• Les Bibendums

     

    La Troisième Station 

      

    « L’histoire du christianisme ressemble à un récit de science-fiction. »

     [Emmanuel Carrère]

     

    « On ne devient pas, du jour au lendemain, expert en cratophanies, en épiphanies et en théophanies ! »

    [Les ovnis, énigme d’hier et d’aujourd’hui - Fabrice Kircher & Dominique Becker - 2016]

     

    Les Bibendums

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    La Réunion (974)

    lo mahavéli 

    l'étoile qui te mène au beau pays 

     

    D'azur à la pyramide de gueules posée en pointe à la pointe rayonnante de cinq rayons d'or.

     

     [Petite-Île (974) est une commune urbaine dense ou de densité intermédiaire, au climat tropical - Habitants :  7 951 habitants en 1968  (234.33 hab/km2) - 7 961 habitants en 1975 (234.63 hab/km2) - 10 157 habitants en 1999 (299.35 hab/km2 ) - 12 401 habitants en 2020 (365.48 hab/km2 ) - Superficie : 33.93 km2]

     

     

    Petite-Île (974) - Ile de la Réunion - 14/02/1975 - 12h05

     

    Dans la nuit du Mardi Gras (Nouvelle Lune) 11 au mercredi 12 Février 1975, M. Séverin avait fait un rêve de raisins et entendu des sons genre bip-bip.

    Le matin du mercredi des Cendres 12/02/1975, il entendit ces mêmes sons à son domicile, puis à la charcuterie où il est employé. Ce phénomène a duré jusqu'au matin du 14 février.

    A 12h05, Antoine Séverin demande à sa patronne de partir, elle reste étonnée devant cette demande car il est l'heure de la fermeture.

    Avant de quitter la boutique, Antoine prend un paquet de grattons. Il court alors en direction du stade puis du cimetière, son itinéraire habituel. Les sons s'accentuent de plus en plus.

    Parfois il ralentit sa course et la reprend. A un moment donné, il est obligé de s'arrêter, comme retenu par une force invisible.

     

    M. Séverin se trouve alors près du sentier menant à sa case au lieu-dit Piton Calvaire à 300 m à l'ouest de Petite Ile.

    Il a l'impression que ses tympans vont éclater et ressent une chaleur étrange accompagnée d'un souffle brûlant. Il reste figé, comme paralysé. Incapable de faire un geste, il aperçoit un objet de couleur aluminium ayant la forme d'une soucoupe avec dôme de 3.50 m de diamètre et qui stationne à 1.50 m du sol. La partie basse est haute de 0.50 m et de dôme de 1.50 m environ.

    Quatre à cinq hublots rectangulaires sont situés horizontalement sur le dôme. Une échelle à trois marches apparaît sous l'engin, elle est inclinée à 45°, mais ne touche par terre.

    A ce moment, un petit être bizarre sort de l'engin. Il porte un vêtement brillant de forme boudinée (bibendum Michelin), un casque surmonté de deux antennes terminées par une petite boule. Ce casque est ouvert rectangulairement devant les yeux et une ouverture ronde se trouve au niveau de la bouche. Il mesure 0.80 m de haut et porte à sa main droite un objet long de 30 cm environ, toujours brillant.

    Cet être est bien à l'aise sur l'escalier, mais dès qu'il touche le sol, sa démarche devient gauche et il se déplace à pieds joints.

    Un deuxième et un troisième être rejoignent le premier. Celui-ci gratte le sol, mais le témoin ne le voit pas mettre de la terre dans le sachet également brillant que tient le second.

    Le regard du témoin se porte vers la haut de la soucoupe, dans le dôme. Il aperçoit la tête d'un quatrième être. A un moment donné. Il voit pivoter le troisième être se trouvant sur l'échelle, celui-ci lui fait face. Ses antennes bougent et Antoine est alors projeté en arrière par un puissant éclair.

    Les trois êtres remontent rapidement dans leur appareil, l'échelle s'escamote, faisant un bruit hydraulique. L'engin s'élève, provoquant un très fort sifflement. Antoine Séverin ne peut voir la direction prise par l'ovni. Le témoin ne se souvient pas avoir perdu l'usage de la parole et de la vue sur le moment. Il ignore combien de temps il est resté à terre. Il retrousse son pantalon et toujours avec son paquet de grattons sous le bras, il se dirige chez ses parents.

    Vers 16h30, Marie-Rita-Séverin découvre son fils prostré, les deux coudes sur les genoux et les mais sur la tête, il pleure et a mal à la tête. Il fait alors le récit de son aventure.

    Le 15 février, deux gendarmes se présentent au domicile du témoin. Il est alité, dans un état de prostration incontestable. Ses yeux grands ouverts fixent l'inconnu. Il ne peut répondre de vive voix aux questions posées. Avec beaucoup d'acharnement, par gestes, il décrit avec ses mains l'objet et les quatre sujets.

    Le 16 février, nouvelle visite de la gendarmerie, Antoine Séverin est toujours dans un état second. Il n'a pas retrouvé l'usage de la parole et de plus sa vue s'est considérablement affaiblie. Il peut faire quelques pas et donner par gestes quelques explications et précise que c'est en cherchant d'où provenaient les bip-bips qu'il a trouvé la soucoupe.

    Le 17 Février, Antoine Séverin est toujours très agité, et dépourvu de l'usage de la parole et de la vue. En raison de son handicap, son transfert sur les lieux est reporté.

    Le 18 février, nouvel interrogatoire. L'intéressé, toujours alité, avec sa cécité. Détection négative de radioactivité sur sa personne et ses vêtements par le commandant Legros. Examen du malade par le docteur Henry qui diagnostique un fort choc émotionnel.

    Le 19 février, récit fait. Antoine Séverin retrouve l'usage de la parole.

    Le 20 février, transfert sur les lieux, récit fait. Conduit par le gendarme Cravero et en compagnie de son père, Antoine est mené sur les lieux. Sur le chemin de terre aboutissant sur les lieux de son observation, Antoine tape sur l'épaule du chauffeur, lui indiquant le champ de maïs. Antoine fait quelques pas dans le champ, son regard dirigé vers le fond de la parcelle. Il s'arrête brusquement, porte les mains sur les oreilles en appuyant très fort, puis il vacille, s'écroulant sur le sol. Son pouls est ressenti faiblement, ses mains sont froides, ses yeux sont révulsés, il est immédiatement reconduit à son domicile et ne reprend partiellement ses esprits que 30 minutes plus tard. Il explique alors qu'une force inexplicable l'a empêché de poursuivre son chemin en direction du lieu précis où stationnait l'engin.

    Le 24 février, le témoin accepte de se rendre sur les lieux avec un journaliste de Saint-Denis. Arrivé à destination, dès qu'il foule le sol, il est victime de troubles inexplicables identiques à ceux du 20 février.

    Le 25 février, entendu à nouveau, Séverin ne peut expliquer les pertes de connaissance chaque fois qu'il se rend sur place. Il entend encore le bip-bip l'obligeant à se boucher les oreilles.

    Mme Leveneur Marie-Madeleine qui avait eu connaissance du plan des lieux fait par Antoine Séverin lorsqu'il était temporairement aveugle se rendit sur le site et découvrit trois trous gros  comme des bols de forme irrégulière en raison de la faible consistance de la terre. Ils formaient un triangle pointu de 1 m de côté. Ces creux, répartis sur une grande surface de terrain, semblent avoir été creusés par des oiseaux cherchant de la nourriture.

    A noter, le cas de la plaine des Câfres le 31 juillet 1968 a eu lieu à 15 kilomètres de l'observation d'Antoine Séverin.

     

    Sources : Lumières dans la Nuit, n° 147 (enquête du lieutenant-colonel Lobet de la  Gendarmerie Nationale et de M. Baret de la Réunion) - Jean-Claude Bourret, Lenouveau défi des OVNI, (reprenant le P.V. de la Gendarmerie Nationale, brigade de Petite-Ile) - La revue des soucoupes volantes, n° 4 (l'enquête en question par le capitaine Guillaume Kervendal) -  Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon - OVNI : le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France  - RR3 Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France, Julien Gonzales, 2014.

     

     

     

    Antoine Séverin au milieu du champ de son observation (Photo Gendarmerie Nationale)

     

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

     La symbolique des mots et des images

     

     La clef de la grille de lecture encodée de la RR3 de Antoine Séverin est l'alarme bip-bip, qui renvoie au personnage muet du Pierrot LunaireBip, créé par le mime Marceau inspiré du personnage principal du roman, Les Grandes Espérances de Charles Dickens (paru en 1860/1861), Philip Pirrip, dit Pip, dont Le sujet principal est la vie et les aventures d'un jeune orphelin jusqu'à sa maturité.

    La Rencontre Rapprochée vécue par Antoine Séverin est la représentation imagée (casques à ouvertures visuelles et orales/muettes) du mimodrame de sa vie d'orphelin du Père Créateur, et de celle de nombre de ses contemporains qui se sont assujettis à une existence routinière matérialiste (au consumérisme/hédonisme) sans le secours de la Foi, de la Charité et de l'Espérance garant de leur maturité spirituelle.

    Cette pantomime débute le 10 février 1975 (il entend l'alarme bip-bip et rêve de raisin qui est le symbole de la résurrection du fruit vivant, qui meurt et ressuscite dans l'esprit du vin), le jour du Mardi-Gras qui précède le début du Carême (le 16/02/1975) pour signifier au preux représentant de l'espèce humaine (l'homme universel), sans peur ni reproche Antoine (= courageux) Séverin (= grave, sérieux) qu'il doit se préparer à sa propre rédemption/résurrection (dont la fête de Pâques est fixée au 30 et 31 mars 1975) en adoptant une ascèse spirituelle, dont le Carême qui s'annonce est la discipline.

    Lui, qui ne vit que des délices de la chair (charcutier de son état) amateur de Grattons (aliments composés de tissus adipeux de porc, d'oie, de poulet ou de canard, confits dans leur graisse, utilisés dans de nombreuses traditions culinaires dans le monde) doit entreprendre la totalité de son chemin de croix, pour réaliser sa métanoïa (son retournement) du plan physique à la sphère métaphysique pour accomplir l'unification physique et métaphysique de la totalité son être (Réunification/à l'Île de la Réunion), dont il aura, bientôt, un avant-goût, en regagnant sa case au Piton Calvaire (lieu d'un important cimetière ou reposent les esprits des défunts), dans un champ de maïs qui symbolise l'homme fait de la semence du maïs, selon le Popol-Vuh = livre de la communauté chez les Mayas (les gens du maïs), dont leurs aristocrates façonnaient le crane des nouveau-né en forme de maïs à l'aide planchettes comprimant la tête, sa forme oblongue invoquant Yum Kaax, leur dieu du maïs [cf. Wikipédia].

     

    Yum Kaax

     

    La première station de son chemin de croix intérieur est le lieu d'une cratophanie (d'une manifestation/apparition supranaturelle) qui lui révèle son destin et sa destinée, par un double effet miroir :

     1/ son destin matérialiste, s'il persiste à se densifier dans la matière en s'y diluant, comme lui montre l'un des bibendums qui gratte le sol, c'est celui du futur de l'homme moderne dont l'immanence progressive le momifie/le robotise, en entravant son évolution, d'où le déplacement à pieds joints des bibendums descendus à terre, et les antennes, qui bougent comme ceux des insectes (symbolisant l'esprit de la ruche mécanique et déshumanisée) qui l'immobilisent en le projetant à terre ;

    2/ sa destinée spiritualiste, dont la transcendance évolutive est celle de l'homme pneumatique (de l'homo spiritus), de pneuma signifiant le souffle, la respiration, l'esprit, et de la lumière vivifiante dont les bibendums brillants sont les porteurs, en lui présentant les objets symboliques de sa quête transcendantale la pointe brillante de la Sainte Lance qui a percé le flanc du Christ et le Saint Vase du Graal qui a recueilli son Saint Sang (dont l'objet effilé et le sachet brillants sont les reflets).

     L'inclinaison de 45° de l'échelle, représente la progression vers les 90° de l'élévation céleste, figurée par la soucoupe volante qui ne touche pas le sol.

    Vraisemblablement, Antoine Séverin est parvenu à la troisième station de son chemin de croix personnel (qui en comporte symboliquement 14, d'où le phénomène du bip-bip entendu jusqu'au 14 février, la fête de l'Amour), c'est le sens métaphorique des 3 marches de l'escalier déplié par la soucoupe volante, celle où, à l'exemple du Christ, il tombe pour la première fois sous le poids de sa croix (et aussi des 3 bibendums descendus à terre), dont il ne pourra se relever qu'en progressant sur le même voie (la 4e station à venir, préfigurée par le 4e bibendum demeuré dans la soucoupe volante).

     

    Les Bibendums

     

    Le Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin.

    Au Canada  comme en France, on l'appelle aussi le Bonhomme Michelin.

    Cet emblème publicitaire des pneumatiques de la marque Michelin a aussi pour devises : Nunc est bibendum (c’est maintenant qu’il faut boire), Michelin, le pneu qui boit l'obstacle.

    Dans la langue volatile des maîtres Gouliards du verbe parlant, cachant, signifiant,  Michelin se lit :

    . ce qui est à mi-chemin, 

    . Michelin = le petit Michel, dont l'étymologie signifie : Qui est comme Dieu ?

    de même la devise : c’est maintenant qu’il faut boire, s'entend : c’est maintenant qu’il faut voir,

    (ce slogan publicitaire étant emprunté originellement à celui d'un projet d'affiche pour une brasserie qui montrait une momie brandissant une chope de bière, rappelons ici que la mise en bière signifie placer le corps du défunt à l'intérieur du cercueil : tout un programme !  Source Wilkipédia)

    Autrement dit, les ufonautes/Bibendums, nous délivrent un message d'alerte :

    Attention, l'humanité qui a une vocation spirituelle transcendante évolutive (l'homo spiritus/pneumatique = présence pneumatique = présence spirituelle ou présence réelle mystique), est à la croisée du chemin (ou à mi-chemin) de s'enfermer dans le carcan, mécanisé et mortifère, du consumérisme/hédonisme immanent involutif.

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

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