobre 1981), vers 23 h, le témoin (20 ans, technicien chimiste) regarde la télévision chez ses futurs beaux-parents en compagnie de son amie (20 ans, ingénieur chimiste) et de la sœur de cette dernière.

    Bien installé dans l’angle de la pièce près de la cheminée le regard du témoin se porte sur une fenêtre située derrière le poste de télévision et il remarque à l’extérieur une petite lumière rouge-orangée de l’éclat d’un catadioptre.

    Tout d’abord, le témoin pense à un engin agricole, toutefois cette hypothèse lui semble peu probable puisque son beau-père est parti se coucher.

    Étonné le témoin se lève et va dans le hall d’entrée où il observe à l’extérieur par la porte d’entrée vitrée. A ce moment-là, il ne pense plus avoir affaire à un engin agricole.

    Il aperçoit un ensemble de cinq à six lumières qui semblent faire partie d’un objet sombre tronconique de la taille de son poing et qu’il situe à environ 35 mètres de distance (il estime les dimensions du phénomène à quatre ou cinq mètres).

    Le dessous semble arrondi « comme une assiette, mais cela est peut-être dû à un effet de perspective »

    Un premier temps, le témoin pense sortir de la maison mais la porte est fermée à clef et celle-ci n’est pas dans la serrure. Il appelle son amie qui le rejoint ainsi que sa belle-sœur qui ne se dérange pas et préfère suivre son feuilleton favori.

    Pendant quelques secondes il essaie de trouver les clefs de la porte, sans succès. De peur de louper quelque chose d’exceptionnel il revient dans le hall d’entrée avec son amie.

    Les témoins continuent d’observer le phénomène qui se situe devant les grands arbres et au-dessus d’un chemin qui longe un bâtiment perpendiculaire à la maison. A ce-moment là le phénomène est quasi immobile ou très lent (environ 2 km/h) et se déplace vers la gauche de manière très stable à une hauteur de 3 à 3,50 m environ.

    Puis il passe derrière un noyer, réapparaît et continue lentement vers l’ouest et semble stationner au-dessus d’une mare et devant une haie de thuyas de 5 m de hauteur. D’après le témoin le phénomène est plus bas que la cime des thuyas.

    Ensuite le phénomène fait « machine arrière » toujours de manière très lente et très stable présentant toujours la même « face » au témoin.

    De nouveau le phénomène passe entre le noyer et le rideau d’arbres (des ormes) et se positionne au-dessus du chemin ou il est apparu quelques instants plus tôt.

    A ce moment-là, le phénomène commence une ascension lente toujours avec des lumières rouge-orangées puis il accélère à une vitesse extraordinaire avec un angle de 60 à 70° environ et disparaît d’un trait dans le ciel, « la vitesse d’une balle traçante comparativement c’est ridicule » dit le témoin qui pratique le tir.

    Pendant toute l’observation (2 à 3 minutes) le témoin n’a perçu aucun bruit et il n’y a eu aucun effet sur le poste télévision.

    Le lendemain le témoin a cherché d’éventuelles traces sur les branches des arbres mais n’a rien constaté de particulier.

    02 Témoins. Source : Mail du 28/08/2013 du témoin principal au Géipan.

     

     

     

    Damville (27) - Novembre 1979

    18 h 30

    Tentative de Contact

    Mme Duvallet, 55 ans, habituellement vers 18 h se rend à son pré, vers l’écurie où elle s’occupe de son cheval.

    Ce soir-là, au lieu-dit La Porte Aizière, elle perçoit une lueur sur le bord du chemin, près d’une maison en construction. Pensant à un feu laissé par les ouvriers, elle n’y prête pas attention et continue son chemin.

    Un peu plus loin, en s’engageant dans le chemin qui mène à l’écurie, elle a une deuxième perception de cette lueur. Cette deuxième perception dure quelques secondes, impressionnée, elle continue néanmoins son chemin, mais un sentiment de frayeur commence à l’envahir.

    C’est alors, dans le pré, qu’a lieu la troisième perception. J’insiste sur ce terme qui traduit exactement ce que ressent le témoin. Mme D. n’aperçoit pas l’objet lumineux, elle le perçoit dans tout son être, elle se sent comme saisie par une force mystérieuse et se trouve prise de panique, avec impossibilité de réagir et de se mouvoir. L’objet a la forme d’un cercle, au bord très net, sa distance est évaluée à 25 m, son diamètre de l’ordre du mètre. Sa couleur, unie très vive, se situe au 128u sur le nuancier Pantonne. Le disque est horizontal, sur l’herbe. Il semble sans épaisseur et reste immobile.

    Aucune vibration ne l’anime, mais il devient de plus en plus lumineux. Madame D. avance d’un pas pour voir : l’objet disparait. Alors le témoin retrouve ses forces et s’enfuit en courant sur les 50 m qui la séparent encore de l’écurie, dans laquelle elle s’enferme pendant une ½ heure, sous le coup d’une violente émotion. La jument n’a aucune réaction.

    Le lendemain l’examen de l’herbe et le grattage du sol à l’endroit de l’apparition n’ont rien révélaient d’anormal. Mme D. est restée commotionnée plus d’un mois, jusqu'à ce que les jours s’allongent. L’impression de l’enquêteur est que le phénomène lumineux a tenté d’établir un contact avec la témoin.

    01 Témoin.

    Source : Enquête de Mr. Robert Crépin - Déléqué Régional LDLN - LDLN n° 261/ 262.

     

    Ernemont - sur - Buchy  (76) - 23/10/1954

    05 h 10

    L'un des témoins est réveillé par un oiseau de nuit qui vient voler contre sa fenêtre. Il se lève et aperçoit une lueur dans le ciel, d'une intensité qu'il n'avait jamais vue. Elle est en forme de croissant, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle vient atterrir à environ 300 m de la maison.

    Du coup le témoin appelle son voisin de chambre. Tous deux peuvent alors apercevoir trois ombres éclairées comme par une lampe torche, lesquelles paraissent s'éloigner dans trois directions différentes.

    A partir de là, et durant environ une heure (jusqu'à 06 h 15 très exactement) il se passe des choses curieuses, successivement : un bruit de moteur genre mobylette est perçu puis les éclairages s'éteignent pour se rallumer peu après et enfin les trois ombres réapparaissent avant qu'une automobiliste survienne.

    C'est alors que toutes les lumières s'éteignent de nouveau. Toutes ces manœuvres se répètent une seconde fois, et à 06 h 15 la lumière intense est de nouveau visible, comparable à un éclairage au néon, mais beaucoup plus puissant.

    Finalement, les témoins observent une trainée éclairante dans le ciel, et le spectacle s'achève.

    Le lendemain, l'un des témoins se rend sur le lieu de l'atterrissage présumé et constate que l'herbe y avait été foulée.

     02 Témoins.

    Sources :  Le Bulletin de l'Arrondissement de Rouen (Danétal) du 29/10/1954.

     

    Buchy (76) - 13/11/1954

    vers 02 h du matin

    Toujours près de Buchy

    Encore un témoignage au dossier des "engins non identifiés"

    "Dans la nuit de vendredi à samedi vers 2 heures du matin, je revenais de Buchy, au volant de ma 4 CV, et m'apprêtais à m'engager sur la R.N. 28, de Neufchatel à Rouen, nous déclare M. R. I..., lorsque j'ai été témoin de la scène suivante:

    "J'avais dépassé le passage à niveau de 500 mètres environ lorsque j'aperçus soudain une lueur, qui semblait stationner sur le bord droit de la route, à une centaine de mètres devant mois [sic, moi]. Aussitôt, la chose décolla et s'enfuit vers le nord, mais au lieu de s'élever à la verticale, comme à l'habitude, l'engin semblait onduler à quelques mètres du sol. La lueur, d'un blanc verdâtre, était régulièrement intermittente et semblait précéder une masse sombre qui semblait progresser par bonds à une vitesse que j'estime de l'ordre de 150 km - heure.

    "En arrivant à la hauteur où devait se trouver l'engin quand je l'aperçus, je ne sais ce qui se passe, mais je me sentis comme paralysé, et de 90 km à l'heure, vitesse à laquelle je roulais, je dus bientôt repasser en seconde, sans avoir eu conscience de ralentir volontairement.

    "Je n'affirme pas avoir été soumis à une influence extérieure, mais n'ayant pas l'habitude de m'émouvoir d'un rien, je ne puis attribuer un tel effet d'inhibition"...

    Ce témoignage est d'autant plus digne de foi qu'il émane d'une personnalité rouennaise fort connue, qui passe pour ne pas s'en laisser compter [sic, "conter"] aisément.

    01 Témoin.

    Source : Paris-Normandie du 15/11/1954.

     

     

    Civières  - hameau d'Aubigny (27)  - Le 10 ou le 17/03/1972

    21 h 25 

    Panne de Véhicule

    Monsieur Daniel Loretz, 63 ans, propriétaire d’un magasin de radio et de télévision de Tourny, pompier bénévole depuis 1937, et commandant de la brigade locale depuis 1949 : J’en ai parlé aux gendarmes que trois jours après. Cela s’est passé probablement le vendredi 17 mars (ou le 10 mars 1972) dans un champ du hameau d’Aubigny à Civières. Il était 21 h 25, et je revenais de Pacy-sur-Eure où j’avais une réparation.

    Je roulais tranquillement au volant de ma R6 quand j'ai vu un objet sombre venant du ciel se diriger vers moi. J’ai freiné aussitôt.

    L'engin s’est posé dans un champ, à environ 150 m, pratiquement à la verticale. C’était une forme ovale de couleur sombre d’environ deux mètres de haut. A l’avant : deux hublots, d’où partait une lumière pâle dirigée vers le sol. A l’arrière : une lueur rouge peu puissante.

    Trente seconde après l’atterrissage, les feux se sont éteints. Cela faisait le bruit d’un gros tracteur. Très impressionné, je suis reparti en voiture.

    Mais j’ai eu toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement mon moteur pourtant pratiquement neuf. Il a toussé pendant plusieurs centaines de mètres, puis est reparti normalement. Le lendemain, je suis revenu sur place, mais le champ avait été hersé et toutes les traces qu’avait pu laisser l’engin avaient disparu.

    01 Témoin.

    Source : Enquête de Monsieur Alain Matheron. LDLN Janvier 1973 - Contact Lecteurs.

     

     

     

     

    Saint - Pierre - sur - Dives (14) - aux environs de l’An 2000

    vers 20 h

     

     Les Cercles des Lumières

     

    01 / Bonjour,

    Je vous envoie ce mail pour vous signaler ce que j'ai vu il y a une quinzaine d'années. Je devais avoir treize ou quatorze ans et me trouvais avec un ami, en compagnie duquel nous allions en chercher un autre. Arrivés vers 20 h 00 en bas de son immeuble à Saint-Pierre - sur - Dives dans le Calvados, un objet en forme de disque de quatre ou cinq mètres de diamètre et d’un mètre d’épaisseur s’est arrêté juste au-dessus de nos têtes, au niveau du premier étage de l'immeuble.

    Il est resté stationnaire pendant une trentaine de secondes en n’émettant absolument aucun bruit. Il n’y avait pas non plus de souffle d’air comme avec les hélicoptères.

    Lorsqu’il s’est arrêté au-dessus de nous, plusieurs lumières multicolores se sont misent à tourner lentement au dessous de lui.

    Nous n'étions pas tranquilles et on est restés figés sous l'objet, comme si on ne pouvait plus avancer !

    Au bout de trente secondes, l'engin est reparti comme une flèche à une vitesse qui, même actuellement, est impossible à atteindre.

    Un avion de chasse aurait été plus que ridicule à côté.

    L’engin a disparu en l'espace d’une seconde à peine.

    Je n'ai jamais parlé de ça à l'époque de peur des moqueries des autres, mais je le regrette un peu maintenant. Florian (Calvados - France).

     

    2 / Bonjour.

    Je vous transmets mon observation qui date un peu mais pas pris au sérieux à l'époque.

    J'avais peu près 14ans, en fin de journée 19h 30-20h je devais rejoindre un autre ami chez lui.

    J'avais pas grand distance à faire 500 mètres a peu près.

    A mi-parcours, arrivé presqu'en bas de l'immeuble de l'ami en question au moment de monter les petites marches (voir photo), je vois une lumière arriver et grossir rapidement.

    Je regarde donc, et là je vois un ovni arriver assez vite, tout en ralentissant, et avec des trajectoires peu commune pour un avion ou pour un hélicoptère, et l'OVNI s'arrête juste au-dessus de ma tête, pas très haut (1ere étage de l'immeuble qui a été détruit depuis mais exactement le même qui existe encore)

    1er réflexe je me mets à courir (3 ou4 mètres) et je me dis pourquoi je cours ? Comme si quelque chose m'empêche de courir, tout en nous rassurant.

    Je me retourne donc pour observer l'ovni, et là, un objet en forme de soucoupe qui faisait, à peu près la largeur de la route, ou un peu plus large, car je me rappelle m'être dit : que si il voulait se poser il pouvait.

    Il avait environ 2-3 mètres d'épaisseur, avec plein de quartiers de lumière de plusieurs couleurs (rouge bleu vert et blanc-jaune) qui clignotaient, en faisant un cercle en dessous de l'ovni, et qui renvoyait une sorte de faisceau lumineux, comme si cela nous scanner ou un truc du genre.

    Il y avait une sorte de fenêtre qui faisait tout le tour de l'ovni, mais on ne voyait rien à l'intérieur, juste une lumière blanche, mais d'un blanc vraiment puissant.

    L'ovni ne faisait aucun bruit et aucun souffle malgré qu'il était à 5-6 mètres au-dessus de nous.

    Sur le coup, l'observation m'a paru assez rapide (5 mn tout au plus) mais le truc bizarre, c'est le temps que j'ai mis à aller chez mon ami. Au lieu de 5 mn j'ai dû arriver 30 mn après être parti, donc la rencontre a dû durer plus longtemps.

    Et, il est reparti à une vitesse hallucinante et inimaginable pour l'homme de nos jours et encore plus à l'époque.

    On voit, sur une photo la direction où il est reparti, il y a quand même de la distance;

    Il est parti 0 une vitesse folle et, arrivé en bas de la rue, il a fait une accélération énorme, et j'ai juste vu un gros flash lumineux et plus rien.

    En une fraction de seconde il avait disparu

    Déjà à l'époque, j'étais sûr de moi et de la chose que j'avais vue, mais 25 ans après, je le suis encore plus, car je n'ai jamais revu un tel objet voler de cette façon. Florian.

    02 Témoins.

    Source : Grépi - Génpi.

     

    Sainneville - sur - Seine (76) -27/04/2003

    22 h

    Un soir avec mon ex-copine nous nous étions arrêtés sur le bas côté d’une route entre Manéglise et Sainneville. La voiture était près d’un arbre et en contrebas d’un champ, tout-à-coup, une lumière est apparue en haut du champ, nous avons tout d’abord pensé que c’était le fermier dans un tracteur, ou autre ; puis au fur et à mesure que la lumière se dirigeait vers nous, on s’est aperçu que cette lumière venait d’un objet en l’air et non du sol.

    L’objet en question qui avait l’air énorme et à l’apparence d’un cube noir est passé au-dessus de nous à vitesse assez lente pour que je puisse apercevoir des sortes de hiéroglyphes, près de l’endroit d’où sortait la lumière. Puis quand nous avons démarré la voiture pour le suivre, il a accéléré, tout-à-coup, et a disparu. Abasourdis par ce que l’on venait de voir, nous sommes rentré chez nous sans dire un seul mot de la route. jojo76600

    02 Témoins.

    Source : Ovni-France.

     

    Brionne (27) - Septembre 1978

    19 h 30

    Mr. Lepetit, chef d’atelier, et son épouse sont dans leur voiture sur la D. 130, Mme Lepetit aperçoit pendant 3 minutes une boule lumineuse de 30 m de diamètre qui lui semble immobile, à 100/3000 m de distance. Elle fait part de son observation à son mari. La boule commence à se déplacer et se dirige vers la voiture. Elle passe au-dessus du véhicule.

    02 Témoins.

    Source : Enquête de Mr. Guy. Josse. LDLN  n° 263/364.

     

    Blonville - sur - Mer (14)  - 20/08/2000

    23 h 30/ 23 h 45

     

    « Le dimanche 20 août 2000 à partir de 23h30, au niveau de la forêt de Honfleur, côté littoral en direction de Trouville, je circule avec mon véhicule. La nuit était claire et légèrement étoilée. J’ai remarqué un objet volant en forme de cercle, en position verticale, comprenant au moins une dizaine de fenêtres lumineuses de couleur jaune clair et de même dimension.                                                                                                             

    Entre les fenêtres qui circulaient lentement dans le sens des aiguilles d’une montre, il y avait du vide ou bien c’était transparent. L’objet représentait un cercle d’au moins 50 mètres de diamètre. J’ai remarqué ce phénomène pendant 6 à 7 minutes sur une distance d’environ 8km. Je roulais à une vitesse d’à peu près 70km/h. J’ai observé le phénomène qui était légèrement au-dessus des arbres durant tout le trajet.

    Dès que je suis arrivé aux abords des habitations de Trouville, l’objet avait disparu. Une voiture me suivait mais le phénomène était toujours visible. Ce n’était pas, d’après moi, des lueurs de phare ou même de voiture (très agrandis), même si tout le laissait penser au départ. L’objet ne changeait ni de forme ni de couleur.

    En arrivant à l’hôtel « épi d’or » à Blonville vers 23h45,  je me suis garé dans le parking.

    La nuit était étoilée et lumineuse sans vent et sans nuage. En sortant de mon véhicule, j’ai vu un point rouge d’environ 1cm de diamètre, de genre faisceau laser s’agiter très rapidement et dans tous les sens sur l’ensemble du capot, partie avant de mon véhicule. A partir de ce moment, j’ai aussitôt regardé autour de moi, les immeubles ou les quelques maisons mais il n’y avait absolument personne. J’ai donc ensuite, après environ 20 secondes, relevé la tête et à ce moment précis, à mon grand étonnement, j’ai remarqué exactement le même objet que 10 minutes auparavant. Il était cette fois-ci en position horizontale et non plus verticale, et ce, à au moins 300 mètres au-dessus de moi. Je précise que ce cercle s’est toujours présenté de face mais jamais de profil.

    L’objet était tout d’abord fixe. Les fenêtres tournaient toujours dans le sens des aiguilles d’une montre. Je suppose que le point rouge venait du centre du cercle.

    Lorsque j’ai observé pendant 3 à 4 secondes l’objet, qui était fixe dans le ciel, aussitôt il s’est mis à bouger latéralement dans tous les sens, de la même façon que le point rouge bougeait au-dessus de mon capot.

    Interpellé par ce phénomène, je me suis éloigné discrètement. L’objet avait disparu quand j’ai relevé la tête. Je suis retourné à mon hôtel.

    En conclusion, j’ai été impressionné à la fois par les capacités de camouflage et d’accélération du phénomène qui a eu lieu, en ce qui me concerne, dans un endroit toujours isolé. »

    Témoins : 01.

    Source : P. V. de Gendarmerie. Geipan.

     

    Beauvain  (61) - 09/10/1954

    en soirée

    Beauvain 09/10/1954

    En soirée, le témoin est en bicyclette en direction de Rânes lorsque près de l'étang de Lande-Forêt il est survolé par un objet lumineux qui rase la cime des arbres à grande vitesse L'objet était une sphère jetant des flammes. Son diamètre était de 4 mètres. Une protubérance se trouvait au sommet de la sphère. Elle fut observée pendant une dizaine de seconde.

    01 Témoin.

    Source : Les Ovnis en France.

     

     

     

    Trun (61) - 06/09/1988 - 23 h 

    Le Témoin Observé

     

     Un premier témoin circulant en voiture observe 1 objet en forme de tonneau avec des ailerons qui survole la route à vive allure. L'objet dépasse la voiture puis fait demi-tour pour stationner au-dessus de celle-ci. Le témoin est effrayé et éteint ses phares, ce qui semble provoquer le départ de l'objet. Celui-ci a une taille estimée entre 10 à 15 m d'envergure et de couleur orange. Il se déplace sans bruit. Le lendemain 7 septembre et le surlendemain 8 septembre, le même témoin fait la même observation mais l'objet se trouve beaucoup plus haut dans le ciel. Il prend alors des photographies de l'objet. Le témoin alerte 3 de ses voisins qui constateront également le phénomène les 6, 7 et 8 septembre. Le phénomène restant plus ou moins stationnaire a été observé durant près de 1 h 30. Bien que les descriptions faites puissent faire penser à un ballon dirigeable, ni les photos inexploitables, ni l'enquête n'ont permis de déterminer la nature exacte de l'objet observé. 04 Témoins. Sources : OVNI 61 - Orne.

     

    Trun (61) - 06/09/1988

    23 h

    Trun (61) - 06/09/1988 - 23 h 

    Le Témoin Observé

     Un premier témoin circulant en voiture observe 1 objet en forme de tonneau avec des ailerons qui survole la route à vive allure. L'objet dépasse la voiture puis fait demi-tour pour stationner au-dessus de celle-ci. Le témoin est effrayé et éteint ses phares, ce qui semble provoquer le départ de l'objet.

    Celui-ci a une taille estimée entre 10 à 15 m d'envergure et de couleur orange. Il se déplace sans bruit.

    01 Témoin.

    Source : OVNI 61 - Orne.

     

     

    Broglie (27) - 17/11/1996 - entre 01h30 et 02h

    Voitures "folles"

     

     

     Les Men-In-Black en Normandie

     

    Broglie (27) - 17/11/1996

    entre 01 h 30 et 02 h

     

     

     

     

    L'Onirisme Ufologique

      Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    Les Rêves éveillés existent-ils ?
     
     
    Broglie (27) - 17/11/1996 - entre 01h30 et 02h
    Voitures folles

    L'incident concerne une automobiliste française, Mme Stéphanie Tahon.

    Le 17 novembre 1996, après un court séjour en Normandie, elle revient vers la région parisienne au volant de sa voiture en compagnie d'un ami.

    Il est entre 1h30 et 2h du matin. Sur la route de Broglie, près de Lisieux, en direction de Paris, à la sortie d'un rond-point, le véhicule entre dans un banc de brouillard.

    Au rond-point suivant, une voiture blanche est remarquée sur le bas-côté de la route.

    Mme Tahon et son passager décident de refaire le tour du rond-point pour voir si quelqu'un est blessé dans ce véhicule.

    En dépassant la route vers Paris les deux témoins distinguent sur celle-ci deux autres voitures à l'arrêt disposées comme si elles voulaient bloquer la circulation.

    Ce sont deux automobiles très basses de type modèles américains 1950. De plus, elles semblent entourées d'un halo blanc.

    Puis les témoins parviennent de nouveau à l'endroit où la voiture blanche se trouvait, pour constater qu'en fait il n'y a personne à l'intérieur.

    Ensuite, quand ils se rapprochent prudemment de la route qui conduit vers Paris, c'est pour constater que les deux voitures ont disparu, ce qui les soulage grandement.

    Très choqués, ils poursuivent leur route avec lenteur, car le brouillard est toujours présent.

    Au bout de dix kilomètres, Mme Tahon aperçoit tout à coup dans son rétroviseur une voiture noire qui arrive à une allure folle, entre 200 et 300 km/h, avec deux phares ronds très puissants, de couleur jaune.

    Ce nouveau venu double la 205 mais avec deux changements de direction anguleux, aberrants, car impossibles à réaliser surtout à cette vitesse énorme.

    Lors du dépassement aucun bruit n'a été entendu.

    Autre chose, quand les deux témoins ont vu les deux voitures, ils ont éprouvé la sensation d'une étrange sérénité et que le temps était figé.

    L'enquêteur affirme que Mme Tahon lui a fait une très bonne impression, d'autant que durant son récit elle est restée calme, lucide et objective.

    Sources : Enquête Joël Mesnard, sur une information de Mme Astrid Fournier abonnée à LDLN, cf. LDLN n°371, février 2004, p.35.  Et Jean Sider : La grande mystification 1/ Mystification et polymorphisme du phénomène Ovni, p.192.

     

    La scénographie

     

    La scénographie de cette étrange rencontre rapprochée, évoquant celles des RR3 et RR4 ufologiques, se prête à la logique de l'interprétation onirique :

     

    La navigation dans le brouillard plante le décor du monde des rêves, qui est intemporel avec le ressenti du temps figé.

    Les véhicules automobiles sont une représentation/transposition de personnes en tant qu'êtres animés.

    Comme dans un rêve, le déroulé de cette rencontre rapprochée impacte le vécu du témoin principal.

     

    Première Phase et Première Représentation

     

    Mme Stéphanie Tahon, est confrontée à sa propre destinée personnelle.

    La voiture blanche sortie de la route, est une transposition d'elle-même, pressentant ou imaginant un péril, avec la personne éventuellement blessée dans la voiture blanche.

    Ce ressenti est si fort qu’elle décide de s’en assurer en revenant sur ses pas, en faisant un tour supplémentaire du rond-point, et aperçoit alors un couple de voitures, de type américaines des années 1950  auréolées, qui paraissent ou voudraient lui barrer la route dans sa progression personnelle.

    Ce couple de voiture apparait comme la représentation/transposition du couple de personnes qu’elle forme, à ce moment-là, avec son ami qui l’accompagne, vers la région parisienne.

    En définitive, elle et son passager sont soulagés, car dès l’instant qu’ils constatent qu’aucune personne n’est blessée dans la voiture blanche, le  couple de voitures/personnes qui les inquiétait s’est évanoui, par la même occasion, par enchantement, comme dans le déroulé magique des rêves.

    La simultanéité des deux constatations suggère fortement, un lien direct de cause à effet, augurant ainsi une solution heureuse symbolisée par la disparition d'un obstacle possible du/et dans le couple voitures/personnes.

     

    Deuxième Phase et Deuxième Représentation

     

    Choqué, le couple continue sa progression prudente dans le brouillard sur environ 10 km, avant d’être rattrapé par une voiture noire, équipée de deux puissants phares jaunes, qui double leur 205, à une vitesse qui a été estimée entre 200 à 300 km/h par les témoins, et en effectuant une double chicane anguleuse, impossible à réaliser à cette allure, dans le brouillard et dans le plus grand silence.

    Que peut signifier cette nouvelle voiture noire dans la logique interprétative des rêves ?

    Toujours la personnalisation/transposition du couple, représenté et imagé par les deux puissants phares jaunes les entrainant ainsi vers un destin inconnu  (dissimulé = sombre), symbolisé par la couleur noire.

     

    Que conclure ?

     

    Le couple de voitures/personnes américaines des années 1950 auréolées, typique de celles des Men-In-Black (MIB = créatures polymorphes endo-exogènes), symbolisant le rêve américain idéalisé.

    Cette american way of life sacralisé (auréolée), est la clef de cette rencontre rapprochée de ce couple d'amis parisiens, réalisée le temps d'un week-end  en Normandie, représentatif de l’hédonisme/consumérisme matérialiste devenu le modèle de réalisation de la société humaine idéalisée.

     

     

    Asnelles  (14) 

    1971- en fin d’après-midi

     Premier enlèvement d'adolescentes 

     

     

     

    Asnelles (14) - 1971 - en fin d’après-midi

     

     

    L'Enquerre Ufologique

     

    Les enquerres de la rencontre rapprochée des temps concordants de Asnelles (14), réalisée par deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans), en 1971, font écho à l'intuition de Fabrice Kircher et Dominique Becker :

    [les enquerres : en héraldisme, dans les mythes, les contes et les légendes, les œuvres d'art et architecturales, les poèmes, les récits, les rêves, les visions, etc., les enquerres (les incohérences apparentes), ont pour fonction d'attirer l'attention, au même titre qu'une signalétique (dont il nous faut nous enquérir), pour correctement orienter la lecture du formel à l'essentiel, en référant un double langage encodé.

    Les enquerres propres aux apparitions ufologiques ont la même utilité]

     

    A Bouter-Fringon

     

    « Les anciens grecs ont révélé les enjeux fiduciaires de la vie, des résidents terrestres indigènes, des visiteurs extra-stellaires exogènes et des intrus endogènes de l’autre monde, dans la rivalité fratricide de Poséidon, de Zeus et de Hadès. »

    [Le Mythe éclaire l'Histoire - Bellator]

     

     Deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans) revenaient en fin d'après-midi de chez des amis, et rejoignaient l'installation de camping de leurs parents à Asnelles (14) , sur le littoral du Calvados, en Normandie.

     

     

      

     

    Elles s'apprêtent à traverser un bois, lorsque tout-à-coup, elles s'aperçoivent au-dessus d'elles, à peu près à 50 m d'altitude une soucoupe volante (sic).

    Elle est ronde et munie d'une lumière orange sur le dessus.

    Elles ne croyaient pas à l'existence des soucoupes volantes et elles ont pensé à un hélicoptère, mais c'était bien une soucoupe volante qui se mit à décrire un arc de cercle et donna l'impression de vouloir se poser.

     

    [enquerres du phare orange = or/ange, or pour initiale de horloge + ange pour esprit/intelligence céleste = instruction sur l'horloge de la mécanique céleste/astronomique, et de la boucle temporelle suggérée par la trajectoire de la soucoupe volante qui va se poser/c'est-à-dire activer une pause dans le cours du temps]

     

    Elle finit par disparaître cachée par les arbres.

    Les deux sœurs continuèrent alors leur chemin en commentant l'événement.

    Lorsqu'elles débouchèrent dans une carrière, elles virent la soucoupe volante posée au sol, et à ce moment-là, la soucoupe s'ouvrit (comme la boîte de Pandora) et deux personnages en descendirent.

    Tout d'abord, un petit vieux, suivi d'un énorme colosse.

     

    [double enquerre du petit vieux = le vieillard = Cronus = Chronos = Saturne qui personnifie le temps présent qui s'auto-dévore/s'auto-annihile et du colosse = titanic deus = attribut du dieu titanesque = le dieu Saturne = le temps.]

     

    Elles s'aperçurent alors qu'elles étaient paralysées, elles ne pouvaient ni crier, ni bouger, mais elles continuèrent à être conscientes et elles voyaient parfaitement.

     

    [enquerre (et métaphore) du temps pétrifié/immobilisé/arrêté, ce temps perdu (missing-time/lost-time), de notre temps ordinaire (celui de Myriame D. et de Joëlle D, dont la fuite éperdue vers le futur est figé, le temps de se concorder à celui des soucoupiens (« les 2 sœurs sont tombées Sous la Coupe du Vol-Lent ... de la Sou-Coupe Vol-Lante ! ») :

    « Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ?  ... Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! ... Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. »

    Le Lac - Alphonse Lamartine (1790/1869)]

     

    Elles avaient bien-sûr très peur.

    Lorsque les deux personnages (le petit vieux et le colosse qui n'en font qu'un, à l'image de cette rencontre rapprochée qui unit le temps sidéral et le temps solaire), parfaitement humanisés, arrivèrent à leur hauteur, ils les rassurèrent en leur parlant en français :

    N'ayez crainte nous ne vous voulons aucun mal !

    (le colosse parlait un langage argotique)

     

    [enquerre : signalant, le double message (encodé dans le récit littéral) dont il faut s'enquérir au-travers de cette rencontre rapprochée des temps concordants ; un argot étant une variété linguistique spécifique à un groupe social ou socio-professionnel, qui permet de se différencier des non-initiés et de se créer une identité propre en utilisant des termes cryptiques Cf. Wikipédia]

     

    et ils les emportèrent dans la soucoupe où les effets du gaz paralysant (métaphore de notre temps atmosphérique/écosystème) se dissipa progressivement.

    La soucoupe volante était munie d'un tableau de bord avec toutes sortes de manettes, et autour une baie vitrée permettant de voir l'extérieur.

    La plus âgée arriva à contenir sa peur et son émotion, tandis que la cadette n'arrêtait pas de pleurer (renvoi à notre temps atmosphérique/écosystème, et allusion à la pluie du ciel, personnifié par la divinité Ouranos/Uranus/Cœlus = Cielqui l'envoie aux hommes). 

    Mais à partir de ce moment-là, un dialogue assez étonnant s'engagea avec surtout le petit vieux et la sœur aînée Myriame.

    En effet le petit vieux explique qu'il était un humain, et qu'il avait été enlevé, comme elles, il y a 15 ans alors qu'il revenait de visiter un malade, étant médecin à l'époque.

     

    [si l'on calcule l'année de l'enlèvement du petit vieux médecin, 1971 - 15 ans = 1956, on trouve l'année bissextile 1956, ce qui constitue une enquerre  signalant le temps sidéral et le temps solaire, décalé de : 4 minutes, et 4 à 5 secondes, qui sont harmonisés tous les 4 ans, avec les  fameuses 24 heures ajoutées aux années bissextiles]

     

    Le colosse confirma ses dires, en expliquant que lui était docker.

    Par contre les pilotes de la soucoupe sont des Suraniens (des coloniaux) de la planète Suranus et qu'ils viennent capturer des humains pour les emporter sur leur planète où, s'ils sont de beaux sujets, ils sont placés et gardés dans des sortes de zoos, ... et s'ils sont dociles et forts (les métayers et les fermiers généraux) ils rentrent au service des Suraniens.

    Pour autant, s'ils sont bien dodus, ils sont mangés (les Suraniens sont des prédateurs) au cours des fêtes. (écureuils /homme-nivore, de 1.80 m !)

    Les beaux spécimens dans les zoos vivent une existence paradisiaque (référence au Jardin paradisiaque de la Genèse/destiné à la reproduction et à l'élevage), selon le docteur, il y aurait même beaucoup de terriens qui sont parfaitement heureux sur Suranus et qui ne voudraient pas revenir sur terre.

    Suranus qui est située derrière (au-delàla face cachée de la Lune, possède des satellites (les autres planètes colonisées par les Suraniens) avec d'autre formes de vie, par exemple des êtres qui ressemblent à des chauves-souris, d'autres des sortes d'algues aquatiques.

     

    [enquerre : derrière/au-delà de la face cachée de la Lune = monde sup-lunaire/sup-solaire, par opposition au monde terrestre qui est sub-lunaire/solaire]

     

    Les Suraniens eux sont comme nous, à part qu'ils ont une tête d'écureuil sans poils, oreilles pointues, museau.

     

    [enquerre étymologique : écureuil = ombre/queue = esprit issu de l'armée des ombres (queue = filem = filiation) +  enquerre/tête d'écureuil-sans poils signalant la marque des âmes vagabondes, des nomades, des visage glabres, imberbes ; signe de Caïn, l'Exilé ! (du Paradis Terrestre).

    [Le Seigneur lui dit : Si quelqu'un tue Caïn, Caïn sera vengé sept fois. Et le Seigneur mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouve ne le tue pas. Puis Caïn s'éloigna de la face du Seigneur, et il habita dans la terre de Nod (racine hébraïque "errer"), à l'orient d'Éden. (Genèse IV, 16) - "A l'Est d'Eden, what else James ?]

    [«  Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans « l’intelligence » de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »]

     [Les gîtes secrets du lion - 1958  de George Hunt-Williamson]

     

    La Lune (renvoi au monde terrestre qui est sub-lunaire)  est aussi habitée (y compris la Terre), et les Suraniens s'y sont réfugiés dans son sous-sol (bases souterraines + allusion au double-sens véhiculé).

    Et lorsque l'homme a posé le pied pour la première fois sur son sol (le 21 juillet 1969) cela ne leur a pas plu (cela ne devrait pas plaire non-plus aux abonnés de Top-Secret !), mais heureusement pour l'humanité les Suraniens sont pacifiques (sauf avec les Pères Dodus !).

    Les Suraniens sont par ailleurs mécontents à cause de tous les satellites qu'envoie l'humanité car cela crée un encombrement monstre (surtout ne le dites pas à Elon Musk !).

    Pour leur part les Suraniens ont plusieurs milliers d'années d'avance sur nous, et ils vivent une existence paisible puisqu'ils ont également résolu tous les problèmes posés par la modernité (les écolos peuvent dormir sur leurs 2 oreillers !).

    Selon le docteur, nous ne sommes pas prêts à mettre les pieds sur Mars (référence à la colonisation interplanétaire, Mars étant le dieu de la guerre et de l'agriculture) étant donné qu'il nous manque plusieurs milliers d'années à notre évolution pour être à même de réaliser ce projet (cela devrait déplaire à Elon Musk, même s'il prétend, avec Enrico Fermi, que les extraterrestres n'existent pas !).

     

    [parmi les pseudos révélations coutumières des RR3/RR4, plus ou moins/volontairement délirantes (anomalies qui représentent des enquerres), se dissimulent celles relatives aux différences des lignes de temps ; la face cachée/face visible de la Lune métaphore du temps visible/connu et du temps non-visible/non-reconnu ; avec les différences des degrés d'évolutions éthiques qui leur correspondent ; le néologisme de Suranus, composé de l'initial de Saturne et de Uranus (S + Uranus), le fils  (Saturne) précédent ainsi son père (Uranus), signalant le factuel de l'inversion de l'écoulement du temps, et le concept de la rétro/temporalité/causalité de la mécanique quantique, ... la finalité Zeus/Jupiter (petit-fils de Ouranos/Uranus/Cœlus) se superpose à celle de son origine Ouranos/Uranus/Cœlus (grand-père de Zeus/Jupiter) suivant la logique du principe de superposition quantique]

     

    Au début, la sœur aînée avaient très peur du colosse, mais très vite elle s'est aperçu qu'il était très gentil, comme le docteur qui était particulièrement aimable, faisant tout pour les rassurer.

    Cependant, elle ne pouvait pas se résoudre à l'idée d'être réduite à l'état d'esclavage pour le compte des (colonisateursSuraniens, et elle se révolta à plusieurs reprises face à une telle perspective, allant jusqu'à reprocher au docteur et au docker d'être devenus les chiens de chasse serviles (l’oligarchie des métayers et des fermiers généraux des classes occulto-politico-religieuses) des Suraniens, ce qui a vexé le docteur.

    Elle leur a demandé, pourquoi ils ne s'étaient pas évadés, ... le docteur répondit que c'était impossible car les Suraniens avaient un fusil paralysant capable de tirer jusqu'à 2 km. (ce qu'ils avaient probablement tenté, sans succès).

    Maintenant notre courageuse héroïne, étant plus assurée, et à présent plus aguerrie, a décidé de réagir afin de conserver sa liberté.

    Elle propose directement un plan d'évasion à ses compatriotes devenus captifs des Suraniens.

    Elle exposa donc son plan d'évasion avant de le réaliser. Les deux sœurs vont faire semblant de s'évanouir ou de tomber en syncope (évocation des pertes de consciencemissing-time, du temps-manquant, ou temps-perdu des victimes des RR3/RR4), à ce moment là, les deux captifs iront chercher les pilotes, et à ce moment précis, ils pourront neutraliser les Suraniens.

    Les deux sœurs s'exécutent, et pour faire plus authentique, l'aînée ferma réellement les yeux.

    Les deux captifs vont chercher l'un des deux pilotes dans la cabine de pilotage. 

    A l'instant où l'extraterrestre s'approche d'elle, du haut de ses 1.80 m (en 1971, les petits-gris/gremlins ne sont pas encore à la mode en France, ... Merci E.T. Téléphone-Maison ! A noter que curieusement le petit-gris est le nom vernaculaire donné à plusieurs espèces d'écureuil !), l'aînée ouvre les yeux et bondit sur lui par surprise et lui casse le bras avec un Harmlok (prise de Judo qu'elle pratique depuis l'âge de 13 ans), à cet instant elle se saisit de son fusil paralysant, le donne au docteur qui va paralyser l'autre pilote resté dans la cabine de pilotage.

     

    [enquerre de la révolte du petit vieux docteur (personnification de Saturne) évoquant l'usurpation mythique du pouvoir d'Uranus par son fils Saturne]

     

    Ils en profitent alors pour quitter la soucoupe volante, les deux sœurs, et le docteur armé du fusil paralysant qui disparut dans les bois.

    Le docker n'est pas sorti avec eux.

     

    [enquerre : du collaborateur (du métayer et fermer général) avec le personnage du docker (pendant/doublure/et attribut du petit vieux docteur/ Saturne) qui se désolidarise du petit vieux docteur (qui devient résistant en se rebellant), et allusion emblématique à la future usurpation/rébellion mythique du pouvoir de Saturne, qui sera à son tour détrôné, et de la même façon, par son propre fils Zeus/Jupiter]

     [enquerre : du petit vieux docteur qui incarne Abel (le Mars/agriculteur qui se libère de la tutelle des Suraniens) tandis que le colosse/docker personnifie Caïn (le Mars/guerrier qui suit les colonisateurs Suraniens) - Cf. le mythe des 2 frères Abel (fidèle à la loi du Seigneur) et Caïn (infidèle à la loi du Seigneur)]

     

    Après, environ une heure enfermées dans la soucoupe volante, les deux sœurs ont rejoint leurs parents, essoufflées et en pleurant.

    Mais ces derniers n'ont jamais voulu les croire, ni prévenir la Gendarmerie.

    02 Témoins. Source :  Les 2 Premières Adolescentes Kidnappées par des Extraterrestres - Enquête Génpi. 

      

     

    194/ La Défense Nationale & la Sûreté du Territoire face aux Ovnis !

     

    Soumont-Saint-Quentin (14) - 01/11/1990 - vers 22h / 23h

    Mimétisme Ovni & Scan du Témoin

     

     Au cours d’une veille de surveillance, par temps de brouillard, sur le site ovnigène, légendaire et mégalithique de la Brèche au Diable, à Soumont-Saint-Quentin (14), un guetteur du Génpi (R. C.  âgé de 34 ans), qui s'est posté en haut de la côte de Plaids (148 m), à  la sortie sud de Ouilly-le-Tesson (14), observe, à 250 m de sa position, la présence d’un engin qui emprunte la route de la D261a, un peu en avant du carrefour-stop  de la D261b, mais qui se déplace, en réalité, à très petite vitesse en flottant et en tanguant au-dessus de la chaussée. 

    Cet engin est silencieux et il a la taille apparente d’un véhicule automobile ordinaire dont le guetteur peut deviner à peu près la forme globale, mais muni uniquement de ses feux rouges de position arrière, roulant comme le ferait une voiture, mais en marche arrière, qui se dirige alors dans sa direction, vers la côte 148 m de la côte de Plaids. 

    Jusqu’au moment où deux voitures, légèrement distante l'une de l'autre, venant de Soumont-Saint-Quentin (14) approchèrent de loin, à cet instant l’engin se range sur un champ qui borde la route et éteint ses feux rouges, pour laisser passer, successivement les deux voitures qui, elles, sont éclairées normalement avec leurs feux de croissement et de position, avant et arrière (le témoin a pu identifier la première voiture comme un modèle de la DS Citroën).

    Après le passage des voitures, l’engin rallumera ses feux rouges  pour poursuivre son exploration toujours parfaitement silencieuse, mais maintenant dans le sens opposé, vers Soumont-Saint-Quentin (14), et, in fine, se dirigera en s’élevant doucement et progressivement au-dessus du champ vers la D261a, mais selon une trajectoire sinueuse qui le fit survoler la rivière du Laizon.

    A cet instant le guetteur R. C., voyant l’engin s’éloigner de sa position, se précipite en courant après lui, et traverse le Laizon à un gué, qu’il connaissait, pour essayer de le rattraper dans son vol dirigé vers le site de la Brèche au Diable.

    Lorsque R. C. se retrouva, les pieds et les  jambes dans l’eau froide, au milieu du cours du Laizon, il eu la surprise de voir l’engin venir le survoler en stationnant au-dessus de la cime des arbres, et ressenti une forte tension avec l’impression d’être scanné par un genre de rayonnement invisible, qui cessa brutalement avant que l’engin ne poursuive sa route dans les airs.

    Malgré sa poursuite effrénée à pied qu'il prolongea, R.C. ne revit plus cette voiture volante. (du moins cette nuit-là).

    Le guetteur a assisté à plusieurs reprises au déplacement de cet engin déguisé en voiture, qui suivait ostensiblement le tracé des voies routières. Et le fait d'avoir été comme enfermé (pendant environ 02 minutes) dans une bulle invisible, avec la forte impression d'y être sondé ou scanné, l'a profondément marqué.

    01 Témoin-Guetteur

    Source : Génpi.

     

     

     

    « Ces ovnis qui nous chassent - Part IBellême (61) »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :