• Les Enflammés

     

     

    RR3 de Madeleine Pierrard, âgée de 14 ans,  et de son père, à Vaux-en-Dieulet (08), mai 1950

    d'après le dessin de Jean-Michel Ligneron

     

     

    « Le dernier ennemi qui sera anéanti, c'est la mort. »

    [Corinthien I-26]

     

     Les Enflammés

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    [Vaux-en-Dieulet (08) est une commune rurale peu ou très peu dense, au climat océanique altéré - Habitants : 112 en 1946 (10.15hab/km2) - 131 en 1954 -  (11.87 hab/km2) - 109 (9.9 hab/km2) en 1968 - 55 (5.0 hab/km2) en 2020 - Superficie : 11.03 km2]

     

    Buzancy (08)

    Anaak de Kaalamon

    (l'étreinte céleste)

     

      D’or semé de grelots d’argent soutenus chacun d’un croissant de gueules.

     

     

    UN HUMANOÏDE DANS UN O.V.N.I. TRANSPARENT

    Cette première Rencontre de « 3e Type » ardennaise eut deux témoins : Monsieur Pierrard (décédé depuis), et sa fille Madeleine Pierrard, âgée de 14 ans à l'époque de cette extraordinaire aventure.

    La scène se déroule à proximité du petit village de Vaux-en-Dieulet, à environ 7 kilomètres au Nord de Buzancy. Nous sommes à l'aube (6 h 30), du mois de mai 1950.

    Voici ce que Madeleine Pierrard me rapporte un quart de siècle après ces événements.

    Comme à l'accoutumée, à cette heure-ci, nous montions dans les prés accompagnés de notre chien, pour aller chercher les vaches. Parvenus à la hauteur du parc, je m 'écriais soudainement :

    Papa ! regarde le soleil, il est rudement près ? Mais il me répondit : ... ce n'est pas possible ! ce n'est pas le soleil !

    Écoute ! me dit-il. Nous entendions un drôle de bruit, ça faisait : hou ! hou ! hou ! hou ! et aussitôt après apparut une boule.
     

    C'était comme une boule de feu. Elle s'est approchée, puis elle s'est posée devant nous. Mon père me pria de ne pas bouger ni de m'avancer, de peur que je sois brûlée.

    C'est après que la boule fut immobilisée que nous constatâmes qu'il s'agissait plutôt d'une sorte de soucoupe.

    J'ai vu alors droit devant moi, à l'intérieur de l'objet totalement translucide comme le verre, un petit bonhomme d'environ 1,40 mètre de haut, les bras écartés, peut-être gêné par le scaphandre qu 'il portait. Il était absolument immobile. On aurait dit un « bonhomme Michelin » !

    Il portait une sorte de casque de motard avec une visière en plexiglas, et deux tuyaux se trouvaient apparemment reliés à deux bonbonnes au-dessus de ses épaules. Ce qui me choqua le plus, c'est qu'il m'a semblé qu'il me fixait sans arrêt !

    Je me suis sentie complètement paralysée durant toute cette observation, surtout par son regard qui semblait rivé sur moi. J'ai ressenti comme un « coup de chaleur », semblable à celle ressentie lorsqu'on se fait « bronzer au soleil ». Je n'ai pas bougé, durant cette période qui dura environ deux minutes.

    L'objet s'éleva ensuite comme une toupie en tournant légèrement sur lui-même, en montant par paliers successifs, en émettant le même bruit qu'au début, après quoi il s'éloigna et disparut en direction de Buzancy.

    Questions de l'enquêteur (M. LIGERON)

    Q. - Avez-vous remarqué des changements de forme de l'ovni durant l'observation ?

    M.P. - Au début, cela ressemblait à un soleil, enfin à une grosse boule de feu rougeâtre, qui s'apparente en fait plutôt à une toupie dans le genre de celles que l'on donne aux enfants, avec une petite boule au- dessus.

    Q. - A quelle dimension évaluez-vous la largeur de l'ovni ?

    M.P. - Il devait avoir environ 4 mètres à 4,50 mètres, au maximum (le témoin utilisant la longueur de mon véhicule comme base de référence). De quelle direction venait l'objet, et par où s'est-il dirigé avant de disparaître ?

    Reconstitution des faits

    M.P. - Il est arrivé sur ma gauche (venant du Morthomme), n'est pas passé au-dessus des fils (de pâture je précise), puis il s'éloigna
    d'ici vers le Sud-Ouest, vers Buzancy.

    Q. - L'ovni vous a-t-il paru matériel ? ou constitué d'une matière connue ?

    M.P. - Il ressemblait à du verre de couleur blanche, totalement transparent.

    Q. - Vous pouviez donc voir s'il y avait quelque chose à l'intérieur ? Qu'avez-vous pu remarquer ?

    M.P. - Oui, du fait de la transparence totale de l'objet, j'ai bien vu ce curieux bonhomme, mais à part cela, rien d'autre, pas de manettes ni d'autres appareils.

    Q. - Durant la phase de son immobilisation, l'ovni reposait-il sur le sol ?


    M.P. - Ah ça oui ! il reposait ! Je le vois encore posé sur le parc !

    Q. - Quant à sa forme exacte, pourriez-vous me la préciser au mieux ?


    M.P. - Il avait vraiment la forme d'une toupie d'enfant.

    Q. - A quelle distance se situait l'ovni par rapport à vous ?

    M.P. - Je le vois encore (comme d'ici à votre voiture), là, à environ 3,50 ou 4 mètres de moi. Çà, je le reverrai toute ma vie, devant moi, je ne blague pas !

    Q. - Après le départ de l'ovni, avez-vous remarqué quelque chose de spécial, d'éventuelles traces sur le sol ?

    M.P. - Ça oui, c'était brûlé ! marron, la terre était comme ça ! toute fendillée, comme lorsqu'il n'a pas plu depuis très longtemps ! c'était inimaginable ! la terre était tellement brûlée qu'il n'y avait plus d'herbe. Celle-ci d'ailleurs a mis très longtemps avant de repousser à l'emplacement. Au moins 2 ans !

    Q. - Avez-vous remarqué une attitude particulière des animaux domestiques pendant ou après le décollage de l'ovni ?

    M.P. - Vous n'allez pas me croire, mais les bêtes (les vaches), 8 jours après l'observation, contournaient la place où s'était posé l'ovni ! On aurait dit qu'elles « sentaient » quelque chose ! Oui, à chaque fois qu'elles arrivaient en haut de la pâture, elles sentaient je ne sais quoi, et pendant longtemps, elles ont contourné la « place ».

    Q. - Personnellement, avez-vous ressenti quelque chose de particulier en revenant auprès de l'emplacement où s'est posé l'ovni ?

    M.P. - Oh non ! je n'ai rien éprouvé de particulier, au contraire, j'y retournais souvent, « ça m'attirait » !

    Q. - Mais votre père, lui, comment a-t-il réagi lors de l'observation ?

    M.P. - Là, je puis dire qu'il a été choqué ! Je me rappelle qu'il était pâle, blême, il ne savait plus où il en était en rentrant à la maison. D'ailleurs, il a dû s'asseoir pour se remettre ! Il n'a même pas été attacher les vaches dans l'étable ! Il n'a pas bougé ! Il était presque tombé dans les pommes !

    Q. - Mise à part cette curieuse sensation de « bronzage » que vous avez ressentie tant que l'humanoïde vous « fixait » (si j'ose dire), qu'avez-vous ressenti d'autre ?

    M.P. - Et bien cette soucoupe dégageait une sacrée chaleur. C'est moi qui vous le dis ! Ça donnait l'impression du soleil qui tape sur la peau. Et voyez-vous, le simple fait d'en reparler même si longtemps après, me donne un frisson. Je vous dis, ce fut tellement formidable que cela m'en coupa littéralement le souffle !

    Q. - Au moment de l'observation, étiez-vous à proximité d'une habitation !

    M .P. - Non, pas tellement ! La plus proche devait se situer à environ 35 à 40 mètres.

     Q. - Pourriez-vous me donner le maximum de renseignements concernant l'attitude et l'aspect de l'Humanoïde observé ?

    M.P. - Avant de vous parler de « l'être », je voudrais vous dire que cette « soucoupe » ne paraissait pas très haute, peut-être 1,50 à 1,70 mètre de haut, car justement, le bonhomme tenait juste debout sous l'espèce de petit dôme foncé, lui-même surmonté d'une sorte de petite antenne. C'est surtout pour cela qu'il se tenait (l'humanoïde), juste au milieu de l'engin.

    Il n'y avait pas tellement de place, au-dessus de sa tête (quelques centimètres !). Et son genre de casque semblait relié au sommet. Il devait y avoir un câble qui le reliait à cette sorte de boule au-dessus.

    Il semblait porter une combinaison, genre « Bonhomme Michelin », en caoutchouc gris. Ses pieds étaient chaussés de très grosses chaussures et ses pieds étaient grands, ça faisait drôle ! Mais ce sont surtout ses yeux ! Ah ! ces yeux ! Il me regardait ! Je revois encore ses yeux qui me fixaient ! Ça m'attirait ! et mon père me disait :

    « Ne bouge surtout pas ! »

    (Il m'apparaît assez curieux de constater ici que le témoin, subjugué par les yeux fascinants de l'Humanoïde, ait eu la présence d'esprit de le détailler à ce point ? Mais enfin, nous tiendrons compte du fait qu'il s'agit d'une rencontre assez rapprochée et de la transparence de l'ovni).

    Notes de l'enquêteur :

    Cette affaire ne peut bien entendu être considérée que comme un témoignage à priori issu d'une bonne foi évidente de la part du témoin. Nous avons dans les archives ufologiques un autre cas où des « Bonhommes Michelin », furent observés dans un ovni transparent, il s'agit du cas survenu le 31 juillet 1968 (donc 18 ans plus tard), à 9 heures du matin H.L., dans la Plaine des Câfres dans l'Ile de la Réunion (distante de plu- sieurs milliers de kilomètres) (1).

    D'autre part, le témoin m'a précisé qu'une panne d'électricité avait affecté le secteur avoisinant du phénomène et que les lampes s'étaient rallumées sitôt après le départ de l'ovni.

    Détail important : une enquête aurait été effectuée à l'époque (non pas auprès des témoins, je précise), et des prélèvements afin d'analyse du sol. Par qui, je l'ignore toujours ! Chose aussi étrange, aucun service officiel ou organisme privé n'existait. La première Commission d'enquête française fut la Commission Internationale d'Enquêtes OURANOS (C.I.E.O.) fondée en 1951 par M. Marc Thirouin, Juriste à la Cour de La Haye.

    Il m'est apparu que j'avais omis de demander au témoin s'il avait noté une odeur particulière durant l'observation (comme cela a déjà été constaté en certains cas : odeur d'ozone ou d'œufs pourris ou de soufre, assez persistante, notée par exemple à Cussac, dans le Cantal, le 22 août 1967 (2), ou encore à Arc-sous-Cicon, dans le Doubs, le lundi 17 juillet 1967 (3). Ces odeurs particulières furent constatées sur les lieux
    mêmes, pendant ou après le décollage des ovnis.

    Pour ce qui concerne « l'effet calorifique » constaté par le témoin de Vaux-en-Dieulet, nous avons des multitudes d'exemples similaires (voir cas survenu en France lors de l'atterrissage de Jabrelles-les-Bordes (Haute-Vienne), le 25 juillet 1970 (4), où nous trouverons même des éléments concernant un bruit entendu par le témoin, genre sifflement, au départ de l'engin.

    Ainsi, tous ces arguments comparatifs notés plusieurs années après Vaux-en-Dieulet, accréditent les dires de notre présent témoin - Dernière pièce favorable à verser au dossier :

    les deux témoins virent arriver l'ovni sur leur gauche venant du « Morthomme », soit du Sud-Ouest, et l'ovni ressemblait à un « Soleil rouge ». Or, à ce moment, le « Vrai Soleil », se lève à l'Est, donc à la droite des témoins. Comme il est 6 h 30 du matin, et que nous sommes au mois de mai, chacun pourra vérifier que le Soleil se lève vers 4 h 30, ce qui me permet d'avancer que le (s) témoins n'ont pu confondre un ovni avec le Soleil levant. C.Q.F.D.

    Source : O.V.N.I. en Ardennes - 10 Ans d'Enquête sur les Soucoupes Volantes - Jean-Michel Ligneron, Délégué Régional LDLN, Enquêteur, Comité Ouranos Ardennes - 1980

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes.

    Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultéequi les sous-tend,le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle de la RR3/RR4 de Madeleine Pierrard

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin , à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée avec Madeleine Pierrard.

     

     

    Les engins apparaissant lors des RR3, comme celle de M. Pierrard et de Melle Madeleine Pierrard sont régulièrement animés d'une rotation très rapide sur eux-mêmes, comparés par les témoins à des toupies, c'est-à-dire à des gyroscopes, qui est un instrument permettant de mesurer ou de maintenir l'orientation et la vitesse angulaire d'un objet en utilisant le principe de la conservation du moment cinétique, sur un, deux ou trois axes par rapport à un référentiel inerte.

    Inventé par le physicien français Léon Foucault, en 1852, avec son partenaire Froment, il réalise qu'en bloquant certaines pièces de son pendule, ce dernier s'aligne sur le méridien et indique le nord : le compas gyroscopique est né. 

    Il est utilisé en remplacement du compas magnétique, inefficace lorsqu'il est trop proche des pôles. 

    Ce système est aujourd'hui présent sur les navires, dans les avions de ligne, la Station Spatiale Internationale (ISS), les satellites, les télescopes, les missiles, les drones, le pilotage automatique, et, est devenu indispensable à la navigation. [Cf. Futura]

    Rien de surprenant à ce que les stellaires voyageurs du temps et de l'espace l'utilisent, depuis longtemps (Cf. la vision du Prophète Ézéchiel).

     

    Toupie Gyroscopique

    Définition | Gyroscope | Futura Tech

     Futura

     

    Une cratophanie/RR3, au sens de rencontre héraldique (figurée par la pièce honorable de la fasce ou rencontre rapprochée avec l'ange de la fasce, celle du Patriarche Jacob), est une mise en demeure blasonnée porteuse d'une épiphanie parlante, cachant et signifiante, une nouvelle porte ouverte sur la perception de l'intelligible, un élargissement du champ de la  conscience/de l'éthique de la vie, dont la représentation figurée est l'art scientifique de la gematria = géométrie différentielle (hyperbolique, elliptique, projective, non-euclidienne, topologie, etc.), ouvrant la voie aux liens multidimensionnels, du temps et de l'espace, enseignés et pratiqués par les anciens, et dont les modernes crop-circles  rendent-compte, ainsi que les RR3 (authentiques).

     

     La Mise en Demeure

     

     L'Astrolabe

     

    La symbolique des mots et des images

     

    Une fois, c'est le hasard, deux fois , c'est une coïncidence, trois fois, c'est tout le contraire !

    L'apparition surnaturelle de Vaux-en-Dieulet nous entraine dans le carrousel polysémique du parlant, du cachant, du signifiant ou synchronicité signifiante :

    ça faisait un drôle de bruit,  : hou ! hou ! hou ! hou !, c'est l'avertissement de celui qui crie au loup, en signe d'alerte pour déclencher un réveil salvateur ;

    Vaux-en-Dieulet = Vallées/Terre que Dieu a loué = sanctuaire de Sainte Gertrude ;

    Pierrard = Saint Pierre =  Temple du Christ (la direction Sud-Ouest qui est celle du Soleil Couchant au solstice d'hiver/Noël) qui protège son enfant = l'assemblée des fidèles (« Ne bouge surtout pas ! » = reste fidèle à l'église spirituelle du Christ ) ;

    l'ovni apparaît d'abord comme le Soleil = symbole du Christ, puis comme une boule de feu (confirmé par la trace de l'herbe calcinée), le feu = noosphère du Saint Esprit dont la présence éclatante fascine, enflamme et pétrifie les témoins en élargissant leur perception ;

    ce regard neuf figuré par la lentille/œil (forme de la soucoupe/toupie), est sans fard, transparent (transparence de la capsule/mandorle) véridique, et comparable à celui des enfants (référence au jouet de la toupie infantile), et au tourbillon/vortex des apparitions divines, déclencheur d'une métanoïa (d'un retournement) spirituel (qui les a tant enflammés et boule-versés), imagé(e) par le « Bonhomme Michelin » ou Bibendum :

    Le Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin.

    Au Canada comme en France, on l'appelle aussi le Bonhomme Michelin.

    Cet emblème publicitaire des pneumatiques de la marque Michelin a aussi pour devises : Nunc est bibendum (c’est maintenant qu’il faut boire), Michelin, le pneu qui boit l'obstacle.

    Dans la langue volatile des maîtres Gouliards du verbe parlant, cachant, signifiant, Michelin se lit :

    . ce qui est à mi-chemin, 

    . Michelin = le petit Michel, dont l'étymologie signifie : Qui est comme Dieu ?

    de même la devise : c’est maintenant qu’il faut boire, s'entend : c’est maintenant qu’il faut voir,

    (ce slogan publicitaire étant emprunté originellement à celui d'un projet d'affiche pour une brasserie qui montrait une momie brandissant une chope de bière, rappelons ici que la mise en bière signifie placer le corps du défunt à l'intérieur du cercueil : tout un programme ! Source Wilkipédia)

    Autrement dit, les ufonautes/Bibendums, nous délivrent un message d'alerte :

    Attention, l'humanité qui a une vocation spirituelle transcendante évolutive (l'homo spiritus/pneumatique = présence pneumatique = présence spirituelle ou présence réelle mystique), est à la croisée du chemin (ou à mi-chemin) de s'enfermer dans le carcan, mécanisé et mortifère, du consumérisme/hédonisme immanent involutif.

    En Résumé :

    La destinée de l'humanité est  de s'élever vers Dieu (Madeleine = la haute tour), au Temple de Pierre (Pierrard = Pierre-rare/précieux = Temple de Saint Pierre) du Christ, qui a offert à l'homme mortel (Morthomme) la grâce de sa résurrection/rédemption, à tous (Buzancy = la grâce pour tous).

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

     

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