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Laulne (50)
Normandie - France - Ovnis
Laulne (50)
Mise à jour de la carte au 12/08/2023
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
[Laulne/habitants : 235 (25.9 hab/km2) en 1968 - 200 (22.1 hab/km2) en 1975 - 193 (21.3 hab/km2) en 2020 - Commune rurale peu ou très peu dense - Superficie : 9.06 km2 - Climat océanique franc]
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
Laulne (50)
La Seigneurie du Roi des Aulnes
- D'argent à six feuilles de chêne de sinople, posées 3, 2 et 1.
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Laulne - La Dignerie (50) 05/01/1975 - vers 19 h 00
Trace en forme de Fer à Cheval & Triangle au sol
5 janvier 1975, Laulne (50), à " La Dignerie ", Yvon Vildier, 12 ans, sort vers 19 heures dans la cour pour uriner en allumant la lumière extérieure. Il voit alors à 120 m de la maison dans un champ, un engin bizarre : il n'en voit que le dôme percé d'un hublot jaune brillant, le reste étant caché par une haie. Il est frappé de stupeur et quelques secondes après l'objet s'est élevé en tournoyant jusqu'à 100 m de haut à la verticale. Il semblait être composé de 3 ou 4 étages, et il y avait dans la partie supérieure 5 hublots de la grosseur d'un bol. Trois pieds de 50 cm de haut semblaient être reliés au centre de la base pour former une assise et sont rentrés dans l'engin lors du départ. Il estime la grandeur à 15 m sur 3 m, de forme ovale. Sans les pieds la hauteur pouvait être de 4 m. Il est parti sur la gauche à grande vitesse. Durée de l'observation: 30 secondes. L'enfant est rentré commotionné, ne pouvant dire un mot tellement il a eu peur. Traces en forme de " U " et trois trous en Triangle au sol avec analyses effectuées. 01 Témoin Direct & plusieurs Indirects : Source : LDLN N°1 46 p. 6 à 10.
Vue générale de la Trace en Forme de " U ", au centre l'herbe couchée.
Enquête de M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE
LDLN N° 146
Vue générale des Traces en forme de " U ", Yvon Vildier marqué d'une Croix.
Vue prise de l’endroit où se trouvait le jeune Vildier lors de son observation. Derrière la haie, emplacement de l’objet, à 120 m.
Laulne, près de Lessay (Manche) le 5-1-1975
par M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE (Enquêteur n° 1422)(Extrait)
Lieu de l’observation : Le lieu de l'observation de l'engin se situe à Laulne, près de Lessay (50), au lieu-dit « La Dignerie ». L’endroit est délimité par les CD 530, 430 E, 430 E 3. 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d’atterrissage il faut, à partir du CD 530 emprunter une voie sans issue (rue de la « Dignerie »), qui mène au domicile des Vildier et suivre sur une centaine de mètres le chemin communal dit rue des Juscries, qui est presque impraticable par temps de pluie.
Le champ, à usage de prairie, a une surface de 8.000 m2 environ et mesure entre 13 et 14 m de largeur et de 50 à 60 m de longueur. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure, orientée au N-O. Il est entouré de haies d’arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 m. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage : l'une au N-O, l'autre au N-E. Des vaches sont parquées dans la partie supérieure pendant la journée mais sont rentrées à l'étable la nuit.
Elles sont retenues par une clôture électrique et n’ont pas divagué dans la partie inférieure, dont l’herbe est foulée uniquement à l’endroit où ont été relevées les traces. Il est à noter que le propriétaire des bovins accède à ce champ par la partie supérieure.
Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 m de la haie N et 22,80 m de la haie E. A cet endroit l'herbe était couchée vers le bas du champ. On a l’impression que quelque chose a été posé dessus.On distingue tout d’abord une trace en forme de « U » dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U », dont l'ouverture est orientée vers le S-E, a le contour délimité par une traînée noirâtre, huileuse, de 1 cm de large et porte une forte odeur de pétrole ou d’un dérivé. Sur le côté droit de l’« U », en se plaçant au bas de l’« U », la traînée s'élargit pour former une bande de 0,13 m de large sur 1,15 m de long.
A l'extérieur de cette limite, sur le côté droit, une empreinte est visible sur le sol. Sa forme est légèrement arrondie et sa profondeur dans le sol est de 0,03 m.
Au fond de ce creux on voit des brins d’herbe qui semblent avoir été écrasés par la masse qui a provoqué la dépression.Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur de l’« U ».
Au centre de celui-ci, trois trous sont disposés en un triangle irrégulier. Ces trous sont de forme et de profondeur semblables. Leur fond est plat et les angles légèrement arrondis (voir croquis).
On remarque aussi une coloration noire autour de ces trous, qui peuvent être assimilés aux empreintes des pieds observées par le jeune Vildier.
L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos premières constatations aucun changement n’est intervenu. La couche superficielle de la terre arable (argileuse) semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d’avoir été dégagés par l’engin.
Aucune autre trace que celles précédemment décrites n’a été relevée dans le champ.7 JANVIER 1975 ATTERRISSAGE, TRACES ET ANALYSES
Procès-verbal, enquête préliminaire, gendarmerie nationale, groupement de la Manche, compagnie de Coutance, brigade de Lessay.
Le 7 janvier 1975, à 8 heures, une observation d'objet volant non identifié nous est rapportée verbalement. Ce phénomène se serait produit à Laulne, département 50, au lieu-dit La Dignerie, nous gendarmes O ... et B. .. nous nous transportons sur les lieux.
Situation à l'arrivée des enquêteurs
A notre arrivée nous sommes accueillis par le témoin oculaire du phénomène, le jeune V ... Yvon, douze ans et par ses parents. Yvon nous déclare que dimanche soir, vers 19 heures, alors qu'il se trouvait sur le pas de la porte de son domicile, il a remarqué posé dans le champ situé face à lui un objet de forme bizarre qui a décollé pour s'éloigner rapidement. Il décrit l'objet comme ressemblant à une soucoupe volante. Des traces suspectes sont visibles dans le champ où l'OVNI a atterri. Aucune modification n'aurait été apportée au lieu.
Mesures prises, immédiatement
Nous rendons compte à notre commandant de brigade qui informe sans délais notre commandant de compagnie à Coutance. Nous demandons le concours des spécialistes de la brigade des recherches afin d'effectuer des prises de vues photographiques et des moulages d'empreintes. A 10 heures, le capitaine et les gendarmes nous rejoignent sur les lieux.
État des lieux
Le lieu d'observation de l'engin se situe à Laulne, au lieu-dit La Dignerie, l'endroit est délimité par les chemins départementaux 530, 430 E, 430 El, 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d'atterrissage, il faut partir du chemin départemental 530, emprunter une voie sans issue. Le champ à usage de prairie a une surface de 8 000 mètres carrés environ et mesure entre 13 et 14 mètres de large et 50 à 60 mètres de long. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure orientée au nord-ouest, il est entouré d'une haie d'arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 mètres. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage. Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 mètres de la haie nord et 22,80 mètres de la haie est. A cet endroit, l'herbe est couchée vers le bas du champ et donne l'impression d'avoir supporté une masse quelconque. Nous remarquons tout d'abord une trace en forme de « U» dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U » dont l'ouverture est orientée vers le sud-est a le contour délimité par une traînée noirâtre huileuse de un centimètre de large dont l'odeur rappellerait le pétrole ou un dérivé. Sur le côté droit du «U », si nous nous plaçons du côté opposé à l'ouverture, la traînée s'élargit pour former une bande de 13 centimètres de large sur 1,15 mètre de long. Au fond du creux nous constatons la présence d'herbe qui a été écrasée par la masse qui a pris appui en ce lieu. Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur du « U ». Au centre de celui-ci trois trous sont disposés en triangle quelconque. Ceux-ci sont de forme et de profondeur semblables, leur fond est plat et les angles légèrement arrondis. Nous remarquons également une coloration noire autour de ces trous qui peuvent être assimilés aux empreintes de pieds observées par le jeune V ... L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos constatations, aucun changement dans sa coloration n'est intervenu. La couche superficielle de la terre arable, argileuse, semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d'avoir été dégagés par l'engin. Aucune trace que celle précédemment décrite n'a été relevée dans le champ.
Enquête
Les auditions du jeune V ... Yvon font l'objet des procès-verbaux d'audition joints. Il est à noter que celui-ci n'a jamais changé de version bien que nous l'ayons interrogé plusieurs fois en tentant de l'induire en erreur. Il a fourni les mêmes éléments aux nombreuses personnes qui sont venues le voir intéressées par son observation. Des renseignements recueillis tant auprès des gens le connaissant qu'auprès du directeur du C.E.G. qu'il fréquente, il passe pour un garçon équilibré. Dans cette école, nous n'avons pas pu entendre son professeur principal, celui-ci étant en congé de longue maladie. Nous avons appris que l'année dernière il avait été fait allusion aux OVNI sans qu'aucune étude particulière ne soit entreprise sur le sujet, le jeune V ... avait été intéressé mais sans plus. Il nous a également été signalé qu'il n'avait pas cherché à tirer une popularité de son observation et qu'il était resté assez discret. Aucun changement notoire dans son comportement n'a été remarqué.
Renseignements divers, vérifications effectuées
Des échantillons de terre prélevés sur les traces et à 20 mètres de distance pour servir de prélèvements témoins ont été effectués. Aucun laboratoire local n'étant à même d'effectuer l'analyse de ceux-ci et en l'absence de toute directive particulière, nous avons confié une partie de ces prélèvements à M. L ... , pharmacien possédant un laboratoire qui a accepté bénévolement le travail. Son rapport d'analyse est joint en annexe de la présente pièce. M. L ... nous a montré l'éprouvette dans laquelle il a réussi à isoler un liquide pouvant être soit du kerdanne soit du kérosène, l'odeur se dégageant du récipient est très caractéristique de ces deux produits. Une analyse distincte a été demandée par M L. .. , membre de l'Association « Lumières dans la nuit », qui s'est engagé à nous communiquer le résultat de celle-ci dès qu'elle reviendrait des laboratoires de Paris. A ce jour, les résultats ne sont pas encore parvenus à sa connaissance. Des vérifications ont également été faites auprès des services de l'E.D.F afin de savoir si des perturbations électriques, courts-circuits ou autres anomalies ne s'étaient pas produites sur le réseau dans la soirée du 5 janvier 1975. La réponse a été négative, Auprès de l'aérodrome de Lessay, pour connaître les mouvements des aéronefs enregistrés le 5 janvier vers 19 heures, aucun décollage ou atterrissage ou survol n'est signalé dans ce moment-là. Auprès de la population voisine du lieu d'atterrissage qui n'a constaté aucune perturbation radio ou électrique, dans le champ et la maison du jeune V ... pour vérifier si l'observation telle qu'il nous l'a décrite est possible. De nos constatations, il ressort qu'il y a compatibilité entre l'état des lieux et les faits relatés. Les conditions atmosphériques du 5 janvier 1975 étaient les suivantes: ciel légèrement couvert avec crachins intermittents. L'observation de l'OVNI relatée par la presse avec plus ou moins d'affabulations a suscité peu d'intérêt parmi la population qui a commenté celle-ci avec amusement en général. Seuls quelques membres représentant « Lumières dans la nuit» ont paru intéressés par le phénomène. Clôture du procès-verbal le 27 janvier 1975.
Copie du rapport d'analyse, laboratoire d'analyses médicales n" 1669. A. L. . , pharmacien (en réalité membre discret du C.N.R./NdT).
Analyse n" 750060, examen de prélèvement de terre, sol d'herbage en deux échantillons remis par la gendarmerie de Lessay. Premier échantillon-témoin: petite motte épaisse de 6 centimètres enveloppée dans du papier journal, végétation saisonnière d'apparence normale, brins d'herbe bien verts présentant un très faible pourcentage d'éléments secs. Nature de la terre: argileuse, odeur du musc: très franc, mesure du pH égale 6, le papier d'emballage ne dégage aucune odeur, brûle franchement malgré quelques taches d'humidité. Quelques parcelles de cet échantillon ont fait l'objet de manipulations sommaires analogues à celles entreprises sur l'échantillon suivant.
2. Échantillon suspect : épaisseur de la motte: 6 à 7 centimètres, même emballage que le précédent mais beaucoup plus humidifié, la végétation également abondante a été foulée, une bonne moitié des brins d'herbe présente une couleur jaunie, desséchée, l'ensemble une odeur très nette d'hydrocarbure, le pH de cet échantillon égale 6 comme l'échantillon-témoin. La terre a été, comme celle du témoin d'ailleurs, et séparément, transformée en bouillie claire au mortier avec une quantité triple d'eau bi-distillée. Après un séjour de vingt-quatre heures nous avons décanté le liquide surnageant la sédimentation. Ce liquide a été placé dans une ampoule à décantation de fine allonge. Nouveau séjour de vingt-quatre heures environ, après addition de quelques gouttes de lugol fort employé comme colorant sélectif, nous avons pu faire les remarques sommaires que voici : échantillon-témoin: aucun liquide surnageant et de couleur différente n'a été décelé. Échantillon suspect : on note une très faible quantité de liquide nettement séparé à forte dose de pétrole et laissant sur papier bulle des taches graisseuses. Sans qu'il nous soit possible de déterminer la nature exacte de cet hydrocarbure, nous pouvons indiquer qu'il dégage une odeur se rapprochant du kerdane, de l'essence de pétrole ou du kérosène. A noter que le liquide sous-jacent obtenu après séparation ne dégage qu'une légère odeur d'iode provenant du lugol comme d'ailleurs l'extrait de l'échantillon-témoin et aucune odeur étrangère.
Le papier d'emballage de l'échantillon n" 2 brûle avec une flamme plus fuligineuse que celle de l'emballage du témoin et son résidu est plus compact et plus important. A Lessay, le 17 janvier 1975.
Procès-verbal d'audition de V ••• Yvon, douze ans, écolier.
Dimanche 5 janvier 1975 vers 19 heures, je regardais la télévision avec mes parents sur la première chaîne, je suis sorti dans la cour. Pour ce faire j'ai allumé la lumière extérieure. Alors que j'arrivais dans l'embrasure de la porte, j'ai aperçu un engin de forme bizarre qui était posé dans un champ à 120 mètres environ de la maison. A ce moment-là je n'ai vu qu'un dôme percé d'un hublot de couleur jaune brillant, le reste de l'appareil étant caché par une haie. J'ai été frappé de stupeur. Quelques secondes après l'objet s'est élevé dans les airs en tournoyant jusqu'à une altitude de 100 à 150 mètres à la verticale de son point de stationnement. C'est à ce moment-là que j'ai aperçu la forme complète de l'engin, dont voici la description: trois ou quatre étages dont celui composant la partie supérieure était percé de cinq hublots qui m'ont semblé être de la grosseur d'un bol pour donner une échelle. Trois pieds de 50 centimètres de haut qui semblaient reliés au centre de la base de l'engin et qui s'écartaient pour former une assise au sol. La plus grande largeur de l'engin pouvait être de 15 mètres et la plus petite de 3 mètres. Lorsqu'il a commencé à tournoyer je me suis rendu compte qu'il était de forme ovale. La hauteur totale sans les pieds pourrait être de 4 mètres. Le tour de l'appareil était lumineux et la masse était de couleur marron gris. La couleur n'a changé à aucun moment, seul le hublot supérieur s'est éteint. Je n'ai perçu aucun bruit tout au long de mon observation qui a duré trente secondes. Je n'ai rien ressenti, aucun effet de chaleur ou de souffle, je n'ai aperçu aucun signe de vie à proximité. Lorsque l'engin a eu terminé son ascension il est parti sur la gauche à grande vitesse en s'élevant légèrement et en continuant à tourner sur lui-même. Je n'ai pas pu le suivre longtemps car il a été caché par le toit d'une dépendance. Je précise que lorsque l'objet a été en l'air et avant de s'éloigner, deux trappes, qui étaient en dessous, se sont ouvertes comme pour les trains d'atterrissage d'avion et les pied sont rentrés en se pliant. Je n'ai pas remarqué d'antennes. Une fois mon observation terminée j'ai poussé un cri qui a alerté mes parents.
Cependant lorsqu'ils sont venus sur le pas de la porte, l'engin avait disparu. C'est tout ce que je peux vous dire.
Le 7 janvier 1975, 17 h 50.
15 janvier 1975, nouvelle audition de V .•• Yvon, douze ans, qui déclare :
Je ne vois aucune précision à vous fournir quant à la description de l'objet que j'ai faite dans ma déclaration du janvier 1975. Je m'intéresse à ce qui a un rapport avec la science et je suis désormais particulièrement attiré par les objets volants mystérieux.Le Blason des Stellaires
Selon les membres de la Confrérie des Sages du Nord, les anciens nous ont transmis leurs connaissances sur les portails multidimensionnels, qu'ils nommaient les portes induites des stellaires, en les encodant sur les normes géométriques qui structurent l'architecture des blasons qui décorent traditionnellement les écus d'armes, dont la base géométrique est triangulaire, les transformant ainsi, en carte du ciel, où les anges sont devenus des étoiles & les dieux des planètes.
Il semble que ces Anges et ces Dieux, ou stellaires ne nous ont pas oubliés, pour autant, et qu'ils nous visitent régulièrement avec leurs vaisseaux volants non-identifiés, que l'on confond régulièrement avec des ovnis, en nous signalant, parfois, leur passage par de mystérieuses traces qu'ils impriment dans la Luzerne, et que l'on a fini, avec le temps, par identifier à des agroglyphes porteurs de sens, ou épiphanies.
C'est ce que l'on peut lire sur les traces ou empreintes, découvertes suite à la cratophanie dont le jeune Yvon Vildier a été le témoin principal, le 05 Janvier 1975, à Laulne (50) en Normandie, vers 19 h.
Les Visiteurs du Soir
L'épiphanie, au soir du 05 Janvier 1975 à Laulne (50), devient numineuse/lumineuse dès lors que l'on applique le code de lecture blasonné des stellaires, en transposant le dessin et ses repaires, tracés au sol par la soucoupe volante vue par Yvon Vildier, sur la carte du ciel, à la géolocalisation du lieu et à l'heure de sa cratophanie, le fer à cheval est le smbole de la chevalerie comme les écus/blasons (que les Compagnons d'Armes et les Chevaliers du Temple du Christ ont structués et diffusés avec l'art du blason et la science héraldique au XIIe siècle), il s'agit donc de la Milice Chevaleresque Céleste Angélique, dont le chef tutélaire est Saint Michel Archange, Saint Patron de la Normandie.
En multipliant et en accélérant, depuis les années 1970, avec le Land-Art des Crop-Circles, cette écriture hiéroglyphique (symbolique et sacrée), nos visiteurs stellaires nous encouragent à rétablir le lien perdu noué par les anciens, cette hiérogamie du Ciel et de la Terre qui passe par l'Alliance des Hommes et des Dieux.
Le Roi des Aulnes
Qui chevauche si tard à travers la nuit et le vent ?
C'est le père avec son enfant.
Il porte l'enfant dans ses bras,
Il le tient ferme, il le réchauffe.
« Mon fils, pourquoi cette peur, pourquoi te cacher ainsi le visage ?
Père, ne vois-tu pas le roi des Aulnes,
Le roi des Aulnes, avec sa couronne et ses longs cheveux ?
— Mon fils, c'est un brouillard qui traîne.
— Viens, cher enfant, viens avec moi !
Nous jouerons ensemble à de si jolis jeux !
Maintes fleurs émaillées brillent sur la rive ;
Ma mère a maintes robes d'or.
— Mon père, mon père, et tu n'entends pas
Ce que le roi des Aulnes doucement me promet ?
— Sois tranquille, reste tranquille, mon enfant :
C'est le vent qui murmure dans les feuilles sèches.
— Gentil enfant, veux-tu me suivre ?
Mes filles auront grand soin de toi ;
Mes filles mènent la danse nocturne.
Elles te berceront, elles t'endormiront, à leur danse, à leur chant.
— Mon père, mon père, et ne vois-tu pas là-bas
Les filles du roi des aulnes à cette place sombre ?
— Mon fils, mon fils, je le vois bien :
Ce sont les vieux saules qui paraissent grisâtres.
— Je t'aime, ta beauté me charme,
Et, si tu ne veux pas céder, j'userai de violence.
— Mon père, mon père, voilà qu'il me saisit !
Le roi des Aulnes m'a fait mal ! »
Le père frémit, il presse son cheval,
Il tient dans ses bras l'enfant qui gémit ;
Il arrive à sa maison avec peine, avec angoisse :
L'enfant dans ses bras était mort.Le Roi des Aulnes - Johann Wolfgang von Goethe - 1782
Les Capsules Temporelles - Les Ailés (33)
Géolocalisation des Sabbats
Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)
Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.
Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
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