• Les Hiérogamies

     

     

    « Les ovnis sont des hallucinations collectives provoquées par des extraterrestres. »

    Jacques Bergier

     

    “… les hommes ne chercheront qu’à gagner de l’argent, les chefs d’états ne protégeront plus les peuples et au moyen des impôts s’approprieront leurs richesses, et il y aura beaucoup de mendiants et beaucoup de personnes déplacés, errant d’un pays à l’autre, le héros et le guerrier seront moqués et bannis, les rois seront des voleurs et les voleurs deviendront rois, …. ”

    [Extraits de l’Âge de Fer ou Kali Yuga, selon la Cosmogonie Hindoue] 

     

     

    Les Hiérogamies

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    Aux environs de Salzbourg - Autriche - 15/05/1951

    RR3/RR4 du soldat américain M. Z.

     

    Après quelques cas d'enlèvements « potentiels » (mais non réussis) qui furent publiés à l'époque, la presse narrera en 1956 et 1957 deux enlèvements. Le second, dont fut victime un soldat américain de l'armée d'occupation basée en Autriche (et que nous appellerons Z. puisqu'il refusa que son nom fût divulgué), a été relaté dans l'édition du 11 décembre 1957 du Prince George Citizen (journal de Colombie britannique), avant d'être repris par la presse locale. Il se serait produit quelques années auparavant, le 15 mai 1951.

    La scène se passe aux environs de Salzbourg, il est à peu près onze heures du soir. Son service terminé, Z. (chauffeur d'un colonel) rentre à bicyclette chez lui par un raccourci.

    D'un bosquet, surgit un personnage de petite taille qui pointe dans sa direction un mince objet semblable à un crayon. Le soldat entend un cliquetis, se sent paralysé et croit qu'il va tomber. L'être s'approche, lui attache sur la poitrine une plaque noire. Aussitôt, le soldat a l'impression que son corps, affranchi de la pesanteur, ne repose plus sur le sol.

    L'être l'entraîne vers une grosse masse ronde d'une cinquantaine de mètres de diamètre posée dans un champ. Z. se sent poussé à l'intérieur de cette masse dont une porte vient de s'ouvrir.

    Il est dans le noir, persuadé d'avoir été capturé par un espion. Peu à peu ses yeux s'habituent à l'obscurité et il découvre que les parois de l'objet sont totalement transparentes :

    à travers elles, il peut distinguer le paysage et les étoiles. Son ravisseur le maintient toujours sous l'action du mystérieux petit instrument. La structure s'élève dans les airs.

    L'être passe dans une autre salle de l'engin sans plus s'occuper de son prisonnier qui le guette à travers les cloisons « de verre ou de plastique ».

    Le soldat croit rêver tant est invraisemblable l'apparence de cet humanoïde chauve et vêtu d'un collant argenté : tête cylindrique, front démesuré, immenses yeux à facettes comme ceux d'une mouche, nez et oreilles réduits à de simples orifices, mains très allongées ne comportant que trois doigts.

    Une telle créature ne saurait être que le diable, pense le soldat qui finit par se demander s'il n'est pas mort. Le vaisseau poursuit sa course, survole de si près la Lune que Z. peut en observer les cratères. La Terre s'éloigne, minuscule.

    Le vaisseau met le cap vers une autre planète couverte de champs rouges, de rivières, de ponts et d'une végétation luxuriante ; il se pose à la verticale sur une plateforme dominant un vaste parking où sont agglutinés des centaines de vaisseaux spatiaux gris, dorés ou argentés, et le pilote descend s'entretenir avec un alien sorti d'une autre machine volante à l'intérieur de laquelle Z. remarque des humains capturés comme lui : des hommes, des femmes, même des enfants.

    Quelques instants plus tard, toujours sans se soucier de son passager forcé, le pilote regagne le vaisseau qui, à une vitesse fulgurante, retourne vers la Terre.

    Le soldat est déposé près de l'endroit d'où il avait été enlevé. Avant de le quitter, l'être pointe encore son petit instrument vers lui. « Sans doute pour me faire tout oublier », commentera le soldat au journaliste qui l'interroge.

    Il est de retour chez lui à minuit vingt. Le voyage a duré une heure. Z. se sent malade, mais n'ose rien dire à sa femme :

    « Elle aurait pensé que j'étais devenu fou. » 

    Trop insolite pour son temps, l'histoire de ce soldat américain est tombée à plat. Dans le fouillis des greniers à délire.

    Qui aurait pu imaginer que la plupart des éléments de cette folle équipée seraient relatés de nos jours par de nombreux témoins dont la bonne foi n'a pu être prise en défaut ?

    A cette époque, nous tenons à le rappeler, de telles histoires, considérées comme de pures billevesées, ne retenaient pas l'attention. Selon le credo ufologique de ce temps-là, les soi-disant tentatives de capture d'humains par les ET ne pouvaient réussir simplement parce qu'elles ne se produisaient pas [faux ... pour les debunckers infiltrés dans le milieu ufologique, peut-être, ... mais pas pour les authentiques ufologues comme Jimmy Guieu - GC].

    Source : Marie-Thérèse de Brosses Enquête sur les enlèvements extraterrestres - Plon - 1995

    Les capsules temporelles

     

     Selon la Pataphysique, définie par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907) créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895),  comme la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique, c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique [cf. Les Faux-Vrais], et les symboles universels sont intemporels, assimilés consciemment ou sur les modes subconscient/supconscient, constituent des capsules temporelles, vecteurs des visions/perceptions et des interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle de la RR3/RR4 du soldat américain Z.

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin , à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée avec du soldat américain Z.

     

    La symbolique des mots et des images

     

    l'engin extraterrestre d'une cinquantaine de mètres de diamètre est une masse noire à la fois noire et transparente à travers laquelle M. Z. aperçoit les étoiles, ce qui est une figuration du ciel ;

    la plaque noire posée sur la poitrine de M. Z. l'identifie comme une créature incarnée dans la matière physique dont le noir est la couleur ;

    le mince objet semblable à un crayon pointé sur M. Z. figure le stylet de l'écriture du verbe/parole sacrée transmis au travers de sa RR3/RR4 ;

    la petite taille du personnage extraterrestre renvoie à celle des nains qui dans la langue des volatiles s'entend de l'un = le divin créateur ;

    le personnage extraterrestre est revêtu d'un collant argenté signifiant qu'il est inaltérable et brillant comme du métal pour symboliser sa nature divine/angélique/spirituelle ;

    ses yeux démesurés sont à facettes comme ceux des mouches qui ont une vue à 360°, avec une vision qui décomposent les mouvements en 200 images à la seconde, contre seulement 24 images pour les humains, pour signifier sa compétence de clairvoyance ;

    sa tête cylindrique renvoie aux capsules/tubes porteur d'un message ;

    son front est démesuré soulignant sa nature spirituelle/métaphysique ;

    la tête chauve du personnage extraterrestre signifie qu'il ne s'est pas recouvert d'une tunique de peau de bête, contrairement à la Communauté des âmes vagabondes (des anges rebelles/les brillants menés par leur gouverneur, Lucifer, le porteur de lumière) et qui se sont hybridés/alliés avec les filles des hommes (qu'ils trouvèrent belles), en s'incarnant de cette manière, ils se sont métaphoriquement recouverts d'une tunique de peau de bête ;

    la mise en apesanteur de M. Z signale le rôle de cette RR3/RR4 dont l'objectif est d'amener M. Z.  à prendre de la hauteur, à s'élever vers la transcendance ;

    le 15 mai 1951 est le jour de la fête de Ste Denise = donnée à Dieu/plante de Dieu, considérant ainsi le soldat M. Z. ;

    les seulement 3 doigts du personnage extraterrestre symbolisent la nature humaine du corps, de l'âme et de l'esprit ;

    l'exoplanète aux champs et à la végétation luxuriante rouges est la figuration de la sphère spirituelle, rouge = feu = esprit ;

    les hommes, les femmes et les enfants, qui sont comme M. Z. enfermés dans la coque d'une machine volante est la figuration de l'enfermement/paralysie dans le cocon du matérialiste/hédonisme/consumérisme.

     

    Autriche

    la rencontre rapprochée de l'eau et du feu

     

    De gueules à la fasce d'argent.

     

    En résumé :

    Le soldat américain M. Z. a vécu en Autriche (= le Royaume de l'Est = de la Lumière) une Rencontre Rapprochée avec l'ineffable, le plongeant dans l'autre monde de nature spirituelle, cette cratophanie est la hiérogamie = l'alliance sacrée figurée par le blason de l'Autriche où la fasce = la rencontre d'argent = de l'eau de la vie physique qui se marie avec le gueules/le rouge = le feu de l'esprit métaphysique.

     

     

     

    Ce Land-Art est un double Cryptex (signalé par les 2 points en obèle) qui sonne comme un avertissement aux hommes épris d'hédonisme paradisiaque, dont la Floride est le symbole, au détriment de l'élévation spirituelle, ce qui les conduirait fatalement à leur perte (mise en tombeau) [Cf. Livre V].

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

     

     

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