• Les Trinitaires

     

    Toulon-sur-Arroux (71) - Juillet/août 1944 - entre 15 h et 16 h

    RR3 de Melle Madeleine Arnoux - 13 ans

    Source : LDLN n° 118 - juin 1972 - Dessin Fernand Lagarde

     

    Jésus dit à Nicodème :

    « Le vent souffle où il veut, tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi pour qui est né du souffle de l’Esprit. »

    Nicodème :

    « Comment cela peut-il se faire ? »

    Jésus lui répondit :

    « Tu es un maître qui enseigne Israël et tu ne connais pas ces choses-là ? »

    [Jean 3-8]

     

     

    Les Trinitaires

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    [Toulon-sur-Arroux (71) - Saône-et-Loire - Bourgogne-Franche-Comté est une commune rurale peu ou très dense, au climat tempéré chaud - Habitants :

    1 839 en 1936  (42.05 hab/km2) - 1 843 en 1946 (42.14 hab/km) - 1 953 en 1968 (44,7 hab/km) 1 472 en 2020 (33,7 hab/km2) - Superficie : 43.73 km2]

     

    Toulon-sur-Arroux (71)

     

    Le Pont du Diable

     

    Le pont du diable a été achevé en 1140. Il mesure 140 m de long, et il est divisé en 13 arches. La légende évoque la rencontre du diable avec un maçon. Celui-ci est très en retard dans ses travaux, et il sait impertinemment qu’il ne pourra terminer le pont dans les temps. Il faut dire que le délai imposé était bien trop court et que tous les maçons de la région se sont vite découragés. Notre bon ouvrier, sûrement trop naïf s’affranchit de cette mission impossible.

    Le diable lui apparût, et lui proposa un pacte : sa jolie fille en échange de la dernière pierre qui permettra de terminer les travaux. Avec beaucoup d’hésitation, il finira par accepter. Satan comptait utiliser un gros bloc de pierre visible dans la forêt d’Uchon pour aider le maçon à terminer sa dernière clef de voûte. Le diable pensait avoir gagné la partie, mais c’était sans savoir que la jeune fille avait un fiancé secret.

    Celui-ci, découvrant le pacte entre le diable et son futur beau-père, s’empressa auprès de sa chérie pour tout lui raconter. Ne comptant pas se laisser voler sa fiancée, il partit le soir dans la forêt d’Uchon pour surveiller le rocher et ainsi empêcher le diable d’apporter le rocher au maçon avant le matin. Un long combat oppose le jeune homme au démon. Le soleil se lève, et le diable ne pouvant plus respecter le pacte, laissera finalement qu’une empreinte de ces griffes sur ce rocher. (Visible à Uchon). On dit aussi que ce pont fut construit pour éviter à la fille du duc de Bourgogne de traverser l'Arroux en soulevant ses jupes, ce qui l'obligeait à révéler son pied-bot. Source : Commune de Toulon-sur-Arroux (71).

     

     Les Griffes du Diable

     Patrimoine du Morvan - Uchon (71) - Le Mont Saint Julien

     

    Grosse pierre en granite de 12m de diamètre et de 3m de haut en équlibre sur un socle et portant des rainures verticales. Légende de la Griffe du Diable : Un maître maçon avait pris la tâche de construire le pont de Toulon-sur-Arroux, dans un délai convenu sous peine d'une très forte indemnité. Par une sorte de fatalité, le terme convenu approchait, et le travail peu avancé faisait se lamenter le pauvre entrepreneur, qui ne pensait pas pouvoir échapper à l'amende...
     
     
    C'est alors que le diable lui fit cette proposition : Donne-moi la main de ta fille, et le pont sera achevé sans retard. Le pacte accepté, l'homme s'en repentit aussitôt et l'aurait bien volontiers rompu, attristé qu'il était du chagrin de sa fille et de la pensée d'avoir un pareil gendre.
     
    Le diable, au contraire en était très joyeux ,tout en chargeant la pierre de la Beuchotte sur ses épaules. Elle allait suffire pour l'achèvement du pont. Mais la jeune fiancé, qui priait dieu, eut une inspiration soudaine. Il s'en alla avant l'heure réveiller du coq dans la Gelinière, celui-ci se mit aussitôt à chanter si fort que le démon l'entendit et laissa tomber la pierre ou demeura l'empreinte de ses griffes. Source : H. Marlot.

     

     

    Toulon-sur-Arroux (71)

     la Sainte Trinité

     

    De gueules à trois quintefeuilles d'or

     

     

    Mme Arnoux Madeleine raconte :

    Les faits remontent à 1944, au cours de l'été. J'avais alors 13 ans et je me rendais chaque semaine, à bicyclette, dans une ferme située à quelques km, pour y chercher un peu de « ravitaillement ».

    Je suivais donc, au départ de Toulon-sur-Arroux (71) (Michelin n° 69, pli n° 17) la charmante RD 42, bordée de bois, en direction du hameau dit du « Verger ». Peu avant d'y arriver, je mis pied a terre pour cueillir des baies sauvages que je savais trouver là.

    A cet endroit, un chemin de terre quitte la route et s'enfonce sur la droite à travers bois.

    J'avançais donc sur ce chemin, lentement, cherchant des fruits. Machinalement je levais la tête... plus loin à quelques centaines de mètres le sentier monte un peu et forme une courbe prononcée sur la droite pour disparaître à la vue dans les bois. Juste à cet endroit « la chose » était arrêtée.

    Je me souviens qu'il faisait très chaud, orageux et que le ciel était assez couvert.

    Donc, là-bas, quelque chose était arrêté le long du bois et des êtres se tenaient tout près.

    A présent je pense que l'engin devait être de la taille d'une de nos petites voitures actuelles (genre Volkswagen) de couleur gris métallisé, terne. Je ne me souviens pas d'avoir observé d'ouverture. Les êtres qui se tenaient à côté devaient mesurer moins de 1 m de haut et étaient vêtus de sortes de combinaisons de couleur brune. Ils ne firent aucun geste dans ma direction et, pour ma part, j'étais figée sur place.

    Combien de temps dura cette observation mutuelle ? je ne puis le dire, mais je me souviens de l'atmosphère oppressante, encore aggravée par le temps orageux et de mon impression de ne pouvoir bouger... Soudain je pus réagir et voulus reprendre mon vélo qui gisait à quelques mètres. Le temps de me baisser et, en relevant la tête pour regarder à nouveau l'étrange apparition, il n'y avait plus rien. Seulement, à cet endroit, les arbres étaient agités par un vent violent. Je n'ai pas songé à regarder en l'air, où j'aurais sans doute pu encore apercevoir l'engin qui s'envolait.

    J'étais terrifiée et je m'en fus en toute hâte à la ferme où bien entendu je ne parlais de rien ! Je n'en parlais pas davantage chez moi en rentrant, car je me doutais bien qu'on me traiterait de menteuse et d'affabulatrice ! Longtemps je pensais à l'étrange rencontre et puis je l'oubliais... Il a fallu que l'on commence à parler des « soucoupes volantes » pour que je fasse le rapprochement et que je pense que j'avais sans doute vu là un de ces mystérieux ovni.

    Après tant d'années l'image est encore très nette dans ma mémoire et je sais bien que je n'ai pas rêvé et que ce que j'ai vu dans les bois ce jour-là n'était rien de « connu ». Il ne pouvait s'agir d'aucun véhicule de l'époque, d'ailleurs assez rares, pour que je l'identifie à coup sûr. L'endroit de la rencontre était désert, le chemin mène dans les bois, les fermes les plus proches sont à 1 km. Nous étions en 1944, les maquisards étaient nombreux dans la région, mais il ne pouvait s'agir d'aucun d'entre eux. Pas plus que de soldats allemands, et sans doute les uns ou les autres m'auraient interpellée. Il faut donc bien penser que j'ai assisté là à l'une des premières visites d'ovni.

    J'ajoute deux croquis sommaires des lieux, mais il me faudrait aller sur place pour être plus précise...

    N.D.L.R. — Merci Mme Arnoux, le fait important demeure, même si les croquis sont faits de souvenirs un peu imprécis. Que de faits importants sont encore méconnus ! et sans doute est-ce de notre faute, parce que la revue LDLN n'est pas assez diffusée.

    Mme Arnoux ignore que la charmante D 42 est traversée par une importante faille géologique de 110 km de long qui, située à l'O de Toulon-sur-Arroux, ne devait pas se trouver très loin du lieu d'atterrissage.

    Elle ignore sans doute les observations du bois de Chazey, à 14 km au S, où le moteur cala, où la voiture fut privée de lumière (A. Michel, page 214); celle de Montceau-les-Mines (A. Michel, page 213), à 20 km à l'E où ce fut un vélomoteur qui cala ; celle de Ciryle-Noble (A. Michel, page 213 de la même édition « Planète » : « A propos des SV »), à 18 km au S-E, où un disque aveugla le témoin, et combien d'autres que nous avons publiées, qui montrent que cette région est fréquentée, et apportent avec la faille un appoint de crédibilité à cette observation d'un témoin unique.

     

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    Les Messagers

     

     La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.

    Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ...  sont les théophanies des ancien.

     

    La Capsule Temporelle de la RR3 de Toulon-sur-Arroux

     

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin , à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée avec la Demoiselle Madeleine Arnoux.

     

    La symbolique linguistique

     

    Le cap de l'existence

     

    Le point de départ :

     

    Le point de départ habituel pour la course de ravitaillement de le Demoiselle Madeleine Arnoux est Toulon-sur-Arroux (= bas-pied de montagne/source - sur - rivière/lieu pierreux), sert de métaphore à ses débuts dans la vie physique et spirituelle, sur le chemin (pierreux) de son parcours (cours de la rivière) de son existence et son accomplissement personnelle, après l'enfance, la jeunesse, à l' âge de l'adolescence (où elle est parvenue, elle a 13 ans, qui est le troisième âge de l'existence, souligné, ici, par les 3 silhouettes ou Trinitaires) cf. : les cinq âges de l'existence : 1/l'âge de l'enfance, 2/l'âge de l'adolescence, 3/l'âge de la jeunesse, 4/l'âge de la maturité, 5/l'âge de la sagesse).

     

    La feuille de route :

     

    Sa destinée est de s'élever, Madelaine = la tour - Arnoux = aigle, à la transcendance, vers Dieu, qui est représenté par l'engin et les 3 nains (les 3 uns) symbolise Dieu en sa Sainte Trinité (qui la berce et la materne, comme l'indique la direction du chemin qui va vers Bust = bercer, materner, et sur lequel repose l'engin avec ses 3 silhouettes, dont la disparition coïncide avec l'agitation des arbres par un vent violent, or les éclairs, l'orage, le grand vent - en tourbillon - sont ceux de lnuée céleste et de la tornade accompagnant traditionnellement les apparitions et les disparitions divines).

    La couleur brune des 3 silhouettes est celle de l'ambre jaune (le tan/le tanné) = l'ambroisie = le nectar immortel du divin, le « chose » métallisée gris, terne, symbolise la perfection de la divinité en analogie avec l’inaltérabilité du métal (et c'est pour la même raison que nombre d'ovnis sont métallisés et leurs occupants équipés de combinaisons métallisées). 

     

    Les impasses à éviter :

     

    Le chemin du matérialisme/scientiste figuré par la direction de Char = la roche, la matière l'hédonisme/consumérisme.

     

    Le labyrinthe de la religion du dogmatisme autoritaire figuré par la direction d'Issy-sous-l'Évêque = le bois-sous-l'Evêque = les méandres de la spiritualité temporelle.

     

    Le point d'arrivée :

     

    Le Verger, sa destination géographique, est l'équivalent de jardin, autrement-dit du Paradis.

     

    En résumé :

     

    Les RR3 (trinitaires), comme celle vécue par Mme Madelaine Arnoux provoquent, le plus souvent, un important choc psychologique et émotionnel (et parfois physique) dont les témoins sont marqués à vie (de 1944 à 1972, Mme Madelaine Arnoux n'a rien oublié de sa rencontre rapprochée), pour les anciens, ce type de rencontre rapprochée avec l'ineffable, étaient des Théophanies, dont l'objectif est de susciter une profonde remise en question de soi-même, à un tournant crucial de son existence (d'où  la « chose » positionnée juste dans la courbe prononcée du chemin des bois), et ils les assimilaient habituellement aux interventions  des célestes, enseignant les hommes, serviteurs et messagers de la Divine Providence qui accompagne l'humanité.

     

     

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

     

     

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