• Eu (76)

    Normandie - France - Ovnis

    Eu (76)

     

    Mise à jour de la carte le 04/06/2023

     

    [Eu/habitants : 8 079 (450,6 hab/km2) en 1968 - 8 588 (479,0 hab/km2) en 1982 - 6 716 (374,6 hab/km2) en 2019 - Superficie : 17,93 km2 - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire - Climat océanique franc]

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    Eu (76) 

     le gardien

     D'argent, au lion léopardé de gueules.

     

    Eu (76) - 20/02/1983 - la nuit

     

     

    A la sortie d’Eu (76), D. 49, Mr. et Mme N. roule en voiture en direction du Tréport, déclaration des témoins :

    Au début, c’était un point lumineux au-dessus de la mer. On était en haut, sur le plateau, avant de redescendre dans la vallée qui mène au Tréport, alors moi je l’ai vu, il était allumé et puis il ne se déplaçait pas tellement alors je me suis intéressé à regarder puisque je ne conduisais pas (Mr. N.).

    Je regardais cette lumière et elle s’est mise à clignoter également, au même rythme que le phare du Tréport, c’était synchro, puis cela semblait ralentir au point de s’arrêter.

    C’est en arrivant en haut de la côte d’Eu qui va en direction de Saint Valéry sur Somme qu’on l’a revue

    De plus près mais il n’y avait plus la couleur blanche qu’on voyait dans le ciel auparavant au-dessus de la mer, ça n’allait pas très vite puisqu’on a pu la suivre en roulant, c’était assez bas.

    Sur le phénomène il y avait aussi des lumières bleues et vertes.

    Mme N. (qui conduisait la voiture) : moi je n’ai pas bien vu la couleur rouge, j’ai vu le vert et le bleu et cela se déplaçait lentement, pas en ligne droite comme un avion.

    On a continué notre route jusqu’à Ault (chez la sœur de Mr. N.) où j’ai continué à l’observer à l’extérieur du haut des escaliers, c’était une lumière blanche comme un gyrophare assez puissant qui repassait tous les cinq minutes, sans aucun bruit, toujours dans le même sens N-E / S-O, je l’ai observé par intermittence, durant une demi-heure, car cela m’intriguait. J’ai pris une belle photo.

    Puis nous sommes passés à table, avec ma belle-sœur et son mari qui n’ont pas accroché, croyant à un avion. 04 Témoins. Source : LDLN n°226.

     

     

    Ville antique de Briga 

     
    Briga est une agglomération gallo-romaine qui par la suite devint la ville d'Eu dans le département de Seine-Maritime.

    Le site archéologique gallo-romain de « Bois l'Abbé », situé en forêt d'Eu à 130 mètres d’altitude sur le plateau de Beaumont, et classé au titre des monuments historiques depuis 19871, est fouillé par intermittence depuis plus de deux siècles. Il correspond à une ville du Haut-Empire romain dont la superficie est actuellement estimée à plus de 65 ha. Tous les ans, le site accueille des bénévoles pour les campagnes de fouilles estivales.   Le site Briga est situé en Normandie, plus précisement en Seine-Maritime. Cette agglomération secondaire gallo-romaine est géographiquement à l'interface des provinces de Belgique, et de Lyonnaise voire de Bretagne si l'on fait abstraction de l'Oceanus Britannicus (la Manche actuelle). Implanté sur un étroit plateau, le site domine la vallée de la Bresle et un petit fleuve éponyme navigable sur plus de 3 km depuis la Manche.
     


     

    La forêt domaniale d’Eu s’étendait sur toute la frange septentrionale du duché de Normandie, couvrant les coteaux de la rive droite de la Bresle qui faisait face aux terres picardes du Vimeu. Cette forêt est mentionnée tardivement dans les sources et sa formation paraît dater du Haut Moyen Âge. L’extrémité occidentale de ce massif forestier, l’un des trois triages forestiers donnant sur la ville d’Eu, porte le nom de Bois-l’Abbé, en référence probablement à leurs anciens détenteurs, les religieux de la collégiale Notre-Dame du Châtel d’Eu. Ce domaine que les arpenteurs duXVIIe siècle dessinent sous la forme d’un triangle est délimité au nord par le cours d’eau de la Bresle, au sud par la vallée sèche de Saint-Pierre-en-Val et à l’est par la vallée du Mont Hulin qui départage les terres des religieux de celles du Comte d'Eu. La possession de ces terres par la collégiale conduit à penser que le comte d’Eu a hérité des terres qu’occupait l’ancienne agglomération antique de Briga. Si la période entre l’abandon de Briga et l’acquisition par les religieux de cet espace n’est renseignée par aucun document, l’archéologie a repéré, à l’extrémité occidentale du plateau du Bois-l’Abbé, une fortification de terre que l’on suppose être celle du comte carolingien occupant la place forte. Son existence est mentionnée par la chronique du chanoine rémois Flodoard au xe siècle. Cette fortification de terre est peut-être un jalon dans le déplacement progressif du peuplement, des hauteurs de l’estuaire de la Bresle vers le futur bourg comtal d’Eu en fond de vallée.  Les relevés de la carte d'état-major réalisés au xixe siècle apportent des précisions sur les caractéristiques orographiques de ce massif forestier de Bois-l’Abbé (30 hectares), s’étendant entre le Bois-des-Combles à l’ouest et le massif de La Madeleine à l’est. Ce plateau autonome de plus de deux kilomètres de long est une bande de terre atteignant au mieux 300 m de large et ondulant sous l’effet de vallons entamant en profondeur le socle rocheux. Les talwegs des vallons sont parcourus par des sources qui jaillissent des pentes supérieures. Ce promontoire aux pentes abruptes et à l’humidité persistante n’en a pas moins été un lieu de passage, qu’attestent les nombreux chemins de terre en cavées. Ces chemins assurent le passage de la vallée de Saint-Pierre-en-Val à la Bresle et desservent, à l’époque antique, l’agglomération de Briga situé à l’extrémité orientale du plateau. Ce relief si marqué a déterminé la forme de la ville antique que dégagent les fouilles archéologiques.

    La levée topographique, travail de longue haleine, constitue l’unique moyen véritablement scientifique d’inventorier et archiver des informations de terrain. Entre 2011 et 2015, 61 hectares ont ainsi été parcourus grâce à une couverture de 90 000 points permettant aux logiciels informatiques de dessiner des courbes de niveaux précises. Ces données renseignent sur l’organisation spatiale de l’agglomération antique et les anomalies qui ponctuent le terrain, toutes périodes confondues. Cette méthode est mise en place à Briga avant toute intervention archéologique qui détruit irrémédiablement la topographie naturelle. Source : Site archéologique du Bois l'Abbé.
     
     

     L'Eperon Barré

     

     

    L’oppidum d’Incheville est un éperon barré de 28 ha qui surplombe la vallée de la Bresle (la proposition de 12 ha faite par M. Wheeler est trop petite). Il est protégé sur l’ensemble de son contour par des falaises et des pentes abruptes, seul un petit lambeau de près de 300 m de long le rattache au reste du plateau. Cette partie est protégée par un rempart de 7 à 8 m de haut, depuis le sommet de comblement du fossé. Malgré l’absence de fouilles, il est considéré comme un rempart à talus massif. M. Wheeler signale deux interruptions dont l’une, au centre du rempart, est interprétée comme l’entrée originelle.

    À 2,5 km au nord-ouest, en longeant la vallée de la Bresle, se trouve le sanctuaire d'Eu Bois l’Abbé pour lequel le nombre important de monnaies gauloises laisse entrevoir un fonctionnement à La Tène finale et donc sans doute un lien étroit avec l’oppidum.

    L’oppidum est situé entre les territoires attribués aux Ambiens et aux Calètes. L.-P. Delestrée a mis en évidence que le sanctuaire de Bois l’Abbé, et donc la vallée de la Bresle, correspond à un petit peuple, celui des Catuslugi. Source : Oppida.

     

    Le Pas de Saint-Laurent

     

    L’histoire de la Ville d’Eu est très liée à celle de Saint-Laurent O’Toole. Archevêque de Dublin, celui-ci est mort à Eu en 1180. « Les miracles se multipliant sur son tombeau, l’archevêque fut canonisé par le pape en 1225 », indique le site Internet de la Ville d’Eu. Son gisant dans la crypte de la collégiale de la ville est l’un des plus anciens de la région. C’est de la colline aujourd’hui appelée saint-Laurent que le saint aurait découvert la ville qui allait devenir son lieu de sépulture et de vénération. La légende du « Pas de Saint-Laurent ».

    Cette pierre de grès située près de la chapelle porterait « l’empreinte d’un pied humain, surmontée d’une croix monolithe. Ce serait celle de Saint-Laurent qui se serait arrêté là, pour interroger des bergers avant d’entrer dans la ville d'Eu. Source : L'Informateur du 10/08/2017 -  L'Informateur du 10/08/2017.

     

    La Vierge du Vœu

     

    Un autre patrimoine religieux important de la ville est la procession de la Vierge du Vœu. En 1636, la peste emporte de nombreux habitants. Mathieu Bonnet, premier magistrat, a recours à l’intercession de la Vierge pour venir à bout de la maladie. Il fit réaliser une statuette de Marie, en argent, et fit le vœu solennel d’effectuer dans la ville une procession à perpétuité. Cette procession a toujours lieu entre le château et la collégiale, au mois de septembre  -  L'Informateur du 10/08/2017.

     

    La Pierre Bise

     

     

    Dans la forêt d'Eu, se trouve le « Quesne à leu ». Son nom est d’origine picarde. On raconte que c’est au pied de ce chêne qu’aurait été tué le dernier loup de la forêt d’Eu.

    Des jugements y auraient été rendus. L’arbre vénérable mesurait 27 m de hauteur, avec une circonférence de plus 4 m. Il avait plus de 300 ans, mais il a été déraciné par une tempête en 2008.

    Non loin de là se trouve également la « pierre bise » qui annonce selon la légende un événement grave ou un orage quand elle se met à fumer.

    Alain Gracia affirmait, dans son ouvrage de 2012 « les forêts du Talou », que l’adjectif bise qualifie la couleur gris brun du grès.

    On dit que cet ancien monument druidique devient fumant juste avant un événement grave ou un orage. Source : Décatlhon Outdoor - L'Informateur du 10/08/2017.

     

    Géolocalisation des Sabbats  

     

    Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)

    Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979

     
     
    Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)
     
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