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Soumont-Saint-Quentin (14)
Normandie - France - Ovnis
Soumont-Saint-Quentin (14)
Mise à jour de la carte le 24/04/2023
[Soumont-Saint-Quentin est une commune rurale au climat océanique altéré, peu ou très peu dense - Habitants : 593 (86.3 hab/km2 ) en 1968 - 562 (81.8 hab/km2 ) en 2019 - Superficie : 6.87 km2]
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
Calvados (14)
Coupé ondé d’azur plain et de gueules à deux léopards d’or, armés et lampassés d’azur.
Soumont-Saint-Quentin (14) - 01/11/1990 - 22 h - 23 h
« Le témoin-guetteur a assisté à plusieurs reprises au déplacement de cet engin dissimulé par le brouillard, et le fait d'avoir été comme enfermé, pendant environ 02 minutes, dans une bulle invisible, avec la forte impression d'y être sondé ou scanné, l'a profondément marqué. »
Mimétisme Ovni et Scan du Témoin
Au cours d’une Veille de Surveillance, par temps de brouillard, sur le site ovnigène, Légendaire et mégalithique de la Brèche au Diable, à Soumont-Saint-Quentin, un guetteur du Génpi (R. C. âgé de 34 ans), qui s'est posté en haut de la côte de Plaids (148 m), à la sortie sud de Ouilly-le-Tesson, observe, à 250 m de sa position, la présence d’un engin qui emprunte la route de la D261a, un peu en avant du carrefour-stop de la D261b, mais qui se déplace, en réalité, à très petite vitesse en "flottant" et en "tanguant" au-dessus de la chaussée.
Cet engin est silencieux et il a la taille apparente d’un véhicule automobile ordinaire dont le Guetteur peut deviner à peu près la forme globale, mais muni uniquement de ses feux rouges de position arrière, « roulant » comme le ferait une voiture, mais en marche arrière, qui se dirige alors dans sa direction, vers la côte 148 m de la côte de Plaids.
Jusqu’au moment où deux voitures, légèrement distante l'une de l'autre, venant de Soumont-Saint-Quentin approchèrent de loin, à cet instant l’engin se range sur un champ qui borde la route et éteint ses feux rouges, pour laisser passer, successivement les deux voitures qui, elles, sont éclairées normalement avec leurs feux de croissement et de position, avant et arrière (le témoin a pu identifier la première voiture comme un modèle de la DS Citroën).
Après le passage des voitures, l’engin rallumera ses feux rouges pour poursuivre son exploration toujours parfaitement silencieuse, mais maintenant dans le sens opposé, vers Soumont-Saint-Quentin, et, in fine, se dirigera en s’élevant doucement et progressivement au-dessus du champ vers la D261a, mais selon une trajectoire sinueuse qui le fit survoler la rivière du Laizon.
A cet instant le guetteur R. C., voyant l’engin s’éloigner de sa position, se précipite en courant après lui, et traverse le Laizon à un gué, qu’il connaissait, pour essayer de le rattraper dans son vol dirigé vers le site de la Brèche au Diable.
Lorsque R. C. se retrouva, les pieds et les jambes dans l’eau froide, au milieu du cours du Laizon, il eu la surprise de voir l’engin venir le survoler en stationnant au-dessus de la cime des arbres, et ressenti une forte tension avec l’impression d’être scanné par un genre de rayonnement invisible, qui cessa brutalement avant que l’engin ne poursuive sa route dans les airs.
Malgré sa poursuite effrénée à pied qu'il prolongea, R.C. ne revit plus cette voiture volante. (du moins cette nuit-là ! ).
Le guetteur a assisté à plusieurs reprises au déplacement de cet engin déguisé en voiture, qui suivait ostensiblement le tracé des voies routières. Et le fait d'avoir été comme enfermé (pendant environ 02 minutes) dans une bulle invisible, avec la forte impression d'y être sondé ou scanné, l'a profondément marqué 01 Témoin-Guetteur. Source : Génpi.
Soumont-Saint-Quentin-Potigny-Assy (14) - 21/09/1979 - en fin d'après-midi
Polyssoir d'Assy
Saut Temporel au Sabbat
Au moment de l'équinoxe d'automne, notre Mr R. C. (âgé de 23 ans) était en poste d'observation de jour, au site mégalithique de la Brèche au Diable, qui est bien connu en Normandie Occidentale, et plus précisément dans le secteur de la Pierre Ronde des Roches où se tenaient les Sabbats des Sorciers, lorsqu'il vit surgir une troupe d'une quinzaine d'individus hommes et femmes, aux teints blafards et à l'aspect désincarnés, qui avançaient en file indienne, bizarrement accoutrés, et plutôt agités, mené par un homme équipé d'une faux comme s'ils sortaient directement d'un asile de forcenés ou d'énervés du haut moyen-âge. 01 Guetteur-Témoin. Source : Génpi.
Soumont-Saint-Quentin (14) - 17/09/2005 - 23 h 56
Le Rempart de l'Eperon Barré de la Brèche-au-Diable
Son abri sous roche, ses polissoirs et ses menhirs des Longrais
Les Menhirs
En 1957, au moment de leur découverte, à gauche de la départementale D 261a reliant Ouilly-le-Tesson à Tassilly, les trois menhirs étaient presque totalement enterrés. En 1962, deux d'entre eux furent relevés, le troisième de plus petite dimension dont l'authenticité n'est pas avérée est resté enseveli. Malgré leur classement et leur protection aux Monuments Historiques, un agriculteur les a déplacés de plus de 400 m de leur emplacement initial pour les redresser en bordure de champs. Les deux mégalithes se trouvent maintenant à l'extrémité est de l'éperon rocheux du Mont Joly. Ils sont en grès armoricain présentant des clivages verticaux. Le plus grand est blanc et mesure environ 2,60 m de haut. Le second d'une belle couleur rose est plus petit, il mesure environ 1,60 m.
L'archéologue Bernard Edeine mit au jour dans cette plaine les traces des plus anciens cultivateurs connus en Basse-Normandie. Devant l'un des menhirs, une fosse de 1,65 m de profondeur fut découverte, elle contenait des fragments de charbon de bois et des tessons de poterie. Un abri sous roche et plusieurs polissoirs sont visibles sur le site néolithique du Mont Joly. Une grande quantité d'éclats de silex taillés parsèment la plaine environnante et témoignent d'une présence humaine très ancienne et d'une intense activité d'exploitation du silex. Plus de 20 000 puits d’extraction ont été identifiés3 à quelques kilomètres au nord vers Bretteville-le-Rabet.La Brèche au Diable
La légende attribue au diable lui-même la paternité de ce site naturel grandiose. En effet, Saint-Quentin s'étant retiré ici pour vivre sa vie d'ermite, il voulut venir en aide à la population toujours en butte aux caprices de la rivière du Laizon. Pour ouvrir un passage aux eaux du ruisseau, il fit un pacte avec le diable. Si celui-ci après avoir ouvert une brèche dans le roche, parvenait à surmonter une épreuve, alors il serait maître de son âme. Le bon ermite demanda alors au Diable de laver une toison dans le ruisseau, mais il s'agissait d'une toison de bouc et le diable ne put lui donner la blancheur de l'agneau. Ce qui permit à saint-Quentin de sauver son âme sans renier sa parole.Source : Patrimoine naturel- Soumont-Saint-Quentin.La version la plus connue met aux prises, saint Quentin, patron du lieu, et le Diable en personne. À une époque où il était question de convertir les populations au Christianisme, saint Quentin avait choisi de bâtir une église à l’extrémité du plateau du Mont-Joly (où l’on rencontre maintenant le tombereau de Marie-Joly). Pour permettre aux habitants des alentours de venir s’y recueillir, il lui fallait trouver le moyen d’en faciliter l’accès. Ne trouvant pas de solution, il reçut alors une proposition de Satan. Le Malin s’offrait de fendre la montagne pour créer un passage, mais réclamait, en échange, l’âme de la fille aînée du saint qui avait précédemment fondé une famille.
Saint Quentin hésita puis conclut le marché, à la condition que le Diable blanchisse, dans les premières eaux qui s’écouleront dans le passage, la peau d’un animal choisi par l’homme de Dieu, puis remplisse un récipient fourni par le même. Estimant avoir partie gagnée bien facilement, le Diable fendit donc la montagne et créa la Brèche. Mais il découvrit, plus tard, que Le Saint s’était joué de lui : la peau d’un bouc noir fut impossible à blanchir et le récipient s’avéra une passoire. Le Diable regagna alors l’Enfer la queue basse, la jeune fille conserva son âme et la Brèche resta ouverte.
Une autre légende place Saint Quentin sur les rives du lac de Poussendre (où existe toujours un manoir), alors royaume du Diable. Fâché de rencontrer cet intrus sur son territoire, il le pousse dans l’eau. Au moment de se noyer, Saint Quentin exécute un signe de croix et l’intercession de Dieu le ramène sur la berge. Ainsi sauvé, il manifeste sa reconnaissance par des actions de grâce. Sensible à cette ferveur, Dieu lui donne alors le pouvoir de donner un ordre au Diable. Le Saint choisit d’ordonner la disparition du lac et le Diable s’y soumet en ouvrant une brèche dans la roche permettant aux eaux de s’écouler. D’où l’origine de la Brèche au Diable.
Source : Ouest-France du 01/08/2018.
L'Entrée de l'Enfer
Saint Quentin serait tombé dans un lac formé par cette rivière et la barre de grès. Sauvé miraculeusement de ces eaux dont on disait qu'elles seraient l'une des entrées de L'Enfer, Dieu accorda une requête à Saint Quentin envers Satan. Il demanda donc la disparition de ce lac et le diable, d'un coup de sa queue, créa une brèche dans cette barre. Source : Wikipédia.
La Fontaine d'Arlette
La Fontaine de Falaise, renommée la Fontaine d'Arlette est composée d'un bas relief représentant la rencontre de Robert le Magnifique, de retour de chasse et Arlette lavant le linge.
La légende raconte qu'en revenant des forêts giboyeuses, le jeune duc Robert aperçoit une jeune fille qui lave le linge à la fontaine du Val d'Ante au pied du château. C'est Arlette, fille de Foubert, marchand pelletier de la ville. Robert s'en éprend et la fait venir au château. Celle-ci consent mais exige d'entrer à cheval et par la grande porte. Au cours de leur première nuit d'union, Arlette est réveillée par un songe : un arbre jaillissant de ses entrailles recouvrait de son ombre toute la Normandie, et la Grande Bretagne. Elle en fait part à Robert qui voit là un heureux présage. En effet, quelques mois après cette nuit, un enfant naît, à qui Robert donne le nom de Guillaume, surnommé Le Bâtard.
Le jeune Guillaume fut enlevé et enfermé par une Mélusine dans les anciennes mines de fer de soumont-Saint-Quentin où elle fit son instruction.
Source : Patrimoine de Falaise.Géolocalisation des Sabbats
Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)
Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.
Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
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