• Le Système de contrôle - Part I

     

     

     

     

     «  Les spores végétales des entités aliens attendent simplement le sommeil de leurs victimes pour prendre leur place et leur insidieuse invasion s'effectue sans armes, ni violence. »

     [Invasion of the Body Snatchers - Invasion des Voleurs de Corps - titre original du roman de Jack Finney  - L'Invasion des Profanateurs - 1955 - cf. Wikipédia]

     

    Le Système de contrôle - Part I

     

    Le Grand Esprit de la Nature

    Bellator

    Guillaume Chevallier

    Le Grand Esprit de la Nature

     

     L'interdépendance organisée  de la lithosphère, de la phytosphère, de la biosphère, de l'atmosphère et de la noosphère nous révèle l'économie du système de contrôle (écosystème), exercé par cet Esprit qui ordonnance le milieu terrestre, et conditionne l'évolution de ses composants et de ses résidents.

    Cet Esprit, qui planifie l'existence matérielle et immatérielle des créatures terrestres, est identifié chez tous les peuples, depuis la plus haute antiquité, et connu sous divers appellations ou métaphores tel, l'Arbre (Cosmique) de la connaissance du bien ou du mal du Jardin d’Éden, la déesse Gaïa selon la théogonie d'Hésiode, ou la grande déesse Pachamama des cultes incas, le Gitche Manito (le Grand Esprit Manitou, cf. le poème de Charles Baudelaire, Le Calumet de la Paix, des Fleurs du Mal) le créateur de tout ce qui existe sur Terre, le dieu créateur de l'univers et donneur de vie,  pour les Algonquins, le Maheo (le Manitou) des Cheyennes, par exemple.

    La biologie moderne a enfin donné corps à cet Esprit, en nous révélant l'existence du Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt, qui décide de la vie et de la mort des êtres vivants sur notre planète.

    Ce réseau holistique (global) de la forêt est celui d'une espèce exotique hégémonique et envahissante, de nature ni végétale, ni animale et non humaine, qui, depuis 1 000 000 000 d'années (un milliard d'années), a étendu son emprise tutélaire sur la planète Terre.

    La savoir traditionnel assimile celle tutelle à celle de l'Empire des Hydnes (ceux qui contrôlent l'eau, du genre Hydnum, de morphologie hydnoïde, ou sporophores, les porte-spores).

    Ces porte-spores fongiques, aux facultés insoupçonnées ont développé un gigantesque réseau de communication invisible et souterrain (cf. La réponse à presque tout/ARTE, partagée par Laurent Ceron) :

    Le Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt, qui décide de la vie et de la mort des êtres vivants sur notre planète.

    Les représentants de cette espèce possèdent un langage propre et influencent l'évolution de la Terre, depuis la nuit des temps.

    Ni plantes, ni animaux, ces porte-spores maitrisent parfaitement l'art de la communication/manipulation, et, comme toutes les autres créatures terrestres, les humains sont, pour eux, de simples résidents éphémères de leur royaume immémorial (de plus d'un milliard d'années).

    Les porte-spores sont pratiquement partout, jusqu'à l'intérieur des corps, comme ceux des des insectes (araignées, fourmis et autres) où ils se développent, et contrôlent leur comportement à leur avantage, comme  le genre entomopathogène qui grandissent, par exemple, dans le corps des fourmis et des araignées, qui, infestées et parasitées par eux, sont attirées par la hauteur, où elles ferment leurs mandibules sur la face intérieure d'une feuille d'une plante, c'est le death grip (la prise mortelle), c'est là que l'entomopathogène dissémine ses spores et tue l'insecte, pour former un pédoncule à l'arrière de sa tête, qui infectera d'autres insectes.

    Ces entomopathogènes fongiques/champignons, libèrent des neurotransmetteurs qui contrôlent activement l'appareil locomoteur des insectes.

    Les fongiques manipulent, aussi, notre cavité intestinale avec des champignons/levures et des bactéries pour la digestion et la nutrition du corps, envahissent notre peau avec les mycoses, ce sont des parasites.

    Plus de 90% des champignons ne sont pas encore étudiés, les questions basiques sur leurs interactions et sur la biologie fongique demeure encore mystérieuse. 

    La partie la plus importante des champignons, leurs racines, est invisible et sous terre, on l'appelle le mycélium, c'est l'appareil végétatif des champignons, dont on ne voit que l'appareil fructifère (les champignons) qui apparait à l'occasion à la surface, ce mycélium permet à ces champignons de se propager dans leur nourriture, avant de la décomposer.

    Beaucoup de champignons vivent en étroite symbiose avec de nombreux végétaux, tandis que les plantent leur fournissent du sucre, en échange de minéraux et de l'eau.

    Le mycélium des champignons est capable de performances remarquables, il se propage, contourne des obstacles, se divise, se reconnecte, il perçoit très finement son environnement, et relie socialement les plantes.

    Parfois certaines substances peuvent circuler à travers le réseau fongique du mycélium, qui relie les arbres et les végétaux entre eux, en général en aidant les arbres et les plantes à absorber le co2 pour la photosynthèse, et participe activement à réintroduire, en la décomposant, la biomasse dans le sol.

    Les champignons et les plantes s'échangent des informations et se signalent réciproquement la présence de prédateurs, bactéries, insectes nuisibles. La survie de 90% des espèces végétales dépend de leur symbiose avec les champignons.

    Une cuillère à café de terre peut contenir 10 km, de filaments/hyphe (5 fois plus fin qu'un cheveux) composant le mycélium des champignons terrestres, dont la longueur de déroulé complet atteindrait la moitié de la galaxie. 

    Les premiers occupants de notre planète sont en réalité les champignons, et ce sont eux qui ont permis aux  plantes de sortir de l'eau.

    Il y a environ 500 millions d'années, les ancêtres des plantes, des algues photosynthétiques vivaient dans de l'eau douce, et si elles ont pu s'enraciner sur la terre ferme ce n'est qu'avec le concours des champignons, capables de chercher des nutriments et de l'eau dans le sol, c'est en s'alliant avec les champignons qu'elles ont pu s'épanouir dans cet environnement inhospitalier pour elles (cf. le Lichen symbiose entre un champignon et une algue).

    Les champignons se propagent presque partout, car c'est leur stratégie d'accès à leur nourriture, ils s'introduisent directement dans leur nourriture pour l'ingérer de l'intérieur, en développant des propriétés chimiques étonnantes, ils sont capables de décomposer les substances les plus tenaces de la planètes, la roche, le pétrole brut, le TNT, et même certains plastiques.

    En décomposant la roche, les champignons ont crée le limon où les plantes ont pu se développer.

    De plus, si les champignons ne décomposaient pas les végétaux et le bois des forêts des kilomètres de végétaux s'accumuleraient sur notre planète, ... nous respirons et nous vivons donc dans l'espace libéré par la décomposition fongique des champignons, qui sont puissants et influents, ... ils gouvernent réellement le monde depuis la nuit des temps, sans eux l'évolution n'aurait jamais eu lieu, aujourd'hui encore, plantes, animaux et humains dépendent des champignons pour leur survie. 

    La bio-sociabilité des champignons se reflètent chez les humains, car ils  entretiennent, comme eux, une relation commerciale, où chacun fournit quelque chose à l'autre qu'il ne peut pas se procurer lui-même, suivant la loi de l'offre et de la demande, ... par exemple les champignons empruntent aux autres les éléments qui leur sont indispensables comme le carbone sous la forme de sucre, qu'ils prélèvent chez les plantes, en leur fournissant en échange des minéraux, comme le phosphore, et de l'eau, selon une planification reposant sur le prêt/retour sur investissement avec la logique coopérative des interactions fongiques qui demeure, pour autant, concurrentielles et devient si besoin parasitaire et prédatrice en prenant, par exemple, le contrôle de certains insectes pour propager leurs spores, en se développant directement dans leurs corps (Cf. le genre fongique entomopathogène).

     

     

     

    «  Les spores végétales des entités aliens attendent simplement le sommeil de leurs victimes pour prendre leur place et leur insidieuse invasion s'effectue sans armes, ni violence. »

    [Invasion des Voleurs de Corps, Roman de Jack Finney, 1955 - L'Invasion des Profanateurs de Sépultures, film de Body Snatchers, 1956 - L'invasion continue, film de Abel Ferrara, 1993]

     

    Le mycélium des porte-spores utilise des signaux électriques, pour résoudre des problèmes, s'adapter aux changements et faire des choix, et communiquer, comme le ferait un super-cerveau biosphérique planétaire. 

    De fait, les champignons se sont développés sur terre depuis plus d'un milliard d'années, en évoluant et en exerçant une influence déterminante sur l'évolution et la terraformation de notre planète, qu'ils formatent pour la coloniser à leur guise, comme le ferait n'importe qu'elle espèce exogène venue de l'espace, ce qu'ils sont sans aucun doute.

     

    Les supports de Communication

     

     

     Ce Grand Esprit tentaculaire de la nature s'évertue probablement à communiquer avec l'espèce humaine au travers des Crop-Circles (après les ronds de sorcières et les cercles de fées), élaborés à partir du langage universel des symboles.

    Ces Land-Arts (naturels) sont associés à l'apparition de noosphères (sphères lumineuses, âmes vagabondes arrivant des étoiles) connues des anciens, que les modernes assimilent à des objets volants non-identifiés, en lieu et place, d'une extension apparente d'organismes bioluminescents, encore non-reconnus, issus du vivant et de nature énergétique.

    Ces noosphères, que les anciens qualifiaient, à juste titre, d'esprits polymorphes de la nature, ... célébrés dans les clairières sacrées des forêts (pouponnières des fongiques, comme les grottes humides, les cavernes, les carrières, en relation avec les Castrum-Templum, les sanctuaires sépulcraux mégalithiques, les oppidums, les fanums, les boves aménagées, les troglodytes et les hypogées préhistoriques et antiques, ... sont généralement confondues avec des capsules de visiteurs hypothétiquement extraterrestres (les ovnis), alors même, que leurs géolocalisations prépondérantes reste le milieu naturel, et que leur comportement, le plus souvent, prudent et distant, évoque l’attitude instinctive des créatures sauvages peuplant notre biosphère, se tenant à distance respectueuse, promptes à s'enfuir, lors de rencontres trop rapprochées avec des humains (lors des RR1, RR2, RR3 par exemple).

    Bien plus, les RR4 (les abductions), les visites en chambre, et les expérienceurs des champignons (des passes magiques des shamans) nous prouvent que ces esprits de la nature, ont aussi la capacité et la volonté de s'immiscer dans nos têtes, ou de s'hybrider avec nos corps, comme ces champignons qui prennent le contrôle des insectes, pour y répandre leurs spores, ou ces incubas démons, incubes et succubes qui abusent de leurs victimes, pendant leur sommeil.

     La Rencontre Rapprochée du 22 avril 1974, à Vacognes-Neuilly (14), où un ovni a été signalé à proximité d'un rond de sorcière = cercle de fées formé d'un anneau d'herbe plus foncée, associé à la présence abondante de mycélium dans le sol, anormalement sec et durci, apparait comme l'une de ces tentatives de communication ou de prise de contrôle des personnes présentes, par cet Esprit tentaculaire de la nature .

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     Photos-Source : Ufo-Génpi

    Le Pronobum !

     

     

     Le Croissant de Lune !

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

    Le Saigneur des Anneaux !

     

     

     

     

     

    Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement impressionnés, et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la nouvelle lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de printemps du 06/04/1974, fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974. 

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr. Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de croissant de lune (à titre d'enquerre ou obèle astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, ... cet ovoïde ou œuf de Pâques = enquerre = signalétique formelle de la fête de Pâques, dont le nom même dérive de passah renvoyant au passage, à la communication.

     

     

    « Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans l’intelligence de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »

    [Les gîtes secrets du lion, George Hunt-Williamson, 1958] 

     

    Noosphère aux clignotements ultrarapides hypnotiques 

     

     

    Les Sacrifices

     

     Toute l’histoire antique et les découvertes archéologiques signalent ces temples sacrificiels où les animaux et les êtres humains étaient immolés (et momifiés) en oblation à des dieux sangsues et sanguinaires, comme au Temple de Palmyre en Syrie (voué au dieu Baal), au Temple de Jérusalem avec les Hébreux, en Égypte Antique ou comme chez les Mayas et les Aztèques précolombiens qu'ils considéraient comme des offrandes de nourriture destinées aux dieux (de même en Amérique du Nord, avec les Indiens Cahokias ou les Indiens Pawnees ; ce qui a été attesté pour ces derniers, et officiellement interdit par les autorités au 19ème siècle). 

    Ces actes superstitieux et inhumains (sous couvert de religion), sont encore pratiqués par les Musulmans intégristes ou par les Thugs aux Indes, où la coutume de l'incinération des cadavres est une réminiscence de ces pratiques sacrificielles ancestrales.

    « il offrit un sacrifice et versa une libation au sommet de la montagne, mit en place sept plus sept calices cultuels qu'il empila sur leur support de jonc, de cèdre et de myrte … [les dieux] humèrent l'odeur délicieuse et s'abattirent comme des mouches sur le sacrificateur ».

    [Utnapishtim (version sumérienne de Noé) rappela à Gilgamesh qu'au sortir de l'arche - L’Épopée de Gilgamesh]

     

    La Nécromancie

     

    Dolmen de la Ville-ès-Nouaux - Jersey

     

     Ces autels de dévotion aux divinités du ciel (égyptiennes/gréco-romaines) ou de la nature (esprits) sont la raison première de tous les Castrum Templum, de toutes les époques, les grottes préhistoriques ornées, les mastabas, les Castrum Romanumes, les fanum, les obbidum, les clairières sacrées, les éperons barrés celtiques, les enceintes de pierres dressées, les carrières, les boves aménagées, les cénotes amérindiens, les hypogées, les tumulus/nécropoles, destinés aux goules parasitaires/mânes nécrophages, ou âmes vagabondes (sur le modèle des bactéries saprophytes qui sont des micro-organismes vivants, opportunistes, présents sur notre peau dès la naissance, dans notre corps, mais aussi dans l'environnement), immanentes du Wood, Wide Web (réseau fongique interconnecté de la forêt) qui se nourrissent des effluves des mourants et se repaissent de leurs charognes , en décomposition.

    Ces Castrum Templum (sites secrets des oracles aménagés : comme les nécromantéïons de la Grèce antique, les lieux sur Terre où il est possible de communiquer avec les morts) révèlent la pratique animiste/chamanique de la nécromancie (noir/pouvoirs ténébreux), ou divination par les morts/spiritisme (qui servent d'appâts aux esprits), favorisant ainsi la transe médiumnique possessive, par les entités éthérées métamorphes (Noosphères/Organismes-Volants-Non-Identifiés), des mages occultistes, dont ils deviennent les obligés, jusqu'à leur fin (faim) dernière.

     

    Les Surnaturels 

     

    « Chassez les  Surnaturels, ils reviennent au Galop ! »

    [L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Geipan]

     

     Tout au long de notre histoire collective et de notre vie individuelle, de mystérieux compagnons de route nous accompagnent, sans relâche, ce sont des êtres surnaturels dont l'existence est continuellement signalée par tous les peuples, et à toutes les époques.

    Certains en ont fait des dieux, des anges, des esprits de la nature, des émanations animistes, des visiteurs des étoiles et d'autres des chimères, des génies, des revenants, des diables ou des démons.

    Qu'elles soient endogènes, indigènes ou exogènes ces entités vivantes, de nature égrégorielle, éthérée ou incarnée, ont toutes des facultés extraordinaires ou des pouvoirs fabuleux, dans la sphère physique et dans la sphère métaphysique.

    Elles nous visitent dans nos rêves et se manifestent dans notre réalité quotidienne, sous les formes les plus diverses et adaptées à nos croyances ou à notre culture générale.

    Dans les différentes sphères de l'animé et de l'inanimé, elles réalisent des performances fantastiques, prodigieuses, merveilleuses ou miraculeuses, en manipulant les atomes, en jouant sur la dynamique des fluides, et en variant le débit des champs vibratoires.

    Rien ne leur paraît impossible à nos yeux éberlués et à nos esprits fascinés.

    Dans le meilleur des cas, ces surnaturelles communiquent avec nous sous le motif d'établir une relation particulière d'intérêts mutuels, et abusent, le plus souvent, les personnes en souffrance, affaiblies, ou dont le système immunitaire psycho/physique est défaillant.

    Ce marché contractuel à conflit d'intérêt se révèle toujours un marché de dupes, parfois ponctuel pour les surnaturels, et, à terme régulièrement parasitaire pour les créatures naturelles biologiques plantes, animaux et humains.

    Ces prédateurs supranaturels métamorphes tissent en mode symbiotique la toile de leur système de contrôle, afin d'assurer leur propre survie en exploitant nos ressources vitales.

    Les anciens les identifiaient aux esprits de l'autre monde, les écologistes la manifestation du Grand Esprit (le Manitou) de la Nature, le Wood Wide Web, le réseau internet de la forêt, qui décide de la vie et de la mort des êtres vivants sur notre planète, et, les ufologues-amateurs en font des entités extraterrestres des autres mondes.

     

    Le Transformisme Endogène-Exogène

     

     Les contacts, les rencontres rapprochées et les communications avec les représentants de l'autre monde ont impacté notre histoire, en se différenciant formellement et afin de diriger la doxa culturelle dominante.

    Au cours des périodes préhistoriques et antiques, ce fut les croyances religieuses aux dieux, puis le temps des terreurs superstitieuses de la magie des sorciers et des sorcières, époque de l'anti-démonologie, qui a connu son paroxysme hystérique, avec la Réforme, au XVIIe siècle, à laquelle a succédé l'illusionnisme de l'ésotérisme kabbalistique et le culte de l'occultisme hermétique, propre à la Renaissance, allumant les lueurs crépusculaires de la Révolution, dont le magnétisme, le spiritisme, le magico-chamanisme du New-Age/Para-Science, et, pour finir, l'extratologie-éthérée ufologique, sont les ultimes reflets aveuglants et illusionnistes.

    Au delà de ces apparences, et avant de se dissimuler sous les formes fictives des esprits de la nature, des petits diablotins-lutins des petits gris, des Men-In-Black, et autres entités des rencontres rapprochées des ovnis modernes, les représentants Métamorphes de l'autre monde, ont manifestement pris un malin-plaisir à adopter les panoplies, aussi variées que trompeuses, des êtres soi-disant naturels,  divins, angéliques et démoniaques.

    L'analyse structurelle, la corrélation formelle et l'étude statistique des phénomènes de hantise, de possession démoniaque, ou d'apparition diabolique, ou même faussement mariale, le démontrent abondamment.

    En effet, les occurrences manifestées, les emprises psychologiques et physiques, sont structurellement identiques, et les parallèles sont d'une évidence indiscutable chez les témoins/expérienceurs, les abductions-visites en chambre/rapts et visites nocturnes démoniaques, les paralysies temporaires/immobilisations mystérieuses, les communications télépathiques/voix intérieures, les implants, marques/épines-aiguilles cicatrices, les lieux ovnigènes/lieux hantés, les apparitions lumineuses ovnis/manifestations lumineuses diaboliques, les portails multidimensionnels/voyages hors du temps présent, les transports géographiques/déplacements surnaturels, les rapports sexuels des RR6 classe B/ rapports charnels avec les succubes et les incubes, les hybridations alien-humain/enfants du diable, les extraterrestres polymorphes/créatures métamorphes démoniaques, les crop-circles/cercles des fées, les traces et objets matériels/empreintes et apports surnaturels, les mutilations de bétail/sacrifices mutilations d'animaux, etc. comme l'illustrent suffisamment les descriptifs et la cartographie des apparitions ufologiques et des manifestations surnaturelles, constatées en Normandie, et ailleurs (plus de 50 % des sites ovnigènes sont géolocalisés sur les clusters des phénomènes classés surnaturels).

     

     Les Mégalithes

     

    Cromlech de l'Œillet - îles Chausey

     

    De tous temps et en tous lieux, les offices des devins, des médiums, des voyants, des spirites qui consultent les esprits éthérés, ont perpétué le culte ancestral des morts, orientant notre civilisation, depuis les époques les plus reculées de la préhistoire.

    Sur le plan formel, les innombrables sanctuaires sépulcraux (le plus souvent mégalithiques) sont devenus nos temples/cimetières, les chambres funéraires collectives, nos caveaux familiaux, les stèles verticales et horizontales des menhirs et des tables de pierre, nos monuments funéraires, illustrant la symbolique de la verticalité de l'homme debout et vivant (cf. les menhirs anthropomorphes), et celle de la dépouille de l'homme mort inerte allongé, enfermé et prisonnier dans son sarcophage de pierre.

    Les tertres/cairns préhistoriques qui associent les piliers verticaux, les chambres mortuaires, les enceintes mégalithiques, les cromlechs, révèlent la pratique de la consultation des morts par le collège d'officiants, dont les enceintes des pierres levées sont la concrétisation et la figuration.

    Cette nécromancie, consultation affichée de l'esprit des défunts, des anciens, des aînés, des ancêtres, a, de fait, façonné les sociétés primitives pendant des millénaires, en entretenant la croyance superstitieuse de la vie après la mort, comme nous le confirment les derniers représentants de ces sociétés premières, encore présentes sur Terre.

     

     Le Faux Réveil des Morts

     

    Dolmen de la Hougue Bie - Jersey

     

     Ces tumuli servaient en réalité de temples consacrés à la pratique animiste/chamanique de la nécromancie (noir/pouvoirs ténébreux), favorisant la transe médiumnique possessive des mages occultistes par les entités éthérées métamorphes, goules parasitaires et mânes nécrophages, ou âmes (noosphères) vagabondes, immanentes du Wood, Wide Web (réseau fongique interconnecté de la forêt) qui se repaissent des effluves des corps en décomposition (ou en combustion), parodiant les esprits des morts. 

    Selon l'enseignement des Écritures Saintes, les sages conscients de cette duperie, ont unanimement proscrit toutes formes d'invocations ou de communications avec les défunts, qui, selon eux, dorment, sans se réveiller, jusqu'au jour du jugement final, dans l'Espérance de leur Résurrection.

     

    Le Calumet de Paix

    Or Gitche Manito, le Maître de la Vie,
    Le Puissant, descendit dans la verte prairie,
    Dans l’immense prairie aux coteaux montueux ;
    Et là, sur les rochers de la Rouge Carrière,
    Dominant tout l’espace et baigné de lumière,
    Il se tenait debout, vaste et majestueux.

    Alors il convoqua les peuples innombrables,
    Plus nombreux que ne sont les herbes et les sables.
    Avec sa main terrible il rompit un morceau
    Du rocher, dont il fit une pipe superbe,
    Puis, au bord du ruisseau, dans une énorme gerbe,
    Pour s’en faire un tuyau, choisit un long roseau.

    Pour la bourrer il prit au saule son écorce ;
    Et lui, le Tout-Puissant, Créateur de la Force,
    Debout, il alluma, comme un divin fanal,
    La Pipe de la Paix. Debout sur la Carrière
    Il fumait, droit, superbe et baigné de lumière.
    Or, pour les nations c’était le grand signal.

    Et lentement montait la divine fumée
    Dans l’air doux du matin, onduleuse, embaumée.
    Et d’abord ce ne fut qu’un sillon ténébreux ;
    Puis la vapeur se fit plus bleue et plus épaisse,
    Puis blanchit ; et montant, et grossissant sans cesse,
    Elle alla se briser au dur plafond des cieux.

    Des plus lointains sommets des Montagnes Rocheuses,
    Depuis les lacs du Nord aux ondes tapageuses,
    Depuis Tawasentha, le vallon sans pareil,
    Jusqu’à Tuscaloosa, la forêt parfumée,
    Tous virent le signal et l’immense fumée
    Montant paisiblement dans le matin vermeil.

    Les Prophètes disaient : « Voyez-vous cette bande
    De vapeur, qui, semblable à la main qui commande,
    Oscille et se détache en noir sur le soleil ?
    C’est Gitche Manito, le Maître de la Vie,
    Qui dit aux quatre coins de l’immense prairie :
    « Je vous convoque tous, guerriers, à mon conseil ! »

    Par le chemin des eaux, par la route des plaines,
    Par les quatre côtés d’où soufflent les haleines
    Du vent, tous les guerriers de chaque tribu, tous,
    Comprenant le signal du nuage qui bouge,
    Vinrent docilement à la Carrière Rouge
    Où Gitche Manito leur donnait rendez-vous.

    Les guerriers se tenaient sur la verte prairie,
    Tous équipés en guerre, et la mine aguerrie,
    Bariolés ainsi qu’un feuillage automnal ;
    Et la haine qui fait combattre tous les êtres,
    La haine qui brûlait les yeux de leurs ancêtres
    Incendiait encor leurs yeux d’un feu fatal.

    Et leurs yeux étaient pleins de haine héréditaire.
    Or, Gitche Manito, le Maître de la Terre,
    Les considérait tous avec compassion,
    Comme un père très bon, ennemi du désordre,
    Qui voit ses chers petits batailler et se mordre.
    Tel Gitche Manito pour toute nation.

    Il étendit sur eux sa puissante main droite
    Pour subjuguer leur cœur et leur nature étroite,
    Pour rafraîchir leur fièvre à l’ombre de sa main ;
    Puis il leur dit avec sa voix majestueuse,
    Comparable à la voix d’une eau tumultueuse
    Qui tombe, et rend un son monstrueux, surhumain :

    II

    « Ô ma postérité, déplorable et chérie !
    Ô mes fils ! écoutez la divine raison.
    C’est Gitche Manito, le Maître de la Vie,
    Qui vous parle ! celui qui dans votre patrie
    A mis l’ours, le castor, le renne et le bison.

    Je vous ai fait la chasse et la pêche faciles ;
    Pourquoi donc le chasseur devient-il assassin ?
    Le marais fut par moi peuplé de volatiles ;
    Pourquoi n’êtes-vous pas contents, fils indociles ?
    Pourquoi l’homme fait-il la chasse à son voisin ?

    Je suis vraiment bien las de vos horribles guerres.
    Vos prières, vos vœux mêmes sont des forfaits !
    Le péril est pour vous dans vos humeurs contraires,
    Et c’est dans l’union qu’est votre force.
    En frères Vivez donc, et sachez vous maintenir en paix.

    Bientôt vous recevrez de ma main un Prophète
    Qui viendra vous instruire et souffrir avec vous.
    Sa parole fera de la vie une fête ;
    Mais si vous méprisez sa sagesse parfaite,
    Pauvres enfants maudits, vous disparaîtrez tous !

    Effacez dans les flots vos couleurs meurtrières.
    Les roseaux sont nombreux et le roc est épais ;
    Chacun en peut tirer sa pipe. Plus de guerres,
    Plus de sang ! Désormais vivez comme des frères,
    Et tous, unis, fumez le Calumet de Paix ! »

    III

    Et soudain tous, jetant leurs armes sur la terre,
    Lavent dans le ruisseau les couleurs de la guerre
    Qui luisaient sur leurs fronts cruels et triomphants.
    Chacun creuse une pipe et cueille sur la rive
    Un long roseau qu’avec adresse il enjolive.
    Et l’Esprit souriait à ses pauvres enfants !

    Chacun s’en retourna, l’âme calme et ravie,
    Et Gitche Manito, le Maître de la Vie,
    Remonta par la porte entr’ouverte des cieux.
    - À travers la vapeur splendide du nuage
    Le Tout-Puissant montait, content de son ouvrage,
    Immense, parfumé, sublime, radieux !

    Charles Baudelaire
    Les Fleurs du Mal

     
     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

    Les Rencontres Rapprochées

     

    Les Messagers

     

    Les Théophanies Futuristes

     

    Les Cratophanies Célestes

     

    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »

     

     

     


    L'Hyper-Physique des Aliens !

     

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