• Les Enseignants

     

    « Les lumières de nos enseignes sont nos couleurs. »

    [Le Parlant, le Cachant et le Signifiant]

     

    Les Enseignants

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    [Dinan (22) - Côtes-d'Armor /Côtes du Nord - Bretagne - est une commune urbaine, dense ou de densité intermédiaire, au climat océanique franc - Habitants : 13 844 en 1954 (1 589,4 hab/km2) - 12 847 en 1962 (1 474,9 hab/km) - 15 552 en 1968 (1 785.5 hab/km) - 14 682 en 2020 (1 685.6 hab/km2) - Superficie : 8.71 km2]

     

     Dinan (22)

     les veilleurs

     

    De gueules au château donjonné de trois tourelles d'or, maçonné de sable, au chef d'hermine.

     

     

    Dinan (22) - Côtes-d'Armor /Côtes du Nord - Bretagne - un dimanche du mois de mai 1955 - vers 00 h 15 - Enquête de J. Cresson

    RR3 de M. Droguet

     

    Un samedi du mois de mai 1955, M. Droguet demeurant alors dans un logement de fonction au Collège de jeunes filles de Dinan revenait d'une séance de cinéma vers 23 h 45.

    S'attardant avec un ami place du Clos, il rentre à son domicile vers 00 h 15 et ouvre le portillon donnant accès dans l'une des cours du Collège. Métallique, le portillon fit du bruit en claquant un peu, et M. Droguet eut à peine le temps de le refermer à clef et de faire un ou deux pas qu'il fut inondé de lumière.

    Une espèce de lueur bleue-verte était braquée sur lui, et l'aveuglait au point qu'il ne pouvait rien distinguer sur le moment. Il avait très peur, ses genoux s'entrechoquaient, et il sentait ses cheveux se hérisser.

    Quelques secondes après ce flash brutal, ses yeux s'accoutumant, M. Droguet put distinguer un objet énorme qui se tenait absolument immobile à environ 1,50 m du sol de la cour. Il fut stupéfait qu'un tel engin puisse se tenir ainsi en l'air. Aucun bruit n'était perceptible, seule une espèce de vibration continue était perçue.

    Brusquement il se rendit compte que deux êtres se tenaient auprès de l'engin. Ils avaient un tel harnachement qu'ils n'avaient pas dû l'entendre entrer. C'est du moins ce qu'il pensa, car les deux êtres ne paraissaient pas faire attention à lui.

    Il sentit sa peur s'accroître et aurait bien voulu se sauver, mais il était littéralement cloué au sol et incapable de faire les deux mètres qui le séparaient du portillon pour ressortir. Après coup il ne put préciser si c'était la peur qui l'avait paralysé ou si c'était l'effet du rayon bleu-vert dans lequel il était pris.

    Les deux êtres étaient habillés d'une sorte de combinaison gris métallisé et ressemblaient un peu au bibendum des pneus Michelin (voir Contact n°96) M. Droguet ne put distinguer leurs têtes qui étaient recouvertes d'un casque volumineux. Les mains n'étaient pas à nu mais recouvertes par de sortes de gants.

    Sur le ventre ils avaient tous les deux une boîte noire et des tas de fils en partaient.

    Un de ces êtres était surtout préoccupé à ramasser des choses au sol, çà et là, (probablement des cailloux). L'autre inspectait les lieux et, un moment donné, se pencha à une fenêtre derrière laquelle il y avait une chaufferie désaffectée.

    Le témoin eut l'impression très nette que quelqu'un l'observait de l'engin et que c'est lui qui l'éclairait avec cet espèce de phare. Il avait trouvé le temps Iong mais par la suite il estima que son observation avait duré tout au plus quelques minutes, en tout cas pas plus d'un quart d'heure.

    Au bout de ce laps de temps, les deux êtres se sont dirigés vers l'engin et le témoin remarqua qu'il y avait au-dessous un trou noir et rond d'où pendait une échelle, métallique, de quelques barreaux seulement. Les deux êtres n'étaient pas très grands 1,60 m environ. Ils marchaient difficilement à la manière des scaphandriers avec leurs semelles de plomb. Ils paraissaient avoir du mal à se mouvoir.

    Alors qu'ils pénétraient dans l'engin, M. Droguet perçut distinctement un bruit métallique provenant de leurs pas. Lorsqu'ils furent dans l'engin, l'échelle fut remontée, et il y eut comme une aspiration. Le témoin ressentit un déplacement d'air, une succion. L'engin toujours éclairé prit de l'altitude à la verticale, plus haut que les arbres, et sans aucun bruit. M. Droguet put distinguer le trou noir au centre de l'engin qu'il vit alors circulaire. L'engin avait un mouvement de rotation très rapide, mais le trou noir ne paraissait pas bouger.

    Arrivé au-dessus des arbres tout s'est éteint, retrouvant ses facultés M. Droguet bondit vers son lieu d'habitation sans demander son reste. Pendant plusieurs jours il fut très énervé de cette aventure extraordinaire : ce fut-là la plus grande peur de sa vie.

    Se rendant compte que personne ne voudrait le croire, il fit le récit de son observation à sa femme et à des amis très sûrs. La directrice du Collège fut mise à l'époque au courant et elle conseilla à M. Droguet de ne pas ébruiter cette histoire par peur du « scandale ».

    Avant son aventure M. Droguet ne croyait pas du tout aux soucoupes volantes et avait coutume d'en rire. Il a bien sûr changé d'avis.

     

    Ce n'est que par un hasard heureux que quinze ans après j'ai eu connaissance de cette observation

    N.D.L.R. — Ce n'est pas tout à fait par hasard, M. Cresson enquêtait et au cours de son déplacement il apprit beaucoup de choses dont nous reparlerons. L'enquête même banale, même de faits anciens, favorise les contacts, et ces contacts réservent des surprises ...de taille. Notre ami Tyrode nous écrivait que partit pour deux enquêtes il en ramenait huit. On nous écrit souvent, et on nous dit, il ne se passe rien chez nous. Ce n'est pas vrai, chaque fois qu'un enquêteur curieux se déplace c'est une moisson de faits qu'il ramène. Les faits ne viennent pas trouver l'enquêteur, il faut les chercher.

    GEOLOGIE. — Expert en cette science, M. Cresson nous a fait un exposé complet dont nous extrayons quelques passages seulement.

    Le Collège se trouve bâti sur une zone de contact de terrains différents. Au nord-est granulite granitique feuilletée, au sud-ouest granulite.

    Cheminée volcanique de roches basiques (olykis) tout autour. A 6 km au sud-est quartz argentifère qui a été exploité. Cette même zone présente des minéralisations uranifères reconnues par le Dr Roptin, de Dinan.

    Dinan est située sur une onde anticlinale. Il n'y a aucune faille reconnue sur la feuille géologique n° 60. Le sol est presque partout siliceux, le terrain est peu boisé.

    Source : Enquête de J. Cresson - LDLN n° 106.

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle de la RR3 de Dinan

     

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin , à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée avec M. Droguet.

     

    La symbolique des mots et des images

     

    Visite à domicile

     

    L'intelligence non-humaine est venue s'adresser directement à M. Droguet, en attendant son retour à son domicile, pour lui transmettre un message personnel en l'impliquant physiquement dans une représentation imagée théâtralisée (M. Droguet revenait d'une séance de cinéma), et dont le thème est la destiné de l'humanité, qu'il partage, et qu'il est amené à partager aux nouvelles générations, puisqu'il est professeur/enseignant dans un Collège de jeunes filles ; 

    la lueur bleue-verte braquée sur M. Droguet, qui l'aveugla au point qu'il ne pouvait plus rien distinguer, après avoir verrouillé son portique donne le signale de démarrage de la mise-en-scène de sa RR3, à laquelle il est tenu d'assister, immobilisé/paralysé, comme un spectateur à la projection d'un film de cinéma, ce qui explique l’indifférence affichée des deux Bibendums/acteurs, à son égard ;

    aucun bruit n'était perceptible la communication est donc imagée, et M. Droguet fut stupéfait qu'un tel engin puisse se tenir ainsi en l'air = nature aérienne/céleste de cette RR3/Cratophanie ;

    le témoin a trouvé le temps long, mais par la suite il estima que son observation avait duré tout au plus quelques minutes, en tout cas pas plus d'un quart d'heure, la perception du temps sacré diffère de celle du temps profane ;

    l'un des Bibendums inspectait les lieux, à un moment donné, il se pencha à une fenêtre derrière laquelle il y avait une chaufferie désaffectée, cette scène  désigne le collège et plus spécifiquement les filles car M. Droguet est un représentant de ceux qui sont nés de la femme, les héritiers de la mère de l'humanité, Eve, pour la même raison les Bibendums portent sur le ventre une boîte noire et des tas de fils en partaient à l'emplacement du nombril, la cicatrice sur le ventre des humains, à l'endroit où le cordon ombilical a été sectionné, au moment de leur naissance, les descendants innombrables (d' où les nombreux fils qui en partaient) du couple originel mythique : Adam et Eve ;

    Droguet =  étoffe de peu de valeur, grossier de serge de laine ou de laine et de fil, ce qui renvoie à Adam et Eve, et à leurs enfants et descendants, qui se sont revêtus de peaux de bête (la laine), après leur expulsion du Paradis Terrestre ;

    un de ces êtres était surtout préoccupé à ramasser des choses au sol, çà et là, (probablement des cailloux), cette activité mime le travail de la terre des chassés du Paradis qui doivent désormais gagner leur pain à la sueur de leur front ;

     

     

    Le Miroir des Bibendums

     

    Les deux êtres n'étaient pas très grands 1,60 m environ, proche des nains, ce qui dans la langue volatile des oiseaux donne : proche de l'un (= l'unique créateur) ;

    ils sont équipés d'un casque volumineux, ce qui symbolise la primauté du spirituel sur le physique (comme pour nombre d'ufonautes à grosse tête), leurs mains n'étaient pas à nu mais recouvertes par de sortes de gants = marque de noblesse, ils sont revêtus d'une sorte de combinaison gris métallisé et ressemblaient un peu au Bibendum des pneus Michelin, paraissaient avoir du mal à se mouvoir, ils marchaient difficilement à la manière des scaphandriers avec leurs semelles de plomb ce qui souligne leur nature céleste/spirituelle et non-terrestre/physique, et alors qu'ils pénétraient dans l'engin, M. Droguet perçut distinctement un bruit métallique provenant de leurs pas, la référence métallisée et du bruit métallique, symbolise la perfection de la divinité en analogie avec l’inaltérabilité du métal (nombre d'ovnis présentent une apparence métallisée de même que les combinaisons de leurs occupants) ;

    l'image-miroir du Bibendum introduit une double alternatives évolutives :

    . celle du futur de l'homme moderne momifié/robotisé ;

    . celle de l'homme pneumatique (de l'homo spiritus), de pneuma signifiant le souffle, la respiration, l'esprit ;

    [Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin. Au Canada  comme en France, on l'appelle aussi le Bonhomme Michelin.

    Cet emblème publicitaire des pneumatiques de la marque Michelin a aussi pour devises : Nunc est bibendum (c’est maintenant qu’il faut boire), Michelin, le pneu qui boit l'obstacle.

    Dans la langue volatile des maîtres Gouliards du verbe parlant, cachant, signifiant, Michelin se lit :

    . ce qui est à mi-chemin, 

    . Michelin = le petit Michel, dont l'étymologie signifie Qui est comme Dieu ?

    de même la devise : c’est maintenant qu’il faut boire, s'entend : c’est maintenant qu’il faut voir,

    (ce slogan publicitaire étant emprunté originellement à celui d'un projet d'affiche pour une brasserie qui montrait une momie brandissant une chope de bière, rappelons ici que la mise en bière signifie placer le corps du défunt à l'intérieur du cercueil : tout un programme !  Source Wilkipédia)]

    Autrement dit, l'ufonaute Bibendum, à chacune de ses rencontres très rapprochées, nous délivre le même message d'avertissement :

    attention, l'humanité qui a une vocation spirituelle transcendante évolutive (l'homo spiritus/pneumatique = présence pneumatique = présence spirituelle ou présence réelle mystique), est à la croisée du chemin (ou à mi-chemin) de s'enfermer dans le carcan, mécanisé et mortifère, du consumérisme/hédonisme immanent involutif ;

    l'échelle métallique classique est évidemment une anomalie et une incongruité incompatible, particulièrement dérangeante pour la conception  conventionnelle de visiteurs extraterrestres en villégiature sur notre planète, c'est donc une enquerre sémantique (incohérence volontaire) dans le déroulé scénarisé de cette RR3, pour attirer notre attention, sur un fait remarquable, et dont on doit s'enquérir, cette échelle, peu crédible comme moyen d'accès à un vaisseau supposé spatial est ainsi porteuse d'un sens particulier métaphorique, dont la signification symbolique, bien connue, de l'échelle du songe du Patriarche Jacob qui reliait la terre et le ciel avec laquelle les anges de Dieu montaient et descendaient sans cesse ;

    la couleur bleue-verte (cyanée = or + azur) de la lueur braquée sur M. Droguet, en provenance de l'engin qui l'immobilise en l'aveuglant symbolise la lumière (or) céleste (azur) de l'illumination divine, qui éclairait en permanence l'intérieur de l'engin, jusqu'à sa disparition ;

    le décollage de l'engin en rotation très rapide, sans aucun bruit, coïncide avec l'aspiration, comme une succion, du déplacement d'air, or les éclairs, l'orage, le grand vent - en tourbillon - sont ceux de lnuée céleste et de la tornade accompagnant traditionnellement les apparitions et les disparitions divine ;

    à son décollage M. Droguet put distinguer le trou noir au centre de l'engin qu'il vit alors circulaire, si l'engin avait un mouvement de rotation très rapide,  le trou noir, lui, ne paraissait pas bouger, c'est le symbole de la création de l'univers (l'engin circulaire) par Dieu qui est l’origine, le point de départ de toutes choses, c’est le principiel, sans forme et sans dimensions, indivisible et immobile (le trou noir) et qui voit tout (le témoin eut l'impression très nette que quelqu'un l'observait de l'engin et que c'est lui qui l'éclairait avec cet espèce de phare), en occurrence avec le glyphe du Soleil qui symbolise le Christ.

     

    En résumé :

     

     Les RR3 comme celle vécue par M. Droguet provoquent, le plus souvent, un important choc psychologique et émotionnel (et parfois physique) chez les témoins (qui les marquent à vie, M. Droguet a eu très peur, ses genoux s'entrechoquaient, il était littéralement cloué au sol et incapable de faire les deux mètres qui le séparaient du portillon pour ressortir, il sentait ses cheveux se hérisser, et pendant plusieurs jours  fut très énervé de cette aventure extraordinaire : ce fut-là la plus grande peur de sa vie) ; les anciens identifiaient, ce type de rencontre rapprochée avec l'ineffable, à des Théophanies (le dimanche est le jour du Seigneur), dont l'objectif est de susciter une profonde remise en question de soi-même, à un tournant crucial de l'existence, et ils les assimilaient habituellement aux interventions des célestes, enseignant les hommes, serviteurs et messagers de la Divine Providence qui accompagne l'humanité.

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     
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