• Les Combattants

     

     

    « Et le combat cessa faute de combattants.»

    [Pierre Corneille - Le Cid]

     

     

    Les Combattants

     

    RR2 du 12/08/1974  vers 04 h 10, à Salles-de-Villefagnan (16), Charente-Maritime - Vendée - Nouvelle-Aquitaine - France - M. Gilles Jobit, 41 ans - Enquête de MM. J.-A. Bouchet, J.-L. Demaille, B. Poeydan - LDLN n° 143

     

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    [Salles-de-Villefagnan (16) - Charente-Maritime - Vendée - Nouvelle-Aquitaine - France - est une commune rurale peu ou très peu dense, au climat océanique aquitain - Habitants : 412 (32,1 hab/km2) en 1968 - 368 (28,7 hab/km2) en 1975 - 313 (24,4 hab/km2) en 2020 - Superficie : 12,83  km2]

     

    Salles-de-Villefagnan (16)

     le baptême

     

    D’argent à deux fasces de sable accompagnées de six merlettes du même, ordonnées 3, 2 et 1.

     

     

    LDLN n° 143

    N CHARENTE le 12 Août 1974

    ATTERRISSAGE A SALLES-DE-VILLEFAGNAN

    Enquête de MM. J.-A. BOUCHET, J.-L. DEMAILLE, B. POEYDAN

    Digest par F. LAGARDE de l'enregistrement intégral de la bande magnétique

    LE LIEU

    Sortie E de Salles-de-Villefagnan, à proximité du croisement de la D. 31 et de la D. 27 (carte Michelin n° 72, pli 3).

    LE TÉMOIN

    M. Gilles Jobit, 41 ans, chef de brigade principal de sécurité à la gare SNCF de Queroy (16).

     

    LES FAITS

    « Je partais en voiture à mon travail, le 12 août 1974, vers 04:10 — il entendra l’heure exacte à la radio en remontant en voiture après le décollage de l’engin : 04:26 — lorsque en arrivant au stop de la sortie de Salles j’ai commencé à apercevoir une lueur, à peu près comme des phares d’une voiture qui monterait vers vous, mais je ne voyais pas d’engin.

    Puis, surpris par une lueur aussi intense, j’ai pensé qu’il y avait un feu. J’ai tourné à droite sur la D. 27, je ne quittais pas la lumière des yeux, et je suis arrivé dans un petit fond où c’était dégagé, le champ faisait une cuvette, alors là j’ai été franchement ébloui par... heu... l’engin. Je pouvais quand même regarder à travers les glaces de la voiture. J’ai arrêté la voiture, j’ai baissé mon poste de radio, pour voir si cela faisait du bruit, et je suis sorti.

    A ce moment j’ai été surpris par les cris de nombreux oiseaux qui passaient vivement, effrayés. J’ai vu autrefois un grand feu de landes, de nuit, et j’ai entendu des cris d’oiseaux effrayés ainsi.

    En sortant, j’ai eu l’impression qu’on « m’envoyait » davantage de rayons, parce que je ne pouvais plus rien voir. J’étais obligé de me mettre la main devant les yeux. Derrière moi il y avait une plaine importante avec des champs et j’y voyais comme en plein jour, sur une certaine largeur seulement.

    Alors je me suis dit, tu n’es pas réveillé ; je me demandais ce qui m’arrivait, puis j’ai pensé que cela pourrait me faire mal aux yeux tellement cela brillait, un peu comme de la soudure à l’arc, insoutenable à regarder, le soleil à l’œil nu, lorsqu’il tape, très difficile à regarder, pire que cela. Je ne pouvais pas voir de forme à ce moment-là.

    Bon sang ! je me suis dit, il faut que j’aille réveiller un témoin. Je connais un monsieur qui habite à 100 m et je suis allé dans la direction de sa maison. Je n’ai pas fait 10 m que j’ai vu l’objet qui s'enlevait.

    Lorsqu'il a commencé à s’enlever, je n'ai plus eu de jet de lumière, et je ne voyais plus la plaine.

    A ce moment-là j'ai pu observer «la forme, et l’observation a été intéressante. C’était comme un ballon de rugby, ovale mais pas pointu aux extrémités.

    Des deux extrémités sortait un faisceau lumineux, je peux pas dire que c’étaient des flammes, c’était comme si cela sortait de tuyères.

    Ils étaient presque latéraux à l’engin. Puis, il s’est élevé assez vite progressivement à une hauteur de 25 m, puis à une vitesse dégressive jusqu’à 50 m. Vous savez, c’était parfaitement orchestré :

    le départ lentement, puis la vitesse augmente et diminue jusqu’à l’arrêt. Au départ, les faisceaux étaient presque horizontaux, dans l’axe de l’engin ; puis, au fur et à mesure que la vitesse augmentait, ils se repliaient pour devenir verticaux sous l’engin, et ils sont devenus à nouveaux horizontaux lorsque l’engin s’est arrêté. Ils étaient à ce moment parfaitement dans l’axe.

    Les faisceaux lumineux devaient faire 4 à 5 m de long, et j'ai évalué l’engin à 15 m de diamètre sur 2 m de haut.

    Enquêteur : Quand vous avez vu cela, vous vous êtes dit que c’était ce qu’on appelle une soucoupe volante dans les journaux ?

    Je n’y ai pas pensé, j'étais tellement surpris que j’ai regardé de tous mes yeux, bien sûr.

    Lorsque cela a commencé à bouger je n'ai plus pensé qu’à regarder. C’était d'un blanc lumineux, d'un blanc presque lunaire, comme une lune très pâle d’hiver. Cela brillait, mais n'émettait plus de lumière, c’était lumineux, c’est tout.

    Les faisceaux étaient de couleur orange, pas foncée tout de même, et en diminuant jusqu’à devenir presque blanche, au fur et à mesure qu'ils s’éloignaient de l’engin.

    Ils étaient beaucoup plus pâles lorsque l’engin a été parfaitement arrêté et qu’il est resté immobile 3 ou 4 secondes, et il est parti vers le N-E.

    Il est d’abord parti très lentement en vitesse ascensionnelle puis progressivement vite. Au fur et à mesure que la vitesse augmentait le jet lumineux de l’avant diminuait et celui de l’arrière augmentait.

    L’engin est alors passé derrière une ferme et je suis retourné dans ma voiture et je suis parti. Arrivé derrière la ferme, je pensais le revoir mais il y avait un parc avec des arbres assez hauts et je ne l'ai pas aperçu. Le temps de la réflexion et 100 m plus loin je le revois. Il faisait à ce moment-là 4 m de long et filait au-dessus du bois par rapport à moi à une vitesse effrayante.

    Enquêteur : Comme un avion passant au ras du sol ?

    Ah ! comme un avion passant au ras du sol. A l’avant il n’y avait plus rien, mais à l’arrière comme une fusée qu’on lance, 150 m de traînée, mais ce n’était pas du feu, c’était de la lumière, comme une barre de lumière. Rien à voir avec une fusée, où on voit des étincelles. Au départ c’était très brillant, puis cela passait à l’orange pour devenir très pâle.

    Il est monté dans le ciel.

    Je suis allé aux « Maison Rouges » et, de là, j'ai pu à nouveau l’observer, c’est-à-dire que je l'ai perdu de vue durant 3 à 4 km. Il était à la hauteur d’Aunac, c’est-à-dire qu’il piquait franchement vers l'E — la D. 21, de Villefagnan à Aunac, est franchement orientée S-E et non E —. A ce moment-là il était rond, parfaitement rond. J’ai pensé que c’était le faisceau que je voyais à l’arrière qui avait une section ronde et que je ne voyais plus l'engin.

    La nuit était très claire, on voyait les étoiles, la lune était visible et brillait dans son dernier quartier. Temps très sec, sans nuage, température entre 12 et 14°.

     

    LES EFFETS

    M. G. Jobit a souffert des yeux durant trois jours. Le premier jour ils ont pleuré toute la journée, le lendemain ils ne pleuraient plus mais ils avaient des picotements. Le troisième jour il en souffrait encore mais cela s’était un peu calmé, le quatrième c’était passé. Sa première nuit a été très agitée. Ses camarades lui ont dit qu’il n'avait pas sa figure habituelle, sa femme lui a demandé lorsqu’il est revenu de son travail : « qu'est-ce que tu as ? tu es défiguré ».

     

    LES CONSTATATIONS

    Le témoin a une vision légèrement déformée des couleurs. Mis à part la couleur de l'engin « blanc lunaire », il n'y a comme autre teinte que l’orange des faisceaux. Il a choisi pour le désigner que le n° 150 brillait avec un peu du n° 149 du nuancier Pantone. Notons que pour un chef de sécurité les examens SNCF de vision sont très sévères pour les couleurs.

    Le lieu exact de stationnement de l'engin est inconnu. Pas de trace visible. Pas de rémanence magnétique. Les maïs présentent des zones de « fatigue » mais rien de convaincant, aucun d’eux n'est brisé. On a trouvé également deux taupes mortes, rien ne permet de dire qu’il y a une relation avec l'engin.

     

    LES LIEUX

    Une ligne haute tension 90 Kv part d'une station à Ruffec, se dirigeant vers Fléac : panne éventuelle de courant à rechercher.

    Pas de faille géologique sur les lieux. A 1 km au S de Salles-de-Villefagnan on trouve du Callorien, c’est-à-dire calcaires blanchâtres gélifs, grenus, en bancs épais parfois séparés par de minces lits marneux. Au-dessous nous sommes en présence d’Oxfordien, c’est-à-dire de marnes argileuses, généralement peu fossilifères.

     

    LE TÉMOIN

    Très sympathique, il s’est toujours mis à notre disposition, ainsi que son épouse. Sincère, il revit son aventure chaque fois qu’on en parle.

    Il a une bonne mémoire, avec le souci de se rappeler les détails, cherchant à bien s’exprimer. Rappelons qu’il travaille dans un service de sécurité à la SNCF. Il n’a pas lu de récits relatant des témoignages sur les OVNIs, excepté une fois dans un livre chez un dentiste. Comme la plupart des gens il ne prenait pas au sérieux le phénomène. Depuis son aventure il est devenu avide de récits sur les UFO.

     

    N.D.L.R. — Cette année 1973-74 aura été fertile en incidents intéressants, grâce à la présence de LDLN sur les lieux et à la formation de ses enquêteurs, de plus en plus instruits des questions à poser et des renseignements à relever. Outre MM. Bouchet, Démaillé, Poeydaban, que nous remercions au passage pour leurs sept pages de texte et leur travail, étaient au rendez-vous auprès du témoin trois enquêteurs LDLN, MM. Chasseigne, Eyma, Michaud, Bosc, tous enquêteurs de LDLN.

    Pour la première fois peut-être, grâce au témoignage précis de M. Jobit, nous assistons au phénomène du départ de l’objet. Nul doute que les manœuvres du faisceau lumineux orchestrant les mouvements de l’engin vont intéresser bien des lecteurs.

    Il n’y a pas cependant que l’aspect technologique que peuvent éventuellement présenter ces mouvements qui pourrait être intéressant.

    Comme j’ai eu l’occasion de le faire remarquer pour d’autres observations, le phénomène se présente ici face au témoin, avec ses deux faisceaux lumineux placés bien symétriquement de chaque côté de l’objet, comme à la parade ! Ils ne sont ni de biais, ni de profil, ni de trois-quarts, mais de face et de même longueur. On ne peut pas s’empêcher de penser à un spectacle donné pour un unique bénéficiaire, le témoin Jobit.

    On ne sait plus dès lors si la forme que le phénomène présente est bien l’expression d’une réalité matérielle, s’il s’agit de cinéma, ou s’il s’agit d’une vision subjective produite par l’esprit du témoin en interférence avec les radiations du phénomène. Le témoin est bien incapable de savoir si l’image qu’il perçoit est réelle ou provoquée, pour lui elle est bien matérielle sans aucun doute.

    On peut aller d’ailleurs plus loin dans l’étude du psychisme de ce témoin.

    Il faudrait lire à ce propos dans LDLN 130 de décembre 1973 « Remarques préliminaires sur la structure du phénomène UFOnaute » de Julien Werverberg, tiré du bulletin de GESAG. Il y est dit notamment que les exemples sont innombrables pour lesquels les témoins perçoivent une relation entre leur profession et les UFO. J’aurais ajouté : et leurs préoccupations, ce qui élargit l’ouverture mais demande de mieux connaître le témoin.

    Que fait le témoin précisément ? On apprend qu’il est chef de sécurité à la SNCF. Aux chemins de fer, il existe justement des signaux appelés sémaphores. Ils sont constitués essentiellement d’un mât au sommet duquel se meut un bras constituant le signal.

    Pour signifier l’arrêt du convoi le bras est horizontal, pour la voie libre : le déplacement, le bras est rabattu.

    Le témoin indique bien qu’à l’arrêt de l’engin les deux faisceaux sont horizontaux, et qu’ils sont rabattus au cours du déplacement ascensionnel. Simple coïncidence peut-être, mais c’est un aspect à ne pas négliger car avec le phénomène UFO il faut s’attendre à tout, et elle est bien dans la ligne des coïncidences déjà relevées.

    Je crois que plus on avancera dans cette voie, plus on s’apercevra qu’il existe de nombreux cas mal étudiés où la vision, très sincère du témoin, est en relation directe avec ses préoccupations profondes au niveau du subconscient. Que l’on me comprenne bien, l’existence du phénomène n’est pas en cause, ce sont ses effets sur un témoin rapproché qui méritent une étude et qui peuvent rendre très aléatoire le récit qu’en donne le témoin, sa sincérité ne faisant aucun doute. Il faut donc, sans aucun doute, s’intéresser de plus en plus à la psychologie du témoin si l’on veut comprendre ce qu’il se passe à son niveau, et dont il n’est pas conscient.

    Au cours de la même matinée, un autre atterrissage a eu lieu dans le même département, à La Brousse (voir LDLN N° 140 de décembre 74).

    Citons pour mémoire, en 1954, les observations à Mansle (8 km au S), le 25 septembre, à Courcome (4 km au N-O), ce qui prouve que la région est visitée.

     

    F. LAGARDE

     

    M. Gilles Jobit

    Le Témoin - LDLN n° 143

     

    D'après LDLN n° 143

     

     

    La Capsule Temporelle de la Rencontre Rapprochée RR2 de M. Gilles Jobit

     

     En lieu et place des ovnis et de la théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la méthode de lecture traditionnelle reposant sur la symbologie des anciens pour les Cratophanies/Théophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé, aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec la Rencontre Rapprochée RR2 de M. Gilles Jobit.

     

     

    La  synchronicité des mots et des images

     

    Comme l'a remarqué M. Fernand Lagarde, l'intelligence qui contrôle la cratophanie, dont a été le témoin M. Gilles Jobit, a utilisé un code de communication formel et personnalisé, qui rappelle celui des sémaphores SNCF connu par le témoin, qui est chef de brigade principal de sécurité à la gare SNCF de Quéroy (16) ... l'ouverture la capsule et le décodage de son message est donc en lien avec le témoin :

    Quéroy = carrefour ;

    Jobit = ignorant/niais, Gilles = le porteur/lance/javelot, ... = celui qui  dépositaire (porteur) d'une lignée dont il ignore (ou a oublié) l'origine de la destiné ;  

    la forme ovale de l'engin en forme de ballon de rugby =  Brig = déesse fille du Dieu Bon, renvoie aux héritier de la filiation mythique d'Eve et d'Adam ;

    la forme ovale de l'engin évoque aussi l’épi (pointe de lance) de Maïs, ... mahis = bataille ;

    l'engin décolle d'un champ de maïs, ... le champ de maïs désigne les humains/terriens ... les hommes, selon le Popol-Vuh, sont nés de la semence du maïs (les Mayas = les gens du maïs), au crâne allongé (comme un épi jaune/orangé de maïs), ... le crane des nouveau-né de l'aristocratie Maya prenait la forme de maïs, comprimé par des planchettes, et sa forme oblongue évoquait Yum Kaax, leur dieu du maïs, dont le glyphe de son nom est sa propre tête, surmontée de la représentation d'un épi de maïs fortement stylisée et couvert de feuillage [cf. Wikipédia] ;

    YumKax

    Yum Kaax

     

    la couleur blanc lumineux, d'un « blanc lunaire » de l'engin, et celle orangée de ses faisceaux lumineux renvoient à celle diaphane de anges célestes (orange = or de l'ange) ;

    au décollage de l'engin du champ de maïs les mouvements successif des faisceaux lumineux orangés, caractérisent les étapes ascensionnels, ... étape de départ de l'horizontalité terrestre (faisceaux lumineux inclinés/verticaux orangés), ... orientation vers la verticalité de l'élévation céleste/spirituelle (faisceaux lumineux inclinés/verticaux orangés), ... étape d'arrivée de l'horizontalité céleste/spirituelle (faisceaux lumineux inclinés/verticaux orangés jusqu’à devenir presque blanche), ... ascension céleste et départ de l'engin vers le Nord-Est, point de lever de la lumière du Soleil, dans sa plénitude, au solstice d'été, puis vers l'Est, ... soulignant ainsi symboliquement le retour à la Lumière Céleste qui est celle du Christ.

    En résumé, l'Humanité est parvenue à un tournant crucial (Quéroy = carrefour) sur le chemin de son évolution, comme nous le confirme la date du 18/12/1974, jour de la fête de Jeanne-Françoise (Frémyot, devenue Jeanne-Françoise de Chantal), ... Jeanne = miséricorde divine, Françoise = libre, où elle peut accéder à son émancipation active (combattante) en recevant la Lumière Divine du Christ, ... qui incarne la Voie, la Vie, la Vérité et la Victoire sur la mort et la résurrection du Fils de l'Homme.

     

     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

     Les Rencontres Rapprochées

     

     Les Messagers

     

    Les Théophanies Futuristes

     

    Les Cratophanies Célestes

     

    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »

     

    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

    Crop-Circles - 2023 - Partie 02

    Crop-Circles - 2023 - Partie 03

    Crop-Circles - 2023 - Partie 04

    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

     Crop-Circles - 2023 - Partie 06  

     

    L'Hyper-Physique des Aliens !

     

     

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