• Les Porte-Paroles

     

     

     

    « Nous vivons désormais parmi eux. Ils ne nous voient pas, mais pourtant nous sommes là. Nous veillons sur eux en secret, nous attendons, nous les protégeons. »

    [Les Angéliques]

     

    Les Porte-Paroles

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    [Jabreilles-les-Bordes (87) - Haute-Vienne - Nouvelle-Aquitaine - France - Commune rurale, peu ou très peu dense - Habitants : 273 (14,3 hab/km2) en 1968 - 250 (13,1 hab/km2) en 1975 - 236 (12,4 hab/km2) en 2020 -  climat océanique altéré - Superficie : 19.05 km2]

     

    Jabreilles-les-Bordes (87)

    théophanie

    D'argent au Tau patté d'azur.

     

    Jabreilles-les-Bordes (87) - Peu Fourneau - Haute-Vienne - Nouvelle-Aquitaine - 25/07/1970 - vers 17 h 30

    RR3 de Étienne G. - 16 ans 1/2

     

    Source : Enquête de MM. GAILLE, J. GORCE, et J. F. GORCE, du Cercle LDLN Riom - Clermond-Ferrand LDLN n° 113 et 114

     

    Le 21 MARS 1971, nous nous sommes déplacés à LA JONCHÈRE SAINT-MAURICE pour y effectuer une enquête sur un cas d’atterrissage survenu fin JUILLET 1970. Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec notre enquête, près de huit mois se sont écoulés depuis ! Des données, peut-être précieuses, risquent ainsi d’avoir été irrémédiablement perdues.

    Cette enquête s’est déroulée dans d’excellentes conditions grâce au dévouement de Mme DARNAULT, directrice-animatrice d'une Maison de Jeunes de la localité. C’est dans le cadre accueillant de sa demeure, que nous avons procédé à l’audition du témoin principal Étienne G... après qu’il nous eu conduit sur les lieux. Nous avons essayé de nous imprégner de l’atmosphère, toute de simplicité de cette petite communauté dont il est l’un des membres. Et, si nous avions éprouvé quelque crainte en apprenant que le groupe de jeunes serait présent le jour de notre venue à LA JONCHÈRE, nous n’en sommes que plus à l’aise maintenant, pour faire état de l’impression extrêmement favorable qu’il nous reste de cette rencontre.

    Le fait même que ces jeunes gens auraient pu ne pas être avec nous attentifs à nos gestes, nous questionnant, exprimant ainsi beaucoup mieux leur état d'esprit que ne pourrait le faire apparaître un interrogatoire serré, constituerait certainement une insuffisance de notre enquête car ils font partie de « l’environnement » de notre témoin. En effet, ayant pu observer le groupe tout entier, nous avons pu apprécié avec beaucoup plus d'exactitude la partie

    qu’ont pu prendre les facteurs imaginatifs et émulatifs entre ses membres et repousser avec une quasi.certitude, la possibilité d’une mystification collective !

    Le nombre et la personnalité des « constituants » de ce groupe, les contacts que nous avons eus, les auditions enregistrées sur bandes magnétiques, les traces que nous avons pu encore observer huit mois après, nous permettent de considérer le cas que nous allons exposer, comme ABSOLUMENT AUTHENTIQUE et la perception de la RÉALITÉ PHYSIQUE de l’engin par Étienne G... comme TRÈS HAUTEMENT PROBABLE, bien qu’il en soit l’unique témoin.

     

    1er RAPPORT: L’OBSERVATION ET LES TRACES.

     

    L’OBSERVATION

     

    Un après-midi où il était de repos, le jeune Étienne G..., 16 ans 1/2, apprenti boulanger, habitant « LES BORDES », commune de JABREILLES-LES-BORDES (Haute-Vienne), décide d’aller faire un tour dans la nature proche de chez-lui, avec l’espoir plus ou moins ferme de découvrir quelques champignons. Il part seul.

    Or, il fait très beau, ensoleillé, chaud et sec. Le jeune homme croit se souvenir que c’était un samedi, et probablement le 25 JUILLET 1970 ( Il l’a confirmé depuis notre première enquête). Il connaît parfaitement la contrée boisée et sauvage, y ayant vécu toute son enfance : il n’y a pas un « coin » qui lui soit étranger.

    Il emprunte un itinéraire qui lui est familier, gravissant la pente d’une hauteur dite : « PEU FOURNEAU » (altitude 480 m) située à 700 m au S.- E. des BORDES son village.

    Ayant dépassé le sommet et après avoir jeté un coup d’œil sous le bouquet de sapins qui le coiffe, il entreprend de descendre le versant OUEST. La végétation y est très dense, on y enfonce jusqu’aux genoux et de hautes fougères atteignent une taille plus haute que celle d’un homme de taille moyenne : 1 m 68 (Étienne a cette taille), il avance lentement. Il peut être 17 h 30. (Ce jour-là le soleil sera occulté trois heures plus tard).

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    Soudain, entre le haut des fougères, il discerne quelque chose d’anormal situé en contrebas : une sorte de dôme d’apparence métallique est là, insolite !... et à 15 mètres à peine de lui !

    D’abord intrigué Étienne s’arrête un court instant. Puis poussé par une curiosité naturelle (bien compréhensible) il fait encore deux pas prudents en avant, stoppe sa descente et écarte les fougères avec le bâton qu’il tenait à la main droite. Le sol étant en pente, ces deux pas et le fait d’écarter quelque peu les fougères, lui permettra sans doute d’en voir plus et de découvrir la base, cachée à ses yeux, de ce dôme inexplicable : du moins le pensait-il ! (voir dessin couverture première page).

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    Mais, brusquement, il se trouva ébloui par une très vive lumière jaune orange, émanant de trois espaces ou carreaux rectangulaires situés immédiatement en-dessous du dôme (” 3 ou 4 ”, dira-t-il, mais il est « presque certain qu’il y en avait seulement 3 » qui l’éclairaient).

    Phares ? projecteurs ? Il ne peut déterminer l’origine de cette puissante source lumineuse. Toujours est-il que son intensité est telle qu’il lui semble que le haut du dôme est comme séparé d’une autre partie : la partie inférieure de l’objet nettement plus large.

    Cette partie inférieure, moins arrondie « plus plate » s’étend de part et d’autre, à peu près également de chaque côté. A ce moment là, en effet, il ne peut en distinguer les extrémités : l’éblouissement qu’il subit, les fougères et la pente l’en empêchent.

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    La carapace de l’ensemble, dôme et base, paraît métallique. Couleur ? Le témoin est net : « Comme du papier de chocolat ».

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    Alors la curiosité d’Étienne G... se transforme en une intense frayeur ! Il se sent paralysé, incapable de faire un geste : ni avancer, ni s'enfuir. (Il ne pourra nous préciser si cette paralysie était due à la peur ou provoquée par la lumière orange). Il reste donc figé, le pied droit en avant (il se souvient de ce détail). Notons-le aussi : bien que cloué au sol, il a l’impression d’avoir la possibilité d’orienter le champ de sa vue et de très bien voir. Pourtant, pris dans l’intense faisceau lumineux « comme s’il venait d’un phare » il en n’est pas moins ébloui et comme fasciné : « Il me cherchait » déclare-t-il souvent sans que nous n’ayons pu comprendre exactement ce que le témoin entendait vouloir exprimer par cette locution.

    Il n’a pu se rappeler si cette lumière issue des trois carreaux s’était allumée et se serait braquée sur lui au moment où il écartait les fougères, ou bien si elle existait avant et que le fait d’écarter ces hautes tiges qui pouvaient former écran l’ait peut-être brusquement placé directement dans le faisceau lumineux.

    Combien de temps dura cette phase de l'observation ? Étienne ne peut le préciser spontanément, semblant avoir perdu dans une certaine mesure la notion du temps. Toujours est-il qu’elle a provoqué chez lui un choc émotionnel violent. Qui ne l'admettrait pas en effet ?

    Le témoin en partie dissimulé cherche à satisfaire sa curiosité, apparemment sans grands risques, mais alors qu’il effectue le geste qui va lui permettre d’en apprendre davantage, il se trouve soudain découvert par ce qu’il croyait surprendre : de chasseur, deviendrait-il d’un seul coup gibier ? Peut-être est-ce là le sens de son : « Il me cherchait » ?

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    Quoi qu’il en soit, il observe pendant un temps d’une précision incertaine cette coupole « séparée » d’un corps plus important et plus plat « par un creux » où se situent 3 (ou 4) espaces rectangulaires d'où jaillit une lumière jaune-orange avec au centre de chacun de ces phares une sorte de rayon vert.

    « comme un trait >» faisant penser à une mine de crayon. (Ce détail ne nous a été fourni qu’après de multiples questions sur la lumière).

    Pendant tout le temps de cette première phase de l’observation, rien d’après le témoin ne semble avoir bougé et comme à l'accoutumée le silence règne dans ce lieu escarpé en cette belle fin d’après-midi de fin juillet.

    — Il —

    Puis tout à coup la coupole se met à s’élever lentement suivie de son large support et l’ensemble de l’engin émerge des fougères à la vue du témoin.

    Cette seconde phase a semble-t-il été très bien perçue. La proximité (10 mètres) et surtout le mouvement, ont davantage permis au témoin de remarquer certains détails. De plus la lumière orange (s’éteignant ou plus probablement se déplaçant solidairement avec le mystérieux objet) ne resta pas braquée sur Étienne et il ne se trouvait plus ébloui.

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    Il put alors discerner 3 à 4 hublots circulaires situés au milieu de la partie inférieure plus large et moins arrondie que le dôme, comme si cette rangée de fenêtres rondes en faisait le tour.

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    L’ensemble lui parut mesurer de 5 à 6 mètres de large et 2,50 m à 3,00 m de haut, d’une masse au moins de l’importance « d'une Estafette Renault ».

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    Or, du dôme s’échappaient trois antennes :

    — celle de droite d’environ 1,15 m rectiligne mais penchée vers la droite (Nord).

    — celle de gauche d’environ 0,60 m rectiligne mais penchée vers la gauche (Sud).

    — celle du centre, la plus courte au moment de l’observation, d’environ 0,45 m verticale au milieu et au sommet de la coupole.

    La gauche et la droite étant celles du témoin regardant l’engin. Les dimensions des antennes ont pu être déterminées avec une précision relative au cours de l’enquête.

    Notons qu’Étienne G... ne se souvient avoir aperçu les antennes qu’au moment où l’engin s'envolait et non au début de sa découverte du dôme à travers les fougères. Ces antennes lui paraissent rigides, d’égale épaisseur depuis leur naissance jusqu’à leur extrémité. Elles n’oscillèrent pas durant l’envol : il a insisté sur leur rigidité comme si ce détail l’avait surpris.

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    Le jeune homme ne perçut aucune silhouette derrière les hublots mais pense qu’il devait y avoir quelqu’un : « autrement, je vous le demande, à quoi ça servirait ? » Il a acquis la conviction intime qu’il était observé.

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    L’engin s'éleva au sol doucement, se dégageant en même temps assez lentement de la pente en basculant légèrement dans le sens de celle-ci.

    Cette inclinaison combinée au mouvement d’élévation aurait entraîné, semble-t-il, le décalage de l’ensemble des 3 faisceaux de lumière orange et verte « abandonnant » le témoin dont l’éblouissement cessa.

    Du fait aussi de ces deux mouvements combinés, le dôme et ses antennes, les carreaux lumineux dans le creux et les hublots inférieurs disparurent peu à peu à sa vue tandis qu’au contraire le dessous de l’objet lui apparaissait petit à petit.

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    Une sorte de sifflement assez aigu commença de se faire entendre dès le début de cette phase. C’est-à-dire avec le début de l’envol.

    Il a été difficile de faire préciser le niveau de fréquence de ce son : « C’était comme quand on change les ondes d’un poste de radio ou qu’on cherche une station, ça siffle ». Nous avons suggéré le bruit d’un moteur électrique de 2 à 3 CV tournant très vite ce que le témoin trouva comme convenant parfaitement !

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    Le dessous de l'engin qu’il observa bien jusqu'à une hauteur de l’ordre d’une douzaine de mètres lui parut de même teinte et de même apparence métallique que les parties supérieures, « peut-être légèrement bombé ».

    Quatre supports « courts et forts » absolument verticaux étaient comme sortis de quatre trous. Ces quatre supports rigides se terminaient chacun, à l’extrémité opposée au corps de l’engin, par une partie plate ou peut-être légèrement convexe mais plus longue que large : des sortes de semelles rectangulaires, sans embase.

    Les quatre supports ou jambes semblaient d’une seule pièce. Le témoin n’a pu préciser s’ils étaient cylindriques ou carrés.

    Ces supports remontaient ensemble dans l’engin en s’y enfonçant pendant que celui-ci s’élevait. « A la hauteur de mes yeux ils semblaient (déployés) tous les quatre de même longueur et avant que le témoin s’aperçoive qu’ils commençaient à rentrer

    dans l’engin « ils pouvaient mesurer au maximum 90 cm de long ».

    Ils n'apparaissaient pas télescopiques mais d’une seule pièce nettement droits et non inclinés. « Ils étaient assez gros ».

    Leur partie inférieure constituant chaque sabot vint s’adapter exactement à la forme d’un emplacement ayant l’aspect d’une dépression dans la coque inférieure de l’engin (ces quatre dépressions du carter ayant été remarquées par le témoin avant même qu’il ait réalisé leur utilité exacte).

    Chacune de ces quatre alvéoles devait présenter en son centre comme « un orifice » par lequel semblaient pénétrer d'une seule pièce les tiges-supports des sabots.

    Ces semelles sont venues s’encastrer exactement dans les alvéoles sans qu’Étienne G... ait pu voir si ces sabots avaient subi ou non une rotation préliminaire. Toutefois, notons ici une importante observation d’Étienne : les 4 alvéoles rectangulaires lui parurent disposées formant un rectangle parfait. Les plus grands côtés de chaque semelle disposés à contre-sens de la pente, soit orientée NORD-SUD et, selon ce qui parut être au témoin, dans le sens de l’ovalisation de l’objet (or les traces au sol des impacts donnent une position inverse, les plus petits côtés orientés EST-OUEST).

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    L’escamotage des supports s’est effectué pendant le temps que l’engin s’élevait doucement jusqu’à une dizaine ou une quinzaine de mètres. Puis il sembla reprendre « une assiette » horizontale tout en continuant de s’élever et en s’éloignant de la colline où se trouvait toujours Étienne G...

    Le M.O.C. sans tourner sur lui-même (pendant un temps Étienne voit les 4 trappes) continua de s’élever relativement doucement jusqu'à une hauteur de 80 à 100 mètres. Y a-t-il eu quelques oscillations ? Le témoin n’en garde pas un souvenir très précis.

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    Par contre la forme arrondie de l’engin vu de dessous lui parut évidente. Rond comme une assiette ou ovale comme un plat à poisson ? « Plutôt rond » est l’impression peu précise que l’on garde de la description d’Étienne. Pourtant à plusieurs reprises le témoin nous signale que pour lui ce dessous lui parut ovale.

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    A-t-il bien pu déterminer sa forme exacte ? A sa décharge notons qu’au début de cette seconde phase c’est-à-dire quand l’engin commença son mouvement d’ascension, la lumière orange l’ayant « abandonnée » et le dessous de l’objet commençant de lui apparaître, Étienne ressentit une sensation de chaleur qu’il ne parviendra pas à nous définir « un peu comme quand on a très chaud et qu’alors on enlève sa chemise pour travailler... on en transpire quoi ! ».

    il ne peut préciser si cette chaleur ressentie physiquement était due à une réaction psychique de sa part (suite à une grande frayeur) ou si elle était liée à l’engin lui-même.

    Il la ressentit quand il n’était plus dans le faisceau de lumière. Remarquons aussi qu’à ce moment là l’engin avait basculé légèrement en même temps

    qu’il s’élevait et qu’ainsi Étienne pouvait se trouver dans le champ d’un rayonnement possible émanant de la face inférieure de l’objet volant.

    La troisième phase sera celle où Étienne ne mettra plus grand détail en évidence si ce n’est le départ extrêmement rapide de l’engin.

    Dès qu’il eut atteint une hauteur de 100 mètres environ, l’objet fit un départ fulgurant. Sans inclinaison préalable (du moins le témoin ne se souvient pas a un « basculement ») il fila, puis disparut en 2 ou 3 secondes derrière la chaîne de montagnes formant la ligne d’horizon au NORD NORD-OUEST : très exactement à la corne OUEST du bois de sapins des « Adoux » faisant face au relais hertzien de l’Armée de MALLETY.

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    Quelle fut la durée totale de l’observation ? A la réflexion, Étienne G... estimera que 6 à 8 minutes se sont écoulées entre l’instant où il aperçut le dôme entre le haut des fougères et le moment où l’objet disparut à l’horizon.

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    Tel est le compte rendu que nous avons rédigé en respectant scrupuleusement le récit et les données fournies par l’audition du jeune Étienne G...

    Rappelons que nous étions deux enquêteurs munis chacun d’un magnétophone et que nous avons multiplié les questions et recherches pendant plus de 10 heures. Un très long questionnaire ayant été préparé par écrit à l’avance ! D’autre part, le fils de Monsieur GORCE de deux ans plus âgé qu’Étienne observait et notait discrètement toutes les réactions de notre entourage.

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    Bien que le terme « soucoupe volante » n’ait pas été employé, il est évident que le cas décrit, faisant l’objet de ce rapport en est un exemple classique sortant toutefois de l’ordinaire par de nombreux détails jusqu'ici non répertoriés.

    Quand nous avons entrepris cette enquête, nous savions qu’il nous fallait absolument mener nos investigations avec une attitude intellectuelle nettement orientée vers la suspicion systématique de tout détail tendant à se démarquer des lois de la physique actuelle sous peine de nous voir nous-mêmes suspectés aussitôt soit d'être de connivence, soit d’être dotés d’une crédulité sans borne ! Aussi nos efforts ont-ils portés sur les deux éléments principaux : le Témoin et les Traces.

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    En ce qui concerne le témoin notamment, nous nous sommes rendus compte, en ré-écoutant les interrogatoires sur les bandes magnétiques enregistrées le jour de l'enquête, que cette attitude, outre qu’elle n’était pas objective, pouvait dans une certaine mesure contribuer à déformer la vérité (ce qui est extrêmement grave).

    En effet, pensons-nous, la personnalité du témoin risque dans certains cas, d’être influencée par l’attitude de l’enquêteur à son égard, de déformer son témoignage dans le sens où nous le poussons trop, pensant peut-être que son récit sera plus crédible (un mystificateur aurait sans doute « sauté » sur de telles occasions).

    Ainsi plusieurs fois, avons-nous obtenu une « réaction », une sorte de « révolte » devant nos tentatives plus ou moins insidieuses de faire prévaloir notre façon de voir les choses (ou plutôt de les imaginer) au détriment de la version donnée par le jeune homme.

    Semblant mettre en doute le fait qu’il n’avait pas remarqué les antennes en même temps que le dôme et la lumière orange, nous avons eu droit à un : « J’AURAIS BIEN VOULU VOUS Y VOIR VOUS ! » qui constituait le début d’une certaine agressivité qui s’amplifia encore lorsque nous poussions très loin nos questions sur les supports que nous imaginions « inclinés » et « télescopiques ». Le jeune homme prendra résolument ses distances, déclarant : « JE NE FORCE PERSONNE A ME CROIRE »... Bref, il n’était pas complaisant à notre égard, ce qui constitue un incontestable bon point pour lui ! Mais en aurait-il été de même avec un garçon plus influençable qu’Étienne G... ?

    Nous verrons que les scrupules que nous avons mis à rechercher là où les preuves de l’inexactitude des déclarations du Témoin étaient sans fondement.

    Parallèlement, nous avons mis toute notre ingéniosité à déceler la plus petite marque de supercherie dans les impacts laissés sur le sol et nous ne sommes pas parvenus non plus à découvrir une seule preuve de Non Authenticité des TRACES.

     

     

    LES TRACES

     

    La tâche de l’enquêteur paraît plus aisée lorsqu’il s’agit non plus de rapporter des faits observés par un tiers mais de décrire des traces dans leur environnement immédiat telles qu’Étienne et nous-mêmes les avons vues.

    — Comment, quand furent-elles découvertes ?

    — Quel est leur aspect ? Impacts, sol, emplacement.

    — Quelles en sont leurs dimensions ? Impacts, position, mesures.

    — Enfin y a-t-il des détails qui ont pu retenir notre attention.

    Telles sont les questions auxquelles nous allons répondre simplement, laissant à chacun le soin d’ouvrir avec lui-même, ou dans le cadre d’une réunion de Cercle L.D.L.N., la discussion de ce cas, et qui sait ? d’en déduire des données intéressantes sur « le fonctionnement » du M.O.C. de JABREILLES-LESBORDES !

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    I — Leur Découverte

    Au départ de l’Engin de la hauteur 100 m, Étienne « revient à lui, reprend l’usage de ses membres trempés de sueur ». Instinctivement il fuit en direction de son village car il a eu et il a encore « une belle trouille ».

    Aussi vite qu’il le peut il « dévale » le PEU FOURNEAU et « par les traverses » regagne en courant son humble demeure où se trouvait sa grand-mère (il la mettra dans la confidence quelques semaines plus tard seulement).

    Or, nous affirme-t-il, durant tout le temps de l’observation et en particulier durant la 2 e phase de l’Éblouissement qui sans doute dura à peine 5 minutes, IL NE PENSE A RIEN.

    Il commencera à « reprendre ses esprits » après avoir franchi les 50 premiers mètres de sa course débâcle. Cette distance atteinte et en continuant de courir il se REMET à PENSER.

    Comme on le voit, il était loin ce jour là d’avoir envie d’aller inspecter l’emplacement où se posa l’Engin qui venait de lui procurer une telle frayeur !

    Pendant une semaine il se garde bien de parler de son aventure à qui que ce soit, de sortir seul dans les bois, et surtout le soir !

    Cependant au fil des jours s’écoulant, il semble « récupérer » petit à petit. Ce qui ne l’empêchera pas 2 mois plus tard à l’occasion de son anniversaire (21 septembre) de se faire acheter malgré tout par « ses copains »> une torche électrique !

    Pourtant une huitaine de jours après l'événement, sa crainte s’étant quelque peu dissipée, il s’enhardit. Son tempérament volontaire et peut-être aussi sa curiosité l’emportent : il décide pour la première fois de retourner sur place et avec une prudence de Sioux de revoir les lieux.

    Bien sûr, il n'y avait plus d’engin, mais à l’endroit du stationnement dont il se souvient que trop bien, une première confirmation de son souvenir lui est apportée par un écrasement (en arrondi) de la végétation.

    Actuellement on ne voit que très vaguement cet écrasement et les contours n’en sont pas nets : on en devine la forme circulaire sans plus.

    Mais il avance près de cet affaissement des bruyères et ajoncs. Quelle n’est pas sa stupéfaction d'y découvrir aussitôt quatre empreintes profondément imprégnées dans le sol dur et rocheux !

    — Leur Aspect

     

    A — IMPACT

     

    Les contours de ces quatre impacts sont nets « comme coupés au couteau ». La végétation (rameau de bruyères, ajoncs, mousses et lichens) n'existe plus à ces emplacements : elle a été réduite en poussière ! Seules quelques racines et grosses branches de bruyère bien que cassées et écorcées ont résisté à cette destruction.

    Au fond de chaque enfoncement rectangulaire, nous remarquons 8 mois après l’événement, que les parties de ces tiges écorcées, restées enfoncées dans la terre sont évidemment plus claires que celles exposées à l’air. Mais on distingue néanmoins fort bien ces dernières sur nos clichés.

    L’enfoncement profond du sol fait apparaître côté montagne, la terre fraîche noire (dite terre de bruyère) et quelques cailloux de granit mis à nu, puis enfouis au même niveau que le fond de chaque empreinte.

    Étienne réalise alors qu’il doit s’agir des empreintes des quatre semelles qu’il avait remarquées en bout des quatre courts supports émergeant de la base de l’Engin prenant son envol. A ce détail près toutefois quelles sont orientées en long dans le sens de la pente O.E. alors qu’observant le dessous de l’Engin, elles lui parurent dans le sens inverse N.S. On pourra sans doute en déduire qu’il y a probablement eu rotations des semelles au moment du décollage.

    Quoiqu’il en soit, huit mois après, nous constatons encore très nettement ces quatre enfoncements très marqués orientés EST-OUEST.

     

    B — SOL

     

    Pourtant le terrain est dur et ne se prête pas facilement à l’empreinte de telles marques .

    D’une part, en surface de ce terrain en pente, une végétation dense, touffue, épaisse de 20 à 30 cm de haut, nous empêche nous-mêmes d’y faire et d’y laisser des traces : c’est un tapis épais et élastique d’ajoncs et de bruyères mélangés.

    D’autre part, si avec des outils on parvient très difficilement à faire une place nette, après avoir enlevé la mousse on trouve presque immédiatement des éboulis de pierres de granit dont certaines, sinon toutes, proviennent apparemment de constructions très anciennes dont on voit encore les vestiges au sommet du mont : ce sont des gros blocs plus ou moins taillés angulairement, de 60 à 70 cm de côté !

    Bien entendu, il n’y a pas seulement des pierres dégrossies : entre les interstices s’est logée au cours des ans, outre quelques cailloux informes, cette terre noire d’apport naturel relativement récent, où prennent vie racines de bruyères et d’ajoncs.

    Nous croyons pouvoir estimer que ces éboulis se sont écroulés là il y a de 5 à 8 siècles. Il a fallu tout ce temps pour que la nature prenne peu à peu ses droits et les recouvre ainsi que nous le voyons aujourd’hui.

    Mais que trouve-t-on si des points d’impacts on se dirige à remplacement qu’occupait Étienne (12 M) puis si l’on fait encore 80 mètres pour atteindre le sommet de ce « PEU FOURNEAU »> ?

    De ce point d’atterrissage et en remontant, la pente devient moins raide malgré le sous-sol toujours rocheux (près de l’emplacement qu’occupait Étienne se trouvent les bases d'un très vieux mur de grosses pierres sèches, mur que l’on retrouve à l’opposé de la montagne faisant penser à une enceinte) mais pour qui a l’habitude, on devine que la terre devient plus épaisse au fur et à mesure que l’on gagne le sommet devenant plate-forme. Fougères, genévriers, puis quelques chênes timides et rabougris paraissant 15 ans d’âge. Puis pins sylvestres peu nombreux et enfin bouquet de sapins plantés (30 ans d’âge) dont il a été fait mention plus haut et quelques hêtres et chênes épars portant plus allègrement au sommet du mont leur demi-siècle d’existence.

     

    C — EMPLACEMENT

     

    Cette dernière description du sol est donnée pour préciser que les Traces se trouvent être juste à la limite de la haute végétation (fougères) et à un emplacement où le sol ne saurait être « meuble » mais dur : l’épaisseur moyenne de la terre n'excédant pas 4 cm !

    Cette nature du terrain explique pourquoi nous avons remarqué, comme Étienne l’avait vu, les racines et tiges de bruyères cassées et écorcées par PRESSION, détails apparaissant encore nettement sur les photos.

    Lors d’une seconde visite sur les lieux, nous avons remarqué que l'emplacement choisi pour cet atterrissage sur pente était le seul hors végétation de toute la montagne qui présentait une légère cuvette, une sorte de « bessière » formant petite plate-forme qui, bien qu’inclinée, n’offrait pas une pente aussi raide que partout ailleurs.

    De là à penser que le ou les pilotes de ces objets sont particulièrement observateurs pour avoir remarqué cet emplacement il n’y a qu’un pas que nous laisserons franchir à nos amis chercheurs et parmi eux aux penseurs qui spéculent encore sur le hasard des points d’Atterrissages,

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    III — Leurs Dimensions A — Les IMPACTS

     

    — 1) Les 4 impacts ont la même dimension. Chacun mesure 53 cm de long par 32 cm de large (dimensions garanties à 1 cm près).

    — 21 Leur enfoncement côté montagne est de l’ordre de 10 cm dans le sol ou encore de 40 cm végétation comprise.

    3) Les découvrant pour la première fois, on a l’impression très nette — confirmée par un examen approfondi — qu’elles ont été provoquées par une pression inimaginablement élevée, impossible, a priori, à évaluer.

    On en reste encore pantois... huit mois après l'événement. Un caillou de granit enfoncé dans la trace C portait encore une éraflure longitudinale (et dans le sens de la longueur de l’impact) l’ayant « nettoyé » de sa patine et de sa gangue de terre séculaire.

     

    B — Leurs POSITIONS

     

    Penchons-nous sur le plan de ces quatre empreintes telles que nous les vîmes lors de notre première visite sur les lieux.

    Pour effectuer ces premières mesures nous nous sommes contentés de situer (à 3 cm près) ce qui nous paraissait être le centre de chaque impact et de relever les dimensions entre ces 4 points comme les différences de niveau.

    Ayant mesuré plusieurs fois nos longueurs, c’est volontairement, précisons-le, que nous indiquons ces premières dimensions telles que nous les avons relevées au risque de décevoir certains lecteurs dans leur attente logique d’y retrouver leur conception d’une géométrie classique et bien ordonnée.

    Examinons donc le « Plan de Masse » de ces 4 impacts au moyen de notre premier relevé ci-dessous :

     

    QUE VOYONS-NOUS ?

     

    — 1°) Les Traces ont sensiblement mais nettement la même orientation sans contestation possible. Toutes ont leur grand côté placé dans le sens de la pente.

    Il n’est pas besoin d’être skieur pour penser qu’il y a dans cette constatation une anomalie apparente. Il semblerait logique que la stabilité de l’engin réclamât une position inverse. (Mais à ce point de notre rapport la discussion n'est pas encore ouverte).

    — 2°) Par contre notre « conception terrienne » des choses est satisfaite lorsque nous constatons que les pilotes ont placé chacun de leur 2 points d’appuis extrêmes et les plus rapprochés à contre pente, ce qui « nous » paraît correct.

    Connaissant la faible longueur des supports, s’il en avait été autrement, l’engin en raison de la pente n’aurait pu être en position horizontale et nous savons qu’il y était. Ceci nous amène à examiner les niveaux des quatre impacts.

    — 3°) Les traces A et B sont sensiblement au même niveau suivant la même courbe cartographique.

    Les tracés C et D sont à un niveau inférieur. Bien que l’emplacement de l’atterrissage jouit d’une pente moins forte qu’aux alentours la pente entre A et C est de 16 % et entre C et D de 20 %. Cette différence est due à un accident de terrain en D, accident qui semble avoir été très bien perçu par les pilotes et de ce fait revêt une certaine importance.

    — 4°) Lorsqu’on arrive sur le terrain, il saute aux yeux en effet que la Trace D ne semble pas se trouver « logiquement » à sa place. Ce premier coup d’œil n’est pas illusoire : nos premières mesures le confirment, A C développe 1,60 m et B D 1,50 m ! La différence de longitude entre les deux points centraux. C et D accuse dix bons centimètres !

    Nous verrons même plus loin que vue sous un certain angle, la masse (et non plus les points centraux) des deux traces C et D accuse une différence de l’ordre de 20 cm.

    Étant située plus haut sur la montagne, D devrait par ailleurs se trouver à un niveau plus élevé que C, or il n’en est rien ! C’est l’inverse (entre A et C : 16 % pour 26,5 d’écart sur 1,60 m entre B et D ! 20 % pour 30 cm d’écart sur 1,50 m).

    Toutes ces pseudo-anomalies proviennent du fait d’une sorte de ressaut situé à l’ouest de D.

    — 5°) Quel est donc cet accident « qui gêne » tout le monde ? « Deux petits schémas valent mieux qu’un long discours », aurait dit Napoléon. Les voici :

    — a) Sur le profil A-C il n'y a rien à signaler dans la coupe du terrain vu du Sud.

    — b) Sur le profil B-D il y a un rocher sous D bien caché sous la végétation.

    Bien que nous n’ayons pas dans ce rapport à ouvrir de discussion, remarquons simplement que D semblait porter sur sol sur les 3/4 seulement de la semelle (ou les 2/3 ?). Comment le savoir ? Nos dimensions d’impact sont exactes car nous disposons de la végétation sur humus pour établir les mesures même dans ce qui paraît être un vide sur ce schéma sur lequel n’est pas représentée cette végétation épaisse de 30 à 40 cm !

    D placé 10 cm plus à l’ouest, le prolongement imaginaire de la tige support de la semelle risquait de se trouver sur l’arrête de ce rocher et de compromettre la stabilité de l’engin. Les pilotes ont semble-t-il bien détecté cet accident de terrain bien camouflé et auraient agi en conséquence, c’est-à-dire en portant peut-être au maximum de sa possibilité le support D (toujours vertical) vers l’EST.

    Mais laissons à nos amis chercheurs...

    — le soin d'étudier le bien-fondé de cette hypothèse ;

    — comme de supposer l'orientation possible des semelles à 90°, soit indépendamment, soit manœuvrant soudées à leurs supports (personnellement nous le pensons...) ;

    — lesquels supports, comme on va le voir sur le relevé n° 2, auraient la possibilité de se mouvoir toujours verticalement au cœur de chaque alvéole selon une certaine marge, cette possibilité trouvant peut-être naissance dans la remarque d’Étienne sur cet « orifice » dont il a parlé...

    — etc... etc...

     

    C — LEURS MESURES

     

    Lors d’une seconde visite des lieux nous avons délimité les quatre impacts en plantant verticalement quatre baguettes aux extrémités de chaque trace afin de déterminer non plus les dimensions des traces mais, avec le maximum d'exactitude, leur position les unes par rapport aux autres. Voici donc à la cote notre second relevé « Plan détaillé ».

    Nous avons demandé à M. Lagarde de faire de ces mesures les commentaires qui s’imposaient et que voici :

     

    DE F. LAGARDE

     

    « M. Gorce est bien gentil, mais que dirais-je de plus sur ces traces ? La première fois dans leur rapport, les deux enquêteurs avaient joint un croquis des traces où figuraient 6 côtés. A cause d’une malheureuse petite erreur de plus ou moins 5 cm (mais capitale) je n'ai eu de cesse que M. Gorce retourne sur les lieux pour revérifier ses mesures.

    Il a rapporté cette fois 23 cotes. L’écart entre AC et BD est confirmé. Nous ne pouvons que constater que les semelles semblent avoir la possibilité de s’orienter sur le terrain, car en D existe un rocher, un nez de rocher qui chute de plus de 30 cm, et pour qu’un appui stable soit trouvé, il aurait fallu que la semelle s'écarte de près de 40 cm, en même temps que le pied soit plus haut.

    Peut-être l'engin ne le pouvait-il pas, et que la solution choisie était la seule possible. Ce qui est à souligner c’est cette différence qui, deux fois mesurée à plusieurs jours d’intervalle, et avec des mesures totalement diversifiées, s'avère réelle et exactement semblable à ce qui avait été trouvé la première fois.

    Sur le dessin nous avons figuré que quelques cotes principales. Mais il a été établi très exactement à l’échelle de 10 cm par mètre, et sur la reproduction qui en sera faite, le chercheur pourra retrouver toutes les cotes qu’il désire.

    Le fait remarquable est la pression qui a été nécessaire pour produire ces traces. Plusieurs dizaines de tonnes, nous dira M. Gorce dans une de ses lettres. On ne conçoit pas comment dans ce lieu difficilement accessible, on aurait pu amener des matériaux pour pouvoir simuler de telles traces, ni que celles-ci puissent être naturelles, par la chute d’une grosse pierre par exemple.

    L’autre fait que souligne également M. Gorce, est l’orientation de ces traces. Composant une figure rectangulaire, le grand côté est sensiblement horizontal, le petit dans le sens de la pente. L’engin s’étant posé horizontalement, dans l’autre sens, il lui aurait fallu une longueur de pieds arrière de 20 cm plus long au moins, et peut-être ne le pouvait-il pas. De toute façon ce choix était celui de la plus grande stabilité.

    On remarque que la trace B a subi une déviation ; il n’y a aucune explication sur le terrain pour cette déviation. Elle implique elle aussi la mobilité de la semelle.

    Enfin dernière constatation, qui n’était pas apparue de prime abord, le couple de traces AB semble être déporté de 5 cm environ au nord par rapport au couple CD.

    Je pense que c’est tout ce que l’on peut en dire ».

    Mais il n’est pas dans le rôle des enquêteurs d’extrapoler, ils se contentent de se poser des questions. En voici d’autres :

     

    IV. — DÉTAILS

     

    1) Le fond de chaque empreinte est-il ou non horizontal ?

    Oui rigoureusement et plat sans toutefois qu’on puisse affirmer côté montagne l’existence ou non d’un certain bord relevé, les traces sont trop anciennes (« peut-être » légèrement convexe a dit le témoin).

    2) Y avait-il un relief sous les semelles ?

    Nous restons assez perplexes sur ce sujet, surtout huit mois après !

    Toutefois l’impact A nous a intrigué. Cet impact a bénéficié plus que les trois autres de terre meuble surtout dans son quart côté montagne EST. Nous avons cru pouvoir y déceler l’ébauche d’une sorte de rainure centrale au fond arrondi de 3 cm de large, relevé en bout du sabot.

    Bien qu’il s’agisse aujourd'hui d’une réalité physique, nous ne pouvons affirmer qu’elle soit consécutive à la semelle de l'engin lui-même.

    Il aurait pu se trouver là en effet par hasard un bout de bâton de 12 cm de long qui, enfoncé lui aussi avec le reste aurait disparu depuis.

    3) Et en dehors des impacts proprement dits avons-nous remarqué quelque chose ?

    Nous ne saurions être catégorique mais partant du centre des côtés EST des traces B, C et D, en fouinant, nous avons cru déceler comme un « trou de taupe »» s’enfonçant du fond des impacts dans la terre de la montagne, d’un diamètre de 3 à 4 cm et semblant prendre départ 2 à 3 cm au-dessus du fond des traces.

    Si vraiment ces orifices ne sont pas dus à des mulots intelligents on est obligé d’imaginer soit la présence d’un pic en bout de semelle, soit le jet d’un fluide sous pression, soit la trace d’une carotte de prélèvement exécuté juste au bout des sabots ?

    Nous donnons tout de même, sous toute réserve, ce détail dans le cas où il y aurait eu une observation semblable quelque part dans le monde.

    Malheureusement, la trace A (dans laquelle nous avions cru découvrir une rainure) n'a pu nous éclairer et nous livrer son « trou de taupe ». Bénéficiant, comme nous l'avons dit, davantage de terre que les autres, elle était pratiquement détériorée lors de notre dernière visite au cours de laquelle nous avons cru découvrir ces trous.

    4) Y a-t-il eu tâtonnement pour atterrir ?

    Nous ne le pensions pas à première vue, tellement les traces étaient nettes,  sans bavure.

     

     

    Deux photos de la trace C prises à la verticale.

    Le sabot a fait un trou dans la végétation de bruyère et d'ajonc., épaisse de 30 cm. Le mètre indique la largeur : 32 cm, la longueur  : 52 cm.

    Après 8 mois la végétation sur la bordure tend, naturellement à s'étendre sur le trou. Il faut l'écarter avec les mains pour pouvoir étudier les traces. Vers le haut de la pente (bas des photos trace C) le terrain est empreinté de 10 cm, la forme est très nettement rectangulaire. Il aurait fallu couper les tapis aux alentours pour pouvoir le photographier.

    Dans le tiers central , bien visible, la végétation a été sectionnée, les tiges de bruyères couchées et écorcées. Dans le bas de la pente (haut des photos trace C) la végétation a moins souffert, le sabot horizontal n'ayant peu, ou pas, du tout touché le sol.

     

    Les ronds blancs indiquent des traces bien visibles.

    Ceux avec une simple flèche quelques points où l'écorce a été arrachée

    Avec une flèche et un point noir : cailloux de granite enfoncés par pression et éraflées (témoin ramassé ensuite).

    Ceux avec un croisillon : végétation sectionnée a l'écrasement.

     

    Toutefois, pour répondre à cette question nous avons cherché tout autour des impacts sur le faux plat choisi par les pilotes.

    Or, sans qu’il nous soit possible d’être affirmatif, nous avons cru voir à 2 m à l’ouest de la trace D une marque assez semblable aux bords EST coupés au couteau de la trace B, avec la même orientation que cette dernière. Mais il n’y a rien de comparable ! Aucune forte pression ne s’est exercée là ; s’il s’agit d’un essai, il fut semble-t-il bien timide !

    5) On nous a posé la question : « Mais qu’est-ce donc que ce « PEU FOURNEAU ».

    Notre rapport sur l’environnement en traitera très longuement car nous voulons savoir quelles ruines sont au sommet, ruines d’où proviennent les éboulis du premier sous-sol sur lequel s’est posé l’objet.

     

    Disons seulement que « PEU » en patois d’Auvergne (langue d’oc) signifie beaucoup de choses suivant l’intonation, le sens de la phrase et la région. En bordure du Limousin, c’est un mot synonyme de « Puy », c’est-à-dire : élévation naturelle ou montagne. « Le Puy-de-Dôme » ou « la Montagne du Temple » en est une illustration.

    Quoiqu’il en soit l'impossibilité matérielle de fabriquer des traces aussi écrasées en ce lieu retiré et si peu accessible, comme la complexité de leur disposition inattendue, nous a incité à les considérer comme parfaitement authentiques.

    Leur découverte, leur aspect, les dimensions de ces traces que nous avons relevées laissent à tous les chercheurs et les penseurs un champ d investigations suffisamment vaste pour satisfaire leur curiosité. Nous leur souhaitons Bonne Chasse !

    Parti sceptique et résolu à ne pas nous en laisser conter, nous avons retiré de cette enquête le sentiment d’une réalité.

    Nous avons beau ré-écouter nos bandes, compulser notes et souvenirs, revenir sur les lieux, revoir le témoin, nous ne trouvons aucune contradiction effective, si mince soit-elle.

    A ce jour notre conviction est celle-ci :

    Étienne G... fait bien partie des millions de témoins qui ont vu de par le monde l’un de ces fameux O.V.N.I. Bien plus il est l’un de ces milliers de privilégiés qui ont pu observer de très près et être remarqué par un M.O.C. !

     

    NOTE DES ENQUÊTEURS :

     

    La région où s’est produit l’événement relaté ci-dessus pourrait bien être un des points chauds du territoire.

    Notre enquête sur l’environnement fait déjà apparaître pas moins de cinq observations à proximité immédiate de JABREILLES-LES-BORDES.

    1954: Illumination de LA JONCHÈRE en plein jour.

    1956 : Phare céleste au crépuscule à LA JONCHÈRE.

    1960 : Long stationnement d’un O.V.N.I. à haute altitude en plein jour.

    1970 : 2 septembre à 23:00 : Brusque et court éclairage de deux jeunes gens sur la montagne dominant LA JONCHÈRE et dont l’histoire déclenchera les confidences d’Étienne G...

    1971 : 11 mai à 4:10: Passage NO-SE d’un œuf lumineux au-dessus de LA JONCHÈRE ; plusieurs témoins dont Alain D... et Étienne lui-même !

    Certains secteurs (EVILLERS, CHATEL-GUYON, LA JONCHÈRE, ...) méritent bien toute notre attention. Mais combien de points chauds demeurent encore méconnus ? Ouvrons l’œil !...

     

    Autel de la Vierge au puy de Jabreilles [Wikipédia]

     

    Les Théophanies Futuristes

     

    le ciel nous parle …

      … selon la Pataphysique, définie par Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907) le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907)  comme la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique, c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique [cf. Les Faux-Vrais] …

    … avec son langage symbolique …

      nous transmettant des visions/perceptions et des interfaces dynamiques qui nous relient aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. [Hypothèses de Broglie/La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste] …

    … ses Théophanies futuristes …

    ce mode de communication (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition ou cratophanie perçue comme supranaturelle.

    Nos ancêtres voyaient dans ces manifestations/apparitions supranaturelles, des Rencontres Rapprochées avec l'ineffable, et les considéraient comme des capsules temporelles porteuses de message transmises, individuellement ou collectivement mais destinées à l'humanité dans son ensemble.

    Le déroulé de ces cratophanies est toujours précis, leur mise-en-scène élaborée, avec un sens de lecture ordinaire et une lecture de sens extraordinaire, … chimériques, fabuleuses, fantastiques elles nous apparaissent maintenant comme des théophanies futuristes.

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle de la RR3 d’Étienne

     Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec sa rencontre rapprochée d’Étienne.

     

     La symbolique des mots et des images

     

    Peu = élévation Fourneau = miséreux/misérable = habitué au Fourneau de Charité par métonynie (Une métonymie est une figure de style qui, dans la langue ou son usage, utilise un mot pour signifier une idée distincte mais qui lui est associée par relation nécessaire, cause et effet, inclusion, ressemblance, etc., cf. Wikipédia) est la clef de lecture de cette RR3/cratophanie, le miséreux/misérable/le naïf est celui qui est au bas de l'échelle sociale, le vagabond, le mendiant, le plus démuni, le déshérité, le modeste, l'humble, l'individu qui ne compte pas, qui n'a pas d'importance, que l'on ignore ou l'on rejette généralement, le pauvre ou le paria ;

    cette figure symbolique de la modestie est ici incarnée par Étienne simple et jeune (16 ans 1/2) apprenti boulanger qui réside dans l'humble demeure chez sa grand-mère au hameau des Bordes de Jabreilles-les-Bordes (87), Bordes = petites maisons rurales, elle correspond à celle des cœurs purs des 8 béatitudes, prêchées lors du Sermon sur la Montagne par Jésus Christ, la Grâce des 8 Béatitudes est la Porte qui conduit au Royaume Céleste.

     

    « Heureux les pauvres de cœur :
       le Royaume des cieux est à eux !

    Heureux les doux :
       ils obtiendront la terre promise !

    Heureux ceux qui pleurent :
       ils seront consolés !

    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice :
       ils seront rassasiés !

    Heureux les miséricordieux :
       ils obtiendront miséricorde !

    Heureux les cœurs purs :
       ils verront Dieu !

    Heureux les artisans de paix :
       ils seront appelés fils de Dieu !

    Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice :
       le Royaume des cieux est à eux !

    Heureux serez-vous si l'on vous insulte,
       si l'on vous persécute
       et si l'on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.


    Réjouissez-vous, soyez dans l'allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux ! » [Les Béatitudes - Mathieu - 5 . 1-12] ;

     

    le Boulanger (= celui qui fait les pains ronds/hosties) qui veille la nuit, solitaire, et qui se consacre à la belle œuvre au four (= fourneau = athanor de l'alchimie du feu/spirituel).. allusion à la veillée d'armes de l'aspirant à la chevalerie qui se soumet à une ultime épreuve, - veiller seul une nuit complète (sans luminaire, et du coucher au lever du soleil) - dans un lieu consacré, et dont il doit sortir victorieux ou renoncer à jamais à l'orden de chevalerie :

    Son parrain le chapitre savamment...

    Mon Fils...

    …Terribilis est locus iste…

    [ce lieu est terrible, extra...ordinaire et fabuleux]

    Cette nuit, tu regagneras le vaisseau et tu la passeras, à la ressemble...lance (lance = chevalier) de celle de Jacob [qui passa le gué du Yabboq] et qui resta seul à lutter contre un inconnu jusqu'au lever de l'aurore...

     Rappelle toi...

    Jacob... resta seul.

    Quelqu'un lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore. Voyant qu'il ne le maîtrisait pas, il le frappa à l'emboîture de la hanche, et la hanche de Jacob se démit pendant qu'il luttait avec lui (cette blessure annonce la peine/nostalgie, résultante du souvenir d'une rencontre rapprochée avec l'ineffable).

    Il dit :

    Lâche-moi, car l'aurore est levée, mais Jacob répondit :

    Je ne te lâcherai pas, que tu ne m'aies béni. Il lui demanda : Quel est ton nom ? - Jacob ... répondit-il.

    Il reprit :

    On ne t'appellera plus Jacob, mais Israël, car tu as été fort contre Dieu et contre tous les hommes et tu l'as emporté.

    Jacob fit cette demande :

    Révèle-moi ton nom, je te prie, mais il répondit :

    Et pourquoi me demandes-tu mon nom ?

    Et, là même, il le bénit.

    Jacob donna à cet endroit le nom de Penuel (= j'ai vu un être divin face à face, et ma vie est préservée), car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face et j'ai eu la vie sauve.

    Au lever du soleil, il avait passé Penuel et il boitait de la hanche. [Genèse 32, 24-32]

    Mon Fils :

    le soleil va bientôt se coucher,

    as tu embrassé tes parents,

    as tu fait tes  à...Dieu  auprès de tes amis, 

    et as tu bien recommandé ton âme au Ciel ?

    Vas !

    Et, quand tu verras les derniers rayons du soleil couchant, au moment où la porte du vaisseau se refermera sur toi, comme se referme la pierre tombale...

    Mon Fils...

    N'oublie pas ceci :

    tu n'appartiendras plus qu'à la nuit... 

    et la nuit... elle… n'appartient qu'aux... anges...

    la RR3 d'Étienne G. au Peu (= au feu spirituel à la langue volatile des oiseaux) Fourneau (= laboratoire/oratoire des adeptes de la Pierre Philosophale) apparait comme la transposition de celle de l'aspirant, du bachelier de l'orden de chevalerie qui sort victorieux de sa rencontre avec un représentant céleste, figuré par le vaisseau aérien/ovni en forme de coupole surmonté d'un dôme (= soucoupe volante = sous la coupe/dôme des célestes volants), Étienne = le couronné (Saint Étienne a été le premier à porter la couronne du martyrs chrétiens) = celui qui est ceint des palmes du héros ;

    les 3 à 4 hublots circulaires situés au milieu de la partie inférieure plus large et moins arrondie que le dôme, qui semblent en faire le tour (comme les 3/4 carreaux diffusant les rayons de la très vive lumière jaune-oranges en-dessous du dôme), plus les 3 antennes disposées en rayonnement sur le dôme, suggèrent les joyaux multicolores et les pointes d'une couronne royale ;

    le vaisseau aérien/ovni présente une carapace métallique « Comme du papier de chocolat » symbolise la perfection de la divinité en analogie avec l’inaltérabilité du métal ;

    l'association des 4 empreintes rectangulaires, les 4 sabots des 4 pieds, associés aux 3 antennes, aux 3/4 hublots, aux 3/4 carreaux diffusant les rayons de la très vive lumière jaune-orange en-dessous du dôme, expriment la quadrature du cercle céleste et la cercleture du carré terrestre, l'alliance de la créature physique terrestre et de son créateur spirituel céleste venu éclairer/illuminer Étienne G.;

    la très vive lumière jaune-orange caractérise l'origine céleste (or-ange = l'or des anges) des phares symbolise cette lumière aurifère attribut du divin, avec au centre de chacun de ces phares une sorte de rayon vert dont la couleur symbolise l'espérance de la vie éternelle :« Le dernier ennemi qui sera anéanti, c'est la mort. » [Corinthien I-26] ;

    le dôme, équipés de ses carreaux lumineux qui éblouissent de leur  lumière le témoin, représente la lanterne qui coiffe le clocher tyrolien et à bulbe des églises orthodoxes symbolisant la flamme d'un cierge, diffusant la flamme vivifiante du Christ ;

    Jabreilles = Cebrail (djébraïl) revoie au messager divin l'archange Gabriel le hérault (et héros) de Dieu qui révèle aux hommes l'eschatologie, le destin de l'humanité et la destinée de la création divine.

     

    En résumé :

    Étienne G. a raison lorsqu'il révèle aux enquêteurs : « Il me cherchait », pour devenir le porte-parole (cf. le sifflement perçu dès l'envol du vaisseau aérien/ovni qui évoque celui « du changement des ondes d’un poste de radio ou qu’on cherche une station ») du verbe divin du Christ, comme nous le confirme la date du 25/07/1970, qui le jour de la fête de Saint Christophe, celui qui porte le Christ !

     

     

    Cette fontaine est située dans le village de Jabreilles. C’est une pierre monolithe circulaire. L’eau est guidée par une rigole vers un bassin rond qui devait autrefois servir de lavoir. La légende rapporte que son eau est réputée donner la parole aux enfants. [Commune de Jabreilles-les-Bordes (87)

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     

     

    Le Bâton (échelle) de Jacob

     

     

    Encodage stellaire de l'ouverture du nouveau cycle de l'année théurgique, à compter de la pleine lune de l'équinoxe de printemps, annonçant la Pâques, de la résurrection, de l'ascension, et de la pentecôte, dont les 4 décans du Signe de Jonas renvoient au Signe de 4 du Tétramorphe (figuré par la Croix rouge en bannière).

     

    La Couronne Solaire

     

     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

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    L’Étreinte Céleste - Livre VI

     

    Énigme du Blason

     

    Album Photos Ovnis

     

     Apocalypse des Ovnis - Livre VII

     

    Les Crop-Circles Décryptés

     

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     Les Messagers

     

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    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »


     

    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

    Crop-Circles - 2023 - Partie 02

    Crop-Circles - 2023 - Partie 03

    Crop-Circles - 2023 - Partie 04

    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

     Crop-Circles - 2023 - Partie 06  

     

    L'Hyper-Physique des Aliens !

     

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