• Le Cleptoparasitisme Alien

     

     

     

     

    « Les poly-métamorphes ont réussi à illusionner, pendant des siècles les ministres de l'église, avec leur parodie-démoniaque, avant de duper, les ufologues avec leur imposture-alien, pour combien de temps encore ? »

    [L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Géipan - Guillaume Chevallier] 

     

     

    Le Cleptoparasitisme Alien

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

     Selon George Hunt-Williamson, Les gîtes secrets du lion - 1972, l'activité prioritaire des intrus extraterrestres serait la prise de contrôle des humains selon un procédé de symbiose parasitaire, ce que la tradition ancestrale  appelle le phénomène de la possession ou d’incarnation, et ce que les ufologues interprètent par l'hybridation des humains avec les aliens, dont les implants récupérés chez des abductés-kidnappés ufologiques, sont  les marqueurs- traceurs et des preuves matérielles.

    Suivant cette logique, selon quelques-uns, l'activité de type agraire des ovnis est suspecte et pourrait bien être une entreprise de développement et de culture d'une arme virale pandémique, à partir de souches probiotiques répandues dans la biomasse naturelle terrestre, dont ils se serviraient comme d'un incubateur.

    Ces spores extraterrestres implantées sur terre par les ufonautes, pourraient ainsi très facilement envahir l'atmosphère, comme le suggère le manuscrit de Voynichqui est daté de la renaissance italienne (début du 15ème siècle), et qui illustre ce type de contagion, avec l'arrivée ou le débarquement sur terre, de plantes invasives, en provenance des étoiles. 

    De fait, les travaux statistiques, de Pierre Guérin et de Claude Poher, comme ceux de Normandie - France - Ovnis contredisent, non-seulement, la conception psycho-anthropomorphique des thèses éduco-chamaniques ufologiques, promotionnées par les psycho-socio-pathologues, mais encore rendent compte d'une géo-localisation des manifestations des ufonautes, et de leurs activités en milieu rural et en milieu naturel.

     

     

    La quantité des Ovnis observés n'est pas proportionnelle à la densité de la population

     

     

    Ce lien direct d'une inter-action des ovnis avec la bio-sphère est un invariant à travers le temps et l'espace, comme le montrent  :

    1/ l'ancienneté des Crop-Circles et des géoglyphes qui sont apparentés à un phénomène de communication extraterrestre ;

    2/ les nombreuses traces laissées au sol par les ovnis (qui ont une incidence directe sur l’évolution-modification du sol et de sa bio-masse, par exemple avec l’apparition du mycélium ou de nostoc, etc ) ;

    3/ les dépôts de matières minérales ou organiques (le potassium, le calcium, le magnésium, carbonate de calcium, carbonate de potassium, hydrocarbure, nitrate d’argent, soufre, etc.) après le passage ou les apparitions d'ovnis ;

    4/ les  activités de type agraire des ufonautes, (comme le 01 juillet 1965, à Valensole - 04 France) carottage, prélèvement d’échantillons, semis, ou épandage qui sont autant de menées évocatrices et révélatrices d’une entreprise expérimentale environnementale incessante

     

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     

    Le Pronobum !

     Le Croissant de Lune !

     

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement "impressionnés", et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la nouvelle lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de printemps fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974. 

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr. Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de croissant de lune (à titre d'enquerre ou obèle astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, (ovoïde ou oeuf de Pâques = enquerre/signalétique formelle), rappelle ce que les anciens appelaient les Portes Induites, dont l'ouverture est conditionnée par les conjonctions astronomiques, telle celle du temps de la fête de Pâques, dont le nom même dérive de passah renvoyant au passageà lcommunication.

     

    Le Saigneur des Anneaux !

     

    «  Les spores végétales des entités aliens attendent simplement le sommeil de leurs victimes pour prendre leur place et leur insidieuse invasion s'effectue sans armes, ni violence. »

    [Invasion of the Body Snatchers - Invasion des Voleurs de Corps - titre original du Roman de Jack Finney  - L'Invasion des Profanateurs - 1955]

     

    L'Invasion des Aliens Profanateurs !

     

     

    « Les pandémies infectieuses et virales émergentes de ces dernières années sont probablement d'origine exogène. »

    [Charte Ufologique - 2020]

      https://www.youtube.com/watch?v=ZcCtf6wut6c&fbclid=IwAR1f459JUmUsm0MjHRFKbpUC_uQSvhn4TSkhqlKiMMrYCZw_sQeVkqUKsJU

     

    NBC

     

     

    Ce Land-Art annonce la pandémie du Corona-Virus (Covid-19) qui est apparu en Chine, avec le patient zéro repéré, dès le 17/11/2019 à Wuhan. 

    Ce virus est représenté avec 6 protéines de pointe (en forme de cône) sous l'image d'une mine sous-marine, afin de souligner sa dangerosité et le risque de péril, en cas-contacts (en cas de contact).

    Le grand disque blanc (couleur de mort) englobant ce virus-mine renvoie à la pandémie globale (globe terrestre).

    Accostant directement ce virus-mine (qui mine le système immunitaire), à l'intérieur du grand disque blanc, sont figurés 27 disques/points/cercles (en élévation) figurant l'année de l'apparition de ce virus-mine, en lecture inclusive des Mages Goulliards : 27 se lit : 2 x 7 = 14 + 2005 = 2019 = l'année de l'émergence de ce Covid-19.

    A l'extérieur, le grand disque blanc est environné de 71 (=17/11/2019) disques/points/cercle (en creux) soulignant la grande contamination/contagion et la récurrence mutante (tailles relatives des disques/points/cercles), et en vagues successives à venir, de ce virus-mine (comme la grippe) ; selon cette même lecture inclusive 71 = 7 + 1 = 8 = symbole infini du retour en boucles.

    Enfin, le choix de représenter ce virus sous la forme d'une mine (d'une bombe à retardement) nous  confirme qu'il s'agit bien d'une Arme/Virale (catégorie NBC) mortifère, échappée du laboratoire de microbiologie de Wuhan (Wuhan = grand rien, néant, vide, non-être = Arme de destruction massive). Guillaume Chevallier

     

    Lifeforce - 1985

     

     

    Ce Land-Art est la représentation du Poisson Pilote le Remora ou Poisson Ventouse (Ventouse et bouche représentées en blanc), à nageoires rayonnés (Poisson ayant des rayons/ailes-nageoires, représentés en bleu/rouge liserés de jaune), dit Suceur de requin.

    Selon la légende le Remora (la Rémore/Ultinam Remora = Puisse-je être le Remora ! devise héraldique) a la réputation de guider les vaisseaux maritimes, ou de les stopper, comme l'apparition du bouton de retour (le Petit Roi /pastille cristalline) qui signale la catalyse (changement de régime) dans l'ébullition tempétueuse Mercurielle de l'Œuvre au Blanc, au Vaisseau Alchimique.

    Les attributs symboliques attribués à ce Poisson sont utilisés par les développeurs de ce Crop-Circles pour nous entretenir du débarquement, dans notre système solaire d'un Vaisseau Stellaire (représenté par le petit triangle violet), qui est arrivé dans le sillage de la grande comète Hale-Bopp (C/1995 O1)/Géocroiseur, repérée le 23 juillet 1995.

    Hale-Bopp (C/1995 O1) a été découvert, conjointement, le 23 juillet 1995 à une très grande distance du Soleil, par deux observateurs indépendants américains qui ne se connaissaient pas, Alan Hale et Thomas Bopp, Hale depuis son domicile au Nouveau Mexique, alors qu'il scrutait la constellation du Sagittaire, et Bopp, en Arizona, près de Stanfield, en expédition avec des amis pour observer des amas et des galaxies, empruntant le télescope, Bopp aperçoit par hasard la comète.

    La durée inhabituelle (visible à l'œil-nu, de 18 mois et demi, 569 jours, le double du précédent record de la Grande Comète de 1811, C/1811 F11811) ; la visibilité/l'analyse de l'apparition de cette comète (diamètre du noyau est 60 ± 20 km = x 6 fois plus que la fameuse comète de Halley de 1759/1986 ) est exceptionnelle et restent à ce jour inégalées ; la position orbitale de Hale-Bopp est calculée à 7,2 UA du Soleil (UA = Unité Astronomique = 149 597 870. 691 km = distance Terre-Soleil, ce qui la situe entre Jupiter et Saturne, c'est la distance la plus éloignée de la Terre à laquelle une comète a été découverte (une image prise au télescope anglo-australien, en 1993, a été retrouvée où l'on peut déjà voir la comète à quelque 13 UA du Soleil, une distance à laquelle la plupart des comètes sont normalement inobservables (la comète de Halley était 100 fois plus faible que cela à la même distance du Soleil).

    Hale-Bopp approche la Terre au plus près, le 22 mars 1997 à 1,315 UA ; sa dernière observation répertoriée date du 13 août 2013, cependant elle a pu être ré-observée, le 09/07/2022, par le télescope spatial James-Webb alors qu'elle était à 46 UA du Soleil.

    La première visite de Hale-Bopp a eu lieu en juillet 2215 av. J.-C, dans l’Égypte ancienne pendant le règne 2247 - c. 2216 av. J-C, de la 6ème dynastie du Pharaon Pépi II Néferkarê, Nefer-ka-Re,  signifiant : Beau est le Ka (âme) de Rê/Ra = Divinité du Soleil (figuré, ici par le glyphe du grand cercle extérieur et le petit rond central qui évoque l’œil du Poisson Pilote) ; la pyramide de Pepi, à Saqqarah, contient un texte faisant référence à une « étoile NHH » comme compagnon du pharaon dans les cieux, où « nhh » est le hiéroglyphe pour les cheveux longs (comète = coma = chevelure = κομήτης ἀστήρ, komếtês astếr = astre chevelu).

    Le passage de Hale-Bopp a été, d'autant plus remarquable, avec l'engouement qu'elle a suscité, à partir des rumeurs selon lesquelles elle était suivie d'un Vaisseau Spatial Extraterrestre (dès l'instant où les  occultistes californiens de Heaven's Gate, qui ont été instrumentalisés par le lobby de l'Omertà/Extraterrestre, l'ont utilisé pour prétexte à un suicide collectif, ces rumeurs ont été définitivement discréditées) ; son retour dans le système solaire interne est prévu pour l'année 4 385. Guillaume Chevallier

    « Les Vaisseaux de nos Visiteurs Stellaires sont quasi-unanimement assimilés à des Géocroiseurs naturels, par la communauté officielle des astronomes, à la manière des dissimulateurs du Géipan français qui identifient le plus souvent les Ovnis à de simples Lanternes Thaïlandaises, excepté par  les astronomes lucifériens du Vatican, qui reconnaissent l'existence de nombres d'arrivées sur Terre des Voyageurs des Étoiles. »

    [Le Sacré Collège - Bellator]

     

    Les Crachats de Lune et autres Gelées, Morves ou Baves du Ciel et Beurres des Sorcières.

     

     Pour ceux qui ont bien reçu et retenu la leçon, de nos sympathiques ufologues amateurs bisounours, partisans de l'angélisme extraterrestre, et de toutes les autres caisses de résonances des idiots, qui leur sont décidément très utiles, les influenceurs d'opinion des officines des sévices (services) secrets d'état et autres instituts patentés officiels (genre commission  Projet Blue Book - 1952/1969, rapport Edward Condon - 1966/1968, Gépan-Géipan - 1977/2005 +, etc.), qui sont des conjectureurs (comme le précise, encore, Georg Hunt-Williamson) de la thèse des extraterrestres, pseudos champions attitrés du néo-prodige scientifique. 

    «  Les Conjectureurs :

     Ce sont ces « idiots (très) utiles » aux « intrus extraterrestres », qui sont généralement ni des affiliés ni des extraterrestres mais seulement des « savants » des « experts » qui offrent autant de suppositions ou de conjectures, qu’il y a de théories contradictoires.

    Leur ignorance des causes et des effets n’est en rien un frein à leurs excès, et leur aveuglement imbécile n’a d’égale que les dangers qu’ils font courir à la planète Terre. »

    [Les gîtes secrets du lion - de George Hunt-Williamson - 1972]

    Comment peuvent-ils faire l'impasse sur les rencontres rapprochées ufologiques, aux conséquences dramatiques, notamment au Brésil,  comme le crash d'un ovni du  20 janvier 1996, à Varginha, ou des ovnis-agresseurs de Colares, parmi les plus connues ?

    L'accident de Varginha (Brésil - 1996) (free.fr)

    http://apocalypse-des-ovnis.eklablog.com/les-anges-du-brouillard-extrait-10-a211011028

    http://apocalypse-des-ovnis.eklablog.com/l-apocalypse-des-ovnis-livre-iii-chapitre-xlvi-les-grandes-moissons-a204930466

     

    La Prédation au Brésil

    https://www.facebook.com/ritak47/posts/3640124959344187

    En 1977, plusieurs ovnis furent observés dans la commune brésilienne de Colares, dans l'État du Pará. Ces ovnis auraient attaqué les habitants de la ville, en tirant des faisceaux lumineux causant des blessures et des forts saignements sur environ 400 personnes. Les habitants de Colares appelèrent ces vaisseaux et leurs attaquants des « Chupa Chupa » (ne pas confondre avec le Chupacabra) à cause des formes laissées par ces blessures (similaires aux plaies laissées par les sangsues, qui « sucent » la peau et le sang). Face à l'inquiétude grandissante des habitants, le maire José Ildone Favacho Soeiro fit appel à la FAB pour organiser des veillées nocturnes, durant lesquels des feux d'artifice furent lancés pour effaroucher ces éventuels attaquants.
     

     
     
    L'opération Prato Modifier fut menée par le capitaine Uyrange Bolivar Soares Nogueira de Hollanda Lima. Fin 1977, plusieurs photos de lumières étranges furent prises. En environ 4 mois, Uyrange et son équipe réussirent à rétablir la paix et l'ordre dans la région. L'opération fut clôturée sans aucune preuve concrète d'un quelconque phénomène inhabituel.
     
    Uyrange : interview et décès de Modifier. En 1997, 20 ans après l'opération Prato, le capitaine Uyrange donna une interview aux chercheurs Ademar José Gevaerd (éditeur de UFO Magazine, fondateur et président du CBPDV - le Centre Brésilien de Recherches sur les Soucoupes Volantes- et directeur national de Mutual UFO Network) et Marco Antonio Petit. Dans cette interview, il raconta ses expériences durant cette opération, auprès de ses soldats. Environ trois mois après cette interview, il fut retrouvé mort pendu à sa propre ceinture.
     

    Le phénomène « Chupa-Chupa » en Amazonie

     

    En Amazonie, les OVNIS sont appelés les "aparelhos" [les machines] par des victimes et la violence de ces choses extraterrestres, principalement dans leurs attaques sur des femmes, ont fait nommer ce phénomène bizarre : "Chupa-chupa." [Suce-Suce]

    (http://www.forum-ovni-ufologique.com/t13248-1977-les-evenements-ovni-de-colares#ixzz3SDPAQGGH.) 

     

    Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se sont réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur sang a été prélevée par les rayons étranges.

    Le Senor Sebastião Vernek Miranda a décrit son expérience comme suit : "J'étais là avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand, vers environ 20:00, nous ont vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."

    Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même :

    "Tout le monde était endormi à part moi. J'étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison, vers le haut, près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de mon hamac. Elle est remontée le long de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). J'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre jambe. Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."

    En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqués par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques un sont mentionnés ici.

     

    Ovni à Mosqueiro au sud de Colares

     

    Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de lumière : "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte de lassitude inconnue" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un journal.

    Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara étaient à leur domicile, quand "ils ont repéré un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapprochés d'une petite fenêtre et, au moment où ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient." 

    Plus tard, alors qu'il s'était rendu chez un voisin, Benedito a été également brièvement paralysé par un rayon lumineux. Craignant la perte du bébé à naître, le mari et l'épouse ont été transportés de nuit par bateau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivis pendant tout le trajet par l'OVNI, qui n'a plus fait d'autre tentative de leur nuire. Ils sont restés là pendant trois jours, où l'épouse put récupérer, mais Benedito "était dans un état de dépression grave pendant quelques jours, ses fonctions motrices perturbées et, selon les propos de sa mère, "pleurant fréquemment." 

    L'activité des OVNIS au-dessus de l'île de Colares était si intense que les gens ont commencé à penser que les "Chupa-chupas" essayaient d'établir une sorte de contact avec eux. Telle était l'opinion exprimée par le Sr Raimundo Ferreira "Mimi" Monteiro. Il pense toujours que les engins provenaient des fonds de la mer ou d'une sorte de base sous-marine située dans le comté de Marajó ou peut-être dans la région du Caldeirão.

    Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de ville, a confirmé ceci et a indiqué : "oui, en effet, je puis vous dire qu'il n'y avait alors pas un instant de tranquillité. La population était terrifiée par cette affaire de "Chupa-chupa". Je suis même parvenu à voir en personne "Mirota", une des femmes victimes des rayons qui était en traitement médical à la clinique de santé."

    Les autochtones ont été tellement effrayés que plusieurs des femmes et des enfants ont quitté la ville. Les hommes qui sont restés allumaient des feux pour monter la garde la nuit, faisant en outre éclater des feux d'artifice et frappant des bidons à chaque fois qu'ils ont vu l'approche des Chupa-chupas. D'autres s'enfermaient dans leurs maisons par crainte du phénomène. On a mentionné plus tard que plus les gens faisaient de vacarme et de feux d'artifice pour les éloigner, plus ces engins s'approchaient d'eux. 

     

    Des blessés et un mort 

     

    En Novembre 1977 le médecin en charge de la santé publique dans l'île, le docteur Wellaide Cecim Carvalho, a pris soin d'environ 35 personnes prétendant avoir été touché par l'étrange rayon. Elle a pris des échantillons de sang, et a conclu que les victimes ont souffert d'hyperémie généralisée, de maux de tête chroniques superficiels, de brûlures, de fièvres intenses, de nausées, tremblements dans le corps, raideurs, asthénie et présentaient de très petits trous dans la peau là où ils avaient été frappés par les rayons. 

    Elle a écrit : "tous avaient souffert de lésions au visage ou dans la région thoracique." Les lésions, ressemblant à des dommages de radiations, "ont commencé par le rougissement intense de la peau dans le secteur affecté. Plus tard les poils tombaient et la peau tournait au noir. Il n'y avait aucune douleur, seulement une légère chaleur. Des marques de petites piqûres dans la peau pouvaient également être notées. Les victimes étaient des hommes et des femmes d'âges variables, sans liens entre eux." 

    En décrivant leurs expériences avec ces faisceaux lumineux, la plupart des victimes ont affirmé qu'elles ont été "immédiatement immobilisées, comme si un poids très fort pesait sur leur poitrine. Le faisceau avait environ sept ou huit centimètres de diamètre et était de couleur blanche. Il ne les traquait pas mais les frappaient soudainement. Quand ils ont essayé de crier aucun son ne sortait, mais leurs yeux sont restés ouverts. Le faisceau était ressenti comme chaud, "presque aussi chaud qu'une brûlure de cigarette," à peine tolérable. Après quelques minutes la colonne de lumière se rétractait lentement et disparaissait." La plupart des symptômes ont disparu en général après une semaine.

    A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes, habitante de Vila Gorete, aux confins du Rio Tapajós, dans le voisinage de Santarém (Pará), raconte son cas impliquant des engins étranges qui absorbent l'énergie des êtres humains, connus sous le nom de Chupa-Chupa. "J'ai vu un objet se poser tranquillement dans les buissons ici tout près... Il avait attaqué deux hommes et une femme, qui avaient commencé à se déplacer avec deux pêcheurs", raconte Maria. D'autres gens de l'endroit avaient été paralysés en observant la scène et des hommes ont été tués dans des circonstances identiques. Au cœur de chacun des décédées ils y avaient eu des ensembles de petits trous comme des dizaines d'aiguilles." 

    Beaucoup s'étaient blessés en essayant d'échapper à un de ces objets étranges. Dans de nombreux cas, les marques laissées par les rayons sur la peau de victimes étaient des marques qui pouvaient avoir jusqu'à huit petits trous. Dans ces occurrences, l'appellation de Chupa-Chupa semblait bien appropriée car elles avait perdu jusqu'à approximativement 300 ml de sang par ces blessures. 

    Ce fut le cas pour Claudomira, une habitante de l'île de Colares. Elle affirme que sa famille ne trouvait déjà plus un sommeil normal à cause de la crainte de ces engins. "En un de ces jours, après minuit, je me suis réveillée en raison d'un flash puissant, une sorte de rayon de lumière verte claire focalisée qui est descendue du haut du toit vers ma poitrine gauche. J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pas fonctionné. J'ai senti une agréable chaleur ... Plus tard, ce faisceau de lumière a diminué et j'ai vu que j'ai été brûlée."

    Claudomira a indiqué qu'elle a aperçu un objet étrange, ressemblant à un parapluie, duquel un être de peau claire, avec des yeux "orientaux" et de grandes oreilles sortit. Selon elle, la créature était habillée d'un vêtement vert serré et avait eu une sorte de pistolet dans la main, qui a émis le faisceau lumineux. A ce moment, Claudomira s'est senti perforé comme par des aiguilles sur son sein. " 

    Après cela, j'ai ressenti une migraine et une grande faiblesse, qui m'a laissée prostrée pendant plusieurs jours." Le lendemain de l'événement, elle avait été dirigée vers l'unité sanitaire de la ville, où elle a été prise en charge par le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui l'a envoyée à l'institut médical Renato Chaves, à Belém, pour des examens de complément. Son malaise et ses migraines constantes ont duré de nombreux jours, suivis de fatigue et de faiblesse. Des années après, Claudomira ne se sent toujours pas complètement remise. "Ma santé n'est jamais redevenue la même depuis cette nuit." Elle n'est pas la seule avoir vécu une telle situation. Une estimation dit que des milliers de gens, également des hommes, avaient souffert les attaques du Chupa-Chupa dans les années de 1970 à 1980, et ces incidents se produisent toujours aujourd'hui, bien que moins fréquemment.

    "Les séquelles émotives et physiques sont très communes dans ces cas," affirme le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui a pris soin de Claudomira. Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle ait d'abord cru que les histoires de Chupa-Chupa étaient des croyances populaires ou de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini par être convaincue de la véracité des cas quand elle a été confrontée à leur fréquence croissante. "Avec l'augmentation du nombre des personnes blessées, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux dommages existants. J'ai vu les choses qui n'existent pas dans mes livres médicaux," dit-elle. Selon elle, les victimes de Chupa-Chupa présentaient des brûlures des plus étranges, pas comme celles provoquées par le feu ou l'eau chaude, comme on pourrait le penser, mais très semblables à celles produites par des irradiations de cobalt.

    "Les dommages changeaient avec le temps. D'abord cela commençait par une raideur intense dans le secteur touché, ce que l'on appelle une hyperémie. Plus tard, les poils et cheveux de la région affectée commençait à tomber (alopécie) et des jours plus tard la peau pelait. "Dans cette période de développement," a dit Wellaide, "il était possible de noter des trous, semblables aux perforations par des aiguilles." Un des cas les plus intéressants dont elle a assuré les soins s'est produit avec une dame qui avait des problèmes cardiaques. Elle est arrivée au bureau du docteur très nerveuse et immédiatement elle a montré son sein gauche, sur lequel il y avait deux trous étranges. 

    En 1977, l'ile brésilienne de Colores est visitée par des Objets volants inconnus pendant des mois. On voit tous les jours toutes sortes d'engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant du nord, depuis le ciel voire sortant des eaux.

    Finalement, devant la menace tous les habitants évacuent l'ile.

     

    La Mort de Joao Prestes Filho. 

     

    Le second cas de mort consécutive que nous allons évoquer est due à une observation d’O.V.N.I. se situant également au Brésil. C’est, nous allons le voir, dans des conditions atroces qu'a péri, un Brésilien de 40 ans, du nom de Joao Prestes Filho : 

    (www.taverne-etrange.com/m/article-2047369.html)  

    A Aragariguama, petit bourg tranquille de l’État de Sao Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région … En 1946, le jour du Mardi-Gras, Joao Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, Joao a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebâillée pour lui permettre de rentrer. C’est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l’air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa sœur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu’il a tenté d’ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d’on ne sait où, l’a atteint. La sœur de Joao appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourues, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de Sao Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l’habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de Joao, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.

    Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l’eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger ; les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car Joao parle normalement. Chose incroyable mais vraie : à aucun moment, Joao ne ressent la moindre douleur. Puis, brusquement, en l’espace de deux heures, le corps du Brésilien achève de se désagréger : les os et les dents sont complètement à nu ; le nez et les oreilles se détachent et roulent au sol. Ses yeux sont écarquillés de terreur et, de sa bouche désarticulée et grotesque, s’échappent des sons inaudibles. Atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent Joao sur une charrette qui doit l’emmener jusqu'à l’hôpital le plus proche. Mais le malheureux ne l’atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l’agression du faisceau de lumière. Il n’y eut pas d’examen médical. Seul un certificat de décès, signé par les témoins, fut dressé. Et sur ce certificat, une mention unique, qui ne reflète guère la mort effroyable de Joao : « Mort par brûlures généralisées. » Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevées, ni sur les lieux de l’agression, ni à l’intérieur de la maison où rien n’avait disparu.

    Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants d'Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel…[réf aux ovnis qui tuent !] . Cf. OVNIS danger. Appel à la vigilance - Bob Pratt - Éditions Trajectoire (02/2010).

     

     

    Et si, George Hunt-Williamson avait finalement raison ?

    D'autant plus, qu'il n'est pas le seul à signaler le risque potentiel, représenté par les ingérences d'origine exogène sur notre planète.

     

     Pluies de l'Espace et Formes de Vie Extraterrestre

     (D’après www.mystere-tv.com/pluies-de-l-espace-et-formes-de-vie-extraterrestre- )

     

     Tous les ans, environ 50.000 météorites [sans oublier que les météoroïdes ont progressé environ d’un facteur 10 depuis 2005] pénètrent dans l'atmosphère terrestre et impactent le plancher des vaches. Quotidiennement, ce sont donc 100 tonnes de débris provenant de l'espace qui se retrouvent sur la planète. Ces dernières années, les scientifiques s'intéressent de très près à ces corps célestes qui frappent la surface terrestre, et leurs études sont riches d'enseignements.

    Le 28 novembre 2001, à Manchester, une pluie de météorites s'abat dans un champ. Les témoins de cet événement contactent un particulier qui s'intéresse aux phénomènes paranormaux. Ce dernier se déplace dès le lendemain, et ce qu'il va découvrir va le surprendre : en lieu et place de météorites, il va trouver une sorte de résidu gélatineux, dont l'odeur de soufre ne laisse planer aucun doute sur sa provenance spatiale. La curiosité de notre homme le pousse à toucher du doigt cette substance étrange, qui se désintègre quasiment immédiatement.

    A Philadelphie (Pennsylvanie, USA), nous ferons connaissance avec l'historien Dan Rolph, qui relatera l'étrange affaire de cette soucoupe volante [en forme de disque volant] qui se serait écrasée dans cette même ville en 1950 après avoir été aperçue par des policiers. Cet OVNI, dont la durée de vie serait très limitée, a lui aussi mué en une sorte de matière visqueuse à l'odeur soufrée.

    Un fait identique est à signalé et rapporté aussi à Oakville le 7 août 1994 (États-Unis), mais il présentera la particularité que les habitants qui ont été en contact direct avec cette substance gélatineuse tomberont malades. Mais cette fois-ci et fort heureusement, un échantillon de cette matière a pu être prélevée et analysée en laboratoire. Le microbiologiste Mike McDowell délivrera la conclusion de cette expertise, son rapport et assez surprenant. Depuis à Oakville, les thèses les plus folles circulent au sujet de cette curieuse matière. Était-elle d'origine terrestre ? S'agissait-il d'expériences menées par l'armée américaine ?

    En tous cas, Mike Mc Dowell n'hésitera pas à alimenter la thèse conspirationniste en évoquant la disparition mystérieuse de l'échantillon. Un laboratoire d'analyse privé disposera également d'un autre échantillon, fourni par une habitante. Le résultat des examens pratiqués sur cette matière sera tout aussi ébouriffant !

    A Murchinson (Australie), le 28 septembre 1969, ce sont des acides aminés qui sont découverts à la suite de ces pluies étonnantes... Ce qui tendrait à prouver que l'on pourrait trouver des traces de vie extraterrestre dans les météorites, et relancerait l'hypothèse de la panspermie pour remonter aux origines de la vie sur la Terre.

    En juillet 2001 à Kerala (en Inde), c'est une pluie de couleur rouge sang qui s'abat sur la ville, effrayant la population locale. Pour certains microbiologistes, il ne fait plus aucun doute que cette pluie contenait des preuves de l'existence de micro-organismes extraterrestres.

    Au musée d'histoire de Philadelphie, les archives révèlent que les premiers incidents de ce type ont été signalés aux alentours du XVIème siècle. [Cf . Aussi les livres et Le Livre des Damnés de Charles Hoy Fort 1919] Pour se faire une idée plus précise du danger d'éventuelle d'une contamination humaine d'origine inconnue, nous nous rendrons au siège de la NASA, à Washington, un endroit où Cassy Conley est en charge de la protection biologique planétaire. Cette dernière restera très sceptique par rapport à ces phénomènes curieux.

    « Bave du ciel» ou «Morve d'étoiles», ces pluies déclenchent toujours de la stupéfaction aux quatre coins du monde.

    [Elles sont confondues généralement et très opportunément pour certains avec : le Nostoc qui a aussi l’aspect de masse gélatineuses ressemblant à certaines algues]

    Un échantillon de cette gelée qui a été recueillie en Écosse traversera la Manche pour être étudiée dans un laboratoire new-yorkais. Une simulation confirmera qu'un météore s'écrasant sur Terre peut très bien contenir une gelée biologique dans son noyau. «Ces Crachats de Lune» contiennent-ils vraiment des formes de vie extraterrestre ?

    [beaucoup, avec ces arrivées massives de météores extraterrestres, redoutent évidemment une possible contamination nuisible sous forme biologique ou microbienne, mais ne pourrait-elle pas être aussi le support [ou le cocon ou la matrice] d’une autre « infestation », de type parasitaire ou viral par exemple; encore plus dangereuse, car pourquoi pas délétère et sous une forme éthérée ou psychique ?]

    [toutes ces apparitions sporadiques, de grandes ou des nouvelles épidémies ou pandémies, sont visiblement liées aux bombardements continuels de la Terre par les météroïdes. Cf. à ce sujet les dossiers d’Alien Theory (Ancient Aliens)]

    Depuis l’arrivée le 12 novembre 2014 de l’atterrisseur Philae de la sonde Rosetta sur la comète 67 P / Churyumov-Gerasimento, nous avons eu la confirmation que les comètes ...

    [qui ont toujours eu dans toutes les traditions populaires ou religieuses une réputation (doublement) sulfureuse puisque annonciatrices de malheurs de catastrophes ou d’épidémies]

    ... ne sentent pas la rose mais bien l’œuf pourri autrement dit le soufre, (sulfure d’hydrogène),or, (dans ces mêmes traditions populaires ou religieuses) le soufre est systématiquement associé à l’apparition ou à la manifestation du diable ou de ses acolytes.

    [A rapprocher, évidement, de toutes ces rencontres ufologiques qui signalent la présence de l'odeur prégnante du soufre, comme lors de la célèbre affaire du 21 octobre 1963, près de la ville de Trancas, en argentine, où la famille Moreno a découvert, après le départ des ovnis, une multitude de petites boules composées à 96,48 % de carbonate de calcium et 3,51 % de carbonate de potassium, et en suspension dans l'air l'odeur du soufre, confirmée et constatée par la doctoresse de l'hôpital de Trancas, dont la voiture s'immobilisa, cette nuit-là, alors qu'elle se rendait en ville, et à l'approche des ovnis volant à basse altitude ; cette odeur si  caractéristique des contacts avec l'infra-monde. La doctoresse vit dans le ciel une quarantaine d'objets lumineux volant à basse altitude ! Après leur passage, l'atmosphère fut imprégnée d'une pénétrante odeur de soufre ... (Cf. Les apparitions Ovni BD de Jacques Lob et Robert Gigi. Dargaud Editeur. 1979) ]

     [Cf. La RR3 de De Trancas en Argentine du 21 octobre 1963 où la famille Moreno a découvert, après le départ des ovnis, une multitude de petites boules composées à 96,48 % de carbonate de calcium et 3,51 % de carbonate de potassium et en suspension dans l'air l'odeur du soufre (confirmée et constatée par la doctoresse de l'hôpital de Trancas dont la voiture s'immobilisa à l'approche des ovnis volant à basse altitude) cette odeur si  caractéristique des contacts avec l'infra-monde.

     

    La vérité sort parfois spontanément de la bouche des témoins

     

    Aucune histoire d’ovni n’a, plus que celle de Socorro, contribué à convaincre toute une génération que les ovnis n’étaient pas seulement des objets mystérieux parcourant les cieux, mais qu’ils étaient aussi, probablement, pilotés par des visiteurs d’un autre monde. L’affaire de Socorro n’est certes pas le premier cas d’une prétendue rencontre avec des extraterrestres.

    De telles histoires circulaient alors depuis au moins une cinquantaine d’années. Mais avant que l’observation du policier Lonnie Zamora fasse la Une des journaux, en 1964, les récits de rencontre avec des hommes de l’espace étaient le fait de témoins à la crédibilité et à la réputation (soi-disant) discutables. Des histoires qui prêtaient pour plus ou moins à sourire.

    L’histoire de Zamora était différente. Il était policier, ce qui faisait de lui un témoin hautement crédible. Dès lors, s'évanouit définitivement le sentiment alors très répandu — y compris parmi les amateurs d’ovnis — selon quoi il y avait quelque chose d’absurde, voire même de ridicule, à propos des humanoïdes. L'association entre ces objets mystérieux, les ovnis, et la présence de petits pilotes venus d'ailleurs, devint alors l'une des composantes essentielles du phénomène.

     (Traduction de l'article de Patrick Huyghe (site www.rr0.rg) paru dans la revue The Anomalist, 8ème numéro, en 2000)

    (voir l'enquête détaillée)

    http://apocalypse-des-ovnis.eklablog.com/l-apocalypse-des-ovnis-livre-iii-chapitre-x-la-quete-des-ufologues-a204267276

     

    « Ce phénomène est tellement dramatique sur la planète, que les gouvernements, pour ne pas semer la panique, préfèrent étouffer le phénomène en entier. »

    [Confidence d’un Officier Supérieur de Gendarmerie qui s’occupait du phénomène des enlèvements au Juge-Magistrat : Bernard Bidault - Ovnis Attention Danger, mars 2003]

     

     

    Ovni de Lonnie Zamora – Socorro Nouveau Mexique - 24 avril 1964

       

     

    Jusqu'où devons-nous suivre le récit de Lonnie Zamora ?  

    Jugez plutôt :

    ... Lorsque Chavez, retrouva en premier et très rapidement Lonnie Zamora sur le site de sa vision ou apparition non-identifiée en forme d’œuf,

     et qu’il jeta un œil à Zamora qui était pâle et en sueur, et lui dit :

    « On dirait que tu as vu le diable… »,

    Zamora lui répondit :

    « Peut-être bien que je l'ai vu ! »

     

     

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