• Les Théophanies

     

     

     

    « Tout ce qui est couvert d’un voile sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu. »

    [Luc 12.54-56]

     

     

    Les Théophanies Futuristes

     

    le ciel nous parle …

      … selon la Pataphysique, définie par Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907) le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907)  comme la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique, c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique [cf. Les Faux-Vrais] …

    … avec son langage symbolique …

      nous transmettant des visions/perceptions et des interfaces dynamiques qui nous relient aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. [Hypothèses de Broglie/La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste] …

    … ses Théophanies futuristes …

    ce mode de communication (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition ou cratophanie perçue comme supranaturelle.

    Nos ancêtres voyaient dans ces manifestations/apparitions supranaturelles, des Rencontres Rapprochées avec l'ineffable, et les considéraient comme des capsules temporelles porteuses de message transmises, individuellement ou collectivement mais destinées à l'humanité dans son ensemble.

    Le déroulé de ces cratophanies est toujours précis, leur mise-en-scène élaborée, avec un sens de lecture ordinaire et une lecture de sens extraordinaire, … chimériques, fabuleuses, fantastiques elles nous apparaissent maintenant comme des théophanies futuristes.

     

     

     Les Théophanies

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

     Fabrègues (34)

    la basilique des pauvres

     

    D'or à un arbre de sinople.

     

     

    [Fabrègues (34) /habitants : 1 771 (56,3 hab/km2) en 1968 - 2 522 (80,2 hab/km2) en 1975 - 7 194 (228,7 hab/km2) en 2020 - Commune urbaine dense ou de densité intermédiaire - Superficie : 31.46 km2 - climat méditerranéen franc - 10 km de la mer et de Montpellier]

     

     

    La Maison des Templiers de Launac-Le-Vieux à Fabrègues (34)

     

     

    Véritable mémoire du passé médiéval de notre région, la Commanderie a vu le jour au XIIème siècle grâce aux Templiers. Reconstruite au XIVème par les Hospitaliers, elle a pris sa forme définitive aux XVIème et XVIIème. Maison templière puis propriété des Chevaliers de Malte, elle fut vendue comme Bien National à la Révolution. Aujourd’hui entièrement restaurée, la demeure a retrouvé son élégance et sa superbe tout en conservant les éléments architecturaux qui en font l’âme. Elle abrite en son sein une chapelle consacrée, à la voûte étoilée d’or. [Tripadvisor]

     

    Fabrègues (34) - Chapelle Saint Baudile - 06/12/1973 - entre 18 h 45 et 19 h 00

    RR2 de Fernand Perez (14 ans), Jean-Paul Dazevedo (14 ans)

     

    Atterrissage près de FABREGUES (Hérault) Le 6 Décembre 1973

    Enquête de M. CARRIES

     

    L'observation a eu lieu le jeudi 6 décembre entre 18:45 et 19:00 et les témoins sont au nombre de sept :

    Fernand Perez (14 ans), Jean-Paul Dazevedo (14 ans) témoins principaux, qui ont vu l'objet posé ; Jean Rodriguez (fils) ; Thierry Castel (15 ans et demi) ; Jean Yunta (15 ans) ; Jean Rodriguez (père) quinquagénaire, agriculteur ; Christian Azema (âge non précisé : la trentaine) ; Antoine Bas, ses deux fils, sa fille et son gendre.

    LES LIEUX

    L'observation s'est déroulée tout près de la chapelle de Saint-Baudile située à 5 km de Fabrègues, sur une colline d’où l'on admire toute la région entre Montpellier et Sète. Ce lieu est sauvage et désertique, fait de cailloux, de rochers, et comme seule végétation le maquis méridional.

    LES FAITS

    Tout commence donc vers 18:45 lorsque F. Perez et J.-P. Dazevedo décident d’aller essayer leur vélomoteur dans la fameuse côte de Saint-Baudile, au pourcentage très élevé. C'est alors que presque arrivés au sommet les témoins aperçurent une lueur intense qui éclairait la chapelle. Mais je leur laisse la parole.

    « Nous étions presque arrivés lorsque je dis à Jean-Paul : « Regarde, la chapelle est toute éclairée ! » Cette lumière semblait provenir d’un puissant projecteur. Nous laissâmes nos vélomoteurs et continuâmes à pied jusqu’à une petite croix située à une trentaine de mètres de la chapelle ; et c’est de là, à notre grand étonnement, que nous avons vu l’objet. Il était circulaire, d’un diamètre d’une dizaine de mètres environ, pour une hauteur de 3 m 50 approximativement. Il était posé sur des pieds que nous n’avons pu voir entièrement car l’objet était en contrebas par rapport à la pente. Sa couleur était assez claire, comparable à de l’aluminium.

    Tout autour de la coupole on pouvait distinguer des feux de couleur rouge et blanche qui clignotaient. Un léger ronronnement, semblable à celui du moteur électrique, émanait de l’objet.

    Sur la partie supérieure de la coupole on pouvait apercevoir une porte qui s’est ouverte en coulissant, d’où sortit une échelle qui se déplia.

    « Je tiens à préciser que cette porte s’est ouverte en son milieu. »

    A cet instant précis les deux témoins, en proie à une peur intense (on peut aisément les comprendre), rebroussèrent chemin, enfourchèrent leurs vélomoteur et filèrent à toute allure prévenir à Fabrègues les gens qui voudraient bien les croire.

    Au détour d’un chemin ils ont constaté que l’objet s’était élevé et suivait lentement la route qu’ils avaient empruntée.

    Arrivés à Fabrègues, ils racontèrent leur aventure à la salle de jeu où ils avaient l’habitude de se rendre. Devant cet extraordinaire récit trois autres garçons décidèrent d’aller sur les lieux eux aussi :

    Jean Rodriguez (fils), Thierry Castel, Jean Yunta. Il devait être entre 19:15 et 19:30.

    « Arrivés sur les lieux nous n’avons pas vu d’objet, mais une lueur intense nous éblouit qui nous empêchait de distinguer quoi que ce soit. Nous aussi, pris de peur, nous avons dévalé la pente comme des fous et croisant en chemin F. Perez et J.-P. Dazevedo qui remontaient, nous leur avons crié de rebrousser chemin, chose qu’ils firent sans se faire prier.

    A partir de ce moment, la curiosité aidant, deux voitures contenant parents et amis prirent le chemin de Saint-Baudile ; il s’agissait de M. Rodriguez père et de M. Azema, accompagnés des deux principaux témoins ; M. A. Bas, ses deux fils, sa fille et son gendre.

    Je laisse M. Bas s’exprimer:

    « Nous avons tous vu un objet lumineux, d’une forme apparemment ronde, qui donnait l’impression de vouloir se poser là où l’avaient vu les deux premiers témoins ; mais il partit après quelques « hésitations » et il disparut derrière la crête en direction de Sète. De nombreux automobilistes ont aussi observé cette boule lumineuse rouge qui évoluait entre Sète et Montpellier. Il était 22:00. »

    Enfin, le témoignage très important de MM. Rodriguez et Azema qui, accompagnés des deux témoins (Perez et Davezado), se rendirent sur le lieu de l’atterrissage. A la lueur de leurs phares ils examinèrent attentivement l’endroit et aperçurent quatre traces rectangulaires d’environ 30 cm sur 40 cm (les témoins, eux, ne virent que trois pieds) bien marquées sur le sol et enfoncées d’environ 3 cm. Deux petits trous rapprochés d’une trentaine de cm furent aperçus entre les deux traces situées face à Fabrègues. Le sol était chaud une heure environ après l’observation.

    Plusieurs jours plus tard d’autres témoins aperçurent, eux aussi, des lueurs bizarres près de Saint-Baudile. Je voudrais toutefois signaler qu’à nouveau une boule lumineuse fut aperçue le 3 janvier par deux autres témoins.

    Voilà relatés les faits et témoignages d’une remarquable observation.

    J’ajouterai mes impressions.

    Nous nous sommes rendus sur les lieux avec M. Juge, le dimanche 23 décembre 1973, dès que j’appris l’observation. L’impression qui se dégage tout d’abord de notre enquête est que les deux gamins et certains témoins oculaires paraissent traumatisés et fortement impressionnés par ce qu’ils ont vu (je n’exagère pas les qualificatifs). Les gamins arrivant à Fabrègues étaient blancs comme un linge (expression du frère d’un témoin). Ce dernier, le témoin Fernand Perez, n’a pu dormir de la nuit et a eu de violents maux de tête durant trois jours, avec quelques picotements aux yeux.

    Je n’ai pu interroger J.-P. Dazevedo que je n’ai pas vu. Il faut dire qu’à Fabrègues s’est installé un véritable climat de méfiance envers les « étrangers ». En effet, la radio, la télévision, les journaux étant passés par là, les parents des témoins présentent des signes de lassitude.

    J’ai pu me rendre toutefois sur les lieux avec M. Fernand Perez et j’ai pu effectuer des relevés ainsi que des prélèvements de terre, qui était d’ailleurs rare, vu que c’était un terre-plein où la route goudronnée finissait.

    J’ai eu la bonne idée de planter des lentilles dans cette terre (semer) ainsi que dans un autre pot témoin que j'avais prélevé à 10 m de l’atterrissage. J’ai maintenant un pot très fourni et un autre, là où l’objet s’est posé, où rien n’a poussé. Les lentilles de ce dernier, examinées à la loupe binoculaire, paraissent normales. La terre examinée au microscope polarisant ne donne aucune différence entre les deux échantillons. Vu la pluie qui est tombée en abondance durant 15 jours (il a plu même dans le Midi) je n’ai pu constater aucune trace le 23 décembre, soit 17 jours après l’observation.

    Par M. CARRIES, technicien du Laboratoire Océanographique de Sète, un essai de germination de lentilles sur la terre prélevée sur les lieux de l'atterrissage.

    18 janvier 1974.

     

    A gauche : la terre a été prélevée sur l’emplacement présumé de l'objet : rien n’a poussé.

    A droite : le prélèvement de la terre a été fait à 10 m de l'emplacement présumé de l’objet : la germination des lentilles a été normale ainsi que la pousse des plantes.

    Je tiens à dire aussi que le récit de M. Attard, journaliste du Midi-Libre, est très objectif et ne présente aucune contradiction fondamentale avec notre enquête, à part quelques détails, comme l’espace entre les traces : les témoins ont été très peu précis quand je leur ai posé la question. D’après leurs dires j’en ai conclu qu’une distance d’environ 2 m séparait les traces. Je vous communique aussi les dimensions approximatives de l’objet : diamètre 10 à 13 mètres, hauteur 3 m 50 à 4 m. Hauteur de la porte environ 1 m.

    Deux « phares » disposés sous l’objet éclairaient entièrement le parterre d’une lueur éblouissante (ceci pour expliquer la chaleur constatée par deux témoins). Ils ont pu constater qu’il y avait comme un hublot sur le haut de la coupole d’où émanait une lumière comparable à celle d'une lampe électrique. Je signale particulièrement ce détail qui les a impressionnés.

    N.D.L.R. : Merci à M. Carriès pour son excellent rapport, de sa visite des lieux avec le principal témoin, absolument nécessaire pour être objectif, et surtout de sa riche initiative de l’essai de germination de graines de lentilles qui apporte la preuve matérielle du séjour d’un phénomène à l’emplacement indiqué par le témoin.

    J’avais programmé 15 jours plus tôt l’article du « Midi Libre » sous la signature de Francis Attard. A la lecture il n’apporte pas grand chose de plus sauf, peut-être, la confirmation de l'état d'excitation de F. Perez. Sa mère se souvient que quand son garçon est rentré le 6 décembre, il était tout pâle et est allé se coucher sans manger. Toute la nuit il a fait des cauchemars, se réveillant en sursaut en criant : « Vite il faut partir. Dépêchons-nous ! »

    Le journaliste apporte aussi la certitude qu'il n'y avait, ce jour-là, aucune manœuvre des militaires dans la région de Saint-Baudile.

    Mais j'avais programmé une note que voici :

    Excellent reportage de F. Attard qui cite mes travaux : failles et sources en extrapolant bien un tout petit peu, mais il a raison d'en parler.

    Saint-Baudile est en effet situé au N d'un complexe faillé, dont trois failles principales suivent la montagne de la Gardiole, de Cette-Balaruc vers Montpellier. A proximité de Saint-Baudile, la grotte de la Madeleine. Une autre fontaine appelée aussi la Madeleine jaillit également sur le territoire de la commune de Villeneuve : Saint-Baudille est à 4 km à l’O de Villeneuve (eau fortement acidulée, alcaline, semblable à l’eau de Seltz).

    De plus, comme on peut s'en rendre compte sur la carte des observations françaises, qui ont été publiées à l'intention des chercheurs, Saint-Baudile s'inscrit dans un couloir d'observations qui, partant du S de l’Andorre va jusqu'au Val de Suze devenu célèbre par les observations de Turin. C'est un couloir parallèle à Bavic, jalonné par Puigcerda, Béziers, Agde, Sète, Montpellier, Nîmes, Gap, Briançon, Suze-Turin.

    On remarquera une certaine analogie avec l'engin de Fourmies et de bien d'autres. Comme à Fourmies la porte était tournée vers les témoins. Hasard peut-être... Comme à Fourmies les témoins ne voient que trois pieds et on découvre quatre traces. Il est dommage que nous n'ayons qu'un témoignage sous l'éclairage des phares, et qu'un spécialiste ou autre n'ait pas pu en faire un relevé exact le lendemain.

    F. Lagarde

    Source : Enquête de M. Carries - LDLN n ° 134

     

    Dessin des témoins effectué avec l'enquêteur - Source : Jacques Rigaud

     

    Les capsules temporelles

     

     Selon la Pataphysique, définie par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907) créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895),  comme la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique, c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique [cf. Les Faux-Vrais], et les symboles universels sont intemporels, assimilés consciemment ou sur les modes subconscient/supconscient, constituent des capsules temporelles, vecteurs des visions/perceptions et des interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    Le Mont Saint Baudile (34)

     

     

    La Capsule Temporelle de la RR3/RR4 du Mont Saint Baudile

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée avec Saint Baudile.
     

     

     La Théophanie de la Chapelle de Saint Baudile

     

    Les Messagers

     

     La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.

    Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ...  sont les théophanies des anciens.

     

    La symbolique des mots et des images

     

    La RR2/cratophanie de Fernand Perez (14 ans), Jean-Paul Dazevedo (14 ans) a eu lieu au pied la chapelle Saint-Baudile érigée sur un mont, à 187 m d’altitude, d’un prieuré du moyen âge (Xe ou XIe siècle) qui est une terre consacrée de l'église de Saint Pierre, ce qui en fait une théophanie ;

    Fernand = protecteur/courageux Perez = fils de Pierre (14 ans), Jean-Paul = Yahvé fait grâce (au petit/faible) Dazevedo = du lieu du houx (14 ans), nous confirment la nature sacrée de cette apparition surnaturelle ; le fils de Pierre = fils de l'église chrétienne, qui fait grâce aux plus humbles (les petits/les faibles) du houx : dont la couronne tressée aux fêtes de Noël et du Nouvel An, représente la couronne d'épine du Christ maculée de son Saint Sang, symbolisés par ses épines et ses baies rouges ;

    [Pour les chrétiens, le houx est spécifiquement associé à la naissance de l’Enfant Jésus. Selon l'Évangile de saint Marc, le roi Hérode chercha à massacrer les nouveau-nés juifs de la bourgade de Bethléem (en Galilée) pour éliminer celui que les textes prophétiques annonçaient comme le roi des juifs. Marie, Joseph et l’enfant  s'enfuirent en Égypte. Selon une légende populaire, à l'approche d’une troupe de soldats, ils se cachèrent dans un buisson de houx, qui, dans un élan miraculeux, étendit ses branches pour dissimuler la Sainte Famille derrière son épais feuillage épineux et ainsi les sauva. Marie bénit alors le buisson de houx et souhaita qu’il restât toujours vert en souvenir de sa protection et comme symbole d'immortalité. Wikipédia].

     
    La légende de Saint Baudilus (Baudile) raconte qu'il est venu un jour dans la ville Nîmes lors d'une fête célébrée par les Salii ou Agonales en l'honneur de Véiovis. La fête était célébrée sur les collines proches de la ville, autrefois couvertes de chênes, mais désormais occupées par des vignes. Une foule rassemblée sur les flancs des collines assistait à la cérémonie, impliquait des sacrifices d'animaux Baudilus condamna cette cérémonie et renversa une statue du Dieu. Furieux de cette insulte, les prêtres païens fouettèrent puis exécutèrent Baudilus en le décapitant à coup de hache. Selon la légende, sa tête coupée a rebondi trois fois sur le sol, chaque impact faisant jaillir une source d'eau. Sur ces sources d'eau fut plus tard construit un oratoire : l'oratoire des Trois-Fontaines. Wikipédia.
     
    Ces Trois-Fontaines est l'évocation de la Sainte-Trinité, dispensatrice de l'eau de la vie spirituelle, d'où les trois pieds de la soucoupe volante se manifestant (s'imprimant) dans le sol de Saint Baudile avec 4 empreintes carrées représentant le quaternaire de la matière (le monde créé), avec les 2 empreintes rondes (tournées vers Fabrègues = les artisants/forgerons = les hommes) qui rappellent la nature de l'homme adamique qui participe des 4 éléments : la Terre, l'Eau, l'Air, le Feu, des 3 principes : Corps, Âme, Esprit et des 2 natures : Physique et Métaphysique (l'eau de la vie matérielle et le feu de l'esprit imagés par les 2 couronnes des lumières clignotantes blancs et rouges de la soucoupe volante), d'où l'enquerre (l'anomalie volontaire) des 3 pieds de la soucoupe volante imprimant 4 empreintes afin d'induire cette correspondance polysémique ;

    la porte coulissante à 2 volets de la soucoupe volante s'ouvre sur la lumière divine qui élève sur le champ céleste par le hublot situé au sommet du dôme du vaisseau (soucoupe volante = sous la coupe/coupole céleste) qui symbolise le firmament, en déployant l'échelle d'accès à la transcendance de l'homme sur le chemin de sa destiné céleste ;

    les 14 ans des 2 témoins principaux renvoient aux 14 stations du chemin de croix, croix qui jalonnent le chemin de la Madeleine (= la tour qui élève à la transcendance vers Dieu) menant à l'oratoire de la Chapelle de Saint Baudile, et les 2 volets verticaux de la porte de la soucoupe volante s'ouvrent en s'écartant horizontalement pour figurer le signe de croix) du Christ qui a tracé lors de son incarnation terrestre la voie de la rédemption/résurrection de l'humanité ;

     

     

    Site de l'atterrissage du vaisseau céleste

     

     

     

    la coque métallique assez claire, comparable à de l’aluminium du vaisseau céleste symbolise la perfection de la divinité en analogie avec l’inaltérabilité du métal ;

    La forme de l'ovni observé et dessiné par les témoins et l'enquêteur, reproduisant la planète Saturne/Ouranos = la divinité Ouranos/Uranus/Cœlus = Ciel évoque et personnifie l'esprit primordial de la divinité créatrice, le Père Créateur ;

    le son du ronronnement entendues témoins évoque le bourdonnement des abeilles qui donnent le miel doré comme la lumière or divine qui nourrit spirituellement les hommes ;

    autre enquerre sémantique de la petite porte à 2 volets verticaux de la soucoupe volante dont la taille est évaluée à seulement 1 m  correspondant à l'échelle des nains, ce qui dans la langue volatile des oiseaux s'entend proche de l'un (= l'unique créateur) ;

    la boule lumineuse rouge observée par les autres témoins évoque le disque solaire qui symbolise le Christ, qui est la Vie, la Voie, la Vérité, la Victoire (sur la mort) comme nous le confirme la date du 06 décembre 1973, fête de Saint Nicolas qui signifie : Victoire !

    « Le dernier ennemi qui sera anéanti, c'est la mort. »

    [Corinthien I-26]

     

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

     

    Le Bâton (échelle) de Jacob

     

    Encodage stellaire de l'ouverture du nouveau cycle de l'année théurgique, à compter de la pleine lune de l'équinoxe de printemps, annonçant la Pâques, de la résurrection, de l'ascension, et de la pentecôte, dont les 4 décans du Signe de Jonas renvoient au Signe de 4 du Tétramorphe (figuré par la Croix rouge en bannière).

     

    La Couronne Solaire

     

     

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