• Les Crop-Circles - Années 1970

     

     

    Les Premiers Crop-Circles

     

     

    Laulne (50) - France - 05/01/1975

     

    Le Blason des Stellaires

    Par Bellator

     

     

     

    Laulne (50) - 05/01/1975 - vers 19 h

    Trace en forme de Fer à Cheval & Triangle au sol

     

    5 janvier 1975, Laulne (50), à " La Dignerie ", Yvon Vildier, 12 ans, sort vers 19 heures dans la cour pour uriner en allumant la lumière extérieure. Il voit alors à 120 m de la maison dans un champ, un engin bizarre : il n'en voit que le dôme percé d'un hublot jaune brillant, le reste étant caché par une haie. Il est frappé de stupeur et quelques secondes après l'objet s'est élevé en tournoyant jusqu'à 100 m de haut à la verticale. Il semblait être composé de 3 ou 4 étages, et il y avait dans la partie supérieure 5 hublots de la grosseur d'un bol. Trois pieds de 50 cm de haut semblaient être reliés au centre de la base pour former une assise et sont rentrés dans l'engin lors du départ. Il estime la grandeur à 15 m sur 3 m, de forme ovale. Sans les pieds la hauteur pouvait être de 4 m. Il est parti sur la gauche à grande vitesse. Durée de l'observation: 30 secondes. L'enfant est rentré commotionné, ne pouvant dire un mot tellement il a eu peur. Traces en forme de " U " et trois trous en Triangle au sol avec analyses effectuées. 01 Témoin Direct & plusieurs Indirects : Source : LDLN N°1 46 p. 6 à 10.

     

     

     

    Vue générale de la Trace en Forme de " U ", au centre l'herbe couchée.

    Enquête de M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE

    LDLN N° 146

    https://archive.org/details/LDLN_lumieres_dans_la_nuit_pdf_collection/LDLN%20-%20No%20146/page/n3/mode/2up

     Vue générale des Traces en forme de " U ", Yvon Vildier marqué d'une Croix.

    Vue prise de l’endroit où se trouvait le jeune Vildier lors de son observation. Derrière la haie, emplacement de l’objet, à 120 m.

     

     

     

     Laulne, près de Lessay (Manche) le 5-1-1975


    par M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE (Enquêteur n° 1422)

    (Extrait)

    Lieu de l’observation : Le lieu de l'observation de l'engin se situe à Laulne, près de Lessay (50), au lieu-dit « La Dignerie ». L’endroit est délimité par les CD 530, 430 E, 430 E 3. 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d’atterrissage il faut, à partir du CD 530 emprunter une voie sans issue (rue de la « Dignerie »), qui mène au domicile des Vildier et suivre sur une centaine de mètres le chemin communal dit rue des Juscries, qui est presque impraticable par temps de pluie.
    Le champ, à usage de prairie, a une surface de 8.000 m2 environ et mesure entre 13 et 14 m de largeur et de 50 à 60 m de longueur. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure, orientée au N-O. Il est entouré de haies d’arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 m. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage : l'une au N-O, l'autre au N-E. Des vaches sont parquées dans la partie supérieure pendant la journée mais sont rentrées à l'étable la nuit.


    Elles sont retenues par une clôture électrique et n’ont pas divagué dans la partie inférieure, dont l’herbe est foulée uniquement à l’endroit où ont été relevées les traces. Il est à noter que le propriétaire des bovins accède à ce champ par la partie supérieure.


    Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 m de la haie N et 22,80 m de la haie E. A cet endroit l'herbe était couchée vers le bas du champ. On a l’impression que quelque chose a été posé dessus.

    On distingue tout d’abord une trace en forme de « U » dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U », dont l'ouverture est orientée vers le S-E, a le contour délimité par une traînée noirâtre, huileuse, de 1 cm de large et porte une forte odeur de pétrole ou d’un dérivé. Sur le côté droit de l’« U », en se plaçant au bas de l’« U », la traînée s'élargit pour former une bande de 0,13 m de large sur 1,15 m de long.


    A l'extérieur de cette limite, sur le côté droit, une empreinte est visible sur le sol. Sa forme est légèrement arrondie et sa profondeur dans le sol est de 0,03 m.


    Au fond de ce creux on voit des brins d’herbe qui semblent avoir été écrasés par la masse qui a provoqué la dépression.

    Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur de l’« U ».

    Au centre de celui-ci, trois trous sont disposés en un triangle irrégulier. Ces trous sont de forme et de profondeur semblables. Leur fond est plat et les angles légèrement arrondis (voir croquis).

    On remarque aussi une coloration noire autour de ces trous, qui peuvent être assimilés aux empreintes des pieds observées par le jeune Vildier.


    L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos premières constatations aucun changement n’est intervenu. La couche superficielle de la terre arable (argileuse) semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d’avoir été dégagés par l’engin.


    Aucune autre trace que celles précédemment décrites n’a été relevée dans le champ.

     

    7 JANVIER 1975 ATTERRISSAGE, TRACES ET ANALYSES

    Procès-verbal, enquête préliminaire, gendarmerie nationale, groupement de la Manche, compagnie de Coutance, brigade de Lessay.

    Le 7 janvier 1975, à 8 heures, une observation d'objet volant non identifié nous est rapportée verbalement. Ce phénomène se serait produit à Laulne, département 50, au lieu-dit La Dignerie, nous gendarmes O ... et B. .. nous nous transportons sur les lieux.

    Situation à l'arrivée des enquêteurs

    A notre arrivée nous sommes accueillis par le témoin oculaire du phénomène, le jeune V ... Yvon, douze ans et par ses parents. Yvon nous déclare que dimanche soir, vers 19 heures, alors qu'il se trouvait sur le pas de la porte de son domicile, il a remarqué posé dans le champ situé face à lui un objet de forme bizarre qui a décollé pour s'éloigner rapidement. Il décrit l'objet comme ressemblant à une soucoupe volante. Des traces suspectes sont visibles dans le champ où l'OVNI a atterri. Aucune modification n'aurait été apportée au lieu.


    Mesures prises, immédiatement

    Nous rendons compte à notre commandant de brigade qui informe sans délais notre commandant de compagnie à Coutance. Nous demandons le concours des spécialistes de la brigade des recherches afin d'effectuer des prises de vues photographiques et des moulages d'empreintes. A 10 heures, le capitaine et les gendarmes nous rejoignent sur les lieux.



    Etat des lieux


    Le lieu d'observation de l'engin se situe à Laulne, au lieu-dit La Dignerie, l'endroit est délimité par les chemins départementaux 530, 430 E, 430 El, 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d'atterrissage, il faut partir du chemin départemental 530, emprunter une voie sans issue. Le champ à usage de prairie a une surface de 8 000 mètres carrés environ et mesure entre 13 et 14 mètres de large et 50 à 60 mètres de long. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure orientée au nord-ouest, il est entouré d'une haie d'arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 mètres. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage. Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 mètres de la haie nord et 22,80 mètres de la haie est. A cet endroit, l'herbe est couchée vers le bas du champ et donne l'impression d'avoir supporté une masse quelconque. Nous remarquons tout d'abord une trace en fonne de « U» dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U » dont l'ouverture est orientée vers le sud-est a le contour délimité par une traînée noirâtre huileuse de un centimètre de large dont l'odeur rappellerait le pétrole ou un dérivé. Sur le côté droit du «U », si nous nous plaçons du côté opposé à l'ouverture, la traînée s'élargit pour former une bande de 13 centimètres de large sur 1,15 mètre de long. Au fond du creux nous constatons la présence d'herbe qui a été écrasée par la masse qui a pris appui en ce lieu. Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur du « U ». Au centre de celui-ci trois trous sont disposés en triangle quelconque. Ceux-ct sont de forme et de profondeur semblables, leur fond est plat et les angles légèrement arrondis. Nous remarquons également une coloration noire autour de ces trous qui peuvent être assimilés aux empreintes de pieds observées par le jeune V ... L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos constatations, aucun changement dans sa coloration n'est intervenu. La couche superficielle de la terre arable, argileuse, semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d'avoir été dégagés par l'engin. Aucune trace que celle précédemment décrite n'a été relevée dans le champ.

    Enquête

    Les auditions du jeune V ... Yvon font l'objet des procès-verbaux d'audition joints. Il est à noter que celui-ci n'a jamais changé de version bien que nous l'ayons interrogé plusieurs fois en tentant de l'induire en erreur. Il a fourni les mêmes éléments aux nombreuses personnes qui sont venues le voir intéressées par son observation. Des renseignements recueillis tant auprès des gens le connaissant qu'auprès du directeur du C.E.G. qu'il fréquente, il passe pour un garçon équilibré. Dans cette école, nous n'avons pas pu entendre son professeur principal, celui-ci étant en congé de longue maladie. Nous avons appris que l'année dernière il avait été fait allusion aux OVNI sans qu'aucune étude particulière ne soit entreprise sur le sujet, le jeune V ... avait été intéressé mais sans plus. Il nous a également été signalé qu'il n'avait pas cherché à tirer une popularité de son observation et qu'il était resté assez discret. Aucun changement notoire dans son comportement n'a été remarqué.

    Renseignements divers, vérifications effectuées

    Des échantillons de terre prélevés sur les traces et à 20 mètres de distance pour servir de prélèvements témoins ont été effectués. Aucun laboratoire local n'étant à même d'effectuer l'analyse de ceux-ci et en l'absence de toute directive particulière, nous avons confié une partie de ces prélèvements à M. L ... , pharmacien possédant un laboratoire qui a accepté bénévolement le travail. Son rapport d'analyse est joint en annexe de la présente pièce. M. L ... nous a montré l'éprouvette dans laquelle il a réussi à isoler un liquide pouvant être soit du kerdanne soit du kérosène, l'odeur se dégageant du récipient est très caractéristique de ces deux produits. Une analyse distincte a été demandée par M L. .. , membre de I'Associatjon « Lumières dans la nuit », qui s'est engagé à nous communiquer le résultat de celle-ci dès qu'elle reviendrait des laboratoires de Paris. A ce jour, les résultats ne sont pas encore parvenus à sa connaissance. Des vérifications ont également été faites auprès des services de l'E.D.F afin de savoir si des perturbations électriques, courts-circuits ou autres anomalies ne s'étaient pas produites sur le réseau dans la soirée du 5 janvier 1975. La réponse a été négative, Auprès de l'aèrodrome de Lessay, pour connaître les mouvements des aéronefs enregistrés le 5 janvier vers 19 heures, aucun décollage ou atterrissage ou survol n'est signalé dans ce moment-là. Auprès de la population voisine du lieu d'atterrissage qui n'a constaté aucune perturbation radio ou électrique, dans le champ et la maison du jeune V ... pour vérifier si l'observation telle qu'il nous l'a décrite est possible. De nos constatations, il ressort qu'il y a compatibilité entre l'état des lieux et les faits relatés. Les conditions atmosphériques du 5 janvier 1975 étaient les suivantes: ciel légèrement couvert avec crachins intermittents. L'observation de l'OVNI relatée par la presse avec plus ou moins d'affabulations a suscité peu d'intérêt parmi la population qui a commenté celle-ci avec amusement en général. Seuls quelques membres représentant « Lumières dans la nuit» ont paru intéressés par le phénomène. Clôture du procès-verbal le 27 janvier 1975.

    Copie du rapport d'analyse, laboratoire d'analyses médicales n" 1669. A. L. . , pharmacien (en réalité membre discret du C.N.R./NdT).

    Analyse n" 750060, examen de prélèvement de terre, sol d'herbage en deux échantillons remis par la gendarmerie de Lessay. Premier échantillon-témoin: petite motte épaisse de 6 centimètres enveloppée dans du papier journal, végétation saisonnière d'apparence normale, brins d'herbe bien verts présentant un très faible pourcentage d'éléments secs. Nature de la terre: argileuse, odeur du musc: très franc, mesure du pH égale 6, le papier d'emballage ne dégage aucune odeur, brûle franchement malgré quelques taches d'humidité. Quelques parcelles de cet échantillon ont fait l'objet de manipulations sommaires analogues à celles entreprises sur l'échantillon suivant.

    2. Echantillon suspect: épaisseur de la motte: 6 à 7 centimètres, même emballage que le précédent mais beaucoup plus humidifié, la végétation également abondante a été foulée, une bonne moitié des brins d'herbe présente une couleur jaunie, desséchée, l'ensemble une odeur très nette d'hydrocarbure, le pH de cet échantillon égale 6 comme l'échantillon-témoin. La terre a été, comme celle du témoin d'ailleurs, et séparément, transformée en bouillie claire au mortier avec une quantité triple d'eau bi-distillée. Après un séjour de vingt-quatre heures nous avons décanté le liquide surnageant la sédimentation. Ce liquide a été placé dans une ampoule à décantation de fine allonge. Nouveau séjour de vingtquatre heures environ, après addition de quelques gouttes de lugol fort employé comme colorant sélectif, nous avons pu faire les remarques sommaires que voici : échantillon-témoin: aucun liquide surnageant et de couleur différente n'a été décelé. Echantillon suspect: on note une très faible quantité de liquide nettement séparé à forte dose de pétrole et laissant sur papier bulle des taches graisseuses. Sans qu'il nous soit possible de déterminer la nature exacte de cet hydrocarbure, nous pouvons indiquer qu'il dégage une odeur se rapprochant du kerdane, de l'essence de pétrole ou du kérosène. A noter que le liquide sous-jacent obtenu après séparation ne dégage qu'une légère odeur d'iode provenant du lugol comme d'ailleurs l'extrait de l'échantillon-témoin et aucune odeur étrangère.

    Le papier d'emballage de l'échantillon n" 2 brûle avec une flamme plus fuligineuse que celle de l'emballage du témoin et son résidu est plus compact et plus important. A Lessay, le 17 janvier 1975.

    Procès-verbal d'audition de V ••• Yvon, douze ans, écolier.

    Dimanche 5 janvier 1975 vers 19 heures, je regardais la télévision avec mes parents sur la première chaîne, je suis sorti dans la cour. Pour ce faire j'ai allumé la lumière extérieure. Alors que j'arrivais dans l'embrasure de la porte, j'ai aperçu un engin de forme bizarre qui était posé dans un champ à 120 mètres environ de la maison. A ce moment-là je n'ai vu qu'un dôme percé d'un hublot de couleur jaune brillant, le reste de l'appareil étant caché par une haie. J'ai été frappé de stupeur. Quelques secondes après l'objet s'est élevé dans les airs en tournoyant jusqu'à une altitude de 100 à 150 mètres à la verticale de son point de stationnement. C'est à ce moment-là que j'ai aperçu la forme complète de l'engin, dont voici la description: trois ou quatre étages dont celui composant la partie supérieure était percé de cinq hublots qui m'ont semblé être de la grosseur d'un bol pour donner une échelle. Trois pieds de 50 centimètres de haut qui semblaicnt reliés au centre de la base de l'engin et qui s'écartaient pour former une assise au sol. La plus grande largeur de l'engin pouvait être de 15 mètres et la plus petite de 3 mètres. Lorsqu'il a commencé à tournoyer je me suis rendu compte qu'il était de forme ovale. La hauteur totale sans les pieds pourrait être de 4 mètres. Le tour de l'appareil était lumineux et la masse était de couleur marron grb. La couleur n'a changé à aucun moment, seul le hublot supérieur s'est éteint. Je n'ai perçu aucun bruit tout au long de mon observation qui a duré trente secondes. Je n'ai rien ressenti, aucun effet de chaleur ou de souffle, je n'ai aperçu aucun signe de vie à proximité. Lorsque l'engin a eu terminé son ascension il est parti sur la gauche à grande vitesse en s'élevant légèrement et en continuant à tourner sur lui-même. Je n'ai pas pu le suivre longtemps car il a été caché par le toit d'une dépendance. Je précise que lorsque l'objet a été en l'air et avant de s'éloigner, deux trappes, qui étaient en dessous, se sont ouvertes comme pour les trains d'atterrissage d'avion et les pied sont rent:rés en se pliant. Je n'ai pas remarqué d'antennes. Une fois mon observation terminée j'ai poussé un cri qui a alerté mes parents.

    Cependant lorsqu'ils sont venus sur le pas de la porte, l'engin avait disparu. C'est tout ce que je peux vous dire.

    Le 7 janvier 1975, 17 h 50.

    15 janvier 1975, nouvelle audition de V .•• Yvon, douze ans, qui dédare:

    Je ne vois aucune précision à vous fournir quant à la description de l'objet que j'ai faite dans ma déclaration du janvier 1975. Je m'intéresse à ce qui a un rapport avec la science et je suis désormais particulièrement attiré par les objets volants mystérieux.

     

     Le Limes

     

    Le Blason des Stellaires

     

    Selon les Membres de la Confrérie des Sages du Nord, les Anciens nous ont transmis leurs connaissances sur les Portails Multidimensionnels, qu'ils nommaient les Portes Induites des Stellaires, en les encodant sur les normes géométriques qui structurent l'architecture des blasons qui décorent Traditionnellement les écus d'armes, dont la base géométrique est Triangulaire, les transformant ainsi, en Carte du Ciel, où les Anges sont devenus des Étoiles & les Dieux des Planètes.

    Il semble que ces Anges et ces Dieux, ou Stellaires ne nous ont pas oubliés, pour autant, et qu'ils nous visitent régulièrement avec leurs vaisseaux volants non-identifiés, que l'on confond régulièrement avec des ovnis, en nous signalant, parfois, leur passage par de mystérieuses traces qu'ils impriment dans la Luzerne, et que l'on a fini, avec le temps, par identifier à des Agroglyphes porteurs de sens, ou Épiphanies.

    C'est ce que l'on peut lire sur les traces ou empreintes, découvertes suite à la Cratophanie dont le jeune Yvon Vildier a été le Témoin principal, le 05 Janvier 1975, à Laulne (50) en Normandie, vers 19h.

     

    L'Astrolabe

     

    Les Visiteurs du Soir

     

    L'Épiphanie, au Soir du 05 Janvier 1975 à Laulne (50), devient lumineuse dès lors que l'on applique le Code de Lecture Blasonné des Stellaires, en transposant le dessin et ses repaires, tracés au sol par la Soucoupe Volante vue par Yvon Vildier, sur la Carte du Ciel, à la géolocalisation du lieu & à l'heure de sa Cratophanie.

     

    Les Arcs en Ciel

     

     

     

     

     En multipliant et en accélérant, depuis les années 1970, avec le Land-Art des Crop-Circles, cette écriture Hiéroglyphique (Symbolique & Sacrée), nul doute que nos Visiteurs Stellaires nous encouragent à rétablir  le Lien Perdu Noué par les Anciens, cette Hiérogamie du Ciel & de la Terre qui passe par l'Alliance des Hommes & des Dieux.

     

     

     Ceux d'en bas et ceux d'en haut

    Monte Sancti Michaelis

    La Bastille des Mers

     

     

     

     

    Vacognes-Neuilly (14) - France - 22/04/ 1974

     

    Source : Ufo-Génpi

     

    Le Pronobum !

     Le Croissant de Lune !

     

     

    Vacognes-Neuilly (14) - 22 avril 1974

     Dans la soirée du 21 avril 1974, plusieurs témoins ont observé le passage aérien d’une sphère ovoïde très lumineuse de plusieurs mètres qui les a survolés à basse altitude, ce qui les a fortement "impressionnés", et dans la nuit suivante, les résidents d’une caravane avaient été alertés par les aboiements anormaux.

    Le lendemain des traces inattendues au sol, environnées d'un brouillard bleu, sont découvertes, lundi 22 avril 1974, jour de la nouvelle lune, qui suit la pleine lune de l'équinoxe de printemps fixant le dimanche de la Fête de Pâques au 14 avril 1974. 

    Ces deux traces annulaires, sous la forme d'une herbe calcinée et noircie, ont donc été découvertes, suite au survol d'un objet ovoïde lumineux.

    La première empreinte au sol, dans l’herbage du verger de pommiers exploité par Mr. Lemazurier, avait 50 cm d'épaisseur et quatre mètres de diamètre, tandis que la seconde, d’un diamètre de huit mètres, dans l’herbage de son voisin Mr Langlois, ne laissait apparaître qu’un demi cercle, en forme de croissant de lune (à titre d'enquerre ou obèle astronomique), et s’arrêtant au niveau d’une haie d’épines, qui ne se prolongeait pas sur la voie vicinale, longeant cette haie, où aucune marque particulière n'était visible.

    L'apparition de ces traces, reliée à l’observation d'une sphère ovoïde très lumineuse, qui a survolé à basse altitude le site, la soirée du 21/04/1974, (ovoïde ou Oeuf de Pâques = enquerre formelle), confirme ce que les Anciens appelaient les Portes Induites, dont l'ouverture est conditionnée par les conjonctions astronomiques, telle celle du Temps de la Fête de Pâques, dont le nom même dérive de pasaḣ renvoyant au passage.

     

    Le Saigneur des Anneaux !

    .

     

     

     

     

     

    Mulhouse (57) - France - 25/06/1971

     

    La 9ème Porte

    par Bellator

     

     « La hache tournoie dans l'air qui frémit, mais l'aile s'ouvre, et l'on va jusqu'à Dieu.»

    [Maurice Leblanc - 1864 - 1941]

     

    Atterrissage à Mulhouse (Haut-Rhin)

    https://ufologie.patrickgross.org/alsacat/1971-06-25-riedisheimf.htm

     

    Lumières Dans La Nuit N°117 d'avril 1972

     

    Enquête de J.-P. SCHIRCH

     

    Joël Scheweitzer [sic, "Schweitzer"], de Mulhouse-Riedisheim et son camarade (qui a demandé l'anonymat) avaient ce soir-là rendu visite à une amie demeurant dans les faubourgs et rentraient à leur domicile vers 23:00.

    Le lieu d'où ils venaient est situé sur une colline culminant à 283 m., d'où l'on domine Mulhouse. La descente est assez rapide et, avant d'atteindre les voies de chemin de fer, s'étend un grand pré en cuvette, entouré de maisons récentes le dominant, sauf côté E où les champs s'étendent jusqu'à la vaste forêt de La Hardt.

    La nuit était assez noire, dans la soirée un orage avait éclaté, le temps était lourd, de gros nuages noirs passaient dans le ciel, la lune ne paraissait pas éclairer la nature (couchée ou sur le point de l'être et jeune de 3 jours).

    Nos deux jeunes gens descendaient par un vague sentier en bordure du pré, lorsqu'ils aperçurent vers le NE une lumière au loin. Elle avait l'apparence d'une lampe électrique se trouvant loin d'eux. Elle semblait se rapprocher, ce qui les intrigua, et ils se mirent à l'observer.

    Elle était très claire, disent-ils, comme un flash électronique, et donnait l'impression de tourbillonner, tout en se rapprochant de plus en plus vers eux. Elle prenait à présent la forme d'un disque. D'après les témoignages recueillis par M. Schirch, ce disque aurait eu une face plane, l'autre bombée, et l'avance se faisait plus ou moins perpendiculairement à cette face plane située dans le sens de l'avancement.

    L'objet descendait en arrivant vers les deux témoins, et se trouvait bientôt à la verticale du pré, et à une hauteur de 15 m environ à ce qu'ils jugèrent. A ce moment, il arrêta sa marche en avant, resta sur place 2 à 3 secondes, sa luminosité parut alors faiblir (sans d'ailleurs ne jamais disparaître de toute la durée de l'observation). Les deux témoins voyaient parfaitement cette lumière qui leur parut très blanche, et remarquèrent que le sol était éclairé dessous car ils parvenaient à distinguer l'herbe du pré.

    Durant son stationnement, l'objet exécuta une manœuvre de retournement: la face plane s'inclina pour sa tourner vers le sol, et à partir de ce moment le disque se présentait sous la forme d'un segment sphérique. Il donnait très bien l'impression de tourner sur lui-même très rapidement, comme une toupie. On voyait la lumière située au-dessus de l'engin, et celle-ci donnait une apparence de clignotement: les témoins n'ont pu expliquer la cause de ce clignotement.

    Après ces quelques secondes d'arrêt, l'objet se mit à descendre sur le sol. La manœuvre s'effectuait très lentement et la descente se faisait verticalement. Le sol était à présent bien éclairé et l'objet mit 3 ou 4 secondes avant d'atteindre le sol: aucun mouvement particulier n'a été observé au cours de cette descente. A aucun moment les témoins n'entendirent le moindre bruit, et les chiens pourtant nombreux aux alentours ne se manifestèrent pas par leurs aboiements.

    Les deux amis qui s'étaient assis au cours de leur observation, étaient un peu apeurés, près de s'enfuir, lorsqu'ils virent l'objet arrêté dans sa descente rester stationnaire à 25 mètres d'eux. La luminosité avait augmenté au cours de la descente, puis elle baissa, clignotant toujours un peu.

     

    PLAN DE 51TUATION (F. Lagarde)

    T Lieu de l'atterrissage
    A Direction d'arrivée de l'objet
    D Direction de départ de l'objet Mulhouse: 47' 45 N -7° 20 E
    Riedisheim: 47' 45 N -7° 22 E

     

    L'objet semblait avoir atterri, ou se tenait à proximité immédiate du sol. Il ne bougeait plus du tout, et la lumière éclairait l'herbe. On apercevait une zone d'ombre sous l'objet, où il était impossible de distinguer quelque chose. Les alentours étalent éclairés.

    Impossible de voir si l'objet reposait ou non sur le sol, et s'il avait des pieds, le contraste entre la zone d'ombre et la partie extérieure éclairée était trop violent.

    L'objet resta dans cette position durant environ une minute et demie. Puis il remonta verticalement, toujours très lentement, et reprit pendant quelques instants la position qu'il occupait avant la descente, à 15 m. au-dessus du sol, la face plane faisant face au sol. Il se remit ensuite à tourbillonner et partit lentement. La lumière éclaira le sol comme à son arrivée, c'est-à-dire faiblement, et cela de moins en moins à mesure de son éloignement; on voyait le sol s'obscurcir à mesure.

    Enfin dernier mouvement, il partit à une très grande vitesse, presque à l'horizontale, et tout s'évanouit dans la nuit.

     

    L'OBJET

    On sait peu de chose sur lui en plus de ce qui a été dit. Il ressemble à une calotte sphérique s'étant présentée sous la forme d'un disque puis d'un segment. Aucun appendice n'a été remarqué, mais l'engin possédait une sorte de phare au sommet, lequel paraissait pouvoir se diriger ou tout au moins s'incliner.

    Les dimensions pouvaient être de 8 mètres de diamètre pour 2 mètres de haut. La teinte est malaisée à définir, certaines parties brillaient comme si elles étaient métalliques, surtout les contours.

     

    LES TRACES SUR LE SOL

    L'objet a laissé des traces qui étaient très visibles, dès le lendemain quand les deux amis retournèrent sur les lieux. Le pré était fauché depuis quelques jours et l'herbe atteignait 5 à 10 cm de hauteur. J'ai remarqué qu'il s'agissait en majeure partie de luzerne mélangée è l'herbe, et la végétation n'avait pas repris depuis sa dernière coupe, le terrain étant très sec. Sur les traces, cette herbe présentait un aspect assez curieux, comme noircie, sans être brûlée par une source de chaleur, autrement dit sans être consumée, conservant son aspect d'herbe.

    On apercevait tout d'abord un cercle de 6,20 mètres de diamètre, trois traces circulaires de 30 cm de diamètre, disposées en triangle, et enfin un petit trou carré dans la terre.

    Dans la partie centrale du cercle on apercevait, très bien dessiné, comme une sorte de H majuscule: la hauteur des branches du H étant de 2,20 m et leur écartement avait cette dimension.

     

     

    LES TRACES A MULHOUSE
    NS direction nord-sud, La direction des traces est repérée par rapport au nord dans le sens direct,
    A: arrivée - D: départ.

     

    Les traces do 30 cm, comme le H, étaient formées par de l'herbe écrasée, aplatie et couchée presque au niveau du sol. Elles apparaissaient encore assez nettes en septembre et le H ressort bien sur les photos. Les trois ronds étaient écartés de 4,2 -5,1 et 5,5 mètres.

     

    Remarques à postériori

     

    Les deux jeunes gens ne remarquèrent rien de particulier d'autre que cet engin. On peut se demander pourquoi, dans un lieu aussi peuplé, cerné de nombreuses maisons, presque en pleine ville, aucun autre témoin ne s'est manifesté. C'est une remarque que l'on fait fréquemment. Il est possible que les circonstances ne se soient pas prêtées à une alarme particulière. L'engin n'a fait aucun bruit, il est venu assez tard: 21:30 environ, après un orage, peu de gens en fait n'avaient les yeux tournés vers l'extérieur durant la courte séquence de temps pendant laquelle l'engin s'est manifesté.

    Les conditions d'observation n'étaient pas non plus les mêmes que celles des témoins, et combien de ceux qui auraient pu voir auraient eu le courage de rendre publique leur observation?

    Les enquêteurs n'expliquent pas non plus la cause exacte des traces relevées. Si l'engin en est bien à l'origine, il leur est impossible de savoir à quoi correspond l'empreinte de 6,20 m de diamètre qui fait double emploi, pourrait-on dire, avec les trois ronds relevés de 30 cm que l'on aurait pu attribuer à l'empreinte de trois appuis comme on en relève souvent. Même point d'interrogation pour la trace centrale qui rappelle celle de San José de Valdéras en 1967 (Espagne) et la disposition des pieds (et du H) celle d'Aluche en février 1966 (Espagne). Ces observations se valorisent en quelque sorte, mais le mystère reste entier.

     

    N.D.L.R. - Mulhouse est situé sur faille géologique. BAVIC passe à 10 km au NO. Mulhouse est de plus sur la ligne géodésique de 1.100 km d'observations traversant les frontières de cinq pays, citée par A. Michel (Southend à Po di Gnocco) dans son livre "A propos des Soucoupes Volantes" auquel il faut toujours se reporter. C'est à Niffer-Kembs qu'une observation a été faite le 15 octobre 1954 (8 km). Le 23.7.68 c'est M. Bouaziz qui observait un énorme disque lumineux de couleur orange pâle (Contact 96 bis de novembre 68). Le 26 mai 1970 c'est Mlle Chantal Denis qui observe du parc de la cité universitaire, à 23:45, un objet qui descend et remonte trois fois, décrivant de plus un grand huit dans le ciel (Contact n° 4, novembre 70).

    Si nous remontons l'histoire, à Ruelisheim (6 km ou N), selon la légende, des jeunes gens égarés dans la forêt auraient vu un chêne vénérable soudain embrasé, et du tronc calciné se serait élevée une statue de la Vierge, intacte et resplendissante: une chapelle fut construire par souscription en 1704.

    Pour l'anecdote: sur un des murs de la maison communale de Mulhouse est suspendue la "pierre des bavards". Une chaîne est rivée dans le lobe des oreilles comme un pendentif. Il s'agissait d'un instrument de supplice: le klupperstei [sic, "Klapperstein"]. Les bons bourgeois de la ville s'arrangeaient toujours en cas de crime pour que le coupable aille se faire pendre ailleurs, aucune faute n'était jugée plus grave que la calomnie. Celui qui en était convaincu se voyait condamné à porter la pierre au cou à travers les rues de la ville, en chevauchant un âne à rebours.

    Un peu plus ou nord, à Ensisheim (sur BAVIC) l'église paroissiale a longtemps possédé un aérolithe de 140 kg tombé à proximité le 7 novembre 1492.

     

     

    "HENRY DURRANT":

     

     

     

    DOCUMENT N°21. -MULHOUSE-RIEDISHEIM (Haut-Rhin), France, 25 juin 1971 (23 h 00 env.). -- Témoins: Joël Scheweitzer [sic, "Schweitzer"] et un ami (anonyme). Temps: nuit assez noire, très nuageuse après orage. Lieu: Pré en bordure d'un sentier descendant d'une colline (283 m) dominant Mulhouse. Objet: Calotte sphérique, brillante comme du métal poli, munie d'une sorte de phare puissant, blanc, inclinable, à sa partie supérieure. Diamètre estimé à 8 m environ, hauteur 2 m environ.

     

    COMMENTAIRES.

    - Ces traces, relevées et photographiées, sont parfaitement reliées à une observation d'OVNI, par le témoignage des deux jeunes gens qui ne sont évidemment pas les auteurs de celles-ci. L'indice d'étrangeté de leurs témoignages, distincts mais concordants, est extrêmement élevé et soutient parfaitement la sincérité de leurs déclarations respectives.

    - Les traces circulaires, de 30 cm de diamètre, disposées en triangle, font penser à la prise de contact au sol par un système d'atterrisseur tripode; mais dans ce cas la trace circulaire, de 6,20 m de diamètre, ferait double emploi. Peut-être y a-t-il eu manœuvre d'approche avec des palpes, puis atterrissage effectif. De toute façon, comment expliquer ces traces autrement que par l'intervention d'un OVNI.

    - F. Lagarde signale que Mulhouse se trouve sur une faille géologique. L'activité de cet OVNI se rattacherait donc à la théorie de ce chercheur: l'étude de l'activité séismique du globe par les OVNIs. Le lieu de l'incident se trouve aussi sur la ligne Southend (Angleterre) Po di Gnocca (Italie) de 1100 km, signalée par Aimé Michel; l'observation pourrait donc s'insérer, peut-être dans l'orthoténie michélienne, sûrement dans la théorie des couloirs de circulation de Dohmen. Vous trouverez ces théories exposées au Dossier IX, "Coïncidences".

    - Enfin, la trace en "H" laissée au centre du cercle rappellerait vaguement le signe que portaient les OVNIs observés en Espagne, le 6 février 1966 à Aluche, le 1er juin 1967 à San José de Valdéras, bien que ce signe ressemble plutôt à la lettre majuscule de l'alphabet cyrillique correspondant au « J » de l'alphabet latin (Document L.D.L.N.).

    Nous tenons à remercier ici bien vivement la direction du groupe Lumières dans la Nuit pour sa coopération confraternelle si aimable et si efficace.

     

     

     

    CHRISTIAN VALENTIN:

     

    L'ancien journaliste Christian Valentin a publié en 2012 un très intéressant livre retraçant l'histoire des observations d'OVNIS et autres soucoupes volantes en Alsace, des origines jusqu'en 1980.

    Dans ce livre, il relate que dans le 25 juin 1971 à Riedisheim, il y a eu un atterrissage qui a bénéficié d'une large couverture médiatique, plus important à l'échelle nationale que locale. L'affaire a été citée dans plusieurs livres ufologiques donc celui de Figuet et Ruchon [fr1].

    Christian Valentin se rappelle avoir eu personnellement connaissance à l'époque de l'observation grâce à la photo des traces d'atterrissage parues dans le magazine "Science et Avenir" de septembre 1972. Il note cependant que toutes ces sources sont basées sur le rapport d'enquête de Jean-Pierre Schirch paru dans Lumières Dans La Nuit N°117 d'avril 1972 [ld1], qu'il reproduit dans son livre.

    Christian Valentin donne ensuite la teneur de son entretien du mercredi 19 novembre 2008 avec "J.-S.":

    Ce dernier indique que l'exercice du souvenir est périlleux 37 ans après les faits, qui étaient pour le moins extraordinaires. Il avait alors 18 ans et se souvient de ce qui a été une expérience fascinante.

    Il indique que l'objet venait du nord-est, de la direction de l'usine PSA ["Peugeot"], et qu'il est d'abord descendu vers le bâtiment de l'école des filles Sainte-Ursule avant de s'approcher de leur emplacement, tout en continuant à descendre vers le sol. Lui et son camarade étaient à une trentaine de mètres du lieu où l'engin semblait s'être posé.

    Il se rappelle de la présence intermittente d'une lumière aveuglante qui était comme une sorte de gyrophare. Ensuite l'engin s'est élevé verticalement, puis a filé comme une flèche vers le nord-ouest. J.-S. est formel: il est allé vers le Sud-Ouest en partant. L'atterrissage était à environ 200 mètres de Ste Ursule et environ 200 mètres au Sud de la voie de chemin de fer.

    Le lendemain, il était retourné sur les lieux, et a alors vu les traces au sol à l'emplacement de l'observation. Il se rappelle le cercle et les renfoncements qui étaient de la taille d'une grande assiette, mais pas de la trace en forme de H. Il indique que les photos des lieux ont été prises plus tard, à la rentrée.

    Il ne se souvient pas de la façon dont l'observation a été connue de la revue ["Lumières Dans La Nuit"], il se rappelle que l'observation avait été publiée dans un livre à l'époque, mais lui n'en avait pas beaucoup parlé autour de lui "à cause de la réaction des gens."

     

    Le Premier Crop-Circles de France

     

    Ce que les Ufologues prennent, pour des traces laissées par un engin volant non-identifié, ce 25 juin 1971, se révèle être en réalité un agroglyphe où apparait le coefficient du nombre 9.

    Ce 9 avec ses multiples + sous-multiples, norment traditionnellement l'ouverture de la Porte Multidimensionnelle, ou Porte Induite dite de la 9ème Porte, des Mages Occultistes, & justifient, par exemple, la position inclinée, à 45° (45 = 9), prise au décollage, par les ovnis.

    La forme du « H » symbolisant, une « ArcHe », entre deux Piles, ou si vous préférez un « Pont », qui ouvre, une Porte ou un « Passage », à l'occasion d'une rencontre rapprochée, qui s’apparente à une cratophanie, ou Mise en Demeure, blasonnée (au sens d'une rencontre héraldique), porteuse d'une épiphanie parlante, cachant et signifiante.

    Cette science & cet art des nombres, qui sont ceux de la Gematria = Géométrie Différentielle (hyperbolique, elliptique, projective, non-euclidienne, topologie, etc.), ouvrant la voie aux liens multidimensionnels, du temps & de l'espace, étaient enseignés et pratiqués par les Anciens & ont été transmis, sous le manteau, au sein de la confrérie des sages du nord.

     

     

     

     

     Le Cleptoparasitisme des Aliens

     

    « Le Système de Contrôle Allogène a remplacé le simulacre des RR3 et des atterrissages des Soucoupes Volantes, par celui, bien plus spectaculaire, des RR4 et des Crop-Circles. »

    [Guillaume Chevallier - L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Geipan] 

     

     Selon George Hunt-Williamson, Les gîtes secrets du lion - 1972, l'activité prioritaire des intrus extraterrestres serait la prise de contrôle des humains selon un procédé de symbiose parasitaire, ce que la tradition ancestrale  appelle le phénomène de la possession ou d’incarnation, et ce que les ufologues interprètent par l'hybridation des humains avec les aliens, dont les implants récupérés chez des abductés-kidnappés ufologiques, sont  des marqueurs- traceurs et des preuves matérielles.

    Dans cette perspective il est logique de voir dans l'activité de type agraire des ovnis une entreprise de développement, et de culture d'une arme virale pandémique, à partir de souches probiotiques répandues dans la biomasse naturelle terrestre, dont ils se serviraient comme d'un incubateur.

    Ces spores extraterrestres implantées  sur terre  par les ufonautes, pourraient ainsi très facilement envahir l'atmosphère, comme le suggère le manuscrit de Voynichqui est daté de la renaissance italienne (début du 15ème siècle), et qui illustre ce type de contagion, avec l'arrivée ou le débarquement sur terre, de plantes invasives, en provenance des étoiles. 

      Or, les travaux statistiques, de Pierre Guérin et de Claude Poher contredisent, non-seulement, la vision psycho-anthropomorphique des thèses éduco-chamaniques ufologiques, promotionnées par les psycho-socio-pathologues, mais encore rendent compte d'une géo-localisation des manifestations des ufonautes, et de leurs activités en milieu rural et en milieu naturel.

    Ce lien direct avec une inter-action des ovnis avec la bio-sphère est un invariant à travers le temps et l'espace, comme le montrent  :

    1/ l'ancienneté des Crop-Circles et des géoglyphes qui sont apparentés à un phénomène de communication extraterrestre

    2/ les nombreuses traces laissées au sol par les ovnis (qui ont une incidence directe sur l’évolution-modification du sol et de sa bio-masse, par exemple avec l’apparition du mycélium ou de nostoc, etc ),

    3/ les dépôts de matières minérales ou organiques (le potassium, le calcium, le magnésium, carbonate de calcium, carbonate de potassium, hydrocarbure, nitrate d’argent, soufre, etc.) après le passage ou les apparitions d'ovnis,

    4/ les  activités de type agraire des ufonautes, (comme le 01 juillet 1965, à Valensole - 04 France) carottage, prélèvement d’échantillons, semis, ou épandage qui sont autant de menées évocatrices et révélatrices d’une entreprise expérimentale environnementale incessante.

     

     Le Cleptoparasitisme des Aliens

     

     

    «  Les spores végétales des entités aliens attendent simplement le sommeil de leurs victimes pour prendre leur place et leur insidieuse invasion s'effectue sans armes, ni violence. »

    [Invasion des Voleurs de Corps, Roman de Jack Finney, 1955 - L'Invasion des Profanateurs de Sépultures, film de Body Snatchers, 1956 - L'invasion continue, film de Abel Ferrara, 1993] 

     

     Selon George Hunt-Williamson, Les gîtes secrets du lion - 1972, l'activité prioritaire des intrus extraterrestres serait la prise de contrôle des humains selon un procédé de symbiose parasitaire, ce que la tradition ancestrale  appelle le phénomène de la possession ou d’incarnation, et ce que les ufologues interprètent par l'hybridation des humains avec les aliens, dont les implants récupérés chez des abductés-kidnappés ufologiques, sont  des marqueurs- traceurs et des preuves matérielles.

    Dans cette perspective il est logique de voir dans l'activité de type agraire des ovnis une entreprise de développement, et de culture d'une arme virale pandémique, à partir de souches probiotiques répandues dans la biomasse naturelle terrestre, dont ils se serviraient comme d'un incubateur.

    Ces spores extraterrestres implantées  sur terre  par les ufonautes, pourraient ainsi très facilement envahir l'atmosphère, comme le suggère le manuscrit de Voynichqui est daté de la renaissance italienne (début du 15ème siècle), et qui illustre ce type de contagion, avec l'arrivée ou le débarquement sur terre, de plantes invasives, en provenance des étoiles. 

      Or, les travaux statistiques, de Pierre Guérin et de Claude Poher contredisent, non-seulement, la vision psycho-anthropomorphique des thèses éduco-chamaniques ufologiques, promotionnées par les psycho-socio-pathologues, mais encore rendent compte d'une géo-localisation des manifestations des ufonautes, et de leurs activités en milieu rural et en milieu naturel.

    Ce lien direct avec une inter-action des ovnis avec la bio-sphère est un invariant à travers le temps et l'espace, comme le montrent  :

    1/ l'ancienneté des Crop-Circles et des géoglyphes qui sont apparentés à un phénomène de communication extraterrestre

    2/ les nombreuses traces laissées au sol par les ovnis (qui ont une incidence directe sur l’évolution-modification du sol et de sa bio-masse, par exemple avec l’apparition du mycélium ou de nostoc, etc ),

    3/ les dépôts de matières minérales ou organiques (le potassium, le calcium, le magnésium, carbonate de calcium, carbonate de potassium, hydrocarbure, nitrate d’argent, soufre, etc.) après le passage ou les apparitions d'ovnis,

    4/ les  activités de type agraire des ufonautes, (comme le 01 juillet 1965, à Valensole - 04 France) carottage, prélèvement d’échantillons, semis, ou épandage qui sont autant de menées évocatrices et révélatrices d’une entreprise expérimentale environnementale incessante

     

     Anomalie de Source Occulte

     

    Ufo-Génpi

     

     

    Mr Thomas Frémond

     

     

     

     

    « La phénoménologie des crop-circles nous autorise à les considérer comme étant des incidents de nature démoniaque. »

     [Diamonic Reality - Patrick Harpur - 1994]

     

    « Un des dénominateurs communs des crop-circles et des ovnis est la volonté de leurs auteurs de se faire admirer, en se dissimulant. »

     [Les Pervers Narcissiques de l'Occultisme - Guillaume Chevallier]

     

     

    Le Cercle des Fées

     

     

    Chapbooks du XVIIIe siècle (1882)

     

     The Moving - Devil

     

     

    « À force d’évoquer des larves, les occultistes qui ne peuvent, bien entendu, attirer les Anges, finissent par amener les Esprits du Mal ; et, qu’ils le veuillent ou non, sans même le savoir, ils se meuvent dans le diabolisme. » 

    [Là-Bas - Joris-Karl Huysmans - 1891]

    « Comme les fleurs attirent avec les couleurs, les parfums, les ondes de forme, les insectes, les Crop-Circles nous magnétisent avec les intailles énigmatiques, les hiéroglyphes obscurs, les arabesques magiques, pour nous polliniser.»

    [La Pollinisation Psychique des Crop-Circles - Guillaume Chevallier]

     

     

    Le Monde doit Savoir

     

    « Les ovnis sont des créatures d'essence spirituelle évoluant dans notre atmosphère.»

    [They live in the sky - Trevor James - 1959]

     

    A Ufo - Génpi, nous étudions ces Organismes Volants Non-Identifiables (OVNIS) depuis les années 1960/1970 & à partir de nos vigies de terrain.

    Ces ovnis sont difficiles à débusquer sans se faire repérer, et leur approche de proximité est dangereuse, car ils exercent parfois une emprise psychologique sur les observateurs, de même, les capteurs et enregistreurs, photographiques et autres, sont quelquefois affectés lors de ces Rencontres trop Rapprochées avec ces Organismes.

     Nous avons choisi de tirer, à notre tour, la sonnette d’alarme en publiant les résultats de nos analyses, à travers les entretiens francs et directs avec nos partenaires et en partageant publiquement nos travaux d’archives, statistiques, cartographiques, témoignages, enquêtes etc. notamment avec Normandie - France - Ovnis.

     Malheureusement, nous ne sommes pas les premiers à déclarer notre impuissance face à une forme de vie endo-exogène, ignorée par la plupart, mais déjà reconnue pathogène sinon hostile à l’humanité, par des chercheurs de vérité qui nous ont ouvert cette voie, tout au long de notre histoire jusqu’à Charles Fort, James Trevor, John Keel, George Hunt-Williamson, Geneviève Vanquelef, etc. pour notre époque moderne.

     Les faits sont là & heureusement ! 

     
    « L'alien-logie (extraterrestre-logie ou thèse exogène conventionnelle) est utilisée pour camoufler et dissimuler l’ingérence sur terre des intrus métamorphes (indigènes & exo-endogènes) tandis que l’ufologie (ovni-logie) la montre et la révèle. »
     
    « La présence des ovnis étant prouvée, et, l'ingérence des créatures polymorphes endo-exogènes enfin reconnue, il nous reste maintenant à démontrer l'existence des visiteurs extraterrestres. »

    [Guillaume Chevallier - L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Geipan] 

     

     

     Métamorphe

     

     

    Le Triangle du Diable

     

    « L'ufologie est juste un autre nom donné à la démonologie.».

    [La Prophétie des ombres (The Mothman Prophecies) - John A. Keel - 1975]

     

     

      Mise à jour de la carte - Structure Nomade des Ovnis - le 12/04/20

    Les Trophées des Chasseurs d'Ovnis (10) - L’Apocalypse des Ovnis (eklablog.com) 

     

     

     

     

    « Les Attrapes-Rêves VILes Crop-Circles - Année 2012 - Phase II »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :