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Rouen (76/02)
Normandie - France - Ovnis
Rouen (76)
Mise à jour de la carte le 20/06/2023
[Rouen/habitants : 120 471 (5 634.8 hab/km2) en 1968 - 112 321 (45 253.6 hab/km2) en 2019 - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire - Superficie : 21.38 km2 - Climat océanique]
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
Rouen (76)
L'Astragale
De gueules à l'Agneau Pascal d'argent nimbé d'or, tenant un étendard d'argent chargé d'une croix d'or, sur une croix latine à la hampe du même, le tout surmonté d'un chef d'azur à trois fleurs de lys d'or.
Le Bâton (échelle) de Jacob
Encodage stellaire de la Compagnie des Rois Mages signalant l'ouverture du nouveau cycle de l'Année Théurgique, à compter de la Pleine Lune de L'Equinoxe de printemps, annonçant la Pâques, de la Résurrection, de l'Ascension, et de la Pentecôte, dont les 4 décans du Signe de Jonas renvoie au Signe de 4 du Tétramorphe (figuré par la Croix Rouge en bannière) - Bellator.
Rouen (76) - 10/03/2017 - nuit
Ovni filmé à Rouen (76), Seine-Maritime, le 10 mars 2017, on voit d'abord un point lumineux blanc et zoomé cela donne une sphère jaunâtre.
Source : Christian Macé.
Rouen (76) - 22/10/2016 - environ 16 h 30
Observation par Eric à la jumelle pendant environ 06 minutes, et photographie d’un objet volant étincelant apparaissant comme une sphère grise sur la photo, semblant se situer à 01 km au-dessus de la Foire Saint Romain de Rouen. 01 Témoin - Source : Christian Macé.
Rouen (76) - nuit du 22/12/2014
La dernière fois que des objets volants non identifiés (OVNI) ont été aperçus en Seine-Maritime, c’était le 22 septembre 2014. Une habitante du quartier de Luciline, à Rouen (76), avait aperçu « trois boules de feux dans le ciel », en pleine nuit.
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre 2014, un nouveau témoignage relate une bien étrange activité qui a eu lieu dans le ciel rouennais. De sa fenêtre, pile au-dessus du quartier de la Luciline, une femme d’une petite trentaine d’années, et son mari, ont aperçu « trois étranges lumières oranges, comme des boules de feu, formant un triangle ». Les informations apportées par le témoin sont précises : elle aurait vu deux des trois boules de feu fusionner. Source : 76 actu, du 22 et 25/09/2014.
Rouen (76) - nuit du 20/09/2014
Cette photo est le seul document que la Rouennaise a pu capturer de l'étrange spectacle auquel elle a assisté dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre 2014, à Rouen. (Photo DR)
Deux boules fusionnent, dans le ciel rouennais
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre 2014, un nouveau témoignage relate une bien étrange activité qui a eu lieu dans le ciel rouennais. De sa fenêtre, pile au-dessus du quartier de la Luciline, une femme d’une petite trentaine d’années, et son mari, ont aperçu « trois étranges lumières oranges, comme des boules de feu, formant un triangle ». Les informations apportées par le témoin sont précises : elle aurait vu deux des trois boules de feu fusionner.
Deux de ces « boules de feu » sont « restées fixes tandis que la troisième allait et venait, près des deux autres. Le temps d’aller chercher un téléphone pour faire des photos et on a pu voir une des trois boules disparaître au loin, et les deux autres se rejoindre pour ne former qu’une boule, et disparaître elle aussi, lentement, dans le ciel, confie la femme.
Comme le précédent témoin, la femme s’empresse de photographier le phénomène, mais, par peur du ridicule, elle n’ose contacter la gendarmerie pour signaler son observation.
En 2009, déjà, la jeune femme avait été témoin de l’apparition d’une boule de feu dans le ciel, au niveau du pont Flaubert. Le témoin cherche des explications et s’interroge sur ce qu’elle a vu, ce soir du 20 septembre 2014. « Une chose est sûre : ce n’étaient pas des avions ou des hélicoptères, car il n’y avait aucun bruit et cela ne clignotait pas.»
Il y a un an, jeudi 5 septembre 2013, une observation avait animé le milieu de l’ufologie havraise :
Nous avons eu droit jeudi soir (le 5 septembre 2013) à une vague d’une vingtaine de boules phosphorescentes au-dessus du Havre vers 22h40.
Elles sont arrivées en nuées, se sont mises en ligne puis en triangles ! rapportait le témoin de l’époque. Source : 76 actu, du 22/09/2014.
Sud de Rouen (76) - 24/02/2013 - vers 6 h 30/07 h
Bonjour, je vous envoie un message pour vous raconter mon observation d'ovni, on m'a dit que mon témoignage pourrait vous intéresser.
C'était le dimanche 24 février 2013, donc il y a à peine deux semaines, vers 6 h 30 / 7 h du matin, je repartais d'une soirée passée a Rouen (je vous rassure je n'étais pas alcoolisé), et donc j'étais dans ma voiture, sur la voie rapide Sud 3 (qui redonne sur l'A13) en direction de Caen/Havre....
Et j'ai aperçus comme un flash rouge à travers ma fenêtre venant du ciel, j'ai regardé en l'air sur ma gauche et j'ai aperçu un appareil qui avait donc une direction nord/sud de forme triangulaire à première vue.
Impressionné, j'ai aussitôt jeté un coup d'œil dans mon rétro pour voir si personne était derrière moi, j'ai donné un coup de frein et je me suis remis à regarder ...
Et là j'ai bien vu un objet triangulaire (équilatéral) avec trois lumières blanche sous l'appareil situées aux extrémités, qui faisaient bien apparaître la forme. Il n'avait pas l'air d'aller très vite, je l'ai observé que quelques seconde, et il a disparu dans une masse nuageuse.
Il était bas, j'estime son altitude entre 40 et 50 mètres, et les côtés de l'appareil mesuraient environ 8 mètres ou 10, je suis pas sûr des distances mais bon, c'est à peu près ça. Si vous voulez plus d'infos, je suis a votre disposition. Bonne soirée. Sources : Maxime - Christian Macé.
Rouen - Petit-Couronne (76) - 28/06/2012 - environ 15 h 15
Il était environ 15 h 15, à Petit-Couronne, ce jeudi 28 juin 2012, un orage traversait le ciel de l'agglomération rouennaise. Intrigué par les vents changeants et les nuages sombres, un habitant de Petit-Couronne s'est mis à observer le ciel. C'est là qu'il a découvert plusieurs points blancs, fixes, au nombre de cinq.
Plus bas, flottait également un objet plus sombre, de forme plus aplatie. Le phénomène aurait duré plus de cinq minutes, suffisantes pour que cet habitant, qui a souhaité conserver l'anonymat, sorte son petit appareil photo numérique et immortalise la scène. Quelle était la nature de ces objets volants non identifiées ?
Décidemment, la journée du 28 juin a été riche en surprises dans le ciel rouennais. Au-dessus d'Isneauville, deux mini-tornades ont également été observées durant l'orage. Source : Tendance Ouest.
Rouen (76) - 22/10/2011 - environ 16 h 30
Bonsoir Monsieur Macé, J'arrive à vous pour vous relater l'étrange observation que j'ai faite un soir d'octobre 2011 (ci-joint témoignage transmis auprès des autorités, via la gendarmerie et police, déposition transmisse au Géipan, il n'y a pas eu de suite à ce sujet.
Il ne s'agissait pas de lanterne thaïlandaise, il n'y avait pas de vent; les deux objets se déplaçaient à vitesse constance et tout à fait horizontalement, les deux objets n'étaient à pas plus de 50 mètres du sol (certainement pour échapper au radar par rapport à leur signature thermique). Je ne crois pas à des appareils conventionnels. J'ai 47 ans, je suis économiste dans la construction et j'ai une bonne notion des distances et une bonne représentation graphique en 3 dimensions.
La veille de mon observation soit le 21 octobre, beaucoup de témoins ont relaté une observation sur Le Havre, Rouen et Région Parisienne. Les autorités ont déclaré ont déclaré qu'il s'agissait vraisemblablement d'une météore. (Cet événement avait été relaté dans le Paris-Normandie, Radio locale).
Avez-vous entendu parler d'une observation le soir du 22 octobre 2011, je recherche depuis ce jour des témoins, j'ai parlé à l'époque au gardien de mon immeuble, aucun habitant ne lui a relaté quoi que ce soit. Merci par avance de vos informations. Christophe. Source : Christian Macé.
Le 22 octobre 2011 entre 21 h 20 et 21 h 30, je regardais un film qui a débuté à 21 h15 et j'étais assis sur mon canapé.
Devant ma porte fenêtre, j'ai vu une lumière orangée brillante, passant derrière le grand arbre situé dans l'espace vert de ma résidence, direction de gauche à droite, j'ai été surpris par la couleur, je me suis dit c'est quoi ? Je me suis dit ce n'est pas un avion (beaucoup d'avion de ligne qui passent devant ma porte fenêtre et généralement en partie haute de celle-ci et leur direction étant de droite à gauche, les lumières des avions sont généralement blanches et elles clignotent), j'ai ouvert la porte fenêtre et j'ai suivi des yeux la direction de la lumière et j'ai vu une deuxième lumière qui suivait, cela ne faisait pas de bruit, j'ai cru que cela était deux hélicos à basse altitude, mais pas de bruit et aucune forme autour des lumières, les lumières ressemblaient à un éclairage de voirie aussi bien dans leur luminosité que dans leur aspect en un plus orange.
L'observation a duré environ30 à 60 secondes. La vitesse ne me paraissait pas important et la hauteur des lumières par rapport au sol non plus, je l'ai est vu rentrer dans les nuages bas.
Ovnis à Bois Guillaume en Seine Maritime le 22 octobre 2011 - Le blog de Christian Mace. Mon email : macechristian4@gmail.com (over-blog.com).
Agglomération de Rouen (76) - 08/09/2010 - un peu après 22 h
Des ovnis ont survolé Rouen, et près de Rouen, le 08 Septembre 2010.
De mystérieuses lumières rouges ont été aperçues dans le ciel de Rouen par plusieurs témoins mercredi soir, 8 septembre, un peu après 22 heures, plusieurs habitants de l'agglomération rouennaise ont assisté à un étrange phénomène dans le ciel. Des lumières rouges se déplaçaient " en formation ", sans le moindre bruit , et de façon lente. Certains témoins ont même filmé ces mystérieux ovnis. Dans tous les cas, ces observations dans le ciel rouennais restent mystérieuses. D’autant que ça n’est pas la première fois que le phénomène est observé dans notre région. Fin juillet (2010), des habitants de Saint - Léger - du - Bourg - Denis avaient aperçu huit « boules lumineuses » au-dessus de l’église.
Mercredi soir, 8 septembre 2010, vers 22 heures, plusieurs habitants de Rouen ont assisté à un étrange phénomène dans le ciel. Des lumières rouges se déplaçaient "en formation", sans le moindre bruit , et de façon très lente. Certains témoins ont même filmé ces mystérieux ovnis. Voir la vidéo ci-dessus. (Document amateur confié à France 3 Haute-Normandie ). Parmi ces témoins, Elsa, 28 ans, qui habite le quartier Jouvenet à Rouen. C’est au moment où elle fermait ses volets qu’elle a aperçu les étranges lumières rouges. Il y avait plusieurs lumières : un groupe de trois lumières qui se déplaçaient en triangle, en restant constamment à la même distance. Et deux autres lumières identiques, qui, à un moment, ont brutalement disparu. Ces lumières se déplaçaient très lentement, et elles sont restées visibles dans le ciel une dizaine de minutes.
Autre témoin : Vincent, 28 ans, qui se trouvait avec un groupe d’amis près du CHU de Rouen. Ils ont assisté eux aussi à cet étrange défilé dans le ciel. D’abord un triangle de trois lumières rouges, qui se déplaçaient en formation, puis une autre lumière juste à côté. Les « lumières » semblaient être très proches, elles se déplaçaient lentement sans le moindre bruit, d’ouest en est. A « droite du ciel », une quinzaine de lumières, semblables mais plus lointaines étaient visibles. Vincent a pris quelques photos avec son téléphone portable. Il a appelé la police qui lui a demandé s’il avait « pris l’apéro » (!). Déjà, fin juillet 2010, un couple de Saint-Léger-du-Bourg-Denis, à 10 kilomètres de Rouen, avait aperçu huit boules lumineuses dans le ciel. Plusieurs Témoins - Source : Normandie-France3.
Rouen (76) - 21/07/1989 - vers 23 h 15
Deux Oranges-Citrons
Mme L., 37 ans vit, du dixième étage d'une tour située à Rouen dans le quartier de la Grand-Mare, en direction de Saint-Martin du Vivier deux boules-oranges entourées d'un halo jaune. Ce phénomène se situait assez bas sur l'horizon, au-dessus d'un champ, près d'une forêt. Ces deux boules se déplacèrent l'une derrière l'autre, puis disparurent sur place, comme une lampe qu'on éteint. La distance d'observation est de l'ordre de 3 à 5 kilomètres. 01 Témoin. Source : LDLN N° 299.
Rouen (76) La Grand Mare - Nord-Est de Rouen - Nuit du 05 au 06/11/1983 - entre 23 h 30 et 00 h 30
L'écholocation lumineuse des Ovnis
La Grand Mare - Nord-Est de Rouen (76) - Nuit du 05 au 06/11/1983 - entre 23 h 30 et 00 h 30
Mr. Joël Gauthiez (environ 30 ans), depuis le balcon de son appartement, situé au 6ème étage, observe, l’évolution silencieuse de 9 engins, d’aspect solide, au-dessus de la campagne, sous une nuit étoilée.
J’aperçois 2 grands phares (spots) blancs (objets 7 et 8), puis 2 à 3 minutes après, 2 autres (objets 5 et 6).
Ils arrivent de la direction de Saint Jacques/Darnetal et stoppent dans la forêt.
A ce moment, simultanément, à 10 secondes près, je regarde plus à gauche en direction de Fontaine/Préaux et j’aperçois 4 autres phares semblables aux précédents, mais en formation carrée (objets 1 à 4) qui resteront immobiles tout au long de l’observation.
Les objets 7 et 8 illuminaient le ciel. Je me suis saisi d’une paire de jumelles.
Dans le premier temps, la lumière était jaune avec reflets rouges, puis 5 à 6 minutes après, elle a viré au bleu sombre.
A ce moment-là les objets 7 et 8 se sont mis à réduire leur intensité lumineuse et 30 secondes environ après à éclairer à pleine puissance toujours de couleur jaune-rouge.
Puis l’objet 6 qui éclairait toujours de couleur rouge vermillon semblable à la couleur des feux stop des autos, s’est déplacé entre les objets 7 et 8.
Les objets 1 à 4 immobiles éclairaient le ciel d’un blanc fluorescent, tandis que les objets 5 et 6 sont restés à leur place, mais éteignaient et rallumaient alternativement toutes les à 3 minutes environ, leurs phares blancs inchangés.
Puis vers 00 h 15, l’objet 5 a éclairé le ciel (ce qu’il fit principalement tout au long de l’observation) d’un bleu sombre (279 U) et 30 secondes après environ, il a éclairé blanc fluorescent.
Puis l’objet 8 a effectué ¼ de tour (rotation à 90°) A ce moment 3 phares rouges se sont allumés simultanément pendant 2 secondes environ, (observé 2 fois aux jumelles).
Puis entre 00 h 15 et 00h 30, j’ai pu observer aux jumelles, à environ 200 m d’altitude, un vol de ces objets 2 par 2, volant en formation triangle (en « V ») avec un éclat lumineux visible à l’œil nu.
Aux jumelles j’ai vu que les signaux changeaient de couleur. Première phase de 30 secondes était lente et la 2ème phase de même durée était plus saccadée, la 3ème redevenait lente et ainsi de suite.
Puis toutes les 2 phases, l’objet tourne sur lui-même et recommence ces cycles.
Ce vol en formation en « V » se dirigeait vers l’objet 8 qui éclairait toujours rouge avec ses 3 feux, et qui devait être Directeur, avant de disparaître. D’ailleurs le vol en formation a eu lieu après que cet objet Directeur eût envoyé un signal avec ses feux.
Un témoignage d’un couple de la banlieue sud de Rouen confirme une observation ressemblante vers 22 h 30 /23 h avec 4 objets aperçus, et l’armée n’a opéré aucune manœuvre militaire cette nuit-là. 01 Témoin. Source : Enquête Mr. Luc Jean, Délégué Régional LDLN, et Mr. Christian Soudet. LDLN n° 233.
Rouen (76) - 27/03/1983 - au lever du soleil entre 06 et 07 h
Ma belle-mère m’appelle du salon où elle passe la nuit.
J’ouvre les yeux, me lève brusquement et me rends compte que ma chambre est illuminée en rouge orangé. Les persiennes sont fermées mais la lumière filtre à travers. (Warm RED au nuancier Pantone).
Je cours dans le salon (contigu à la chambre) dont les persiennes par contre n’ont pas été fermées. La pièce est illuminée en rouge plus vif (185u/186u au Pantone).
J’arrive près de ma belle-mère qui regarde à la fenêtre, et, vois aussi une grosse boule rouge, de la taille de la pleine lune, qui descend très lentement et totalement silencieuse, et disparaît derrière l’immeuble devant chez moi (4 étages).
Cette boule était donc très basse et ne m’a pas apparue être très loin. La trajectoire allait de l’Est vers le Nord. Voilà, ce que je peux vous raconter sur cette histoire. Cela ne m’a pas inquiété plus que ça, et j’en ai parlé à mon collègue Mr. Dumaine, car je sais qu’il s’intéresse à tout ça.
La belle-mère du témoin, Mr. Beau Bernard a confirmé par téléphone son observation qui a été estimée depuis son réveil et la disparition de la boule, derrière un immeuble, entre 15 et 20 secondes.
Suite à cette enquête, une recherche de témoin a été faite dans le journal local « Paris-Normandie ».
Une religieuse a répondu, expliquant qu’elle a vu exactement le même phénomène que Mr. Beau mais à 23 h 45.
Elle me décrit : « Une énorme boule irradiée très grosse comme parfois on voit le soleil sous sa plus grosse forme.
J’ai vu cette boule devenir grosse comme un pamplemousse et enfin comme une balle de ping-pong ; elle a disparu. J’ai été voir à l’une des fenêtres de la salle et j’ai vu la lune, donc il y avait bien une autre chose ».
Ce phénomène est identique, à 04 km à vol d’oiseau du premier et ce, à 17 heures d’intervalle, il y a bien eu un Ovni le 27 mars 1983 à Rouen, comme le pense le frère de cette religieuse qui est ingénieur de l’aérospatial. 02 Témoins. Source : Enquête C. Dumaine Délégué Régional LDLN. LDLN n° 225.
Rouen - Sapins (76) - 06/08/1982 - vers 20 h
Vendredi 06/08/1982, vers 20 h, à Rouen-Sapins (Seine Maritime), un automobiliste observe durant 03 minutes un objet ovoïde gris métallique de 02 m de diamètre. L'objet est à environ 20 m du sol et se déplace du nord au sud sans aucun bruit. 01 Témoin - Source : RRO
Rouen (76) - 06/06/1972 - à 21 h
Rouen (76) - 06/06/1972 à 21 h
Dans le ciel encore bleu, à environ 200 m, apparut un disque incandescent dont la luminosité était supérieure à celle du magnésium.
Ce disque surmonté d’un dôme s’éleva dans le ciel trois fois de suite, par petits bonds successifs, puis disparut à une vitesse imperceptible.
01 Témoin. Source : Eric Hauville. LDLN n°128.
Rouen (76) - fin juillet 1971
Quatre témoins avec moi. Nous marchions dans la plaine, à gauche deux élévations de terrain (bosses). Tout à coup, sur notre droite, nous aperçûmes une boule de feu d’une dizaine de mètres de diamètre, de couleur rouge. Elle paraissait rouler sur le sol, et en roulant semblait s’écraser sur elle-même. Nous prîmes peur et nous accélérâmes le pas. Elle monta ensuite sur la pente d’une bosse et disparut à jamais.
Fin juillet 1971, des amis ont sûrement vu une Soucoupe Volante. Il s’agit de Mme Allano. On sortait de Rouen, d'un terrain de camping, quand nous vîmes dans le ciel une énorme chose comme une soucoupe volante. Elle était gigantesque, beaucoup plus grosse qu’un avion. Elle était rouge, laissant derrière elle une traînée rouge-orangé. Elle avait vraiment la forme d’une soucoupe renversée. 05 Témoins. Source : Rapport de Mr. Larchevêque -LDLN - Contact Lecteurs - 1972.
Rouen (76) - 05/03/1954 (?)
Les Chasseurs d'Ovnis
De Forges - les - Eaux à Pierrval (76)
21 h 45 : Le vendredi 04 avril, je regardais la télévision lorsque le téléphone sonne. Un ami ufologue de notre groupe, Charles, habitant Forges - les - Eaux, m'annonce qu'avec sa femme, ses trois de ses enfants et une amie, ils observent une forme qui oscille à basse altitude.
A la jumelle, cela ressemblait à une assiette renversée avec un genre d'antenne sur le dessus. (Nous avons retrouvé dans nos archives une photo qui fut prise à Rouen, le 05 mars 1954, d'un objet similaire) - Note ufo-Génpi : cette photo de Rouen, prise soi-diant par un pilote de chasse, le 5 mars 1954, ou le 12 mars 1954, ou 1957, est un resucé des photos de Mac-Minville, prises le 11 mai 1950 ; toutes ces hotographies sont des montages des Sévices d'Etat Secrets qui, depuis toujours, accéditent dans la coulisse avec le divulgation publique ce genre de faux (et avec la fuite volontaire de faux rappots secrets), la thèse supposant des vaisseaux extraterrestres conventionnels, visiteurs de notre planête, afin de dissimuler une réalité occultée.
Charles : " A 21 h 35, en ouvrant les volets de ma chambre, j'aperçus à hauteur des arbres une grosse boule orangée qui se déplaçait, descendait et remontait très lentement. Cette boule se trouvait à 242° ouest, 20 à 25° de hauteur angulaire.
J'ai donc pris mes jumelles, au-début, je ne voyais qu'une boule se balançant, mais au bout de 02 à 03 minutes, cette boule s'est penchée et, là, à ma grande surprise, j'ai vu nettement une forme de "soucoupe" ; je n'aime pas employé ce terme, mais c'est exactement ce que j'ai vu, une soucoupe avec à son sommet une antenne.
J'ai donc appelé ma femme et mes enfants pour qu'ils me disent ce qu'ils voyaient. C'était la même chose. A 21 h 45, je me suis décidé à appeler le responsable régional de LDLN.
Celui-ci, n'était pas étonné de mon appel, car lui aussi à ce moment-là observait une boule dans le ciel.
Nous avons pris rendez-vous pour observer ces phénomènes.
Je suis parti avec mes deux fils. Pendant quelques kilomètres j'observais, légèrement sur ma droite cette "chose" mais avant d'arriver à Buchy, celle-ci s'est déplacée et seuls mes enfants pouvaient la voir.
Nous avons perdu la trace de l'ovni et sommes arrivés au rendez-vous fixé avec mon ami ufologue."
22 h10 : Rencontre avec Charles et ses deux fils. Nous quittons la RN 25 et nous nous enfonçons de 500 mètres dans la campagne pour être tranquilles.
De là, nous observons tout d'abord une toute petite boule blanche qui parcourt les airs à très basse altitude (environ 25°) sans clignoter, sans changer d'éclat, sans bruit, en tout durant une bonne minute.
Nous apercevons une série de flashs lumineux, blancs de grande envergure venant de l'autre côté de la RN 88. En même temps, nous voyons une boule rouge au-dessus d'un bosquet. Après nous être assurés que ces flashs n'émanent pas de phares de voitures (ceux-ci sont trop petits par rapport au rayon de ce flash), nous partons en direction du lieu où se situe cette boule, traversons la nationale et nous nous arrêtons, feux éteints, pour attendre un nouvel éclair, et nous diriger vers lui. Celui-ci ne tarde pas, il ne semble pas loin. Nous remontons en voiture, parcourons encore 700 m et stoppons près d'un château d'eau.
Au bout de quelques secondes, nous apercevons un engin assez important qui s'envole de derrière le château d'eau en prenant la direction de l'est.
A la jumelle, cet engin, à relativement peu de distance de nous (moins de 100 m) nous parait énorme, d'aspect solide, sans halo mais habillé de 02 grosses lumières blanches à l'avant, 02 oranges vers l'arrière, et une sorte de gyrophare en bout dont la luminosité augmente et diminue sans arrêt et très lentement.
Cet objet disparaît après avoir fait un cercle de 180 degrés, d'ouest où a débuté l'observation, en est où elle s'est terminée.
Nous sommes retournés ensuite à notre premier poste d'observation. Plus rien n'a été observé, la boule rouge avait bel et bien disparu et plus aucun flash ne fut émis.
Nous sommes retournés dès le lendemain sur les lieux. A priori, il n'y a pas eu d'atterrissage, aucune trace n'ayant été trouvée dans l'immense plaine autour du château d'eau.
Si nous n'avions rien observé ce 04 avril, aucun commentaire n'aurait été fait sur un fait qui s'est produit 03 jours plus tôt à 23 h 30 dans ce même site.
En effet, un collègue de travail, habitant Bierville m'avait signalé avoir vu le 1er avril une boule blanche assez importante.
Cette boule remontait en pente douce un angle de 20 à 30 degrés. Elle était apparue au-dessus du toit de la maison de son voisin (08 m de hauteur ; elle émit 03 ou 04 flashs à 02 secondes d'intervalle avant de s'éteindre comme une ampoule. 07 Témoins. Source : Cercle LDLN de Seine-Maritime. LDLN n ° 239.
Rouen (76) - 03/10/1954 - en soirée
Après les étranges boules lumineuses aperçues par un passeur d'eau dans le ciel de Grand-Couronne, voici qu'on parle cette fois à Rouen même, de trois sortes de météores vus dimanche soir, au-dessus de la côte Sainte-Catherine. L'un d'eux, descendu assez bas, avait, affirme l'un des témoins, un électricien, l'aspect d'un gigantesque tube éclairé au néon. Tous trois disparurent bientôt à vive allure et sans faire le moindre bruit. Sources : Le Progrès de Fécamp du mercredi 06 octobre 1954 - Catalogue 54 : Jean Sider - Jonathan Giné et Anne Joigneaux.
Rouen (76) - Le Cœur Percé
Le journal l'Éclair de Rouen, en du 06 juillet 1903, publiait un article signalant le cas d'envoûtement d'une morte. Une dame X., âgée de trente-quatre ans, avait été inhumée au cimetière de Rouen. Le 20 mai 1903, le mari de la défunte s'étant rendu sur la tombe : il fut frappé par l'odeur désagréable que la terre exhalait ; il la remua avec une baguette et en ramena bientôt un cœur en complète putréfaction. Très ému, il appela le conservateur du cimetière ; son émotion s'accrut lorsqu'il s'aperçut que le cœur était percé par des clous et plus de cent épingles. On était en présence d'une manœuvre d'envoûtement parfaitement classique.
Source : L. de Vesly, Légendes et vieilles coutumes de Normandie.
Rouen (76) - Le Faiseur de Pluie
Vers 1810, vivait à Rouen un riche industriel, Pierre-Louis Le Barbier, adepte des théories de Messmer et du magnétisme. Il se disait Dominatmosphérateur, prétendait dompter les éléments, commander aux nuages et aux tempêtes, et provoquer pluies et orages ; persécuté par les menées d'ennemis invisibles et occultes, il mourut triste et délaissé.
Source : Archives Départementales Seine-Maritime, C. 121.
Rouen (76) - Fascination
Dans leur journal du 29 novembre 1860, Les frères Goncourt, dans leur Journal écrivirent que Flaubert (qui est né à Rouen en 1821, qui toute sa vie fut tourmenté par l'insolite, l'extraordinaire, le satanisme, le morbide) leur conta l'impression que fit sur lui, alors qu'il était au collège, la lecture des premières pages de Faust (de Goethe), impression tellement forte qu'au lieu de revenir chez lui, il se trouva à une lieue (environ 4 km) de Rouen, sous une pluie battante.
Source : Les amis de Flaubert, N° 13.
Rouen (76) - Le Parpaillot
En 1685, on avait encore brûlé au Vieux-Marché de Rouen un prêtre de l'Église Réformée de Rouen convaincu de sorcellerie, Jean Tirel, Ministre de l'Église protestante en Normandie, qui fut mis en prison à Rouen, où il n'y eut pas d'autre lit que celui d'un misérable prêtre accusé de magie, et qui ne le quitta que pour monter sur le bûcher, où il expia un crime abominable.
Source : Philippe Legendre, Histoire de la persécution faite à l'Église Réformée de Rouen.
Rouen (76) - Le Duc Robert l'Enfant du Diable
Dans la ville de Rouen, au pays de Normandie, naquit un enfant qui fut nommé Robert le Diable, ce qui est un nom fort épouvantable ; en voici la cause : un jour où le Duc de Normandie, sans descendance, était à la chasse je plaignais « Je vois de nobles dames mères de plusieurs enfants qui font leur joie ; je reconnais bien maintenant que Dieu me hait. ».
Alors le diable, qui est toujours prêt à décevoir le genre humain, tenta le duc et lui troubla si fort l’entendement que, quand il fut rentré en son palais, il alla trouver la duchesse, et pria Dieu de lui donner lignée. La duchesse, qui était en colère, dit follement : « S’il me vient un enfant, au diable soit-il donné ! Oui, dès à présent, je le lui donne de bonne volonté ! ».
La duchesse mit alors un enfant au jour avec grande peine et douleur.
Peu après que l’enfant fut né, il se montra une nuée si obscure qu’il semblait que la nuit était proche ; et il commença à tonner si merveilleusement et il y eut tant d’éclairs qu’on eût cru le ciel ouvert et la maison enflammée.
Les quatre vents furent aussi émus de telle manière que la maison tremblait ; il en tomba une grande partie sur le sol. Les seigneurs et les dames qui étaient là croyaient qu’ils allaient mourir, vu les terribles tempêtes qui couraient dans le ciel ; mais à la fin le temps s’apaisât, et le calme reparut.
On porta l’enfant vers les fonts baptismaux, il fut nommé Robert, et tous ceux qui le voyaient s’émerveillaient de ce qu’il était si grand : car on eût dit qu’il avait déjà un an. Du temps qu’on le portait à l’église et qu’on le ramenait au logis, il ne cessa de pleurer et de gémir. Incontinent les dents lui vinrent, et il s’en servit pour mordre les nourrices qui l’allaitaient, tellement que nulle femme ne le pouvait plus allaiter ; et force fut qu’on lui donnât à boire dans un cornet qu’on lui mettait en la bouche. Avant qu’il eût un an, il parlait aussi bien que parlent les autres enfants à cinq. Plus il croissait, plus il prenait plaisir à mal faire ; car, depuis qu’il pouvait aller tout seul, il n’était ni homme ni femme qui le pussent tenir ; et, quand il trouvait les autres petits enfants, il les battait, leur jetait des pierres et les frappait de gros bâtons. En quelque lieu que ce fût ; il ne cessait de mal faire. Il commença bien jeune à mener une mauvaise vie ; il rompait les bras à l’un et les jambes à l’autre.
Les barons qui le voyaient disaient que c’était jeunesse et prenaient plaisir à ce que faisait l’enfant. Plus tard ils s’en repentirent.
Quelquefois les enfants s’assemblaient contre lui et le battaient, et, quand ils le voyaient, la plupart disaient : « Voici le Diable ! » et ils s’enfuyaient devant lui comme les brebis devant le loup. Cette méchanceté fit qu’ils le nommèrent tous Robert le Diable. Cela fut connu bientôt dans le pays, de sorte que le nom lui resta ; et il lui restera tant que durera le monde.
Quelquefois les enfants s’assemblaient contre lui et le battaient, et, quand ils le voyaient, la plupart disaient : « Voici le Diable ! » et ils s’enfuyaient devant lui comme les brebis devant le loup. Cette méchanceté fit qu’ils le nommèrent tous Robert le Diable. Cela fut connu bientôt dans le pays, de sorte que le nom lui resta ; et il lui restera tant que durera le monde.
Quand l’enfant eut sept ans, le duc, voyant ses mauvaises manières, le fit venir pour lui faire des remontrances et lui dit : « Mon fils, il est temps que vous ayez un maître pour qu’il vous instruise et vous mène à l’école ; car vous êtes assez grand pour apprendre ce qu’il faut apprendre, comme à lire et à écrire, et aussi pour vivre en bonnes mœurs. » Et il lui donna un maître pour l’instruire et le gouverner.
Ainsi qu’on le sait, le maître voulant un jour corriger Robert de plusieurs fautes qu’il avait commises, Robert tira son couteau et l’en frappa tellement qu’il en mourut. Puis Robert dit à son maître en lui jetant son livre par dépit : « Maître, voilà votre science ; jamais prêtre ni clerc ne sera mon maître ; je vous l’ai assez fait connaître. »
Et depuis, il n’y eut maître si hardi qui osât entreprendre de l’instruire et châtier en quelque manière que ce fût ; force fut donc au duc de le laisser vivre à sa fantaisie.
Il ne se plaisait qu’à mal faire ; il n’avait aucun respect pour Dieu et l’Église, et ne gardait en rien ni raison ni mesure. Il était enclin à tous les vices. Quand il allait à l’église et qu’il voyait que les prêtres et les clercs voulaient chanter, il avait des poudres et autres ordures qu’il jetait par grande dérision. S’il voyait des gens prier Dieu, il les frappait par derrière. Chacun le maudissait donc pour le mal qu’il faisait ; et le duc, voyant son fils si méchant et si mal morigéné, en était assez peiné pour désirer sa mort. La duchesse en était si inquiète que c’était merveille. Un jour elle dit au duc : « L’enfant a beaucoup d’âge et est assez grand ; il me semble qu’il serait bon de le faire chevalier ; il changera peut-être de vie. » Le duc approuva ces paroles de la duchesse. Robert n’avait que dix-sept ans.
« Mon fils, entendez ce que je veux dire par le conseil de nos barons. Vous serez chevalier, afin que vous puissiez hanter les autres chevaliers et prud’hommes, et changiez vos habitudes ; et ayez de meilleures manières de vivre, car les vôtres sont déplaisantes ; soyez donc courtois, humble et bon, ainsi que sont les autres chevaliers, car les honneurs changent les mœurs. »
Alors Robert répondit à son père : « Je serai donc chevalier ; mais il ne m’importe que je sois en haut ou en bas ; je suis décidé à faire entièrement ce qu’en mon cœur je pense, et à agir ainsi que mon esprit me conduira, d’où il suit que je n’ai pas à changer mes manières de vivre. »
Mais Robert, qui était échauffé et quasi hors de sens, ne tenait aucun compte des choses qu’on lui disait ; il faisait de pis en pis, tuant tous ceux qu’il rencontrait. Robert fit tant que le peuple s’émut et vint vers le duc, disant : « Seigneur duc, c’est grande folie de souffrir que votre fils Robert fasse ce qu’il fait ; pour Dieu, veuillez y porter remède. ».
Le duc, qui entendait dire ces choses de son fils, se prit à pleurer et dit : « J’ai eu une grande joie en voyant qu’il me naissait un fils ; mais j’en ai un qui me fait tant de peine que je ne sais ce que je dois faire. ».
Robert fit faire une maison forte dans un grand bois, en un lieu obscur et ténébreux, où il alla établir sa résidence. Or ce lieu était presque inhabitable et plus périlleux qu’on ne saurait dire. Robert fit assembler avec lui tous les mauvais garçons du pays et les retint pour le servir ; car il y en avait de mauvais et de diverses sortes, comme larrons, meurtriers, gens pervers et mauvais, épieurs de chemins, brigands de bois, et gens bannis, gens excommuniés, désireux de mal faire, gens gloutons et orgueilleux, et les plus terribles de ceux qui vivaient alors sous les cieux ; Robert en fit une grande troupe, dont il était capitaine.
En ce bois, Robert et ses compagnons faisaient des maux innombrables et sans honte aucune. Ils coupaient la gorge des voyageurs et détruisaient les marchands ; nul n’osait aller dans les champs à cause de la crainte qu’on avait d’eux ; chacun tremblait de peur ; tout le pays était pillé par Robert et ses compagnons ; nul n’osait sortir de son logis : car aussitôt on était pris et enlevé par eux, et les pauvres pèlerins qui passaient par le pays étaient saisis et mis à mort.
Ainsi Robert le Diable commit un grand meurtre en dépit de Dieu et de la sainte Église. Il voulait mettre tout le monde en sa sujétion. Après qu’il eut fait cette méchanceté, il sortit de la forêt comme un diable forcené et pire qu’un enragé ; et ses vêtements étaient tout rouges et teints du sang de ceux qu’il avait tués.
Dans ces sentiments, Robert vint jusqu’à la porte du château et descendit de son cheval ; mais personne n’osait approcher de lui pour le prendre, et il n’avait point de page pour le servir. Il laissa le cheval à la porte du château, et s’en alla à la salle où était sa mère ; et, quand elle vit son fils, duquel elle savait la cruauté, elle fut tout épouvantée et voulait s’enfuir. Alors lui, qui avait vu que les gens s’étaient enfuis devant lui et qui en avait grande douleur, s’écria :
« Madame, n’ayez pas peur de moi et ne bougez jusqu’à ce que je vous aie parlé. » Il s’approcha d’elle et lui parla en cette manière : « Madame, je vous supplie qu’il vous plaise de me dire d’où vient que je suis si terrible et si cruel ; car il faut que cela procède de vous ou de mon père : ainsi je vous prie de me dire la vérité. »
La duchesse fut étonnée d’ouïr ainsi parler Robert, et, reconnaissant son fils, se jeta à ses pieds et lui dit en pleurant : « Mon fils, je veux que vous me coupiez la tête. » Car elle savait bien que c’était par elle que Robert était si méchant, à cause des paroles qu’elle avait dites autrefois.
Robert lui répondit : « Hélas ! madame, pourquoi vous ferais-je mourir, moi qui ai tant fait de maux ? Je serais pire que jamais, et je ne ferai cela pour rien au monde. ».
Alors la duchesse lui raconta comment elle l’avait donné au diable ; elle se croyait la plus malheureuse femme qui fut jamais, et peu s’en fallait qu’elle ne se désespérât. Quand Robert entendit ce que sa mère lui disait, il tomba évanoui de la douleur qu’il eut au cœur, puis il revint à lui, pleura amèrement, et dit : « Les diables ont grande envie d’avoir mon corps et mon âme ; mais dorénavant je veux cesser de mal faire, renonçant à toutes les œuvres du démon. ».
Source : Paul Boiteux, Robert le Diable, 1861.
Le Menhir
Fièrement dressée dans la forêt du Rouvray la Pierre d'Etat, est une figure emblématique du patrimoine couronnais. Facilement visible et accessible, elle se situe à une centaine de mètres de l’entrée de forêt située rue de la Pierre d’Etat, au niveau de la sortie de ville en direction de l’A13.
Cette pierre imposante est entourée de mystères. Elle serait âgée d’au moins 4 000 à 5 000 ans, et daterait de l’époque gauloise. Son origine n’a jamais pu être déterminée avec certitude. Pour certains, il s’agirait d’un menhir venant de Carnac en Bretagne. Pour d’autres, elle serait un vestige d’une ancienne carrière, car on peut apercevoir d’autres pierres de moindre importance à proximité de la Pierre d’Etat, dont une située juste à l’entrée de la forêt le long de la route. Cela pourrait vouloir indiquer la présence d’un ancien site mégalithique, et traduire l’existence d’une certaine organisation sociale dans laquelle ces pierres servaient à délimiter des propriétés.
Mais une légende voudrait que cette pierre soit en fait un géant pétrifié, et qu’elle aurait le pouvoir de combattre la stérilité et d’aider les jeunes femmes à trouver un époux. Au-delà de toutes ces hypothèses, certains faits sont incontestables.
Une « sœur jumelle »
au cimetière de RouenLa Pierre d’Etat apparaît officiellement dans des documents d’archives pour la première fois en 1838, et elle est classée « Monument Naturel à caractère historique » en 1931. Elle avoisine les 13 tonnes, mesure 2,20 m de hauteur et 2,50 m de largeur. À l’origine, la Pierre d’Etat avait une « sœur jumelle », située à côté d’elle.
Celle-ci a été déplacée en 1838, pour servir de stèle funéraire pour la tombe de Hyancinthe Langlois, un artiste archéologue-antiquaire, au cimetière monumental de Rouen. Ce déplacement avait provoqué à l’époque la protestation des Petit-Couronnais, et cela a failli se reproduire pour l’actuelle Pierre d’Etat ! Elle devait en effet entrer dans la composition des rochers artificiels du square Solférino de Rouen, mais la vigilance de l’administration des Eaux et Forêts a permis d’éviter ce déplacement. Elle reste donc le plus beau symbole de la forêt couronnaise. Source : Paris-Normandie du 10/08/2015.
La tombe d’Hyacinthe Langlois au cimetière monumental de Rouen
Forêt du Rouvray (76) - La Gargouille
Dans un marais des environs de Rouen, un prodigieux dragon qui dévorait les hommes et les animaux. En pénétrant dans le repaire de la bête cruelle qui terrorisait les habitants de Rouen, Saint-Romain fit le signe de croix dont la magie transforma ses instincts furieux en paisible douceur, lui permettant de lui passer son étole autour du coup et de le donner à conduire en laisse au criminel qui lui prêtait sa coopération. C'est de cette manière que l'épouvantable Gargouille fut amenée dans la cité de Rouen, pour y être brûlée publiquement à la grande réjouissance de toute la population.
Source : A. Bosquet, La Normandie Romanesque et Merveilleuse.
Géolocalisation des Sabbats
Aux environs de Vassy (14), le village de Jean-le-Blanc (14), Beaumont-le-Roger (27), le mont Bonnet Vire (14), les rochers de Clécy (14), la butte Brimbal entre Sourdeval (50) et Tinchebray (61), la mare de Bouillon (50), dans la forêt de Néhou (50), à Méautis (50), aux bois d'Etenclin (50), aux bois de Lithaire (50), forêt de Barnavast (50), dans la contrée du Theil (50), dans la contrée de Saussemesnil (50), le mont Margantin (61), Gaillefontaine (76), à Bully-la-Fosse (76), à Aliermont (76), au Mesnil-Esnard (76), à Londinière (76), à Fréauville (76), à Pont-Angot (61), sur la Dives vers Vicques (27), à Louviers (27), à Gisors (27), à Tosny (27), à Saint-André et Saint-Georges-de-Bohon (50), le mont Etenclin près de la Haye-du-Puits (50), Montchauvet (14)
Sources : Le Tenneur René - Magie Sorcellerie et fantastique en Normandie -1979.
Extrait du Catalogue de Normandie - France - Ovnis : Seine-Maritime (76), Orne (61), Manche (50), Calvados (14)Vous pouvez nous aider à vous informer sur les ingérences des ovnis en nous communiquant les nouvelles ou les anciennes observations de Normandie (témoignages ou presse) à ufo.genpi@gmail.com ou en les publiant publiquement. Merci d’avance.
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