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La Londe (76)
Normandie - France - Ovnis
La Londe (76)
Mise à jour de la carte le 01/05/2023
[La Londe/habitants : 1 062 (34,28 hab/km2) en 1954 - 1 423 (45.9 hab/km2) en 1968 - 2 338 (75.5 hab/km2) en 2019 - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire - Climat océanique dégradé - Superficie : 30.98 km2]
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
La Londe (76)
Le Bois (La Voix) de la Forêt
Écartelé, aux premier et deuxième d'azur à la bande d'argent chargée de cinq losanges aboutés de gueules et accompagnée de deux molettes d'or, aux troisième et quatrième d'argent à deux fasces de gueules.
Mise à jour de la carte le 28/03/2023
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
La Londe (76) - 05/11/1990
Sources : https://www.youtube.com/@woouuhtv3419 - (42) Reconstitution en vidéo des témoignages du 5 Novembre 1990 – UFOmania Documentaires OVNI - YouTube
La Londe - Forêt de la Londe - Rouvray (76) - 16/04/1974 - vers 22 h
Pris en Chasse sur l'Autoroute A13 par un Ovni !
Le mardi 16 avril 1974, aux environs de 22 h (à un I/4 d’heure près), Mr. L., au volant de sa voiture, se dirigeait vers Paris, venant du Havre. Il avait emprunté l’autoroute et ayant passé la ville de Rouen, il laisse sur sa droite l’embranchement vers Évreux, pour prendre la direction de Paris. A cette bifurcation il s’arrête pour prendre deux auto-stoppeurs dont l’un Anglais, auxquels il n’a malheureusement pas demandé l’adresse.
Il repart et après avoir roulé 5 ou 6 km, avant de passer sous le pont des Essarts, il aperçoit au loin le long de l’autoroute à 6 ou 800 m, un objet lumineux. L’autoroute se situe alors en pleine forêt, aucune habitation ni usine, ni cheminée n’existent aux alentours.
La voiture se rapproche à la vitesse de 100/110 km/h, les trois hommes peuvent alors nettement voir l’objet, unique, parfaitement rond, aux dimensions apparentes d’un ballon de football. L es témoins passent à ce moment au plus près de l’objet, ils en sont distants de 50 à 100 m. La sphère, située sur le côté gauche de l’autoroute (c’est-à-dire le côté opposé à celui de la voiture), est au-dessus des arbres à une hauteur de 50 m.
Elle apparait, comme d’ailleurs dès le début de l’observation, d’un rouge incandescent et même éblouissant. Il est à noter d’autre part que le ciel est clair sans nuage et étoilé. Il n’y a pas de lune et l’obscurité est totale, aucune autre voiture, pas de construction quelconque, seuls les phares de la voiture, les lumières de Rouen au loin et en arrière de la voiture un provoquaient une pâle rougeur à l’horizon, ainsi que l’intense luminosité de l’objet qui se détachait sur le ciel sombre.
Lorsqu’il dépasse à environ 130/140 km/h l’Ovni, jusqu’alors apparemment fixe, les suit d’une trajectoire rectiligne qui longe l’autoroute. Les trois hommes peuvent nettement distinguer sur la face de la sphère qui leur était cachée une partie métallique, de couleur grise, formant comme un anneau de Saturne (plan médiateur horizontal).
Ainsi l’engin incandescent les suit sur une dizaine de km, un peu décalé en arrière par rapport à la voiture, puis il s’arrête. Les témoins ayant eux-mêmes stoppé un peu plus loin peuvent voir, toujours de leur voiture, l’engin repartir, dans le silence le plus total, vers la position initiale qu’il occupait.
Il rejoint celle-ci puis disparait mystérieusement sur place comme par désintégration.
Il semblerait que son éclairement ait disparu brutalement sans laisser d’impression rétinienne. Toute l’observation s’est faite dans le silence le plus total (sauf bruit du moteur de la voiture). Cette dernière a parfaitement roulé, aucun champ magnétique quelconque ne semble l’avoir atteinte.
Il est par ailleurs surprenant de suivre la réaction des témoins. En effet apercevant au loin l’objet, la voiture roule aux environs de 110 km/h. Le conducteur est pris d’une panique intérieure, d’une crispation qui le fait accélérer involontairement à 130/140 km/h. Il devient incapable de freiner, des frissons, une sensation bizarre l’envahissent. Ce n’est que lorsque l'appareil s’arrête que le blocage nerveux cesse et que le conducteur peut immobiliser son véhicule.
Aucune parole n’est échangée avec les deux auto-stoppeurs, les trois hommes en étant incapables. Le conducteur que j’ai donc pu interroger, m’a fait cette description dans un calme apparent.
Il est âgé d’une vingtaine d’années, étudie à Paris et semble digne de foi. Le lendemain de l’observation le témoin reste assez calme, il se contente de raconter ce qu’il a vu. Puis les jours suivants, la tension nerveuse croit.
Dans la nuit du vendredi au samedi, il ne s’endort pas, sujet à de profondes angoisses. C’est ainsi que son père, surpris de ces réactions, m’invite à venir interroger son fils. C’est d’autre part la première observation du témoin. Il ne s’est jamais intéressé au phénomène OVNI et n’a jamais lu un quelconque ouvrage s’y rapportant. Le témoin m’a révélé, fait très surprenant, que ½ heure ou ¾ heure avant l’observa un pressentiment lui fait penser aux « soucoupes volantes ». Il s’imagine brutalement au volant de sa voiture, sans aucune cause apparente, témoin d’un tel phénomène !
03 Témoins.
Source : Enquête de Mr. P. Richard – Ouranos nouvelle série – 1974.
La Londe (76) - 13/11/1960 - de 02 h 45 à 03 h 30
Une Soucoupe Volante posée sur la Voie Ferrée
Le témoin, M. Carbonnier, habite une maisonnette de garde-barrière, en pleine forêt de La Londe, sur la voie ferrée Rouen - Le Mans (passage à niveau N°1), à environ 16 km au Sud/ouest de Rouen (76) et c'est un homme parfaitement équilibré qui s'explique clairement, et qui ne manifeste aucun attrait pour la publicité. " Je sais que j'ai vu : un engin, et qu'il était réel, appelez soucoupe, si vous voulez, je me contente de dire ce que j'ai vu : un engin lumineux, et je ne sais pas ce que c'est ".
Le Témoin est étendu sur son lit et fume une cigarette n'arrivant pas à trouver le sommeil. Le ciel est clair, la lune brille quand soudain son attention est attirée par des lueurs vertes au-dehors. Il réveille sa femme qui constate le phénomène mais préfère retourner se coucher.
Il voit alors un objet émettant huit lueurs vert bouteille foncé, non clignotantes et d'intensité constante. L'objet évolue à une altitude de 700 m. L'objet se pose sur la voie ferrée à 150 m du domicile du témoin.
Il a la forme de deux assiettes renversées, l'une sur l'autre de 2 m de haut pour 5 à 6 m de diamètre. De brèves lueurs rouges émanent de dessous de l'objet. Il repose sur un trépied de trois pâles qui se déplièrent à l'atterrissage.
Soudain, sur la partie supérieure de l'objet des sortes d'ailerons très nombreux allant du centre à la périphérie se mettent à tourner, puis l'objet décolle lentement.
A 40 ou 50 m du sol le trépied se replie à l'horizontale, la vitesse de l'objet s'accélère et il disparaît vers le sud-ouest en direction de Bourgtheroulte à grande vitesse. Traces visibles sur deux traverses en bois, portant chacune 4 trous, disposés en carré, d'environ 10 cm de coté. Les trous ont environ 1 cm de diamètre, et 105 de profondeur, et semblent faits par une tarrière, et non par la pression d'un objet.
Au cours de l'enquête le chien du témoin refusera obstinément de se rendre sur le lieu d'atterrissage. 02 Témoins. Source : LDLN N°57. Enquête de M. J. Vuillequez.
La Londe (76) - 08/04/1956 et 09/04/1956 - de 23 h 40 à 00 h 05
Les Troglodytes
Au sud-est de la forêt, le sentier des Troglodytes qui est un ancien complexe de maisons troglodytiques partiellement détruites. Les premiers habitants sont arrivés il y a environ 150 ans et le dernier habitant de ce complexe de petites maisons a quitté les lieux vers 1950.
Au nord-ouest de la forêt, se trouve un sentier de randonnée avec plusieurs grottes ainsi qu'une ancienne maison troglodyte.
Non loin des habitations troglodytiques Richard-Coeur-de-Lion fit bâtir le château défensif de la Roche-Fouet.
Le Menhir
Fièrement dressée dans la forêt du Rouvray la Pierre d'Etat, est une figure emblématique du patrimoine couronnais. Facilement visible et accessible, elle se situe à une centaine de mètres de l’entrée de forêt située rue de la Pierre d’Etat, au niveau de la sortie de ville en direction de l’A13.
Cette pierre imposante est entourée de mystères. Elle serait âgée d’au moins 4 000 à 5 000 ans, et daterait de l’époque gauloise. Son origine n’a jamais pu être déterminée avec certitude. Pour certains, il s’agirait d’un menhir venant de Carnac en Bretagne. Pour d’autres, elle serait un vestige d’une ancienne carrière, car on peut apercevoir d’autres pierres de moindre importance à proximité de la Pierre d’Etat, dont une située juste à l’entrée de la forêt le long de la route. Cela pourrait vouloir indiquer la présence d’un ancien site mégalithique, et traduire l’existence d’une certaine organisation sociale dans laquelle ces pierres servaient à délimiter des propriétés.
Mais une légende voudrait que cette pierre soit en fait un géant pétrifié, et qu’elle aurait le pouvoir de combattre la stérilité et d’aider les jeunes femmes à trouver un époux. Au-delà de toutes ces hypothèses, certains faits sont incontestables.
Une « sœur jumelle »
au cimetière de RouenLa Pierre d’Etat apparaît officiellement dans des documents d’archives pour la première fois en 1838, et elle est classée « Monument Naturel à caractère historique » en 1931. Elle avoisine les 13 tonnes, mesure 2,20 m de hauteur et 2,50 m de largeur. À l’origine, la Pierre d’Etat avait une « sœur jumelle », située à côté d’elle.
Celle-ci a été déplacée en 1838, pour servir de stèle funéraire pour la tombe de Hyancinthe Langlois, un artiste archéologue-antiquaire, au cimetière monumental de Rouen. Ce déplacement avait provoqué à l’époque la protestation des Petit-Couronnais, et cela a failli se reproduire pour l’actuelle Pierre d’Etat ! Elle devait en effet entrer dans la composition des rochers artificiels du square Solférino de Rouen, mais la vigilance de l’administration des Eaux et Forêts a permis d’éviter ce déplacement. Elle reste donc le plus beau symbole de la forêt couronnaise. Source : Paris-Normandie du 10/08/2015.
La tombe d’Hyacinthe Langlois au cimetière monumental de Rouen
Géolocalisation des Sabbats
Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)
Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.
Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
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