• L'Apocalypse des Ovnis : Livre III - Chapitre XXV : Les Ovnis en Normandie (4)

     

    Normandie - France - Ovnis

     

    Nord - Man -Die !

     Tartan de la Normandie

    «  Le Normand est toujours en deçà de la vérité ! »

     

    Juin 1944 / Mai 2019 - 75  Années d'Observations Ufologiques

     

     En 75 ans, de Juin 1944 à Mai 2019, les Ovnis ont Impacté 15 % des Villes et des Villages de Normandie, & visitent, de manière continue, 5 % d'entre eux.
     
    Parmi les 2 749 Communes de Normandie, 421 ont été affectées par les Ovnis, et 126 en récurrence.
     
    La Ville de Caen (14) par exemple, Capitale Régionale, pourtant peu propice aux Observations d'Ovnis compte, malgré tout & à elle-seule, pas moins de 55 Occurrences Ufologiques.

     

     

     

     

    Bagnoles - de - L’Orne (61) - 31/05/2015  - Minuit 

    Ballet Aérien des Spots Ovnis

     

    « Bonsoir, j'habite à Bagnoles-de-l'Orne. Il est minuit et je vois dans le ciel des centaines de points lumineux blancs et rouges, qui flashent et se déplacent à grande vitesse au-dessus de chez moi. Ce n'est pas une blague. Je regarde le ciel tous les soirs mais je n'ai jamais vu ça. Les points ont la taille d'un demi millimètre (!? Grepi), mais ceux de couleur orange paraissent un peu plus gros. Grâce au clair de lune, il me semble distinguer de la fumée. Leur altitude doit être assez élevée. Ils se déplacent seuls ou en groupe très rapidement. J'ai du mal à les suivre du regard. Certains points disparaissent puis réapparaissent cinq secondes plus tard. Les points blancs sont constamment en mouvement, tournent et virent à toute vitesse. Les points orange, eux, restent sur place puis, d'un coup, traversent le ciel. Voilà ce que j'observe actuellement. C'est très surprenant. Malheureusement, des nuages s'approchent et je ne verrai plus rien dans quelques minutes. Gaël (Orne - France) ». 01 Témoin. Source : Grépi lundi 01 juin 2015. http://grepi.blogspot.fr/

     

    L’Aigle (61) - 15/12/2003 - 16 h 30

     Un Triangle Invisible 

     

    « Je suis sorti prendre un peu l'air et fumer une cigarette. J'ai commencé par entendre un léger vrombissement, le son semblant venir de l'arriére, je me suis donc retourné, il n'y avait rien. Quelque secondes plus tard j'avais comme la sensation que quelque chose arrivait vraiment par l'arrière et en me retournant la seconde fois, plus de doutes, un objet visiblement de forme triangulaire planait silencieusement dans les airs. Il y avait 3 lumieres blanches qui pulsaient à chacune de ses extrémités. Au centre j'ai distingué 2 lumières rouge, une plus grosses jaune et il y avait encore 2 plus petites blanches qui pulsaient également en synchronisation avec celles des extrémités. Durée de la visibilité environ 2 minutes, l'objet a disparu à l'horizon. » 01 Témoin. Source : Les Ovnis en France.

     

    Broglie (27) - 17/11/1996 - entre 01h30 et 02h

    Voitures "folles"

     

     

     Les Men-In-Black en Normandie

     

    Broglie (27) - 17/11/1996

    entre 01 h 30 et 02 h

     

     

     

     

    L'Onirisme Ufologique

      Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    Les Rêves éveillés existent-ils ?
     
     
    Broglie (27) - 17/11/1996 - entre 01h30 et 02h
    Voitures folles

    L'incident concerne une automobiliste française, Mme Stéphanie Tahon.

    Le 17 novembre 1996, après un court séjour en Normandie, elle revient vers la région parisienne au volant de sa voiture en compagnie d'un ami.

    Il est entre 1h30 et 2h du matin. Sur la route de Broglie, près de Lisieux, en direction de Paris, à la sortie d'un rond-point, le véhicule entre dans un banc de brouillard.

    Au rond-point suivant, une voiture blanche est remarquée sur le bas-côté de la route.

    Mme Tahon et son passager décident de refaire le tour du rond-point pour voir si quelqu'un est blessé dans ce véhicule.

    En dépassant la route vers Paris les deux témoins distinguent sur celle-ci deux autres voitures à l'arrêt disposées comme si elles voulaient bloquer la circulation.

    Ce sont deux automobiles très basses de type modèles américains 1950. De plus, elles semblent entourées d'un halo blanc.

    Puis les témoins parviennent de nouveau à l'endroit où la voiture blanche se trouvait, pour constater qu'en fait il n'y a personne à l'intérieur.

    Ensuite, quand ils se rapprochent prudemment de la route qui conduit vers Paris, c'est pour constater que les deux voitures ont disparu, ce qui les soulage grandement.

    Très choqués, ils poursuivent leur route avec lenteur, car le brouillard est toujours présent.

    Au bout de dix kilomètres, Mme Tahon aperçoit tout à coup dans son rétroviseur une voiture noire qui arrive à une allure folle, entre 200 et 300 km/h, avec deux phares ronds très puissants, de couleur jaune.

    Ce nouveau venu double la 205 mais avec deux changements de direction anguleux, aberrants, car impossibles à réaliser surtout à cette vitesse énorme.

    Lors du dépassement aucun bruit n'a été entendu.

    Autre chose, quand les deux témoins ont vu les deux voitures, ils ont éprouvé la sensation d'une étrange sérénité et que le temps était figé.

    L'enquêteur affirme que Mme Tahon lui a fait une très bonne impression, d'autant que durant son récit elle est restée calme, lucide et objective.

    Sources : Enquête Joël Mesnard, sur une information de Mme Astrid Fournier abonnée à LDLN, cf. LDLN n°371, février 2004, p.35.  Et Jean Sider : La grande mystification 1/ Mystification et polymorphisme du phénomène Ovni, p.192.

     

    La scénographie

     

    La scénographie de cette étrange rencontre rapprochée, évoquant celles des RR3 et RR4 ufologiques, se prête à la logique de l'interprétation onirique :

     

    La navigation dans le brouillard plante le décor du monde des rêves, qui est intemporel avec le ressenti du temps figé.

    Les véhicules automobiles sont une représentation/transposition de personnes en tant qu'êtres animés.

    Comme dans un rêve, le déroulé de cette rencontre rapprochée impacte le vécu du témoin principal.

     

    Première Phase et Première Représentation

     

    Mme Stéphanie Tahon, est confrontée à sa propre destinée personnelle.

    La voiture blanche sortie de la route, est une transposition d'elle-même, pressentant ou imaginant un péril, avec la personne éventuellement blessée dans la voiture blanche.

    Ce ressenti est si fort qu’elle décide de s’en assurer en revenant sur ses pas, en faisant un tour supplémentaire du rond-point, et aperçoit alors un couple de voitures, de type américaines des années 1950  auréolées, qui paraissent ou voudraient lui barrer la route dans sa progression personnelle.

    Ce couple de voiture apparait comme la représentation/transposition du couple de personnes qu’elle forme, à ce moment-là, avec son ami qui l’accompagne, vers la région parisienne.

    En définitive, elle et son passager sont soulagés, car dès l’instant qu’ils constatent qu’aucune personne n’est blessée dans la voiture blanche, le  couple de voitures/personnes qui les inquiétait s’est évanoui, par la même occasion, par enchantement, comme dans le déroulé magique des rêves.

    La simultanéité des deux constatations suggère fortement, un lien direct de cause à effet, augurant ainsi une solution heureuse symbolisée par la disparition d'un obstacle possible du/et dans le couple voitures/personnes.

     

    Deuxième Phase et Deuxième Représentation

     

    Choqué, le couple continue sa progression prudente dans le brouillard sur environ 10 km, avant d’être rattrapé par une voiture noire, équipée de deux puissants phares jaunes, qui double leur 205, à une vitesse qui a été estimée entre 200 à 300 km/h par les témoins, et en effectuant une double chicane anguleuse, impossible à réaliser à cette allure, dans le brouillard et dans le plus grand silence.

    Que peut signifier cette nouvelle voiture noire dans la logique interprétative des rêves ?

    Toujours la personnalisation/transposition du couple, représenté et imagé par les deux puissants phares jaunes les entrainant ainsi vers un destin inconnu  (dissimulé = sombre), symbolisé par la couleur noire.

     

    Que conclure ?

     

    Le couple de voitures/personnes américaines des années 1950 auréolées, typique de celles des Men-In-Black (MIB = créatures polymorphes endo-exogènes), symbolisant le rêve américain idéalisé.

    Cette american way of life sacralisé (auréolée), est la clef de cette rencontre rapprochée de ce couple d'amis parisiens, réalisée le temps d'un week-end  en Normandie, représentatif de l’hédonisme/consumérisme matérialiste devenu le modèle de réalisation de la société humaine idéalisée.

     Les Capsules Temporelles - L'Onirisme Ufologique (10)

     

    Merville - Franceville - Plage (14) - 23/06/1987 - 22 h 30 / 23 h

    La Mécanique Céleste

     

    Comme il a l’habitude de la faire le Témoin M. R. C. , 31 ans, employé de camping, se promène sur le chemin de la Baie de l’Orne en direction du Port Nautique, lorsque ayant dépassé le Camping de Carolus, il observe, pendant environ 5 mn, dans le ciel nocturne deux phénomènes lumineux évoluant silencieusement au-dessus de la Forêt de Franceville. Deux sphères ovoïdes lumineuses, de couleur blanc ivoire, de 3 mm sur 2 mm en grandeur apparente, tournant simultanément, mais chacune en sens inverse, sur une même trajectoire parfaitement circulaire, qui lui apparaissent parfaitement délimitées et visibles sur le fond des nuages gris, dont le plafond est assez bas et dans lequel elles évoluaient sensiblement. La trajectoire formait un Cercle de 1 cm ½ en grandeur apparente. Les deux ovoïdes se croisant régulièrement sur la même trajectoire semblaient se confondre en se superposant l’un sur l’autre. L’ensemble finit par disparaître en dérivant à la vue du Témoin masqué par les Broussailles et la végétation des Dunes surplombant à cet endroit le chemin de la Baie de l’Orne. Le Témoin a déjà observé le même phénomène en Mars & Juin 1986 dans le même secteur de la Baie de l’Orne. 01 Témoin. Enquête : Génpi.

     

     

    Longny- au - Perche (61) - 16/12/1987 - 06 h 45

    La Porte de Lumière

     

     

    Le matin du 16 décembre 1987, M. L., qui avait rendez-vous dans la ville voisine, s'était levé un peu plus tôt que d'habitude, mais c'est en fait un bruit inhabituel qui l'avait réveillé, vers 06 h 45 : un ronronnement régulier, qu'il compare à celui d'un générateur électrique tournant à régime constant. Entre 07 h et 07 h 05, il se leva et vint aussitôt à une fenêtre donnant sur le sud-est. Le spectacle lumineux qu'il découvrit alors, à 250 m de distance environ, l'étonna au plus haut point. "Les bras m'en tombèrent", dit-il. AZu-dessus d'un chemin goudronné, immobile à environ 01 m de la chaussée (en pente légère à cet endroit), un rectangle de lumière blanche, haut d'environ 4 à 5 m et long de 8 ou 9 (estimation de l'enquêteur à 4 m de hauteur et à 10 m de longueur), très lumineux dans sa partie inférieure, éclairait les environs, dans un rayon de près de 200 m. On distinguait tous les détails du paysage. La chose a été perçue comme "un rectangle", c'est-à-dire une figure plane, située dans un plan vertical, une sorte d'écran lumineux. Que fit M. L. ? Il observa ce spectacle, pendant trois minutes environ. Son étonnement était tel qu'il ne pensa pas à réveiller son épouse. Soudain, deux silhouettes apparurent, près du coin inférieur gauche de l'objet. Elles avaient une taille "normale" et se déplaçaient l'une derrière l'autre, vers la gauche et vers le bas, le mouvement des jambes suggérant que les deux personnages descendaient un escalier (qui ne fut pas lui-même observé). Ces deux silhouettes, d'apparence humaine, semblaient vêtus de combinaisons d'un vert kaki sombre, avec capuche enserrant le tête. M. L., qui a été mécanicien dans l'armée de l'Air (sur mirage IV), insiste sur le fait que ces combinaisons ressemblaient beaucoup à celles que portent, par mauvais temps, les mécaniciens de l'armée de l'Air. Dès qu'ils arrivèrent au niveau du sol, ces deux personnages continuèrent à marcher vers la gauche, c'est-à-dire en s'éloignant de l'objet, mais aussitôt le rectangle se mit en mouvement, en sens inverse, au-dessus du chemin goudronné. L'unique source de lumière s'éloignant d'eux, les deux personnages disparurent aussitôt à la vue du témoin, dansl'obscurité ambiante. M. L. affirme qu'ils ne sont pas remontés dans la chose, qui s'est mise en mouvement dès qu'ils eurent mis pied à terre. Le témoin vit le "rectangle" défiler vers sa droite, prenant lentement de l'altitude au(dessus du chemin goudronné et accélérant jusqu'à atteindre une vitesse de 150 ou 200 km/h au moment où il allait sortir du champ de vision offert par la fenêtre. M. L. se précipita vers un vasistas d'où l'on peut regarder vers le sud-ouest, pensant observer le départ de la chose. Il arriva trop tard : il n(y avait plus rien. Lors du départ, l'objet avait continué à émettre le même ronronnement qu'à l'arrêt. Tout d'abord, le fermier habitant tout près (à moins de 100 m) du site d'atterrissage, observant ce matin-là vers sept heures, la clarté qui filtrait à travers les interstices de ses volets, s'était étonné qu'il fît jour si tôt, à tel point qu'il crut tout d'abord que son réveil retardait. D'autres fermiers, habitant non loin de là, constatèrent qu'à partir de ce moment-là, leur radioréveil était détraqué. Enfin, une dame du voisinage assura à M. L. qu'elle avait observé quelques années plus tôt, à peu près au même endroit. Sur le site du quasi-atterrissage, le témoin ne remarqua aucune trace qu'aurait pu laisser le phénomène. 02 Témoins. Source : LDLN N° 295.

     

    Granville (50) - 28/03/1987

    Un Phénomène Inconnu

     

    30 mars 1988 : Radio-Manche (100,5 MHz), de Saint-Lô,diffuse à 8 h 44 l'information suivante : Lundi soir 28 mars, un phénomène lumineux étrange a été observé durant plusieurs minutes, autout de la maison d'un habitant de Granville. Source : LDLN N° 293-2944.

     

    Trun (61) - 06/09/1988 - 23 h 

    Le Témoin Observé

     

     Un premier témoin circulant en voiture observe 1 objet en forme de tonneau avec des ailerons qui survole la route à vive allure. L'objet dépasse la voiture puis fait demi-tour pour stationner au-dessus de celle-ci. Le témoin est effrayé et éteint ses phares, ce qui semble provoquer le départ de l'objet. Celui-ci a une taille estimée entre 10 à 15 m d'envergure et de couleur orange. Il se déplace sans bruit. Le lendemain 7 septembre et le surlendemain 8 septembre, le même témoin fait la même observation mais l'objet se trouve beaucoup plus haut dans le ciel. Il prend alors des photographies de l'objet. Le témoin alerte 3 de ses voisins qui constateront également le phénomène les 6, 7 et 8 septembre. Le phénomène restant plus ou moins stationnaire a été observé durant près de 1 h 30. Bien que les descriptions faites puissent faire penser à un ballon dirigeable, ni les photos inexploitables, ni l'enquête n'ont permis de déterminer la nature exacte de l'objet observé. 04 Témoins. Sources : OVNI 61 - Orne.

     

    Yvetot (76) - 30/07/1981

    Objet Fixe

     

    Jeudi 30 juillet 1981, à Yvetot, Seine Maritime, deux témoins devant leur habitation aperçoivent un phénomène lumineux dans le ciel. Ils appellent aussitôt leurs voisines et la gendarmerie. Tous constatent la présence à très basse altitude d'un objet circulaire de couleur claire, d'environ 30 ou 40 cm de diamètre. Cet objet fixe sera observé durant une heure puis les gendarmes feront la même observation dans une autre commune. Aucune trace ne sera relevée sur le sol ou sur les habitations environnantes et aucun fait particulier concernant l'attitude des animaux du secteur n'a été porté à la connaissance des gendarmes. Plusieurs Témoins. Source : RRO.

     

    Aubigny (14) - 20/05/1989 - vers 02 h 10

    Ovni en Famille

     

    Frédéric Raullier, qui est astronome amateur, raconte : "Revenant d'un repas de famille, j'allais scruter le ciel une dernière fois, avant de me coucher. A ma grande stupéfaction, je découvris entre deux arbres une énorme boule rouge : elle était immobile au-dessus d'un arbre, mais devait en réalité se trouver nettement plus loin que celui-ci. Je songeais tout de suite au phénomène OVNI. J'appelais mes parents. Ma mère arriva, suivie de mon père. Lorsqu'ils arrivèrent, l'objet commençait à s'éloigner lentement. Récapitulation de l'observation : 1re phase : l'objet reste immobile, pendant 8 ou 9 secondes. 2è phase : l'objet se met à bouger lentement, à vitesse constante, durant une minute ou une minute et demie. Caractéristique de l'observation :  Jour et heure : 20 mai 1989, environ 2 h 10 (heure légale). C'était le lendemain de la pleine lune. Couleur de l'objet ; rouge orangé. Grosseur : un demi degré. Magnitude : environ - 5. Bruit : aucun. Luminosité : constante. Direction d'observation : vers l'est-sud-est. Hauteur au-dessus de l'horizon : environ 35°. 03 Témoins. Source : LDLN N° 198.

     

    Rouen (76) - 21/07/1989 - vers 23 h 15

    Deux Oranges-Citrons

     

    Mme L., 37 ans vit, du dixième étage d'une tour située à Rouen dans le quartier de la Grand-Mare, en direction de Saint-Martin du Vivier deux boules-oranges entourées d'un halo jaune. Ce phénomène se situait assez bas sur l'horizon, au-dessus d'un champ, près d'une forêt. Ces deux boules se déplacèrent l'une derrière l'autre, puis disparurent sur place, comme une lampe qu'on éteint. La distance d'observation est de l'ordre de 3 à 5 kilomètres. 01 Témoin. Source : LDLN N° 299.

      

    Brix (50) - 26/10/1989 - 01 h / 02 h

    Crasch Radioactif

     

     Ovnis & Radioactivité en Normandie à Brix (50) 25 et 26 Octobre 1989

    En France, le Géipan à la "Demande" des Autorités Militaires, renseigne des Représentants de la Défense Nationale sur les Rentrées Atmosphériques de Nature Satellitaire Terrestre, ou Autres, de Nature Extraterrestre.

     Il intervient aussi prioritairement sur les  Incidents de ce Type, comme l'Affaire du "Trou Normand" ... (qui a été investiguée à l'époque par le Sépra : ancêtre du Géipan) ... survenue dans la nuit du 25 au 26 octobre 1989 à Brix (50) dans la Manche - France, au lieu-dit "La Rade".

     Cette nuit-là M. Bigot est réveillé à deux heures du matin par les grattements du chien sur la porte, dehors. En ouvrant à l'animal, il est surpris par une forte lumière blanche, d'aspect conique, qui semble survoler les champs, à l'est de sa maison. Cette lueur ne dure que quelques secondes, et M. Bigot, quoique surpris, n'y attache pas plus d'importance ; il décide de se recoucher.

    À cette même heure, M. Hervieux (notaire en retraite), de Brix, à quelques kilomètres de là, est réveillé lui aussi, mais cette fois par une forte sonorité qui lui rappelle le bruit "d'un moteur en décélération".

    Le lendemain matin M. Hébert découvre dans son champ (où M. Bigot vit la lumière) une large trace, ... (LDLN N°299).

    De son côté, entre 01 h et 02 h du matin, étant sorti pour assouvir un besoin naturel, où M. Hébert a vu le passage d'un phénomène de traînée lumineuse au-dessus de sa propriété, avant de faire, un peu plus tard dans la matinée, la découverte consécutive de plusieurs traces carbonisées au sol, contaminées par la présence d'Isotopes Radioactifs, & la disparation de 06 à 10 mètres cubes de terre (cette Présence de Radioactivité a été totalement Oblitérée dans le Rapport Officiel du Sépra dirigé à l'époque par Jean-Jacques Vélasco, qui est accrédité Défense Nationale).

     

    Ovnis & Radioactivité à Brix (50) - 25 et 26 Octobre 1989

     

     

    Photos Source : Génpi - Normandie - France - Ovnis

     

     Complément d'enquête sur l'Incident du "Trou Normand" par le Génpi :

    Mr et Mme Bigot, qui sont les plus proches voisins résidents du "Trou Normand", le samedi 20 janvier 1990 en menant, vers 9 h 30, leurs bêtes pâturer dans le pré où les "Traces Carbonisées & Radioactives" sont toujours présentes, ont entendu une explosion et M. Bigot a vu comme une "Gerbe de Charbon" qui a affolé les vaches, comme cela c'était déjà produit, la veille, avec les bêtes d'un autre voisin.

    Source : Témoignage de Mr. Hébert, qui a vu jaillir, lui aussi, en janvier 1990, à plusieurs reprises, des grandes lueurs bleues s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur. EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à Haute Tension qui passe à environ 70 m des "Traces Carbonisées & Radioactives".

     

     

     

    Brix (50) - 26/10/1989 - 01 h / 02 h

    Crasch Radioactif

     

     En France, le Géipan à la "Demande" des Autorités Militaires, renseigne des Représentants de la Défense Nationale sur les Rentrées Atmosphériques de Nature Satellitaire Terrestre, ou Autres, de Nature Extraterrestre.

     Il intervient aussi prioritairement sur les Incidents de ce Type, comme l'Affaire du "Trou Normand" ... (qui a été investigué à l'époque par le Sépra : ancêtre du Géipan) ... survenue dans la nuit du 25 au 26 octobre 1989 à Brix (50) dans la Manche - France, au lieu-dit "La Rade".

    Cette nuit-là M. Bigot est réveillé à deux heures du matin par les grattements du chien sur la porte, dehors. En ouvrant à l'animal, il est surpris par une forte lumière blanche, d'aspect conique, qui semble survoler les champs, à l'est de sa maison. Cette lueur ne dure que quelques secondes, et M. Bigot, quoique surpris, n'y attache pas plus d'importance ; il décide de se recoucher.

    À cette même heure, M. Hervieux (notaire en retraite), de Brix, à quelques kilomètres de là, est réveillé lui aussi, mais cette fois par une forte sonorité qui lui rappelle le bruit "d'un moteur en décélération".

    Le lendemain matin M. Hébert découvre dans son champ (où M. Bigot vit la lumière) une large trace, ... (LDLN N°299).

    De son côté, entre 01 h et 02 h du matin, étant sorti pour assouvir un besoin naturel, où M. Hébert a vu le passage d'un phénomène de traînée lumineuse au-dessus de sa propriété, avant de faire, un peu plus tard dans la matinée, la découverte consécutive de plusieurs traces carbonisées au sol, des bouffées de chaleur sont encore perceptibles le jour de la découverte, et 02 jours après en profondeur, ainsi qu'une odeur de pétrole (souvent ressentie sur les traces laissées par des Ovnis), contaminées par la présence d'Isotopes Radioactifs, & la disparation de 06 à 10 mètres cubes de terre (cette Présence de Radioactivité a été totalement Oblitérée dans le Rapport Officiel du Sépra dirigé à l'époque par Jean-Jacques Vélasco, qui est accrédité Défense Nationale).

    Complément d'enquête sur l'Incident du "Trou Normand" par le Génpi :

    Mr et Mme Bigot, qui sont les plus proches voisins résidents du "Trou Normand", le samedi 20 janvier 1990 en menant, vers 9 h 30, leurs bêtes pâturer dans le pré où les "Traces Carbonisées & Radioactives" sont toujours présentes, ont entendu une explosion et M. Bigot a vu comme une "Gerbe de Charbon" qui a affolé les vaches, comme cela c'était déjà produit, la veille, avec les bêtes d'un autre voisin.

    Source : Témoignage de Mr. Hébert, qui a vu jaillir, lui aussi, en janvier 1990, à plusieurs reprises, des grandes lueurs bleues s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur. EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à Haute Tension qui passe à environ 70 m des "Traces Carbonisées & Radioactives" (le Césium est très réactif et explosif au contact de l'air et de l'eau, Le césium est un élément chimique de la famille des métaux alcalins, de symbole Cs, possède le numéro atomique 55. Il est blanc, argenté ou doré, mou et malléable à température ambiante. Il peut rester sous forme liquide, même à des températures très basses, jusqu’à -28 °C, qui est son point de fusion. Le césium a des propriétés chimiques similaires à celles du rubidium et du potassium, en raison de son appartenance à la même famille. Il peut réagir violemment avec l’eau et l’air, et attaquer le verre.). EDF n'a constaté aucun dégât sur la ligne à haute tension qui passe à environ 70 m des traces carbonisées et radioactives.

     

     

    Asnelles (14) – 1971

    Premier Enlèvement d’Adolescentes

     

     

    L'Enquerre Ufologique

     

    Les enquerres de la rencontre rapprochée des temps concordants de Asnelles (14), réalisée par deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans), en 1971, font écho à l'intuition de Fabrice Kircher et Dominique Becker :

    [les enquerresen héraldisme, dans les mythes, les contes et les légendes, les œuvres d'art et architecturales, les poèmes, les récits, les rêves, les visions, etc., les enquerres (les incohérences apparentes), ont pour fonction d'attirer l'attention, au même titre qu'une signalétique (dont il nous faut nous enquérir), pour correctement orienter la lecture du formel à l'essentiel, en référant un double langage encodé.

    Les enquerres propres aux apparitions ufologiques ont la même utilité]

     

    A Bouter-Fringon

     

    « Les anciens grecs ont révélé les enjeux fiduciaires de la vie, des résidents terrestres indigènes, des visiteurs extra-stellaires exogènes et des intrus endogènes de l’autre monde, dans la rivalité fratricide de Poséidon, de Zeus et de Hadès. »

    [Le Mythe éclaire l'Histoire - Bellator]

     

     Deux sœurs Myriame D. (15 ans) et Joëlle D. (12 ans) revenaient en fin d'après-midi de chez des amis, et rejoignaient l'installation de camping de leurs parents à Asnelles (14) , sur le littoral du Calvados, en Normandie.

     

     

      

     

    Elles s'apprêtent à traverser un bois, lorsque tout-à-coup, elles s'aperçoivent au-dessus d'elles, à peu près à 50 m d'altitude une soucoupe volante (sic).

    Elle est ronde et munie d'une lumière orange sur le dessus.

    Elles ne croyaient pas à l'existence des soucoupes volantes et elles ont pensé à un hélicoptère, mais c'était bien une soucoupe volante qui se mit à décrire un arc de cercle et donna l'impression de vouloir se poser.

     

    [enquerres du phare orange = or/ange, or pour initiale de horloge + ange pour esprit/intelligence céleste = instruction sur l'horloge de la mécanique céleste/astronomique, et de la boucle temporelle suggérée par la trajectoire de la soucoupe volante qui va se poser/c'est-à-dire activer une pause dans le cours du temps]

     

    Elle finit par disparaître cachée par les arbres.

    Les deux sœurs continuèrent alors leur chemin en commentant l'événement.

    Lorsqu'elles débouchèrent dans une carrière, elles virent la soucoupe volante posée au sol, et à ce moment-là, la soucoupe s'ouvrit (comme la boîte de Pandora) et deux personnages en descendirent.

    Tout d'abord, un petit vieux, suivi d'un énorme colosse.

     

    [double enquerre du petit vieux = le vieillard = Cronus = Chronos = Saturne qui personnifie le temps présent qui s'auto-dévore/s'auto-annihile et du colosse = titanic deus = attribut du dieu titanesque = le dieu Saturne = le temps.]

     

    Elles s'aperçurent alors qu'elles étaient paralysées, elles ne pouvaient ni crier, ni bouger, mais elles continuèrent à être conscientes et elles voyaient parfaitement.

     

    [enquerre (et métaphore) du temps pétrifié/immobilisé/arrêté, ce temps perdu (missing-time/lost-time), de notre temps ordinaire (celui de Myriame D. et de Joëlle D, dont la fuite éperdue vers le futur est figé, le temps de se concorder à celui des soucoupiens (« les 2 sœurs sont tombées Sous la Coupe du Vol-Lent ... de la Sou-Coupe Vol-Lante ! ») :

    « Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ?  ... Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! ... Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. »

    Le Lac - Alphonse Lamartine (1790/1869)]

     

    Elles avaient bien-sûr très peur.

    Lorsque les deux personnages (le petit vieux et le colosse qui n'en font qu'un, à l'image de cette rencontre rapprochée qui unit le temps sidéral et le temps solaire), parfaitement humanisés, arrivèrent à leur hauteur, ils les rassurèrent en leur parlant en français :

    N'ayez crainte nous ne vous voulons aucun mal !

    (le colosse parlait un langage argotique)

     

    [enquerre : signalant, le double message (encodé dans le récit littéral) dont il faut s'enquérir au-travers de cette rencontre rapprochée des temps concordants ; un argot étant une variété linguistique spécifique à un groupe social ou socio-professionnel, qui permet de se différencier des non-initiés et de se créer une identité propre en utilisant des termes cryptiques Cf. Wikipédia]

     

    et ils les emportèrent dans la soucoupe où les effets du gaz paralysant (métaphore de notre temps atmosphérique/écosystème) se dissipa progressivement.

    La soucoupe volante était munie d'un tableau de bord avec toutes sortes de manettes, et autour une baie vitrée permettant de voir l'extérieur.

    La plus âgée arriva à contenir sa peur et son émotion, tandis que la cadette n'arrêtait pas de pleurer (renvoi à notre temps atmosphérique/écosystème, et allusion à la pluie du ciel, personnifié par la divinité Ouranos/Uranus/Cœlus = Ciel, qui l'envoie aux hommes). 

    Mais à partir de ce moment-là, un dialogue assez étonnant s'engagea avec surtout le petit vieux et la sœur aînée Myriame.

    En effet le petit vieux explique qu'il était un humain, et qu'il avait été enlevé, comme elles, il y a 15 ans alors qu'il revenait de visiter un malade, étant médecin à l'époque.

     

    [si l'on calcule l'année de l'enlèvement du petit vieux médecin, 1971 - 15 ans = 1956, on trouve l'année bissextile 1956, ce qui constitue une enquerre  signalant le temps sidéral et le temps solaire, décalé de : 4 minutes, et 4 à 5 secondes, qui sont harmonisés tous les 4 ans, avec les  fameuses 24 heures ajoutées aux années bissextiles]

     

    Le colosse confirma ses dires, en expliquant que lui était docker.

    Par contre les pilotes de la soucoupe sont des Suraniens (des coloniaux) de la planète Suranus et qu'ils viennent capturer des humains pour les emporter sur leur planète où, s'ils sont de beaux sujets, ils sont placés et gardés dans des sortes de zoos, ... et s'ils sont dociles et forts (les métayers et les fermiers généraux) ils rentrent au service des Suraniens.

    Pour autant, s'ils sont bien dodus, ils sont mangés (les Suraniens sont des prédateurs) au cours des fêtes. (écureuils /homme-nivore, de 1.80 m !)

    Les beaux spécimens dans les zoos vivent une existence paradisiaque (référence au Jardin paradisiaque de la Genèse/destiné à la reproduction et à l'élevage), selon le docteur, il y aurait même beaucoup de terriens qui sont parfaitement heureux sur Suranus et qui ne voudraient pas revenir sur terre.

    Suranus qui est située derrière (au-delàla face cachée de la Lune, possède des satellites (les autres planètes colonisées par les Suraniens) avec d'autre formes de vie, par exemple des êtres qui ressemblent à des chauves-souris, d'autres des sortes d'algues aquatiques.

     

    [enquerre : derrière/au-delà de la face cachée de la Lune = monde sup-lunaire/sup-solaire, par opposition au monde terrestre qui est sub-lunaire/solaire]

     

    Les Suraniens eux sont comme nous, à part qu'ils ont une tête d'écureuil sans poils, oreilles pointues, museau.

     

    [enquerre étymologique : écureuil = ombre/queue = esprit issu de l'armée des ombres (queue = filem = filiation) +  enquerre/tête d'écureuil-sans poils signalant la marque des âmes vagabondes, des nomades, des visage glabres, imberbes ; signe de Caïn, l'Exilé ! (du Paradis Terrestre).

    [Le Seigneur lui dit : Si quelqu'un tue Caïn, Caïn sera vengé sept fois. Et le Seigneur mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouve ne le tue pas. Puis Caïn s'éloigna de la face du Seigneur, et il habita dans la terre de Nod (racine hébraïque "errer"), à l'orient d'Éden. (Genèse IV, 16) - "A l'Est d'Eden, what else James ?]

    [«  Les âmes vagabondes ou les intrus ce sont des extraterrestres nuisibles capables de s’infiltrer dans « l’intelligence » de certains individus malléables qui ne présentent qu’une faible résistance psychologique, et qu’ils contrôlent alors, complètement, le temps de mettre en œuvre leur mission de sape et de ruine. Ce sont les parasites, les pirates de la création, qui ont des vues sur notre planète. »]

     [Les gîtes secrets du lion - 1958  de George Hunt-Williamson]

     

    La Lune (renvoi au monde terrestre qui est sub-lunaire)  est aussi habitée (y compris la Terre), et les Suraniens s'y sont réfugiés dans son sous-sol (bases souterraines + allusion au double-sens véhiculé).

    Et lorsque l'homme a posé le pied pour la première fois sur son sol (le 21 juillet 1969) cela ne leur a pas plu (cela ne devrait pas plaire non-plus aux abonnés de Top-Secret !), mais heureusement pour l'humanité les Suraniens sont pacifiques (sauf avec les Pères Dodus !).

    Les Suraniens sont par ailleurs mécontents à cause de tous les satellites qu'envoie l'humanité car cela crée un encombrement monstre (surtout ne le dites pas à Elon Musk !).

    Pour leur part les Suraniens ont plusieurs milliers d'années d'avance sur nous, et ils vivent une existence paisible puisqu'ils ont également résolu tous les problèmes posés par la modernité (les écolos peuvent dormir sur leurs 2 oreillers !).

    Selon le docteur, nous ne sommes pas prêts à mettre les pieds sur Mars (référence à la colonisation interplanétaire, Mars étant le dieu de la guerre et de l'agriculture) étant donné qu'il nous manque plusieurs milliers d'années à notre évolution pour être à même de réaliser ce projet (cela devrait déplaire à Elon Musk, même s'il prétend, avec Enrico Fermi, que les extraterrestres n'existent pas !).

     

    [parmi les pseudos révélations coutumières des RR3/RR4, plus ou moins/volontairement délirantes (anomalies qui représentent des enquerres), se dissimulent celles relatives aux différences des lignes de temps ; la face cachée/face visible de la Lune métaphore du temps visible/connu et du temps non-visible/non-reconnu ; avec les différences des degrés d'évolutions éthiques qui leur correspondent ; le néologisme de Suranus, composé de l'initial de Saturne et de Uranus (S + Uranus), le fils  (Saturne) précédent ainsi son père (Uranus), signalant le factuel de l'inversion de l'écoulement du temps, et le concept de la rétro/temporalité/causalité de la mécanique quantique, ... la finalité Zeus/Jupiter (petit-fils de Ouranos/Uranus/Cœlus) se superpose à celle de son origine Ouranos/Uranus/Cœlus (grand-père de Zeus/Jupiter) suivant la logique du principe de superposition quantique]

     

    Au début, la sœur aînée avaient très peur du colosse, mais très vite elle s'est aperçu qu'il était très gentil, comme le docteur qui était particulièrement aimable, faisant tout pour les rassurer.

    Cependant, elle ne pouvait pas se résoudre à l'idée d'être réduite à l'état d'esclavage pour le compte des (colonisateursSuraniens, et elle se révolta à plusieurs reprises face à une telle perspective, allant jusqu'à reprocher au docteur et au docker d'être devenus les chiens de chasse serviles (l’oligarchie des métayers et des fermiers généraux des classes occulto-politico-religieuses) des Suraniens, ce qui a vexé le docteur.

    Elle leur a demandé, pourquoi ils ne s'étaient pas évadés, ... le docteur répondit que c'était impossible car les Suraniens avaient un fusil paralysant capable de tirer jusqu'à 2 km. (ce qu'ils avaient probablement tenté, sans succès).

    Maintenant notre courageuse héroïne, étant plus assurée, et à présent plus aguerrie, a décidé de réagir afin de conserver sa liberté.

    Elle propose directement un plan d'évasion à ses compatriotes devenus captifs des Suraniens.

    Elle exposa donc son plan d'évasion avant de le réaliser. Les deux sœurs vont faire semblant de s'évanouir ou de tomber en syncope (évocation des pertes de conscience, missing-time, du temps-manquant, ou temps-perdu des victimes des RR3/RR4), à ce moment là, les deux captifs iront chercher les pilotes, et à ce moment précis, ils pourront neutraliser les Suraniens.

    Les deux sœurs s'exécutent, et pour faire plus authentique, l'aînée ferma réellement les yeux.

    Les deux captifs vont chercher l'un des deux pilotes dans la cabine de pilotage. 

    A l'instant où l'extraterrestre s'approche d'elle, du haut de ses 1.80 m (en 1971, les petits-gris/gremlins ne sont pas encore à la mode en France, ... Merci E.T. Téléphone-Maison ! A noter que curieusement le petit-gris est le nom vernaculaire donné à plusieurs espèces d'écureuil !), l'aînée ouvre les yeux et bondit sur lui par surprise et lui casse le bras avec un Harmlok (prise de Judo qu'elle pratique depuis l'âge de 13 ans), à cet instant elle se saisit de son fusil paralysant, le donne au docteur qui va paralyser l'autre pilote resté dans la cabine de pilotage.

     

    [enquerre de la révolte du petit vieux docteur (personnification de Saturne) évoquant l'usurpation mythique du pouvoir d'Uranus par son fils Saturne]

     

    Ils en profitent alors pour quitter la soucoupe volante, les deux sœurs, et le docteur armé du fusil paralysant qui disparut dans les bois.

    Le docker n'est pas sorti avec eux.

     

    [enquerre : du collaborateur (du métayer et fermer général) avec le personnage du docker (pendant/doublure/et attribut du petit vieux docteur/ Saturne) qui se désolidarise du petit vieux docteur (qui devient résistant en se rebellant), et allusion emblématique à la future usurpation/rébellion mythique du pouvoir de Saturne, qui sera à son tour détrôné, et de la même façon, par son propre fils Zeus/Jupiter]

     [enquerre : du petit vieux docteur qui incarne Abel (le Mars/agriculteur qui se libère de la tutelle des Suraniens) tandis que le colosse/docker personnifie Caïn (le Mars/guerrier qui suit les colonisateurs Suraniens) - Cf. le mythe des 2 frères Abel (fidèle à la loi du Seigneur) et Caïn (infidèle à la loi du Seigneur)]

     

    Après, environ une heure enfermées dans la soucoupe volante, les deux sœurs ont rejoint leurs parents, essoufflées et en pleurant.

    Mais ces derniers n'ont jamais voulu les croire, ni prévenir la Gendarmerie.

    02 Témoins. Source :  Les 2 Premières Adolescentes Kidnappées par des Extraterrestres - Enquête Génpi. 

     

     

    Saint - Victor - L’Abbaye (76) - automne 1971 - à la tombée de la nuit

    Une Soucoupe Volante se dirige vers le Sol

     

    Mme Raillot : « nous revenions de Clères (76), un dimanche après-midi (Alain son fils qui avait 5 ans en 1971, intervient : plus tard que ça, il faisait nuit) plus tard, ah rien n’est moins sûr, enfin le jour commençait à tomber, mais il faisait nuit, je ne suis pas tellement d’accord, il était donc assez tard, et en arrivant près de chez nous, là, enfin sur la route de Clères St - Victor, au-dessus d’un bosquet d’arbres, on a vu quelque chose qui ressemblait à une soucoupe volante, bon ce n’est pas péjoratif, mais vraiment quelque chose qui ressemble à une soucoupe, dont les hublots, on avait l’impression qu’elle tournait sur elle-même, et des hublots s’échappaient des faisceaux lumineux, l’ensemble était vert je m’en souviens, car le vert est ma couleur préférée, alors cela m’a frappée, et mon mari l’a vu aussi, donc on s’est arrêté, nous étions en Simca 1000. Nous l'avons regardé, la notion de temps, je ne me souviens plus très bien, sûrement quelques secondes, hein, on ne l'a pas vu très longtemps, mais très bien vu, on avait l'impression qu'il stationnait sur lui-même et tout d'un coup, heu, il est parti d'une façon oblique et à nos yeux, enfin, il nous a échappé, apparemment, il descendait à l'horizon, et il s'est caché derrière les arbres, on avait l'impression qu'il s'était posé derrière les arbres, pas loin de nous ... (Alain intervient : il est descendu obliquement derrière le bosquet) ... et puis après, nous ne l'avons pas revu, nous avions l'intime conviction qu'il était parti.

    Alain : Alors on revenait de Clères, chez ma grand-mère, on était sur la départementale N° 3, à peu près à six kilomètres de Clères en allant vers Saint Victor, c'est une petite départementale, une route relativement sinueuse, et puis à un moment on arrive à un endroit où il y a de la plaine de chaque côté. A gauche de la plaine sur un bon kilomètre et à droite la plaine et un ou deux bosquets, cela s'étend sur deux ou trois kilomètres après le bosquet, et puis bon, l'heure je ne ma rappelle pas exactement, bon, il faisait nuit, sûrement vers 23 h 30 - o h 00 (selon son souvenir d'enfant), à peu près, et puis mes parents ont vu, heu, ma mère a dit : "Tiens il y a quelque chose de vert là-bas", alors mon père s'est arrêté, et à mille mètre à vol d'oiseau, il y avait un objet, d'une couleur verte très soutenue et très lumineux, qui était en suspension à une trentaine de mètre du sol. On s'est arrêté, et on a pu l'observer, pendant, pendant plusieurs dizaines de secondes, une minute, une minute trente, l'objet était immobile. I l y avait des, bon ça c'est certain, il y avait des hublots des sortes de faisceaux, des lumières vertes, ça semblait tourner sur lui-même. L'objet a bougé, s'est mis à osciller légèrement, s'est levé un peu et a replongé derrière un bosquet où derrière l'horizon, si on mal jugé la distance. Mais ce serait plutôt vers le bosquet et derrière, il y a une plaine et la ferme. Ce serait plutôt derrière la ferme puisqu'il y a un endroit bien plat, voilà après il a disparu.

    M. Raillot (d'après lui entre 18 h 30 / 19 h); a aperçu le phénomène sur sa droite, il s'est arrêté pour mieux l'observer. Il confirme le témoignage de ses proches, mais précise qu'il a vu moins longtemps le phénomène étant donné qu'il conduisait. Il situe le phénomène entre 800 et 1 km de distance et à une hauteur de 400 m environ. La couleur du phénomène : vert émeraude lumineux (Pantone 316u - 371u), 03 Témoins. Source : LDLN N° 289-290.

      

    Civières (27) - 10/03/1972 - vers 21 h 25

    Panne de Véhicule

     

    1972, 10 mars, Civières, hameau d'Aubigny Daniel Laurets (Loretz ?) lieutenant de sapeurs-pompiers, voit à 21 h 25 à travers le pare-brise, à droite de la route, quelque chose qui descend vers le sol et se pose très rapidement. Il freine. Il estime que l'objet se trouve à 200 m de lui. Au moment de l'atterrissage une espèce de boule rouge de faible dimension coiffant l'ovni, s'éteint. A l'avant deux ouvertures de forme elliptique diffusent une pâle lumière en oblique vers le sol qui est éclairé. A l'arrière une lueur rouge peu puissante éclaire le champ labouré. Trente secondes après l'atterrissage les feux s'éteignent et dans la nuit devenue noire, plus rien n'est visible. Il a toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement le moteur de la R6 neuve et qui tousse sur plusieurs centaines de mètres avant de tourner normalement. 01 Témoin. Sources : (M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 373, & Scibd).

     

     Les Chaliers - En - Macey (50) - 27(?)/10/1973 - entre 19 h 15 et 19 h 30

    Un Petit Ballon Volant

     

    Entre 19h15 et 19h30, un témoin qui désire garder l’anonymat, sortant de sa maison aperçoit à l’horizon (environ 800m) « une boule jaune pâle »,  puis à 150 - 200 m plus loin en arrière une deuxième et enfin une troisième. Le témoin n’entend aucun bruit et n’a aucune idée de ce que cela peut être. Les boules finissent par disparaître derrière un bois. Ce qui frappe le témoin : la couleur jaune pâle des boules en question : « un petit ballon » s'est-il déclaré. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

    Barneville - Carteret (50) -  02/12/1973 - vers 05 h 30 à 06 h 05

    Un Ovni pris au Filet

     

    Les deux témoins un père et son fils, le père Georges Jean et le fils Noël, avaient tendus des lignes depuis plusieurs jours. En allant les relever ce matin là ils observent une grosse lumière qui se révèle à la hauteur de la plage sur le sable. Pendant leur descente vers le rivage elle ne bouge pas. "Tout d'abord nous avons pensé qu'il s'agissait d'une voiture. Mais une voiture a deux feux et nous n'en percevions qu'un. Nous avons également pensé à des trafiquants et nous n'osions pas descendre sur la plage.". Le père se décide et chacun des deux témoins va vers ses lignes. Le fils voit la lumière en plein dans ses lignes, il la comparera à une fenêtre jaune. Il va vite chercher son père. Il lui a demandé de venir et lui explique que cette lumière était au cœur des filets. Ils vont alors vers elle en braquant leurs lampes devant eux. Cette dernière ne bouge toujours pas. Peu rassurés les deux témoins préfèrent partir pour revenir plus tard. Ils éteignent leurs lampe et remontent jusqu'à leurs mobylettes. Avant de partir Ils voient la lumière jaune se tourner vers eux puis vers les dunes en envoyant un rayon, enfin elle s'éteint. Puis apparait une petite boule bleu vert au-dessus du lieu ou se trouvait l'objet, cette dernière s'envole vers 6 heure 05. Depuis cette vision le père à toujours refusé de revenir sur cette plage. A noter après enquête de J. Vallée il semblerait que des " éléments extérieurs" ont essayé de détourner le cas. En effet, tout d'abord il y a eu vraisemblablement un contact radar à 6 h 10 (se déplaçant du Sud-Ouest au nord-est) au niveau de Carteret. Il y aurait eu aussi un deuxième écho en direction des "passes de l'ouest". Les renseignements furent difficiles à obtenir en raison d'instructions spéciales données aux radaristes. Il semble que non seulement la gendarmerie, mais aussi la sécurité du territoire a enquêté sur les lieux. Le 7 du même mois une tenue complète de plongée sous marine fut retrouvée abandonnée sur une plage non loin du lieu de l'observation. Détail étrange cette dernière possédait un appareil de détection de la radio-activitée. L'ensemble des textes trouvés dessus étant en langue anglaise. Cette nuit là il est à noter qu'un accident se produisit à bord d'un chalutier qui se trouvait sur la trajectoire de départ de l'objet. Son appareil de navigation fut soudainement perturbé du coup le navire se brisa contre des écueils et coula. Enfin un radio amateur constata un trou de propagation important sur les réceptions des émissions provenant d'Angleterre exactement à 6h10. La même nuit, il se produisit donc sur la côte un accident curieux. Le chalutier Archipel qui se trouvait près des brisants d'Urville juste à l'ouest de Cherbourg et sur la trajectoire de l'objet, perdit son chemin, à la suite, semble-t-il, d'une perturbationde son appareil Decca-Navigator. 02 Témoins. Sources :(L.D.L.N), d'une déviation de compas (J.Vallée Collège invisible p. 72). Le bateau heurta les rochers et sombra. (M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 426) & Scribd. OVNI en France.

      

    Saint - Didier - Sous - Ecouves (61) 26/08/1974 - 22 h

    Une Odeur Etrange

     

    Un étudiant M.J.P. Menehy et une amie, se dirigent en voiture vers le lieu-dit et carrefour de la Croix-Madame (altitude 408 m) situé dans la Forêt d'Ecouves remarque que les arbres sont baignés par une lueur jaune, provenant d’un disque rond, jaune et « énorme », fortement impressionnés, ils pensèrent, malgré tout, à la lune (qui était ce jour-là en son premier quartier plus deux jours), ils se garèrent à la Croix-Madame, et continuèrent à pied vers une clairière, et continuèrent leur promenade sur le chemin lorsque, soudain ils aperçurent à une quinzaine de mètres, une lueur apparaissant comme un soleil «  un hémisphère silencieux et immobile » diffusant une lumière diffuse, qui éclairait peu les alentours, et qui cachait deux troncs d’arbres, et paraissait se situer à 2 ou 3 m du sol. Après avoir échangé quelques mots chuchotés « tu vois ce que je vois » … les témoins fortement impressionnés quittèrent rapidement les lieux. M. Menehy connait fort bien les lieux : or jamais il n’avait entendu les chiens des alentours « hurler à la mort » comme ce fut le cas ce soir-là. Le lendemain, revenant sur les lieux, il découvre à proximité de l’endroit où se trouvait « l’hémisphère », un petit cratère ressemblant à un foyer forestier de 1.40 m, ne contenant aucune cendre, l’herbe était brûlée et seule une bûche superficiellement consumée subsistait. Alors que tous les autres foyers forestiers trouvés sur les lieux étaient détrempés par la pluie tombée pendant la nuit, celui-ci fumait encore. Ce foyer, contrairement aux autres, se situait à flanc d’un terrain incliné, et dans un endroit peu accessible, au milieu de fougères. Il flottait sur les lieux une odeur « étrange » ne ressemblant à rien de connu. La moitié d’un arbre donnant sur le foyer paraissait totalement mort avec ses feuilles mortes mais non brûlées. 02 Témoins. Source : LDLN N°149. Enquête : M. P. Lefebvre.

     

    Ségrie - Fontaine - 20/10/1974 - vers 23 h & pendant environ une 1/2 h

    Noël avant l'heure

     

    M. Pawlak se trouvait dans son jardin lorsque son attention fut soudain attirée par une lueur brillante dans le ciel. Il vit alors " comme une grosse boule brillante, peut-être dix fois plus lumineuse qu'une étoile " au-dessus de la maison du grainetier. M. Pawlak se précipita alors dans la maison afin d'appeler sa femme et sa belle-sœur. Mme Pawlak nous a déclaré que son mari paraissait impressionné, " il était blanc, bégayait terriblement, excité, comme quelqu'un qui vient de voir quelque chose d'extraordinaire ". Mme Pawlak et sa sœur suivirent donc M. Pawlak jusque dans le jardin. L'objet s'était lentement déplacé pendant ce temps et poursuivait sa trajectoire très lentement mais probablement prenait-il de l'altitude. L'objet était néanmoins sous le plafond des nuages déjà assez bas, car il paraissait à l'œil nu plus petit que quelques instants auparavant. "L'objet avait la forme d'un carré au plancher arrondi avec une sorte de cheminée au-dessus. Il émettait des bouffées de fumée, plutôt de vapeur, par  intermittence,  mais non régulièrement et ce pendant toute la durée de l'observation ". Ces bouffées de vapeur gris-blanc se produisaient en avant de l'objet, dans le sens de la marche, à la différence par exemple de la fumée d'une locomotive à vapeur qui, logiquement, va dans le sens opposé à la marche de la motrice.  L'objet lui-même était de couleur blanche, brillant.  L'observation a duré environ 1/2 heure environ. " Après quoi l'objet s'est éteint instantanément. Il a reparu quelques instants plus tard à la place même où il s'est éteint, puis s'est éteint définitivement. " Le même jour, environ 3/4 avant, Mme Seguin à environ 1 km 500 a vu le même phénomène, ayant reçu la visite des Gendarmes, elle confirma qu'une panne de courant paralysait le secteur depuis 20 h environ, qu'elle sortit vers 22 h 30 pour s'assurer qu'elle n'était la seule affectée par cette panne, et qu'elle vit " loin, comme une chose, vous savez... des illuminations de Noël, ... un rectangle lumineux avec des lumières rouges et vertes autour..." . Elle appela son mari qui jeta un bref coup d'œil et rentrant chez lui en riant : " oh, c'est encore un OVNI, c'est tout ! ". 05 Témoins. Source : LDLN N° 146, enquête de P. Lefebvre et F. Rostan.

      

    Juaye-Mondaye (14) - Fin Octibre 1974 - 07 h 30

    Une Orange Jaune dans le Ciel

    Un jour de la semaine, vers la fin du mois d’octobre. Il fait nuit, il est 07 h 30 et les étoiles sont encore visibles. M. l’Abbé (Père Godefroy Abbé-Moine de l’Abbaye de Juaye-Mondaye) sort pour se rendre à l’office du matin à l’église, lorsqu’il aperçoit à l’Ouest et se dirigeant vers l’Est un objet lumineux jaune qui se déplaçait déjà dans le ciel et au-dessus de l’horizon, l’objet avait la taille approximative d’une orange. « C’était comme si une orange se déplaçait dans le ciel ! ». L’objet était muni d’une vitesse extrêmement rapide et il mit à peu près 10 secondes pour traverser le ciel (le témoin réussit à compter jusqu’à 15). Les contours de l’objet étaient relativement nets, et il n’était pas entouré d’un halo ni laissait de trainée. La trajectoire empruntée par l’ovni avait apparemment la forme de la voûte céleste, et il disparut derrière l’horizon Est. Lorsqu’il passa pratiquement à son zénith le témoin ne perçut aucun bruit, du reste l’objet semblait évoluer à une altitude relativement importante. La luminosité de l’objet était du même type que celui des étoiles, mais contrairement à celles-ci ne scintillait pas et était de couleur jaune. Sa forme était celle d’une sphère. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

     

     

    Amfréville (14) - 30/10/1974 - 10 h 15

    Engin Volant avec Feux de Position

     

     Une Automobiliste, Mme Louisette C. Commerçante à Merville-Franceville-Plage, se rendait à Caen, lorsqu'en quittant Sallenelles, entre le Manoir du Canard Piquet et le Hameau de l’Écarde, elle aperçoit sur sa droite un Engin lumineux de 5 à 6 m de diamètre, en forme de dôme équipé de feux de position plus sombres, un à chaque extrémité de sa base rectiligne, qui filait dans l’atmosphère. 01 Témoin. Source : Génpi.

     

    Laulne (50) - 05/01/1975 - vers 19 h

    Trace en forme de Fer à Cheval & Triangle au sol

     

    5 janvier 1975, Laulne (50), à " La Dignerie ", Yvon Vildier, 12 ans, sort vers 19 heures dans la cour pour uriner en allumant la lumière extérieure. Il voit alors à 120 m de la maison dans un champ, un engin bizarre : il n'en voit que le dôme percé d'un hublot jaune brillant, le reste étant caché par une haie. Il est frappé de stupeur et quelques secondes après l'objet s'est élevé en tournoyant jusqu'à 100 m de haut à la verticale. Il semblait être composé de 3 ou 4 étages, et il y avait dans la partie supérieure 5 hublots de la grosseur d'un bol. Trois pieds de 50 cm de haut semblaient être reliés au centre de la base pour former une assise et sont rentrés dans l'engin lors du départ. Il estime la grandeur à 15 m sur 3 m, de forme ovale. Sans les pieds la hauteur pouvait être de 4 m. Il est parti sur la gauche à grande vitesse. Durée de l'observation: 30 secondes. L'enfant est rentré commotionné, ne pouvant dire un mot tellement il a eu peur. Traces en forme de " U " et trois trous en Triangle au sol avec analyses effectuées. 01 Témoin Direct & plusieurs Indirects : Source : LDLN N°1 46 p. 6 à 10.

     

    7 JANVIER 1975 ATTERRISSAGE, TRACES ET ANALYSES

    Procès-verbal, enquête préliminaire, gendarmerie nationale, groupement de la Manche, compagnie de Coutance, brigade de Lessay.

    Le 7 janvier 1975, à 8 heures, une observation d'objet volant non identifié nous est rapportée verbalement. Ce phénomène se serait produit à Laulne, département 50, au lieu-dit La Dignerie, nous gendarmes O ... et B. .. nous nous transportons sur les lieux.

    Situation à l'arrivée des enquêteurs

    A notre arrivée nous sommes accueillis par le témoin oculaire du phénomène, le jeune V ... Yvon, douze ans et par ses parents. Yvon nous déclare que dimanche soir, vers 19 heures, alors qu'il se trouvait sur le pas de la porte de son domicile, il a remarqué posé dans le champ situé face à lui un objet de forme bizarre qui a décollé pour s'éloigner rapidement. Il décrit l'objet comme ressemblant à une soucoupe volante. Des traces suspectes sont visibles dans le champ où l'OVNI a atterri. Aucune modification n'aurait été apportée au lieu.


    Mesures prises, immédiatement

    Nous rendons compte à notre commandant de brigade qui informe sans délais notre commandant de compagnie à Coutance. Nous demandons le concours des spécialistes de la brigade des recherches afin d'effectuer des prises de vues photographiques et des moulages d'empreintes. A 10 heures, le capitaine et les gendarmes nous rejoignent sur les lieux.


    Etat des lieux


    Le lieu d'observation de l'engin se situe à Laulne, au lieu-dit La Dignerie, l'endroit est délimité par les chemins départementaux 530, 430 E, 430 El, 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d'atterrissage, il faut partir du chemin départemental 530, emprunter une voie sans issue. Le champ à usage de prairie a une surface de 8 000 mètres carrés environ et mesure entre 13 et 14 mètres de large et 50 à 60 mètres de long. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure orientée au nord-ouest, il est entouré d'une haie d'arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 mètres. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage. Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 mètres de la haie nord et 22,80 mètres de la haie est. A cet endroit, l'herbe est couchée vers le bas du champ et donne l'impression d'avoir supporté une masse quelconque. Nous remarquons tout d'abord une trace en fonne de « U» dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U » dont l'ouverture est orientée vers le sud-est a le contour délimité par une traînée noirâtre huileuse de un centimètre de large dont l'odeur rappellerait le pétrole ou un dérivé. Sur le côté droit du «U », si nous nous plaçons du côté opposé à l'ouverture, la traînée s'élargit pour former une bande de 13 centimètres de large sur 1,15 mètre de long. Au fond du creux nous constatons la présence d'herbe qui a été écrasée par la masse qui a pris appui en ce lieu. Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur du « U ». Au centre de celui-ci trois trous sont disposés en triangle quelconque. Ceux-ct sont de forme et de profondeur semblables, leur fond est plat et les angles légèrement arrondis. Nous remarquons également une coloration noire autour de ces trous qui peuvent être assimilés aux empreintes de pieds observées par le jeune V ... L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos constatations, aucun changement dans sa coloration n'est intervenu. La couche superficielle de la terre arable, argileuse, semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d'avoir été dégagés par l'engin. Aucune trace que celle précédemment décrite n'a été relevée dans le champ.

    Enquête

    Les auditions du jeune V ... Yvon font l'objet des procès-verbaux d'audition joints. Il est à noter que celui-ci n'a jamais changé de version bien que nous l'ayons interrogé plusieurs fois en tentant de l'induire en erreur. Il a fourni les mêmes éléments aux nombreuses personnes qui sont venues le voir intéressées par son observation. Des renseignements recueillis tant auprès des gens le connaissant qu'auprès du directeur du C.E.G. qu'il fréquente, il passe pour un garçon équilibré. Dans cette école, nous n'avons pas pu entendre son professeur principal, celui-ci étant en congé de longue maladie. Nous avons appris que l'année dernière il avait été fait allusion aux OVNI sans qu'aucune étude particulière ne soit entreprise sur le sujet, le jeune V ... avait été intéressé mais sans plus. Il nous a également été signalé qu'il n'avait pas cherché à tirer une popularité de son observation et qu'il était resté assez discret. Aucun changement notoire dans son comportement n'a été remarqué.

    Renseignements divers, vérifications effectuées

    Des échantillons de terre prélevés sur les traces et à 20 mètres de distance pour servir de prélèvements témoins ont été effectués. Aucun laboratoire local n'étant à même d'effectuer l'analyse de ceux-ci et en l'absence de toute directive particulière, nous avons confié une partie de ces prélèvements à M. L ... , pharmacien possédant un laboratoire qui a accepté bénévolement le travail. Son rapport d'analyse est joint en annexe de la présente pièce. M. L ... nous a montré l'éprouvette dans laquelle il a réussi à isoler un liquide pouvant être soit du kerdanne soit du kérosène, l'odeur se dégageant du récipient est très caractéristique de ces deux produits. Une analyse distincte a été demandée par M L. .. , membre de I'Associatjon « Lumières dans la nuit », qui s'est engagé à nous communiquer le résultat de celle-ci dès qu'elle reviendrait des laboratoires de Paris. A ce jour, les résultats ne sont pas encore parvenus à sa connaissance. Des vérifications ont également été faites auprès des services de l'E.D.F afin de savoir si des perturbations électriques, courts-circuits ou autres anomalies ne s'étaient pas produites sur le réseau dans la soirée du 5 janvier 1975. La réponse a été négative, Auprès de l'aèrodrome de Lessay, pour connaître les mouvements des aéronefs enregistrés le 5 janvier vers 19 heures, aucun décollage ou atterrissage ou survol n'est signalé dans ce moment-là. Auprès de la population voisine du lieu d'atterrissage qui n'a constaté aucune perturbation radio ou électrique, dans le champ et la maison du jeune V ... pour vérifier si l'observation telle qu'il nous l'a décrite est possible. De nos constatations, il ressort qu'il y a compatibilité entre l'état des lieux et les faits relatés. Les conditions atmosphériques du 5 janvier 1975 étaient les suivantes: ciel légèrement couvert avec crachins intermittents. L'observation de l'OVNI relatée par la presse avec plus ou moins d'affabulations a suscité peu d'intérêt parmi la population qui a commenté celle-ci avec amusement en général. Seuls quelques membres représentant « Lumières dans la nuit» ont paru intéressés par le phénomène. Clôture du procès-verbal le 27 janvier 1975.

    Copie du rapport d'analyse, laboratoire d'analyses médicales n" 1669. A. L. . , pharmacien (de Caen - 14, en réalité membre discret du C.N.R./NdT).

    Analyse n" 750060, examen de prélèvement de terre, sol d'herbage en deux échantillons remis par la gendarmerie de Lessay. Premier échantillon-témoin: petite motte épaisse de 6 centimètres enveloppée dans du papier journal, végétation saisonnière d'apparence normale, brins d'herbe bien verts présentant un très faible pourcentage d'éléments secs. Nature de la terre: argileuse, odeur du musc: très franc, mesure du pH égale 6, le papier d'emballage ne dégage aucune odeur, brûle franchement malgré quelques taches d'humidité. Quelques parcelles de cet échantillon ont fait l'objet de manipulations sommaires analogues à celles entreprises sur l'échantillon suivant.

    2. Echantillon suspect: épaisseur de la motte: 6 à 7 centimètres, même emballage que le précédent mais beaucoup plus humidifié, la végétation également abondante a été foulée, une bonne moitié des brins d'herbe présente une couleur jaunie, desséchée, l'ensemble une odeur très nette d'hydrocarbure, le pH de cet échantillon égale 6 comme l'échantillon-témoin. La terre a été, comme celle du témoin d'ailleurs, et séparément, transformée en bouillie claire au mortier avec une quantité triple d'eau bi-distillée. Après un séjour de vingt-quatre heures nous avons décanté le liquide surnageant la sédimentation. Ce liquide a été placé dans une ampoule à décantation de fine allonge. Nouveau séjour de vingtquatre heures environ, après addition de quelques gouttes de lugol fort employé comme colorant sélectif, nous avons pu faire les remarques sommaires que voici : échantillon-témoin: aucun liquide surnageant et de couleur différente n'a été décelé. Echantillon suspect: on note une très faible quantité de liquide nettement séparé à forte dose de pétrole et laissant sur papier bulle des taches graisseuses. Sans qu'il nous soit possible de déterminer la nature exacte de cet hydrocarbure, nous pouvons indiquer qu'il dégage une odeur se rapprochant du kerdane, de l'essence de pétrole ou du kérosène. A noter que le liquide sous-jacent obtenu après séparation ne dégage qu'une légère odeur d'iode provenant du lugol comme d'ailleurs l'extrait de l'échantillon-témoin et aucune odeur étrangère.

    Le papier d'emballage de l'échantillon n" 2 brûle avec une flamme plus fuligineuse que celle de l'emballage du témoin et son résidu est plus compact et plus important. A Lessay, le 17 janvier 1975.

    Procès-verbal d'audition de V ••• Yvon, douze ans, écolier.

    Dimanche 5 janvier 1975 vers 19 heures, je regardais la télévision avec mes parents sur la première chaîne, je suis sorti dans la cour. Pour ce faire j'ai allumé la lumière extérieure. Alors que j'arrivais dans l'embrasure de la porte, j'ai aperçu un engin de forme bizarre qui était posé dans un champ à 120 mètres environ de la maison. A ce moment-là je n'ai vu qu'un dôme percé d'un hublot de couleur jaune brillant, le reste de l'appareil étant caché par une haie. J'ai été frappé de stupeur. Quelques secondes après l'objet s'est élevé dans les airs en tournoyant jusqu'à une altitude de 100 à 150 mètres à la verticale de son point de stationnement. C'est à ce moment-là que j'ai aperçu la forme complète de l'engin, dont voici la description: trois ou quatre étages dont celui composant la partie supérieure était percé de cinq hublots qui m'ont semblé être de la grosseur d'un bol pour donner une échelle. Trois pieds de 50 centimètres de haut qui semblaicnt reliés au centre de la base de l'engin et qui s'écartaient pour former une assise au sol. La plus grande largeur de l'engin pouvait être de 15 mètres et la plus petite de 3 mètres. Lorsqu'il a commencé à tournoyer je me suis rendu compte qu'il était de forme ovale. La hauteur totale sans les pieds pourrait être de 4 mètres. Le tour de l'appareil était lumineux et la masse était de couleur marron grb. La couleur n'a changé à aucun moment, seul le hublot supérieur s'est éteint. Je n'ai perçu aucun bruit tout au long de mon observation qui a duré trente secondes. Je n'ai rien ressenti, aucun effet de chaleur ou de souffle, je n'ai aperçu aucun signe de vie à proximité. Lorsque l'engin a eu terminé son ascension il est parti sur la gauche à grande vitesse en s'élevant légèrement et en continuant à tourner sur lui-même. Je n'ai pas pu le suivre longtemps car il a été caché par le toit d'une dépendance. Je précise que lorsque l'objet a été en l'air et avant de s'éloigner, deux trappes, qui étaient en dessous, se sont ouvertes comme pour les trains d'atterrissage d'avion et les pied sont rent:rés en se pliant. Je n'ai pas remarqué d'antennes. Une fois mon observation terminée j'ai poussé un cri qui a alerté mes parents.

    Cependant lorsqu'ils sont venus sur le pas de la porte, l'engin avait disparu. C'est tout ce que je peux vous dire.

    Le 7 janvier 1975, 17 h 50.

    15 janvier 1975, nouvelle audition de V .•• Yvon, douze ans, qui dédare:

    Je ne vois aucune précision à vous fournir quant à la description de l'objet que j'ai faite dans ma déclaration du janvier 1975. Je m'intéresse à ce qui a un rapport avec la science et je suis désormais particulièrement attiré par les objets volants mystérieux.

     

     Nagel - Séez - Mesnil (27) - 12/02/1975 - 19 h 25 / 20 h

    Refus de Contact d'une Noosphère

     

    Observation, dans l’Eure, le 12 Février 1975, dont voici le récit : (Observation parue en octobre 1976 dans le n° 158 de Lumières Dans La Nuit - LDLN)

     « J’ai observé, pour la première fois, un OVNI le mercredi 12 février 1975, vers 19h25 en compagnie d’un jeune homme de ma commune qui avait eu la présence d’esprit de me prévenir, connaissant mon intérêt pour ce sujet.

     Sur le vaste terrain d’aviation, désaffecté, de Nagel-Séez-Mesnil, situé au sud-est de Conches en Ouche, dans l’Eure, une boule lumineuse évoluait depuis plus d'une demi-heure au-dessus des arbres et buissons du terrain.

     Le jeune homme et moi sommes approchés de l’engin, très discrètement, à environ 200 à 300 mètres. Il faisait nuit mais le temps était clair. La boule parcourait la piste en tous sens et très lentement, comme si elle observait ou sondait le terrain, à une hauteur variant de 10 à 20 mètres mais sans jamais se poser.

     Vers 19h30, après cinq minutes d’observation qui nous parurent interminables, et suite à l’essai de mise en marche de la mobylette du jeune homme, malgré une prudente opposition de ma part, la boule parut se diriger précipitamment vers nous, ou tout au moins, prit-elle une grosseur plus considérable et aussi plus inquiétante. Etant abonné depuis trois ans à la revue « Lumières dans la Nuit », j’avais retenu dans un des articles qu’un champ magnétique électrique provoqué par une dynamo pouvait interférer sur un ovni situé relativement près. Ce fut sans doute le cas. C’est à ce moment que j’ai pu apprécier l’aspect physique de la boule.

     Elle semblait avoir un diamètre d’environ 50 à 60 cm. Elle était d’une couleur orange, très lumineuse, sans pourtant éclairer le terrain.

    Nous effectuâmes un mouvement de repli, en laissant la mobylette sur place, car nous n’étions pas très rassurés. Puis le jeune homme me quitta pour aller chercher, à pied, des jumelles ou un appareil photo. Je pensais, également, que la peur commençait à faire son effet sur lui, n’étant absolument pas préparé à la réalité du phénomène.

     C’est alors que vers 19h40, une automobile, tous phares allumés, venant d’un chemin vicinal traversant le terrain, se dirigea dans la direction de la boule. Je me cachais derrière des buissons afin de n’être pas repéré de l’automobiliste et pouvoir regarder ce qui allait se passer. J’ai alors observé, avec une certaine stupéfaction, qu’au moment où le faisceau des phares de la voiture allait se trouver dans le champ de la boule, celle-ci se déplaça très rapidement, vers la gauche, d’une cinquantaine de mètres environ, sans doute pour ne pas être repérée.

     Je compris à cet instant, avec stupeur, que cet ovni était bel et bien doué d’une forme d’intelligence… Je commençais à être un peu inquiet à mon tour.

    La voiture ne marqua pas de ralentissement, ou de temps d’arrêt, et disparu à l’extrémité du terrain d’aviation. La boule, quand à elle, continua à évoluer quelques minutes, toujours sur la gauche puis disparu au loin, à son tour.

     Alors que je revenais sur mes pas, en direction de mon domicile, et après avoir parcouru environ 300 mètres, je me retournais et m’aperçus, à nouveau stupéfait, que la boule était revenue pratiquement…. à son point de départ….

     Je décidais de rentrer chez moi, rapidement, pour prendre mes jumelles et revenir sur les lieux avec ma voiture. A mon retour, vers 20h00 et après plus d‘une demi-heure, resté sur place à observer la nuit noire, la boule avait totalement et définitivement disparu. ». 02 Témoins. Sources : LDLN n°158. Grépi page 79 .

     [Extrait du Catalogue Ufo - Génpi des Rencontres Rapprochées Ufologiques en Normandie]

     

     Merville - Franceville - Plage (14) - 10/01/1976 - 22 / 23 h

    Volonté de Contact d'un Ovni

     

     Apogée & Périgée du Chiffre de 4

     http://enigmedublason.eklablog.com/

     

    « Pourrait-on se passer de symboles ? La réponse est oui. A condition, toutefois, de ne communiquer avec personne et de s'abstenir de penser. Bref, un ermite lobotomisé qui logerait au fond d'une grotte pourrait parfaitement vivre sans symbole. Enfin vivre ... Pour le reste de l'humanité, c'est plus difficile, sinon impossible. L'homme est un animal social et culturel qui, pour se construire, a sans cesse besoin de recourir à la mallette d'outils des symboles. Bref, la vraie réponse est non. »

    [Les Symboles - Emmanuel Pierrat]

     

     In Shaa Allah !

     

      Selon les ufologues partisans de la théorie des systèmes de contrôle, les rencontres rapprochée ufologiques, serait l'initiative exclusive de l'intelligence dirigeante des ovnis.

     A les suivre nous serions tous de simples observateurs passifs et comptables impuissants de leurs ingérences.

    Par bonheur, cet esprit fataliste, très anglo-saxon, n'a pas animé les expérimentateurs ufologues français qui ont tenté de communiquer avec l’intelligence qui contrôle les ovnis (Cf. Histoire de l'Ufologie Française . Thibaut Canuti. Éditions le Temps Présent 2011). 

     

    Ces initiatives ont connu une certaine notoriété, dans les années 1970, avec des recherches menées par des passionnés (Pierre Viéroudy, Frédérique Sagnes, le Groupe G.A.B.R.I.E.L., etc.) qui ont expérimenté divers protocoles de communication afin d'établir le contact avec  cette intelligence, supposée diriger le phénomène des ovnis et qu'ils nommèrent dès cette époque : Le Phénomène X ou " L. P. X. "

     

    L. P. X. ou le Lien Psychique avec le Phénomène Ovni

     

     

    Et ce qui surprend, encore aujourd'hui, ce ne sont pas les résultats de ces expériences - plutôt couronnées de succès - mais, la nature de ces résultats eux-mêmes, qui s’alignaient à l’identique sur les apparitions ufologiques classiques.

    Un constat s’imposa alors, les apparitions ufologiques classiques étaient de fait les supports d'expressions, imagées, animées, et scénarisées utilisées par cette intelligence inconnue, afin de communiquer avec les humains.

     

    Le Langage des Signes & l’Écriture des Images

     

     Pour bien s'entendre et mieux se comprendre, il est pratique de parler le même langage, lorsque ce langage-commun fait défaut, on a recours à l'autre méthode, celle des signes, des symboles et des images.

    Cette langue des signes s'impose naturellement lorsque par exemple des étrangers se rencontrent pour la première fois, il est donc logique de les retrouver lors des rencontres rapprochées ufologiques entre des visiteurs  aliens supposés et leurs hôtes terrestres.

    Pour le vérifier et l'illustrer, voici le récit d'une de ces tentatives de communication réalisée par ces explorateurs de terra incognita et aventureux ufologues des années 1970.

     

     

    Exemple du Langage des Signes/Symboles utilisé par l'intelligence qui dirige les ovnis

     

     

    Le Rendez-Vous !

     

     Merville-Franceville-Plage 14810, France - Normandie - Calvados, 10 janvier 1976, entre 22h00 et 23h00.

    Les Témoins : Mr. Masseron & un couple d'émigrés espagnols, Mr et Mme Zamora. 

    Les Témoins de cette RR3 n'appartenaient pas aux groupes ufologiques des années 1970, et ont été mêlés et impliqués par hasard, et à leur insu, à l'une de leurs expériences, se trouvant, apparemment, au mauvais moment et au mauvais endroit, c'est à dire à la date et au lieu du rendez-vous, précis et prévus, pour la réponse expérimentale attendue par ces ufologues.

    [Cf. « RR3 - Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France » de Julien Gonzalez. Collection : Énigma. Éditions Le temps Présent. 2014. Lumières dans la nuit, n° 175, pages 20-21 (enquête de M. Guillaume Chevallier) ; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI : le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, pages 599 et 601, 1979.]

     

    l'œuf

     

    Mr. Masseron dort, seul, dans sa caravane (qui était appelée l'œuf à cause de sa forme) lorsqu'il est réveillé par des coups donnés contre la paroi et par des sortes de grattements, puis la caravane se trouve secouée (violemment) par une force invisible.

    [dès le début de cette RR3, nous assistons à une représentation animée de ce que les héraldistes traditionnels nomment une Rencontre, c'est-à-dire, à proprement parler, un réveil ou un éveil, pour le coup brutal et très inattendu]

    Le témoin pensant que des plaisantins lui jouent un mauvais tour, regarde par une première fenêtre puis par une deuxième, et là, il voit vers l’ouest, situé à 15 mètres à peu près, un objet lumineux de 1,50 m de haut et d'un mètre de large ayant la forme d'un œuf. Sa moitié supérieure est de couleur verte et sa moitié inférieure de couleur rouge.

    Il est posé au sol ou se situe à proximité immédiate. Cet objet se déplace alors sur une trajectoire ayant la forme d'une spirale, tout en émettant un son strident qui augmente graduellement au fur et à mesure de son éloignement.

    Le témoin compare le son émis par l'ovni à celui que produit un Boeing au décollage.

    [ce qui correspond en langage phonétique à Bo-&-In : association/contraction des noms des dieux Bùri & Odin dont le dieu Le Bo (Le Grant Bor-Borr-Bur Mannus) est, respectivement, le fils et le père, des dieux des temps anciens chez les normands-scandinaves-germains]

     

    Le Bort Noir Le Grant

     

     

    L'ovni se stabilise à une hauteur de 15 - 20 mètres et à une distance d'environ 40 m et semble disparaître sur place.

    [l'intention de l'intelligence-ovni est donc indiscutable, elle réveille un premier témoin innocent, et qui dormait du sommeil du juste, pour qu'il assiste à un spectacle des plus déroutant : un objet lumineux de taille modeste (1,50 m / 1 m) en forme d'œuf, moitié vert et moitié rouge, qui décolle en spirale, dans un bruit assourdissant et qui disparaît brutalement ... tout cela n'a évidemment aucun sens, … car pourquoi réveiller un témoin pour qu'il assiste seulement à la disparation de ce que l'on veut apparemment lui montrer !?!]

    Mais ne serait-ce pas précisément ce qu'il devait voir, c'est-à-dire, un Mystérieux Objet Céleste (MOC) en forme d'œuf, et dont le sujet est précisément son objet :

    un oeuf opérant une spirale, ... ce qui est porteur d'une sémantique très spécifique :

     

     régénération/revitalisation/re-verdure (vert) de la vie (rouge)

    hybridation de Vénus (Lucifer/vert) and Mars (Adam/homme rouge)

     

     

    En symbologie, l'œuf, dont la Coquille est aussi une matrice protectrice, est considéré comme contenant le germe (le fœtus/spirale) à partir duquel se développe la manifestation, c'est donc un symbole universel et qui parle de lui-mêm

    C'est en raccourci : la naissance du monde ! (Odin, Dieu ancestral des normands, est appelé le Père de Tout).

    Ce concept est commun, aux Celtes, aux Grecs, aux Égyptiens, aux Phéniciens, aux Cananéens, aux Tibétains, aux Hindous, aux Vietnamiens, aux Chinois, aux Japonais, aux Populations Sibériennes et Indonésiennes, et à bien d'autres encore.

    Même si ce processus de naissance ou de réalisation revêt plusieurs aspects ; il représente toujours la manifestation par le verbe ... (Cf. hypermedia.univ-paris8.fr/oVositeoeuf/oeuf.htm).

    Ce symbolisme est ici approfondi puisque l'œuf, vu par Mr. Masseron est coupé (au sens héraldique du terme : partagé, composé, associé, et additionné) de deux couleurs : vert (ou  sinople ) et rouge (le gueules), ce qui renforce encore l'interprétation symbolique ; le vert et le rouge sont des couleurs opposées et complémentaires.

    En héraldique, le terme sinople nommait à l'origine la couleur rouge puis désigna, par la suite, la couleur verte, cette substitution toponymique de couleurs est une enquerre allégorique évoquant le Sang du Christ, recueilli dans le Saint Graal taillé dans l’Émeraude (verte) tombée du front de Lucifer, équivalence symbolique de la pierre philosophale matricielle du germe de l’œuf philosophale dont l'éclosion assure la régénération/revitalisation/re-verdure (vert) de la vie (rouge).

     

    éclosion de l’œuf philosophale

    L'Oeuf Philosophale !

     

    Dans la synthèse additive des couleurs, le mélange de la primaire rouge à 100% et de la primaire verte à 100% donne la couleur secondaire jaune, auxquelles, si on ajoute la primaire bleue, à 100%, on obtient le blanc (de l’œuf). Cf. fr.wikipedia.org/wiki /Couleur_complémentaire.]

    La synthèse des opposés complémentaires (principe passif de Vénus,  dont la couleur est le vert et du principe actif de Mars, dont la couleur est le rouge) aboutit à l'union harmonieuse ou verbe créateur (génération de l'œuf).

    Le nombre d'or (Phi = 1.61803398875), ou divine proportion à laquelle on attribue la couleur symbolique du jaune (l’or-d'oeuf), illuminant le verbe de la manifestation (figuré, ici, par la spirale de la trajectoire de décollage de l'ovni, vers l'immensité du ciel bleu-nuit, l'indigo des eaux d'en haut sup-solaire).

    Bo-&-In : association/contraction des noms des dieux Bùri & Odin dont le dieu Le Bo (Le Grant Bor-Borr-Bur Mannus) est, respectivement, le fils et le père, des dieux des temps anciens chez les normands-scandinaves ... introduit le concept de la rétro/temporalité/causalité de la mécanique quantique, ... la finalité se superpose à celle de son origine, fils et père, suivant la logique du principe de superposition quantique.

    Les éléments formels représentés dans cette apparition ufologiquce  fait de cette  apparition ufologique (sur le plan sub-lunaire des eaux d'en bas, où se situe la terre et dont la couleur est le blanc (d’œuf) ou l'argent lumineux, parole ou subtanc de la Création), ... une authentique cratophanie porteuse d'une épiphanie essentielle (éclosion de la lumière/or de jaune d’œuf).

     

    1/ Le Fil d'Ariane du rapport d'observation

     

     Le témoin veut en savoir davantage, aussi prend-il le parti de sortir. Il entend maintenant une sorte de message comparable à celui reçu sur un Talkie-walkie, avec le grésillement caractéristique de cet appareil. Il ne comprend pas le sens du message, mais entend une voix disant : L.P.X. … L.P.X. … L.P.X.

    [Ce message incompréhensible ou inaudible, dans sa totalité pour Mr. Masseron, apporta, par contre, au cercle des ufologues expérimentateurs des contacts avec « Le Phénomène X ou L. P. X. » un précieux résultat à leur tentative de dialogue avec cette Intelligence Non-Identifiée :

     

    1/ Manifestation/Réponse attendue et programmée au lieu et à la date prévue,

    2/ Signal Indicateur « L. P. X. » = Le Phénomène X,

    3/ Acronyme de Lean Protocole eXange = Protocole de Communication Réservé.

    Validant (une fois de plus) le processus de contact expérimental du cercle des ufologue.

     4/ ... d'autant plus que ce signal L. P. X. , répété trois fois est l'identifiant incontournable de la  Sainte Trinité de L = El = Dieu … P = Propugnator (qui soutient, protège et défend) … et X = Khi et lettre grecque initiale du Christ le Sauveur, souvent reproduit dans une mandorle ou matrice ovoïde, qui n'est pas sans évoquer et sans relation avec la forme d'un œuf.]

     

     

    2/ Le Fil d'Ariane du rapport d'observation

     

     L'attention de Mr. Masseron  est alors attirée vers la gauche par quelque chose qui bouge. Il distingue la silhouette noire d'un homme de taille moyenne (1,70 m / 1,80 m) qui traverse un chemin en courant. L'humanoïde semble se déplacer, courbé et penché (donc de manière gauche et non droite au sens héraldique : de senestre ou de sinistre et non de dextre ou de droiture) [et] de travers, en effet l'ensemble de son corps est orienté sur l'axe de prolongement de sa jambe droite.

    L'humanoïde passe entre la clôture d'en face et une caravane inoccupée, en tournant le dos à l'emplacement où a disparu l'ovni/œuf et dans la direction d'une autre caravane, occupée par la famille Zamora de nationalité espagnole.

     

     

     Ombre

     Zamora/semurano /vieil homme-libre/l'Ancien des Jours

     Drapeau à 9 fasces-divises de la ville espagnole de Castille et Leôn

    Zamora, surnommée la ville des olives et des turquoises

    No se ganó Zamora en una hora

    Zamora ne s'est pas gagnée en une heure

     

     

    [L'humanoïde aperçu par Mr. Masseron n'est qu'une silhouette noire, autrement dit une ombre (pour les Zamora, qui sont espagnols, ombre = hombre = homme ) ... c'est donc une représentation de l'homme non-lumineux (ou non - numineux) qui n'est qu'un pâle reflet, traînard et taiseux, de son vrai potentiel, qui s’éloigne de l'image symbolique de la totalité éclatante, précédemment affichée par l'ovni vert et rouge.

    Ce pas en chassé-Croisé, ou crabouillabaisse, de l'humanoïde renvoie, par antithèse inclusive, à l'idée de la croisade ou/et de la guerre sainte/sacrée/spirituelle car il suggère (par  paranomase des paranomynes) ; la  chasse des croisés, c'est-à-dire la seule chasse (métaphoriquement) autorisée par leur règle aux templiers (les croisés ou Chevaliers du Christ) qui est celle du Lyon (de Judas) symbole du Christ.]

    Cette crabouillabaisse, ou marche en crabe, ou de travers, ne conduit que vers la mort (au royaume des ombres) ou à son aliénation, ou à la folie dont l'enfermement est évoquée par la clôture en tant qu'enclos, qui tient prisonnier, et/ou, à l'opposé, à la libération intérieure dans le sens spirituel de clôture monastique, c'est-à-dire jusqu'à cette caravane vide (au profil des caravanes blanches ovoïdes des années 1970 semblable à un œuf) qui prend ici le sens d'une coquille vide, à l'image de celle d'un œuf gobé de l'intérieur (et de tous ceux qui raisonnent en creux).]

     

    3/ Le Fil d'Ariane du rapport d'observation

     

     A cet instant, une voiture pénètre dans le terrain de camping : c'est le petit-fils T. N. du propriétaire, accompagné de son beau-frère dit Flo  (d'origine espagnol), à qui se confiera en premier Mr. Masseron, et qui venait s'amuser à chasser les lapins de garenne (renvoi synchronique : car le lapin, blanc en particulier, est l'une des images des apprentis et des compagnons d'armes).

    A côté de la caravane inoccupée (et dans son prolongement) se trouve une autre caravane où dort la famille Zamora (et vers laquelle s'est dirigé l'humanoïde), Mme Zamora y a été précédemment (elle-aussi) réveillée par le son strident et distingua des voix venant de l'extérieur disant :

    « Qu'est-ce que je fais ? » … « Tu fais comme moi ! » …

    ... elle ouvrit une fenêtre pour entendre le message identique perçu par Mr. Masseron (voix, sons de talkies-walkies, L. P. X ).

    Quelque chose de lumineux attire son attention ; une sorte de cercle lumineux ayant l'apparence d'une ellipse dont la partie supérieure est verte et la partie inférieure rouge. L'ensemble lumineux donne une impression de tangage, montant et descendant par rapport au sol (suggérant le mouvement d'une toupie/gyroscopique et qui a décollé en diagonale jusqu'à une hauteur de 15 - 20 m, en surplomb d'une clairière, délimitée par des peupliers, avant de disparaître instantanément sur place.).

    Mr. Zamora, réveillé (si précipitamment) par sa femme (qu'il est tombé de sa couchette sur le sol de la caravane) n'observe pas le phénomène lumineux, mais entend malgré tout le message (radio).

    Les témoins se recouchent redoutant une quelconque agression. Au cours de l'enquête, effectuée la nuit même, des traces curieuses de pas sont découvertes, précisément derrière la caravane occupée par la famille Zamora.

    [traces ressemblant à l'empreinte, dans le sable fraîchement mouillé, de cylindres (renvoyant à la forme des cryptex) de la largeur du pied d'un enfant de 8 ans et de la longueur d'un adulte (8 = signe de l'infini = de ce qui n'est pas encore fini/achevé).

    Cette forme cylindrique évoque aussi celle des rouleaux et des tubes-reliquaires, en lien avec le culte des morts ; signalons, à ce propos que le lieu de la découverte de ces traces cylindriques correspondrait à celui  de la découverte occultée d'un ossuaire de la seconde guerre mondiale, c'est admissible, car le terrain (du camping de la Baie) se situait à un carrefour stratégique, au moment du débarquement du 06 juin 1944, une casemate allemande, qui est d'ailleurs toujours visible à l'angle du chemin sableux de la Baie longeant le camping, et qui a été bétonné justement par les allemands pour en faire une route ; cette casemate verrouillait l'accès à la ligne de défense de l'estuaire de l'Orne (Sword Beach), constituée de nombreux blockhaus et de la Redoute de Vauban, que les allemands avaient fortement fortifiée aussi ; curieusement la propriétaire et créatrice du camping (Mme L. C. qui a vu les Tommys descendre en parachute, le 5 juin 1944, vers 22 h30, dans la cour de la maison qu'elle occupait à Sallenelles, à 2 km) avait été convoquée, pour le 6 juin 1944, à la Kommandantur, comme témoin concernant la mort (précédente et récente) d'une sentinelle allemande du blockhaus (proche) du Moulin du Buisson (près de la Maison Blanche), et qui avait été retrouvée égorgée ; ces blockhaus (de Merville - Franceville - Plage à Varaville) ont du reste été neutralisés par les commandos alliés, la nuit du 5 juin 1944, avec ceux des Batteries de Merville (qui auraient pu repousser le débarquement) au prix de pertes humaines considérables ; le site des Batteries de Merville est aussi devenu très ovnigène, depuis ; enfin, la communication radio entendue de type Talkies-walkies pourrait être l'évocation, en lien direct, avec ces événements militaires dramatiques, et notamment avec l'apparition de l'ombre (ou revenant de l'ossuaire).

    Le fait que la famille Zamora (uniquement les parents,  les deux enfants n'ont pas été réveillés) a été témoin des mêmes faits que Mr. Masseron, et notamment des voix-radio et des grésillements typiques des Talkies-Walkies, renforce la thématique, de la communication, développée par l’intelligence non-identifiée à partir d’une signalétique formelle : grattements, secousses, signaux lumineux, voix, bruits, radio, dialogues, le déplacement de l'humanoïde vers les Zamora, etc.

    Ce que vient confirmer, le signal : " L . P . X ." qui renvoie aux indicatifs utilisés par les cibistes pour les appels DX (DX = Distance et X inconnue), ou recherche des contacts lointains !]

     

    La Réponse à la Question est dans la Question

     

    « Qu'est-ce que je fais ? » … « Tu fais comme moi ! »

    Une fois encore, ces deux phrases soulignent le thème de l’échange, donc du thème de la communication avec le jeu simplifié, d’une Question et d’une Réponse.

    Cet échange, de prime abord, très énigmatique, prend un sens particulier si la question s'adressait de fait à Mme Zamora :

    « Qu'est-ce que je fais ? »

     (c'est l'intelligence supposée du phénomène ovni qui parle) :

    Tu te demandes bien - ce que je suis en train de faire - et ce que tout cela peut signifier ?

    Et donc l'intelligence ovni (qui fait sa demande et sa réponse) lui répond :

    « Tu fais comme moi » !

    C'est-à-dire : je ne fais que te montrer (avec cette mise en scène), ce que tu fais toi-même de ta propre existence ! (profane).

    [en concordance avec la crabouillabaisse de l'homme qui ne deviendra que l'ombre de lui-même, s'il se détourne de sa pâques ontologique, symbolisée par l'œuf lumineux symbole des numineux.]

    Mme Zamora bien-sûr, n'est pas, spécialement et directement concernée à titre individuel, mais en tant que digne et respectable représentante de l'espèce humaine dans son ensemble, ce que vient d'ailleurs confirmer (en intersigne) l'origine castillane de son patronyme Zamora formé sur le berbère azemmur signifiant Olivier (www.jeantosti.com/noms/z.htm), ce qui la désigne et la relie analogiquement à l'arbre généalogique symbolique de la grande famille spirituelle de la Cité du Mont des Oliviers (Jérusalem), celle du filem de la Terre Sainte de la Sainte Terre du Saint Royaume d'Israël.  

    Filem ou filiation des Enfants de Caïn, celle des nomades (exilés du Paradis-Terrestre) ou de la gente du voyage et du Peuple de l’Étoile/des Étoiles (et tous ceux qui vivent ou qui se déplacent en  caravane).

    [les puristes et amateurs de ce genre d'exercice sémantique auront sans-doute, apprécié, au passage : le facétieux (farce...des...cieux) clin d'oeil de  l'intelligence ovni et le parallèle avec la célèbre et très populaire affaire (dont l'enquête a aussi débuté immédiatement après les faits manifestés) de Lonnie Zamora, à Socorro au Nouveau Mexique le 24 avril 1964 vers 17h45,  et dont l'objet de son observation avait lui aussi la forme d'un œuf, portant une cocarde (ou armoiries parlantes) au symbolisme très prolixe.

    [ce qui est particulièrement exceptionnel pour les ovnis, mais il est vrai aussi que le langage symbolique des anciens n'est plus pratiqué par la majorité de nos contemporains]

    Ce genre d'analyse exige évidemment une réflexion approfondie à partir de toutes les variables qui n'apparaissent généralement pas dans les bases de données habituellement retenues par les ufologues, et que seul l'enquêteur de terrain a eu connaissance, par exemple : l'enquêteur s'est souvenu à l'occasion d'une contre-enquête que les témoins, qui étaient tous sous l'emprise d'une grande et forte émotion suite à cette RR3, avaient par ailleurs des problèmes pour s'expliquer sur leur RR3 ou pour communiquer :

     

    La Contre Enquête

     

     Ce genre d'analyse exige évidemment une réflexion approfondie à partir de toutes les variables qui n'apparaissent généralement pas dans les bases de données habituellement retenues par les ufologues, et que seul l'enquêteur de terrain a eu connaissance, comme par exemple le fait que les témoins, qui étaient tous sous l'emprise d'une grande et forte émotion suite à cette RR3, avaient par ailleurs des problèmes pour s'expliquer sur leur RR3 ou pour communiquer :

    1/. Mme Zamora ne parlait presque pas le français tandis que Mr. Guy Masseron était du genre  autiste avec blocage et bégaiement du langage, (ce défaut de communication retient évidemment l'attention, … pour attirer la notre sur le concept d'un échange délicat à interpréter, … et  autour duquel gravite la mise en scène de cette RR3) ;

     

    2/. Mr. Masseron,  faisait office de gardien de nuit sur le camping et se croyait victime d'une agression, ce qui explique qu'à l'arrivée de la voiture de Mr. T. N., immédiatement consécutive à la disparition de l'ovni et de l'humanoïde, Mr. Masseron, armé d'une manivelle,  s'en est pris au chauffeur et à son passager croyant avoir affaire à ses agresseurs.

    [Franceville-Camping-Plage ou Camping de la Baie de Franceville, et que les campeurs confondaient avec le Camping de l'Abbé !, disparu dans le début des années 1990, et qui jouxtait le Camping de Carolus (Carolus = Karl = l'homme, l'époux, le travailleur, l'homme libre ! et Kerl = Bonhomme)]

     

    Le Bonhomme Blanc


     RR3 réalisée le 01/07/1965 (date identique de la célèbre observation de Maurice Masse, à Valensole - 04 France qui a vu décoller de son champ de lavende un ovni ovoïde/oeuf), par un témoin de 10 ans et demi (R. C.), à l'époque, très précisément au même emplacement que celle de Mr. Masseron Guy, le 10/01/1976, 11 ans plus tôt, et à la même plage horaire (R. C., autiste également, était directement impliqué dans le processus de contact expérimental du cercle des ufologues, mis en oeuvre en 1976).

     

    La RR3 de R. C., frère jumeau (encore une histoire d’œuf) de l'enquêteur de cette RR3 de 1976 : un soir, alors qu'il sortait de la caravane de son oncle (qui lui avait demandé d'y aller éteindre la lumière), était tombé nez-à-nez avec un Bonhomme Blanc de grande taille (dans les 2 m  / 2, 50 m), qui avait l'apparence d'une silhouette humaine blanche luminescente, surpris et effrayé, le témoin est parti sans demander son reste, au fil du temps, d'autres événements à caractère ufologique, ont été rapportés, sur place ou dans les environs.

    De même que le petit-fils du propriétaire T. N. qui a lui aussi rencontré dans le début des années 1970 (avril 1971, probable), et à environ 50 mètres du lieu d'apparition du Bonhomme Blanc, une silhouette blanche identique, au détail près, qu'elle portait  un collier de barbe noire ! ... Voilà le genre de détail qui paraît absurde en ufologie, mais qui sous l'angle de l'analyse traditionnelle prend tout son sens, ... si on fait le lien avec la barbe qui est symboliquement le signe de Caïn ! (cf. l'article intitulé : http://apocalypse-des-ovnis.eklablog.com/l-apocalypse-des-ovnis-livre-iii-chapitre-viii-les-enquerres-ufologiqu-a204259914).

    Lorsque l'on étudie la géographie des lieux, l'ex-camping de la Baie se situe au limes des mondes, c'est-à-dire à la frontière de la terre et de la mer, et en plus sur l'estuaire du fleuve Orne, voilà ce qui suffirait à expliquer la récurrence de tous ces phénomènes singuliers, car les lits des courants d'eau sont liés aux systèmes des failles géologiques et les veines d'eau, reliées aux réseaux des courants telluriques, aimants puissants à ovnis. (cf. La découverte de Fernand Lagarde dans son livre Mystérieux Objets Célestes .1973. Albatros).

    [Une dernière précision : le Bonhomme Blanc qui est l'équivalent de la Dame Blanche des contes et légendes (ou de leurs équivalents : les humanoïdes ufologiques du type Bibendumsest un renvoi au traditionnel Bonhomme dans la Lune ; rappelez-vous ... Au Clair de la Lune ! ... et le personnage de Jean de la Lune , bonhomme lunaire naïf pelotonné dans la boule argenté, qui descend de la lune pour aller à la terre et se mêler à ses habitants (doux euphémisme) :

     

    Oh Claire de la Lune !

    Il n'y a pas de plus beau fil  que celui des fileuses de lune. Au matin, le soleil les ramasse sur les prés humides pour tisser sa chevelure'' (cf. Les fameux cheveux d'Ange, si chers aux ufologues). Antoine de Marville. (Portraits de Lune - Wikipédia).

    Dès lors, on comprend mieux pourquoi en héraldisme, la lune a un visage humain !

     

    Deux autres correspondances et coïncidences significatives  

     

     1/. Lorsque Mr. Masseron est sorti de sa caravane pour vérifier ce qu'il se passait à l'extérieur, juste avant l'arrivée de la voiture de Mr. T. N., il s'est armé d'une manivelle, ... il se trouve que l'étymologie de Masseron : provient de massier = Sergent, ou homme d'armes chez les templiers, ou huissier porteur d'une Masse (cf. Geneanet) : 

     La Masse d'Armes est en héraldisme l'arme de guerre concédée à l'homme d'église ou à tout religieux au combat (l'épée étant réservée aux Chevaliers), ce qui confère par analogie, à la fonction de Gardien de Camp (de camping-caravaning), qui était celle de fait de Mr. Masseron, une dimension très spécifique qui est celle de Gardien et Officiant  (bien involontaire en l'occurrence) du sacré dans cette affaire, puisqu'en donnant l'alerte en premier, il initia en quelque sorte la cérémonie rituelle de cette Cratophanie.

    D'une certaine manière on peut donc considérer que Mr. Massron  a été  promu par " L. P. X. " le Gardien (en titre) du Champ et des Sens Secrets de ce blason ufologique (du germanique blasen = sonner), ce qui est l'équivalent du Champ des Lices où a lieu  l'affrontement héroïque, dont il doit sortir vainqueur, pour sa  sûre-vie et vraie-vie (spirituelle).

    Et curieusement Mr Masseron Guy est né le 25 Mars 1951, précisément, à Champsecret dans l'Orne (61). N'est-ce-pas ce l'on pourrait prendre pour une prédestination ou plus raisonnablement, pour un de ces fameux inter-signes , auxquels l'intelligence qui contrôle  ce type de RR3 nous a, depuis longtemps, habitués et familiarisés ?

     

    2/. La date de cette RR3 est le 10 janvier 1976, et le 10 janvier c'est le jour de la fête de la Saint Guillaume, or Guillaume est le vrai nom de baptême de Saint Clair : le Saint qui guérit de la Cécité.

     Autrement-dit c'est le jour d'ouvrir les yeux (et les oreilles) et comme par coïncidence l'ufologue qui s'est chargé en premier de cette enquête se prénomme justement Guillaume.

     

     

     

     

     

    L'Ancien des Jours - Colonnes du Temple Jakin & Boaz  - « Il établit - la force en lui »

     

    Au cours de l'enquête, effectuée la nuit même par le Génpi, des traces de pas curieuses sont découvertes, précisément derrière la caravane occupée par la famille Zamora.

    [traces ressemblant à l'empreinte, dans le sable fraîchement mouillé, de cylindres de la largeur du pied d'un enfant de 8 ans et de la longueur d'un adulte]

    03 Témoins Directs.

     

    Le Camping ne comptait que quatre îlots de résidents présents au moment des faits, dont seuls Mr. Masseron et la famille Zamora ont été les témoins. 

    Identification simpliste/réductrice  : Les campeurs ont été abusés par un exercice militaire.

    [ce genre d'explication approximative,  superficielle et , dans la veine des faux-semblants apparents et grossiers (à la Géipan-pan cul-cul avant l'heure !) a été avancé par des ufo - amateurs irréfléchis, qui ne se sont pas déplacés sur place, pour entendre les témoins, ou même mener une contre-enquête : NdT]

    Source : Enquête effectuée par le Génpi (qui a été prévenu par téléphone du Poste du Gardien par Mr. T. N.), in situ, dans la nuit du 10/01/1976 au 11/01/1976, dans l'heure qui a suivi les faits avérés.

     

     Les témoins, interrogés, la nuit même, par les enquêteurs de Ufo-Génpi (environ 30 minutes après le déroulement des faits, prévenu par Mr. T. N.), au cours de laquelle les curieuses traces de pas en forme de cylindres géométriques ont été relevées derrière la caravane des Zamora, étaient tous encore sous l'emprise d'une grande et forte émotion.

    Soulignons que Mr. Guy Masseron souffrait d’un blocage de langage, du type autiste, et que les Zamora maîtrisaient assez mal la langue française, ce qui accentue le thème de la communication comme sujet principal, autour duquel gravite la mise en scène de cette RR3.

    Autre coïncidence signifiante d’une orchestration volontaire de la part de l’intelligence qui est à l’origine de cette RR , outre le cas jumeau ...

    (ovni/œuf, patronyme commun, traces au sol, son entendu, mexicain/espagnol, enquête immédiate après les faits avérés, etc.)

    ... qu’elle représente avec la célèbre RR3 de Lonnie Zamora, à Socorro au Nouveau Mexique, du 24 avril 1964, vers 17 h 45, est le fait exceptionnel que l’ovni en forme d'œuf de Socorro, était orné d’un signe de communication, de couleur rouge, symbolisant le lien d’échange entre la Terre et le Ciel.

     

    Ovni de Lonnie Zamora – Socorro Nouveau Mexique - 24 avril 1964 

     

     

     

    http://apocalypse-des-ovnis.eklablog.com/l-apocalypse-des-ovnis-livre-iii-chapitre-x-la-quete-des-ufologues-a204267276

     

    L’estampille  (cocarde) notée par Zamora, est comparée par J. Allen Hynek à une marque de bétail (!), est évidemment un anachronisme, car effectivement les ovnis (du moins de ce type) ne portent pas de cocarde d'identification ou d'appartenance.

    [malgré des millions de témoignages dans le monde, depuis 50 ans, il n'existe presque pas d’insignes ou de marques signalétiques répertoriés sur les ovnis ; et peut-être de l'ordre de la dizaine, en tout et pour tout]

    En ce sens, aussi, on peut dire que l’ovni de Zamora est exceptionnel, et comme on souhaite ostensiblement, à travers son marquage (comme l'évoque à sa manière Hynek), nous communiquer un message, intéressons nous donc, doublement, à celui-ci.

     

    Ufo - Mark

     

    Ce message (et autres intersignes versions à trois verticales ou variations de flèches et de lignes verticales ou horizontales) est en fait d’une lecture simple et aisée, car on y voit (essence/ciel/aimant) un trait horizontal, surmonté d’un trait vertical surmonté lui-même d’un chevron et le tout surmonté d’un arc :

    L’arc étant la figuration du ciel, le trait horizontal celle de la terre (ou de l’horizon terrestre), le trait vertical celle du lien ascensionnel et le chevron la pointe d’une flèche qui est propulsée vers le haut ;

     Autrement dit :

     Cet ovni permet de relier la terre au ciel et aux hommes de communiquer avec les stellaires.

     

    Faute de Vaisseau on nous a menés en Bateau !

     

    Ouvrir les Yeux ? Voyons cela en faisant le Point  :

     

    1/ Un certain dialogue ou un échange serait donc possible entre une intelligence supposée extraterrestre ou plus exactement non-humaine.

    2/ Présente sur terre, cette intelligence étrangère à l'humanité utilise en outre le langage analogique des symboles, mode d'expression  parmi les plus élaborés qu'elle maîtrise parfaitement, et très visiblement, avec ces  énigmatiques messages attribués aux aliens depuis environ 50 ans, à savoir, les fameux  Crop - Circles.

    3/ Cette présence et intelligence non - humaine d'apparence polymorphe semble omnipotente et omnisciente, puisqu'elle contrôle sans faille des événements et des faits de notre réalité, dans le temps et à travers l'espace.

    4/ Une intelligence non - humaine s'adresse à nous mais pour nous dire quoi exactement ?

     

    Des révélations ou des oraisons essentielles sur notre existence, sur notre avenir et sur notre vie spirituelle ?

    Voilà qui n'est pas sans rapport avec les augures des prophètes anciens, ou ceux des prophètes modernes que sont les contactés/abductés ufologiques ou para-ufologiques.

    Ses objectifs sont clairs car dans et en tous les cas, elle nous échappe, et se dissimule derrière des Faux-Semblants pour mieux nous instrumentaliser en nous faisant avaler ses couleuvres et autres vessies thaïlandaises.

     

    Mes Frères et Sœurs ... Humains ... ou Non ! 

     

     Allons-nous longtemps, encore, nous laisser manipuler leurrer et berner par cette pseudo-intelligence qui se fait passer au gré des époques, et selon les modes et les cultures dominantes pour : dieu - le père éternel, les faux-dieux, le petit peuple des fées, les revenants, les savants éclairés, l'entité noosphérique/égrégorielle Gaïa, nos grand-frères aînés extraterrestres de l'espace, et dernièrement pour des explorateurs scientifiques intersidéraux, etc. ?

     

    Mes frères et sœurs humains ... ou  non, ... ne serait-t-il pas grand temps d'ouvrir, comme Saint-Clair, les bons yeux, ceux de la clairvoyance, ... isn't it ... !?

     

     Rien de bien nouveau en somme !  

     Bon jour et bonne nuit de veille ufologique ...

     

    Les supports de Communication

     

     Comme les géoglyphes présents sur notre planète, et les Crop-Circles, les traces laissées au sol par les ovnis apparaissent également comme des supports directs de communication d'origine exogène :

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     Photos-Source : Ufo-Génpi

    Le Pronobum !

     Le Croissant de Lune !

     

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     

     Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement impressionnés, et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la nouvelle lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de printemps fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974. 

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr. Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de croissant de lune (à titre d'enquerre ou obèle astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, (ovoïde ou oeuf de Pâques = enquerre/signalétique formelle), rappelle ce que les anciens appelaient les Portes Induites, dont l'ouverture est conditionnée par les conjonctions astronomiques, telle celle du temps de la fête de Pâques, dont le nom même dérive de passah renvoyant au passageà lcommunication.

     

    Le Saigneur des Anneaux !

     

     

     

     Certaines manifestations d’ovnis ou de phénomènes para-ufologiques sont bien porteuses, de messages importants, qui nous sont destinés, voici un exemple, tiré de l’ouvrage de Joël Mesnard :

    Les Apparitions d’Ovnis, mai 2016, Mercure de France, et dont le sens et la signification (de son propre aveu) l’a laissé bien perplexe, extraits des pages 139 et 140, de son livre :

     

     Bizarreries dépourvues de sens ? (titre du paragraphe)

     

    Les innombrables comptes rendus d’observations auxquels on peut accéder de nos jours permettent de dégager quelques constatations étonnantes. Toutefois, elles ne conduisent que rarement à des conclusions franches et nettes. …

    … d’autres apparitions ne suggèrent aucune explication classique, mais plongent simplement le témoin dans un état de grande perplexité. C’est notamment le cas de ces « spectacles lumineux » que rien ne permet d’expliquer. En voici un exemple. Le 30 mars 1997, vers 22h45, un homme près de la Tour-du-Pin, dans l’Isère, sortit dans l’espoir d’observer la comète Hale-Bopp. Il ne la vit pas, mais découvrit en direction du Sud un curieux assemblage de points lumineux, « comme des ampoules électriques, blancs comme des étoiles », qui dessinaient un losange avec sa partie diagonale, verticale.

    Ne comprenant pas ce qu’il voyait, il tourna alors la tête dans d’autres directions, et découvrit successivement deux formations identiques, l’une vers le nord-ouest et l’autre vers le nord-est ; ces trois figures lumineuses étaient immobiles, vers 20 ou 25 degrés au-dessus de l’horizon. Un tel spectacle est rigoureusement inexplicable, mais il est loin d’être unique.

    Si l’on admet que les témoins sont de bonne foi et jouissent d’une bonne vue, on peut se demander si « quelque chose » ne jouerait pas à leur soumettre des devinettes insolubles. » (fin de citation).

     

     Ovni de los Angeles !

     

    Insolubles ?

     

     Nous allons donc tenter de résoudre à notre tour cette énigme en appliquant simplement la méthode de la tradition symbolique.

     

     1/ les spectacles lumineux sont effectivement présentés pour être vus, et compris, reste à les analyser avec la bonne clef de lecture.

     2/ dans ce type d'encodage traditionnel, la clef du décodage est toujours donnée avec le message codé ; donc, cherchons-la !

     3/ premier indice : la forme géométrique générale des spectacles lumineux est celle : des losanges, signifiant les anges.

     L'expression les anges sert traditionnellement d’équivalent sémantique pour désigner les étoiles, nous sommes donc ici en présence d’un message qui se rapporte à l’astronomie, autrement-dit la clef de lecture est de nature calendaire, et désigne probablement une date ou un type de date.

     4/ deuxième indice : le même spectacle lumineux se développe dans trois directions différentes : le sud, le nord-ouest et le nord-est :

    . le sud, c’est l'instant précis du solstice d’été  (SUD), le nord-ouest, c’est le coucher du soleil au solstice d’été (CSSE) et le nord-est, c’est le lever du soleil au solstice d’été (LSSE).

    . Spécifiquement, la date soulignée est bien celle du solstice d’été, organisant avec les autres dates astronomiques majeures du solstice d'hiver, et des équinoxes de printemps et d'automne, nos rythmes d'activités annuelles.

     5/ troisième indice : la date de l’observation réalisée à la Tour-du-Pin est le 30 Mars 1997, c’est-à-dire un dimanche, mais pas n’importe lequel, car c’est très précisément le dimanche de la fête des Pâques de l’année 1997, et chacun sait que la fête des Pâques est une date fluctuante, dans la liturgie romaine, puisqu’elle est fixée au premier dimanche (jour du soleil), suivant la première pleine lune (la pleine lumière) survenant après l’équinoxe de printemps.

    Voilà donc une  indication supplémentaire pointant la mécanique astronomique /planétaire avec le cycle lunaire.

     Mais quel est donc le sens du message qui a bien pu être délivré ce dimanche 30 mars 1997 ?

      Nous vous proposons cette version :

     Cette cratophanie (apparition ou manifestation surnaturelle) attire notre attention sur une conjonction astronomique particulière, qui est celle du solstice d’été, associée au cycle lunaire avec la date exceptionnelle de la fête des Pâques.

    Cette date est visiblement ciblée, étant donné, l’importance des spectacles lumineux mis en œuvre.

    Mais qu’est-ce que ça peut bien signifier en clair ?

    Tout simplement, ce que cela dit : le jour des Pâques = Pasha = Passer au-dessus ou Passage.

    Autrement dit, la fête des Pâques a été choisie intentionnellement par l'intelligence, qui est à l'origine de cette cratophanie, offerte à la  seule vision du témoin, de manière à évoquer, en fonction du cycle lunaire, le jour du Passage ou les jours des Passages, les plus favorables pour se relier ou entrer en communication avec les stellaires.

    Ces dates de Passages ou de mise en relation correspondent, selon le point de vue traditionnel, aux équinoxes et aux solstices des quatre constellations fixes du verseau, de l'Aigle, du Lion et du Taureau, appelées par les anciens les Quatre Vivants (Tétramorphe), qui ordonnent et règlent la vie des hommes selon l'adage :  « Dieu gouverne les étoiles qui gouvernent les dieux qui gouvernent les hommes. »

     

    La Milice du Ciel

     

     

    Cet agrogramme est une représentation de la Célèbre Vision/Rencontre Rapprochée du Troisième Type des Deux Roues Concentriques et des Créatures Tétramorphes (Polymorphes), rapportée par le Prophète et Prêtre Ézéchiel, près du fleuve Keba, en Chaldée, 593 avant J. C.

    Ces Créatures Tétramorphes ont été associées par la suite  aux Quatre Évangélistes, Mathieu pour l'Ange, Jean pour l'Aigle, Luc pour le Taureau et Marc pour le Lion, en tant que représentant des Quatre Animaux Vivants = Êtres Doués de Vie, du Char Céleste de la Vision d'Ézéchiel et du Trône Divin de la Vision de Saint Jean, que sont les Arc-Anges ou Étoiles (ou Anges/Ardents) Célestes de la Milice Chevaleresque Célestielle (le choix du 05/06/2009 ; le jour de la fête de St-Igor = le Guerrier, le confirme). Guillaume Chevallier 

     

     La Gloire du Soleil

     

     

    Le nom du site de l'apparition de ce Land-Art nous renseigne sur le contenu de son message, Golden Ball Hall = Colline de la Boule d'Or, il s'agit à l'évidence, de la représentation de notre Soleil (disque rouge), avec sa couronne électromagnétique rayonnante (en vert foncé) qui éjecte ses flux ionisés (couleur claire) en direction de la Terre (disque bleu), dont le bouclier électromagnétique naturel (en vert foncé) est gravement impacté par le flux solaire. Guillaume Chevallier

     

    Le Vaisseau des Stellaires 

     

     

    Ce Land-Art est la représentation de l'arche des anges (archanges), dit en pointe de diamant, formé par l'agrégation psychique de quatre âmes vagabondes stellaires, dont l'aura lumineuse, se retrouve dans l'iconographie religieuse sous la forme des auréoles rayonnantes.

    Ces vaisseaux égrégoriels, qui sont formés de quatre entités (une à l'avant, une à l'arrière, et une pour chaque flanc), sous la forme stéréotype du losange allongé (de fusée ou de fuseau, dont l'on trouve la représentation, dans l'art du blason, avec les meubles, homonymes de fusées), ont été consacrés avec l'appellation des anges (de los angeles), ce qui leur a conféré le statut de messagers célestes.

    Ainsi ces vaisseaux brillants (irisés de lumière), sont parfois assimilés par les indigènes/résidents, à des mystérieuses manifestations surnaturelles (cratophanies), ou bien, à contrario, à des engins mécaniques, produits d'une fantastique technologie extra-terrestre, sous l'influence des croyances locales et des cultures courantes prépondérantes. Guillaume Chevallier

     

    Vaisseau - Pointe de Diamant en Patrouille

     

     

    Losange des Anges

      

     

    Le Bouclier Ardent 

     

      

     

    Appel à témoins :
     
     
    Dimanche 19 février 2023 , dans le secteur du Finistère nord, plusieurs personnes ont observé le phénomène du "paysage fantôme", modification du paysage familier, si vous-aussi, vous l'avez vécu, vous pouvez nous le rapporter
    à l'adresse suivante :
    ufo.genpi@gmail.com
    D'avance Merci !
     

     

    Amfréville 27/02/1978 - vers 00 h 45 

    L'Intuition Ufologique

     

    Venant de Caen, Mme Maryline regagnait son Domicile de Merville - Franceville - Plage en voiture, à une heure habituelle pour elle, arrivée à la hauteur du hameau de Longueville elle aperçu sur la Plaine de Ranville un Sphère Lumineuse de Couleur Rouge, positionnée devant la haie délimitant un verger situé dans la Plaine de Ranville à l'orée de la commune d'Amfréville. Cette Sphère avait 05 m de diamètre et était animée d'un mouvement ascendant & descendant à 03 m du sol environ. Parvenue au niveau de la Carrière de l'Ecarde, sa petite chienne Yorkshire "Wouina", ce qui était inhabituel et inquiéta doublement Mme Maryline qui préféra continuer sa route sans s'arrêter, d'autant qu'elle eu, depuis son départ de Caen, le fort pressentiment qu'elle observerait, à nouveau, un Ovni sur son trajet de retour à son Domicile, comme cela lui est déjà arrivé par le passé.  01 Témoin Source : Enquête du Génpi

     

    Merville - Franceville - Plage 02/08/1979 - 17 h 20 

    Vol en Feuille Morte

     

     M. Thierry & Mme Françoise Nogent revenaient de la Plage de Houlgate, au Campine de la Baie, à la sortie Ouest de Merville-Franceville-Plage, situé à côté du Camping de Carolus, depuis la réception du camping, ils virent, en compagnie de sa Propriétaire,   en direction Sud au-dessus de l’ancienne décharge de Merville, située, sur le chemin des Banques, à 500 m, l'évolution d'un objet en forme de disque lenticulaire blanc brillant voler silencieusement comme les feuilles mortes, en virevoltant rapidement dans les airs et des nuages où il entrait par moment, avant de disparaître en montant dans le ciel en diagonale vers l’Est. La taille du disque a été estimé à 6 à 8 m de diamètre. 03 Témoins. Source : Enquête du Génpi.

     

    Bretteville-sur-Laize (14) - 12/08/1979 - 22 h 30 / 23 h

    Un Crash Non-Identifié

     

    Mme Baudet, de la Criquetière à Bretteville-sur-Laize, j’étais dans la salle à manger quand mon petit-fils affolé m’a appelé dans la cuisine : « Viens vite voir mamy ! ». Je vais à la fenêtre de ma cuisine et je vois une boule rouge dans le ciel qui s’en allait vers la droite en tourbillonnant et en « s’émiettant ». Elle allait vers Gouvix.

    Mr. Baudet : « Elle était grosse comme la pleine lune. En s’en allant, elle laissait derrière elle une grosse fumée noire. Mais j’avais ouvert ma fenêtre, je n’ai perçu aucun bruit ni senti la moindre odeur. Cela s’est passé très rapidement environ 05 secondes. Elle se déplaçait en donnant l’impression qu’elle descendait en zig-ziag mais on peut dire qu’elle allait en ligne droite. Un moment après, j’ai revu exactement le même phénomène dans les mêmes conditions. »

    Un autre jour, Mme Lecordier a vu cela de son lit et s’est levée pour appeler la police croyant que c’était un avion qui allait s’écraser. La Gendarmerie a enquêté.

    Mr. Domme, le Mardi ou le Mercredi suivant, a vu de nuit et depuis son lit, a vu des petites boules rouges qui s’éteignaient d’un seul coup en direction du C.E.S. Plusieurs Témoins. Source : Chantale Jeanne. - Enquêtrice pour le Génpi.

     

     

     Merville - Franceville - Plage (14)  – Nuit du 08 au 09/02/1975 -  22h à 02h

    Apparition d'Humanoïdes

     

     

    Au siècle dernier !

    Poste de Surveillance PNE MER - Ufo-Génpi - 18/06/1973 

     

    Noosphères Lumineuses Multicolores de la taille de Ballons de Football s'alignant au sol, à moins de 50 m, face à trois observateurs du Génpi en apparaissant alternativement selon des séquences de nombres et de couleurs différentes, tout en s'amalgamant & se déplaçant autour des observateurs.

    Et Apparitions Furtives de Formes Humanoïdes Blafardes sous l'effet d'un éclairage de lumière artificielle extérieure.

    Une quatrième personne Mme L. C. a pu assister à une partie des Phénomènes.

    04 Témoins.

    Source : Génpi.

     

     

    La Londe (76) - 13/11/1960 - de  02 h 45 à 03 h 30

    Une Soucoupe Volante posée sur la Voie Ferrée.

     

     

     

     

    Le témoin, M. Carbonnier, habite une maisonnette de garde-barrière, en pleine forêt de La Londe, sur la voie ferrée Rouen - Le Mans (passage à niveau N°1), à environ 16 km au Sud/ouest de Rouen (76) et c'est un homme parfaitement équilibré qui s'explique clairement, et qui ne manifeste aucun attrait pour la publicité. " Je sais que j'ai vu : un engin, et qu'il était réel, appelez soucoupe, si vous voulez, je me contente de dire ce que j'ai vu : un engin lumineux, et  je ne sais pas ce que c'est ". 

    Le Témoin est étendu sur son lit et fume une cigarette n'arrivant pas à trouver le sommeil. Le ciel est clair, la lune brille quand soudain son attention est attirée par des lueurs vertes au-dehors. Il réveille sa femme qui constate le phénomène mais Préfère retourner se coucher. Il voit alors un objet émettant huit lueurs vert bouteille foncé, non clignotantes et d'intensité constante. L'objet évolue à une altitude de 700 m. L'objet se pose sur la voie ferrée à 150 m du domicile du témoin. Il a la forme de deux assiettes renversées, l'une sur l'autre de 2 m de haut pour 5 à 6 m de diamètre. De brèves lueurs rouges émanent de dessous de l'objet. Il repose sur un trépied de trois pâles qui se déplièrent à l'atterrissage. Soudain, sur la partie supérieure de l'objet des sortes d'ailerons très nombreux allant du centre à la périphérie se mettent à tourner, puis l'objet décolle lentement. A 40 ou 50 m du sol le trépied se replie à l'horizontale, la vitesse de l'objet s'accélère et il disparaît vers le sud-ouest en direction de Bourgtheroulte à grande vitesse. Traces visibles sur deux traverses en bois, portant chacune 4 trous, disposés en carré, d'environ 10 cm de coté. Les trous ont environ 1 cm de diamètre, et 105 de profondeur, et semblent faits par une tarrière, et non par la pression d'un objet. Au cours de l'enquête le chien du témoin refusera obstinément de se rendre sur le lieu d'atterrissage. 02 Témoins.  Source : LDLN N°57. Enquête de M. J. Vuillequez. Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M. / Ruchon J. L. éd. Alain Lefeuvre 1979. 

     

    La Londe (76) - 08/04/1956 et 09/04/1956  - de 23 h 40 à 00 h 05

     

     

     

    Douvres-la-Délivrande (14) - 00/00/1964 (?) - vers 15h

    Destruction en Vol d’un Ovni ou Utilisation d’une Arme à Haute Énergie

     

    Les Armes Radar

      

    Nous étions trois passagers dans un car des Courriers Normands, qui circulaient entre Bernières-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer, lorsque le chauffeur du car nous a montré du doigt un objet lumineux en direction du soleil.

    L’objet pouvait se situer à une altitude de 3 000 m, à la verticale entre les Clochers de Douvres-la-Délivrande, Saint-Aubin-sur-Mer et de Bernières-sur-Mer.

    C’était une grosse boule blanche comparable à un ballon de football sans traînée, en descente rapide à la verticale et qui s'arrêta brusquement avant d’éclater et de disparaître dans un nuage de fumée aux colorations changeantes bleues, blanches et noires emportée par le vent d’ouest.

    Nous n’avons rien vu tomber à terre.04 Témoins. Source : Témoignage de Mme Simone D. - Enquête Génpi.

     

    Crash d'un Ovni en Normandie

    Photo en noir & Blanc du Cratère d'un diamètre de 150 m découvert en 1955

    par le propriétaire d'un pré dans la Vallée de la Dives (14)

     

    Une Traînée Lumineuse a été aperçue dans le ciel, suivie d'une forte explosion précédant la découverte par un fermier, au matin suivant,  d'un cratère dans l’un de ses prés qui était littéralement vitrifié sur une circonférence d’environ 150 m de diamètre, toujours visible en 2019,  dégageant un "brouillard violet" .

    Si on crut tout d’abord à l’explosion d’un engin de guerre, on devait bientôt découvrir que des arbres distants de plusieurs centaines de mètres avaient été roussis.

    De plus, des éclats d’un métal inconnu trouvés sur place furent recueillis par les enquêteurs prétendument identifié à du Duralium.

    Autre anomalie, le cratère de 150 m de diamètre était entouré d'une multitude de cercle de terre retournée, de 1.20 m de diamètre, régulièrement espacés, tout autour de sa circonférence.

    Source : Archive Ufo - Génpi.

     

     

     Saint-Pair (14) - 18/08/1955 - 18 h 00

    Le Chien prend Peur

     

    Le témoin (Mr Levasseur ?) est en train de dîner dans sa cuisine, (au château/manoir qui est à l’angle en coude de la rue du village, à 100 m environ, au Nord/Est de l'Église en Rotonde et de son Cimetière) dont la porte et les fenêtres sont grandes ouvertes en raison de la chaleur. Soudain son attention est attirée par une lueur intense qui descend vers le sol, à grande vitesse et dans un silence total. Le témoin sort de chez lui et observe alors une chose sombre, circulaire, surmontée d'une masse plus foncée posée sur le sol d'un pré. Le chien est apeuré et reste derrière son maître qui n'ose pas s'approcher. Au bout d'une dizaine de minutes, l'objet décolle à une allure vertigineuse, suivi d' une trainée de lumière intense dont la longueur peut avoir une cinquantaine de mètres. 01 Témoin. Source : Contre-Enquête Génpi - Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. éd. Alain Lefeuvre 1979.

      

     

    Livet - sur - Authou (27) - début de l'été 1954 - vers 20 h 30

    L'Appel de Phare d'une Soucoupe Volante

     

    Vers 30 h 30, M. R. Lebailly, agriculteur, était en train de traire une vache, lorsqu'un "coup de phare, très puissant" lui fit lever la tête. Il vit alors, en direction du sud-ouest, assez haut dans le ciel sans nuages (peut-être une quarantaine de degrés au-dessus de l'horizon), une sorte de disque surmonté d'une coupole, qui venait semble-t-il de basculer et se présentait de profil au témoin. Cet objet émit, pendant un temps très bref, un faisceau lumineux qui, selon M. Lebailly, n'était dirigé que sur lui. Ce faisceau s'éteignit, l'objet descendit et s'éloigna en direction de Rouen ou d’Évreux, disparaissant en quelques secondes. Le témoin cria pour appeler son fils, qui se trouvait tout près de là, mais celui-ci n'eut pas le temps d'observer le phénomène. Description de la "soucoupe" : diamètre probable : 5 ou 6 m ; tourelle apparemment animée d'un mouvement de rotation, environnée de flammes dans lesquelles dominaient des teintes rouges et vertes. Durée du "coup de phare : à peine supérieure à 1 seconde. Altitude vraisemblable de l'objet, par rapport au sol, lorsqu'il s'éloigna : une cinquantaine de mètres. 01 Témoin.

    Source : LDLN N° 291-292.

     

     

    Surville (14) - 27/08/1954 - vers 01 h 10

    Le Cliquetis de la Soucoupe Volante

     

    Une "soucoupe volante" dans le ciel de Surville

    A la suite de l'information que nous avons publiée relativement à l'atterrissage d'une soucoupe volante à Clarbec, un habitant de Surville qui désire conserver l'anonymat - nous a signalé que dans la nuit du 26 au 27 août, alors qu'il guettait le passage du Tour de France Automobile, il entendit soudain, vers 1 heure 10 du matin, un bruit indéfinissable - sorte de chuintement - qui se prolongea decrescendo pendant quelques secondes.

    La personne qui nous a rapporté ce fait se porta à la fenêtre de son habitation située en bordure de la route de Caen à Rouen.

    Mais le brouillard intense qui régnait alors ne lui permit pas d'apercevoir l'engin dont il entendait le bruit. D'après ce que ce témoin auriculaire nous a précisé, "l'appareil serait descendu à très basse altitude au-dessus de la ligne de chemin de fer, puis après cette "glissage", il se serait dirigé vers Saint-Benoit-d'Hérbetot, en faisant entendre un cliquetis. Précisons que vers la fin de l'été, un propriétaire de Hotot-en-Auge entendit - également vers 1 heure du matin - un léger cliquetis, comparable à celui que produit un épouvantail métallique - que l'on place dans les plantations de haricots - lorsque celui-ci est agité par le vent. Intrigué, l'agriculteur s'était levé et avait observé, dissimulé derrière sa fenêtre - et pendant plus d'un quart d'heure - un volumineux engin en forme de soucoupe d'où il n'avait vu sortir aucun être vivant.

    L'appareil avait ensuite décollé à la verticale et disparu à une allure vertigineuse sans émettre de son.

    Dans l'un et l'autre des cas, nous avons affaire à d'honorables personnes dont la bonne foi ne saurait être mise en doute. 01 Témoin. Source : "Le Pays d'Auge-Tribune", de Pont-L'Évêque, du 24 décembre 1954.

      

    Moyaux / Le Pin (14) - 18/10/1954 – entre 18 h et 19 h

    Une Soucoupe Volante Posée au Sol


    Le bourg de Moyaux n’est pas encore remis de l’aventure qui a conduit lundi soir au bain forcé l’un de ses habitants. Entre 18 h et 19 h, il n’y avait pas encore de soucoupe dans l’air mais un témoin, parfaitement équilibré, affirma qu’il y en avait une au sol. « Je passais à bicyclette et j’ai aperçu une forme insolite posée dans un pré, derrière une haie, en bordure de la route de Lisieux. Ce n’est qu’un peu plus loin que j’ai réalisé qu’il s’agissait d’une soucoupe volante. » Deux ouvriers occupés à percer une tranchée route de Blangy, au Pin, Commune limitrophe, distinguèrent nettement, eux dans les nuages, un objet bizarre d’un diamètre apparent de 2 à 3 mètres environné de fumée noire, il s’éleva selon un angle 45° dans la direction de Moyaux. Un gosse ayant donné l’éveil le phénomène fut conjointement observé au Haras de la Pomme. L’apparition silencieuse et ultra-rapide vira au blanc gazeux avant de s’évanouir à l’horizon opposé. Roger Fillatre tomba dans l’eau d’une mare (en courant tout en fixant du regard l’apparition). Plusieurs Témoins. Source : Archives Génpi - Poirier - Carmoinette - Ouest-France du Mercredi 20/10/1954.

      

    Luc - Sur - Mer (14) - 25/10/1954

    Un Disque Volant dans l'Espace

     

    L’observation de cet engin mystérieux ne dura guère qu’une demi-minute, les instituteurs eux-mêmes constatèrent qu’un appareil en forme de disque glissait vers la partie septentrionale du ciel, à une vitesse vertigineuse dans l’espace, à une altitude de 300 à 400 mètres environ, mais, suffit, sinon à dissiper le scepticisme récalcitrant de quelques-uns des spectateurs présents sur la route nationale, du moins, à les plonger dans la plus forte perplexité, dont une demi-douzaine d’élèves de l’école publique de garçons depuis la cour de récréation, lundi midi, quelques minutes avant la rentrée des classes. Plusieurs Témoins. Source :  Ouest-France du Jeudi 28/10/1954. 

     

     Jonquerets - De - Livet (27) - 25/10/1954 - 19 h 30 / 22 h 30 et 23 h

    Engin volant posé au sol approché par des vaches

     

    Le 25 octobre 1954, à 19h30, aux Jonquerets - De - Livet (27), 1 fermier, Gilbert Haye, cueille des poires lorsqu'il voit soudain un objet allongé avec une lumière à chaque extrémité, stationné dans un champ. Il n'ose pas examiner de près l'objet mais voit les vaches s'assembler autour de l'engin. Une minute après, les lumières s'éteignent et le témoin, peu intéressé, rentre chez lui. Deux heures plus tard, un jeune homme (18 ans), M. Chéradame, tombe de sa moto qui cale brusquement au même endroit. Il alerte des voisins qui voient de nouveau l'appareil. Il a bougé très légèrement et deux occupants sont vus. Ils ont environ un mètre de hauteur, et ils marchaient d'une façon raide et leurs vêtements ressemblent à des armures brillantes. Ils s'évanouissent brusquement et l'appareil décolle sans bruit. Sources : RR0 et cf. la contre-enquête de Joël Mesnard, le dossier des RR3 de Julien Gonzalez.

    [Extrait du Catalogue Ufo - Génpi des Rencontres Rapprochées Ufologiques en Normandie]

      

    Ernes (14) - Décembre 1954

    Paralysie du Témoin sur sa Bicyclette

     

     

    Décembre 1954, Mr Roger Catherine, ouvrier agricole, demeurant à Ernes rentrait à bicyclette à son domicile, lorsque dans la nuit vers 01 heure du matin, dans le haut de la côte du calvaire de Ernes, il se trouva brusquement dans l’impossibilité de faire aucun mouvement, une sorte de paralysie lui paralysant tout le corps. Quel ne fut son étonnement d’apercevoir à petite distance, sur la berne, un engin de couleur rougeâtre qui décolla à grande vitesse semant dans son sillage de nombreuses étincelles. Mr Catherine qui n’en est pas encore revenu, est un homme sérieux et de bonne foi, à qui on peut accorder tout crédit. 01 Témoin. Source : Ouest-France du 30/12/1954. Le Bonhomme libre du 07/01/1955.

     Complément  : Paralysie soudaine du témoin sur son vélo qui descendait la côte d’Ernes en revenant de son travail à st Pierre sur Dives en observant un engin rouge qui décolla de la berne en faisant une multitude d’étincelles et qui s’envola au-dessus du village où il stationna sous la forme d'une sphère de grandeur apparente d'un ballon de football. Mr Catherine en arrivant chez lui au centre du village constata que son compteur électrique avait sauté. 01 Témoin. Source : Enquête du Génpi.

      
     

    Merville - Franceville - Plage - 15/03/1953 – vers 08 h 

    Vision Céleste 

     

    Mr. Hennequin Charles en compagnie de quatre autres témoins ouvriers se déplaçant en camionnette, sur la route de Cabourg à Caen, parvenu au niveau de Merville-Franville-Plage aperçoit un objet ressemblant à une comète avec une longue traînée multicolore de toute beauté, allant du vert clair au rose, & qui traversa silencieusement en ligne droite horizontale le ciel de la Baie de l’Orne d’Ouest en est. 05 Témoins. Source : Enquête Génpi.

      

    Saint-Georges-des-Groseillers (61) - 10/11/1952 - entre 06 h 15 et 07 h 05

    Vol Saccadé

     

    Entre 06 h 15 et 07 h 05, deux témoins ont observé un engin lumineux de forme allongée, arrondi aux deux extrémités, en direction de Vire. Il émettait à intervalles réguliers une lumière d'abord orange, devenant blanche en augmentant d'intensité et d'un éclat comparable à un éclair de magnésium. Sa position était inclinée, il se déplaçait légèrement, peu souvent, mais avec une extrême rapidité. 02 Témoins. Source : Document Graziana.

     

     

    Luc - sur - Mer (14) - 06/06/1944

    Drovni de la 6ème Heure du 6ème Jour du 6ème Mois

     

     L'USS George E. Badger est ancré au large. Le tireur Edward Breckel est de garde et vit dans le ciel un objet de forme cigaroïde sombre, à 5 miles de leur position.

    Cet objet visible pendant 3 minutes volait trop lentement à 5 m au-dessus de l'eau et n'avait pas d'ailes.

    01 Témoin.
    Source : Mini catalogue chronologique des observations OVNI par Van Overmeire Godelieve.

     

     

    Les Sites Ovnigènes

     

     

     

     

     

    (à suivre)

     

     

    Vous désirez nous aider & comment ?

    En nous signalant, et en nous adressant, les bases de données sur les faits, les témoignages ufologiques & par-ufologiques passés (empruntées aux archives ufologiques ou à celles de la presse locale, etc.), présents et à venir, concernant les cinq départements Normands : Calvados (14), Eure (27), Manche (50), Orne (61) et Seine-Maritime (76) à l'adresse suivante :

    ufo.genpi@gmail.com

    D'avance Merci !

     

     

     

    « Quand on Partage on Aime, et lorsque l'on Aime on Partage ! »

    [Guillaume Chevallier]

     

     

     

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