• Les Âmes Vagabondes

     

     

    « Voyager c’est évoluer. »

    [Pierre Bernardo]

     

     

    Les Âmes Vagabondes

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    [Pomarez (40) - Landes - Nouvelle-Aquitaine - France - commune rurale peu ou très peu dense, au micro climat océanique basque - Habitants : 1 379 habitants en 1968 (45,1 hab/km2) - 1 375 habitants en 1975 (45,0 hab/km2) - 1 344 habitants en 1982 (44,0 hab/km2) - 1 579 habitants en 2020 (51,7 hab/km2) - Superficie : 30,57 km2.]

     

    Pomarez (40)

     le voyage intérieur

     

    Coupé d'azur et de gueules, à la tour de l'église du lieu brochant.

     

     

    F. Lagarde - LDLN n° 211-212

     

    Dans les Landes

    Dans le n° 195 de mai 1980, page 21, nous faisions appel à témoins, pour une observation faite dans les Landes le 29 Novembre 1979, durant 20 minutes de 17 h 30 cf 17 h 50.

     

     

     

    1-TRANSMIS par le Docteur KRANTZ

     

    Date : 29 novembre 1979 vers 1 7 h 30.

    Lieu : sur la RN N° 10, en voiture entre Laboueyre et Castets, sur un parcours de 21 km.

    Témoins : Mme Laloé et le docteur J. Fromaget qui en a fait le récit.

     

    RECIT :

     

    Le jeudi 29 novembre 1979 nous revenions de Bordeaux mon amie Mme Laloé et moi, écrit le docteur Fromaget. Mon amie conduisait, le temps était très beau, le ciel clair, il était environ 1 7 h 30.

    Nous étions en plein dans les Landes (Laboueyre), quand soudain notre regard est attiré par une lueur dans le ciel, Nous l'avons tout d'abord prise pour une traînée d'avion à réaction, mais très vite nous nous sommes rendu compte que ce n'était pas cela, car c'était immobile et, rapidement, on a pu distinguer une forme, celle d'un cigare, situé très haut dans le ciel, perpendiculairement à l'horizon, peut-être légèrement incliné.

    Le contour était très brillant, d'une intensité lumineuse qui oscillait. Mon amie, dont la vue doit être meilleure que la mienne, a vu nettement au sommet comme des grosses billes, une rouge et une verte.

    Les dimensions devaient être en hauteur 3 fois la lune et une fois en largeur.

    Très intrigués, mon amie et moi avons pu observer cet objet insolite pendant environ 20 minutes, rien ne bougeait puis soudain il a disparu comme une lampe qui s'éteindrait, disparaître au loin derrière la crête des arbres.

    Cette vision n'avait rien de terrifiant, car on la sentait lointaine mais elle nous a beaucoup intriguée.

    La première observation a eu lieu à Laboueyre, la deuxième aux environs de Castets. L'objet se situait à 45° sud par rapport à la route, et sa hauteur à 45° également.

     

    COMMENTAIRES DE F .L.

     

    Il n'est pas question de faire des commentaires sur la nature exacte de l'objet observé durant ces 20 longues minutes, qui avec ses feux rouge et vert peut difficilement être assimilé à un ballon-sonde, ni d'estimer ses dimensions réelles à partir d'une distance inconnue et d'une dimension apparente approximative. Elles devaient être très grandes. Mais fidèle à notre principe de publier des observations en vue de recoupements, il est intéressant de définir un périmètre d'observation à partir des données fournies et en des lieux éloignés du parcours cité qui, ainsi mis en évidence, pourraient permettre des recoupements qui n'apparaîtraient pas nécessairement.

    Par beau temps clair on aperçoit assez facilement un avion et sa traînée à une distance de plus de vingt kilomètres. Sans avoir une vue particulièrement perçante par beau temps je distingue l'antenne de télévision sur le Pic du Midi distant de 30 km. Si l'on prend cette distance de 20 km + ou - 5 km comme distance de l'objet, il pourrait se situer à Dax à 45° de Castets ou entre Morecnx et Mont de Marsan. Avoir été vu plus loin à Peyrrorade et à Tartas, peut-être aussi à Salies de Béarn, Orthez Montfort, Mugron, et même Mont de Marsan. Aux écoutes donc.

     

    2- Enquête de M. Michel MARAIS

     

    26 NOVEMBRE 1979.

    ( Lundi)

    TILH (40) HEURE : 06 H 00

    TEMOIN : Monsieur Marcel SEGAS, 33 ans, agriculteur.

    LIEU : Lieu dit : GUIRAUTON (Tilh - Landes) 2 km au NORD du village.

    TEMPS : Ciel dégagé, temps sec, nuit noire. Pas de lune (lever le 26 novembre à 1 2 H 31 TU)

     

    LES FAITS :

     

    Marcel SEGAS, en rentrant ses vaches est attiré par une vive lumière blanche qui lui fait peur. Il la prend tout d'abord pour un phare de tracteur puis comme elle est très vive et très grosse et de plus oscille de haut en bas, il se rend à l'évidence et constate que ce n'est pas une «chose» naturelle.

    La taille de la masse lumineuse est à peu près de 15 mètres, déduction faite lors de l'enquête, de forme oblongue avec environ 7 mètres de hauteur.

    Cette masse se déplaçait de haut en bas, sur environ 50 mètres en partant de 10 mètres du sol, sans jamais le toucher. Le témoin situe sa vision à environ 700 mètres de lui ; en avant d'une haie d'arbres située à 1 km au Nord de son habitation, point d'observation.

    Cette lumière était d'une blancheur très vive comme une étoile mais sans aucun changement dans la couleur ni dans l'intensité.

    Le témoin a dû ensuite rentrer ses bêtes et n'a pu assister à la disparition de la masse lumineuse.

    Vers 07 heures, le témoin revient sur le lieu de l'observation et ne voit plus rien.

     

    NOTE DE L'ENQUETEUR :

     

    Le témoin avertit le lendemain le maire qui prévient aussitôt les gendarmes de POUILLON. Après discussion avec les gens du village, M. SEGAS apparaît comme un homme équilibré et très considéré.

     

    Le témoin conserve, en tête, l'image apparue, avec gravité. Aucune réaction chez les bêtes (vaches et chien ainsi que canards).

    Aucune perturbation dans les circuits électriques, la femme du témoin gavait des canards avec de l'appareillage électrique.

    Aucune trace au sol.

    Les coordonnées de la Carte d’État Major sont :

    DAX 76.4 - 28.6

    Pas d'autres témoins

     

    Nous avons reçu, entre autres, l'information suivante :

     

    Pomarez (40) - Landes - Nouvelle-Aquitaine - 29/11/1979 - 17 h 30
    RR1 de M. et Mme Larroque et d'une amie

     

    Pomarez (Landes), 29 Novembre 1979 à 17 h 30 - Enquête de M. Michel Marais, enquêteur LDLN des Landes - F. Lagarde - LDLN n° 211-212

     

    LES FAITS

     

    M. Larroque jardine chez lui quand, en direction du sud-ouest, il observe une masse orangée. Après comparaison, ses dimensions étaient, pour une distance de 6 m, de 40 cm de large et de 25 cm de haut.

    De forme ovoïde, cette masse se tenait au-dessus de l'horizon situé à environ 3 kilomètres, sensiblement à une distance de 10 fois la hauteur de l'objet.

    Après une observation de 5 minutes environ, M. Larroque fait appel à sa femme et à son amie, et tous trois observent le phénomène durant 20 minutes.

    Aux jumelles seulement ils peuvent observer les détails qui figurent sur le croquis joint.

    L'objet reste immobile durant l'observation et, avant de partir, il bascule sur lui-même. A la verticale le rond argenté disparaît (voir croquis) comme par rotation de la masse sur elle-même. Après avoir repris sa position initiale, la masse lumineuse, en légère inclinaison de montée, s'éloigne vers le nord d'une vitesse lente estimée à 300 km/heure pour disparaître à la vue.

    L'enquête de gendarmerie a été faite. Bien qu'appelés lors de l'observation les gendarmes n'ont rien vu à leur arrivée.

    Les témoins s'intéressent aux OVNI, ils en ont déjà vus à l'étranger. Ces personnes sont peu connues dans la région car ils n'y sont arrivés que depuis un an et demi.

    Aucune anomalie dans la région. Météo le 29 au soir : ciel clair, vent faible.

    Enquête de M. Michel Marais, enquêteur LDLN des Landes. 

     

     

    DISCUSSION

     

    Même jour, même heure, même durée d'observation que celle du docteur Fromaget. A priori cette similitude de temps, de direction secteur sud, pourrait conduire à penser qu'il s'agit du même objet.

    Pour explorer cette possibilité j'ai établi un croquis (joint à cette discussion), attribuant à des conditions différentes d'observation les anomalies qui auraient pu être constatées dans les deux descriptions de l'objet supposé semblable.

    M. Larroque à Pomarez le situe au Sud-ouest. En l'absence d'indication plus précise j'ai tracé une direction à 45° S.O. Si l'objet est le même (et immobile) cela exige que la direction de l'observation de M. Fromaget, à 45° par rapport à la route, passe au S.O. de Pomarez. Bien entendu les 45° indiqués sont hypothétiques, l'inclinaison de la route, N. 10, que suivent en voiture les témoins de Laboueyre à Castets, est variable, néanmoins, vers le milieu du parcours on peut trouver un tronçon de route qui satisfait à cette obligation. J'ai donc indiqué une direction sur le croquis, qui coupe quelque part, à une distance plus ou moins grande de Pomarez, la direction supposée de l'observation de M. Larroque.

    Examinons ce qui se passe sur le croquis relevé sur la carte Michelin n°78 De Laboueyre à Castets, la distance depuis la route à l'objet supposé varie de 70 km au départ à 40 km à Castets. Cela en distance horizontale, mais l'objet est vu à 45° dans le ciel, ce qui lui confère également une altitude variant des mêmes dimensions, et la distance réelle de l'observateur à l'objet pourra elle aussi varier, le calcul donne 100 km env. pour le début et 55 km env. pour la fin.

    Quant à M. Larroque il voit son objet à une hauteur angulaire sur l'horizon qu'il évalue à 10 fois la hauteur estimée à 0,25 m à 6 m, soit 2,50 m à 6 m ou 0,4166 m à 1,00 m. Cela donne 22°37'. L'altitude de l'horizon n'est pas donnée, mais nous verrons plus loin qu'elle ne paraît pas être supérieure de plus de 20 m à celle du témoin.

    Malgré cette petite correction on constate un écart considérable entre les estimations du docteur Fromaget et de M. Larroque pour l'angle avec l'horizon où se situe l'objet qu'ils ont observé.

    Venons-en aux dimensions.

    M. Larroque estime sa plus grande dimension en valeur angulaire à 0,40 m à 6 m, ce qui donne à 1 m 0,0666 m... Si l'objet est le même, pour une distance horizontale moyenne de 50 km qui se traduit par une distance réelle de 70 km à 45°, la dimension de l'objet vu vertical (en considérant qu'il a été vu au moment du basculement) aurait été de 70.000 x 0,0666, ce qui lui donnerait une hauteur de 4662 m, ce qui est considérable, mais n'anticipons pas, si l'on suppose que la nature de l'objet est à découvrir.

    Elle aurait pu être compatible aux dimensions de l'objet vu par M. Larroque si celui-ci l'avait vu aussi éloigné, et sous la même hauteur angulaire. Pour cette dernière l'écart, on l'a vu, est incompatible à moins d'erreur, et quant à la distance elle nous conduirait hors des conditions de l'observation simultanée.

    J'avais pensé à un nuage, de structure lenticulaire, qui aurait pu être éclairé par un soleil déjà couché. A Paris, le 29 Novembre 1979, il se couchait à 15 h 56 TU, ce qui donne à Pomarez 17 h 08 légales. A l'heure de l'observation le crépuscule était tombé sur les lieux de l'observation mais le ciel, et les nuages, restaient éclairés à moins de 40 km d'altitude. Mais on voit mal d'une part un nuage lenticulaire se mettre à basculer au moment où il part vers le nord et d'autre par les données qui pourraient conforter l'hypothèse née de la similitude des temps des deux observations ne coïncident pas non plus.

    On est donc conduit à penser qu'il y a eu ce jour là deux objets qui ont été observés à la même heure.

    M. Fromaget ne nous donne pas beaucoup de détails pouvant nous éclairer sur la dimension et la distance à laquelle se situait l'objet :

    il était lointain... Mme Laloué voit deux billes à la partie supérieure, une rouge, une verte, et le "cigare" est vertical ou presque, et de plus il est immobile. Il est question d'intensité lumineuse qui oscillait. On constate que M. Larroque voit des flammes rouges mais pas de vert, que la masse lumineuse est rouge feu, ce que n'aurait pas manqué probablement de dire M. Fromaget s'il l'avait vu ainsi, qu'il est immobile aussi, mais horizontal, sauf son basculement au moment où il part en direction du nord. Les différences sont très importantes auxquelles il faut ajouter les détails vus par M. Larroque qui pourraient être attribuées au fait qu'il les voyait aux jumelles et commodément installé dans son jardin.

    On est amené à examiner de plus près les données de l'enquête.

    La carte IGN n°62 au 1/100.000ème, donne les courbes de niveau. Pomarez se situe à une altitude de 40 m. La seule dénivellation de terrain jusqu'à 7 km au SO se situe à une distance n'excédant pas 2 km, à une altitude ne dépassant guère, ou peu 60 m. Là se situe un château d'eau et une usine au lieu-dit Lembeye.

    On est en droit de considérer que ce lieu constitue la ligne d'horizon au SO pour un observateur de Pomarez. A partir des données commençons par calculer l'altitude. Si nous prenons 2 km comme distance horizontale minimale (mais nous n'en savons rien) l'altitude de l'objet par rapport au témoin sera de 20 m + 0,m 25/6 x 10 x 2000 = 843 m.

    La distance réelle s'en déduit et est égale à 2168 m env. On peut donc calculer la plus grande dimension en fonction des données de M. Larroque. Elle est égale à 0m40/6 x 2168 = 144,39 m.

    Cette dimension laisse rêveur. Faut-il penser qu'il y a quelques erreurs dans l'évaluation de la distance angulaire ?

    Quoiqu'il en soit il semble bien que les deux observations sont distinctes.

     

    Voici d'ailleurs trois autres observations sur les mêmes lieux.

     

    16 Novembre 1979 à 19 h 30 à TILH (Landes) voir croquis.

    M. Saubadu, 28 ans maçon, et sa femme sont en voiture sur un chemin reliant Tilh à la D13 de Pomarez.

    Par la portière gauche M. Saubadu aperçoit une lueur plus importante que les étoiles du ciel ; la forme de la lueur est ronde mais plus petite que la lune, d'un blanc très lumineux avec un changement d'intensité permanent. Il voit cette lumière vers le SO, à environ 45° par rapport à l'horizon. La boule oscille très légèrement. Sa femme n'a pas voulu regarder. Durée de l'observation : 5 minutes.

     

    Note de l'enquêteur M. Michel Marais.

     

    Témoignage reçu lors de l'enquête sur l'observation de M. Ségas (qui suit). Témoin digne de confiance. A hésité avant de faire le récit de son observation.

    26 Novembre 1979 à 6h à TILH (Landes) voir croquis.

     

    LES FAITS

     

    M. Marcel SEGAS, 33 ans, agriculteur, au lieu-dit "Guirauton" à 2 km au nord de Tilh, en rentrant ses vaches est attiré par une vive lumière blanche qui fait peur. Il la prend tout d'abord pour un phare de tracteur, puis comme elle est très vive et très grosse et de plus oscille de haut en bas, il se rend à l'évidence et constate que ce n'est pas une "chose naturelle".

    La taille de la masse lumineuse est à peu près de 15 mètres, déduction faite lors de l'enquête, de forme oblongue, et de 7 mètres de hauteur. Cette masse se déplaçait de haut en bas, sur environ 50 mètres, partant à 10 mètres du sol, sans jamais le toucher. Le témoin situe sa vision à environ 700 m de lui, en avant d'une haie d'arbres située à 1 km au nord de son habitation, point de son observation.

    Cette lumière était d'une blancheur très vive comme une étoile, mais sans aucun changement dans la couleur ni dans l'intensité. Le témoin a dû ensuite rentrer ses bêtes et n'a pas assisté à la disparition de la masse lumineuse. Vers 07 h 00 le témoin revient sur les lieux de l'observation et ne voit plus rien.

    Note de l'enquêteur M. Michel Marais :

    Le témoin avertit le lendemain le maire qui prévint aussitôt les gendarmes de Pouillon.

    Après discussion avec les gens du village, M. Ségas apparaît comme un homme équilibré et très considéré.

    (On peut voir sur le croquis que l'on se rapproche très près de la ligne S.O. de Pomarez)

     

     

    Pomarez (40) - Landes - Nouvelle-Aquitaine - 30/11/1979 - 07 h - Enquête de M. Michel Marais, enquêteur LDLN des Landes - F. Lagarde - LDLN n° 211-212 - RR1 de M. et Mme Larroque

     

    30 Novembre 1979 à 7 h à POMAREZ (40) - Landes - RR1 de M. et Mme Larroque

     

    M. et Mme LARROQUE observent, toujours au SO une boule argentée avec plusieurs lumières vertes, bleues, rouges, dans la périphérie médiane et à la base.

    L'observation s'est faite au-dessus de l'horizon, et le diamètre de la boule était d'environ 40 cm pour 6 m d'éloignement.

    Cet objet disparaît vers le SO.

    Météo : légère brume, temps clair. Aucun autre observateur.

     

    Enquêteur M. Michel Marais.

    Note du rédacteur

    Comme nous l'avons maintes et maintes fois constaté, et dit à plusieurs reprises, il y a très souvent des observations en série sur les mêmes lieux, tout au moins lorsque les témoins en font état et qu'un enquêteur consciencieux se donne la peine de chercher un peu.

    Il semble qu'il y a là l'indication de quelque chose. Notre connaissance du sol est superficielle, nous ne connaissons rien ou presque du sous sol, les cartes de la région ne nous apprennent rien sinon qu'un substratum tertiaire affleure dans la région de Pomarez, que le sous-sol, toujours dans cette zone, renferme de l'eau salée, et qu'il ne semble pas qu'aucune étude ou sondage du sous-sol a été faite dans la région de Pomarez, sauf à Dax.

    Dans la carte jointe figure par T l'emplacement de sources minérales ou thermales, les lieux mentionnés où la date est indiquée désignent les lieux et la date des observations dans la zone du croquis. Il est évident que s'il y avait une usine hydraulique dans la région, importante, ou une installation stratégique militaire les ufologues crieraient à une surveillance de ces installations, mais rien de tout cela dans ce coin des Landes. Alors... pourquoi ces phénomènes ?

     

     

     

    Les Capsules Temporelles 

      

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005].

     

    Les ovnis nous révéleraient ainsi notre futur - aux rencontres rapprochées des 2 lignes du temps de l'anti-monde et de notre monde - et représenteraient des capsules temporelles ... la fonctionnalité des capsules temporelles est de témoigner et de de transmettre leurs précieux rouleaux à l'abri de l'action du temps ... [cf. Les ovnis : laboratoire du futur - Michel Picard - 2002].

     

    La Pataphysique

     

     Selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), la pataphysique, dont il est l'inventeur, est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique. 

     

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes.

     

    M. Devenne [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)], initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a crut discerner dans les récits des soucoupes volantes de la vague de 1954 la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll :

     

    ... l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique. 

     

    Ainsi, les rencontres approchées (RR1, RR2, RR3, RR4) ufologiques représenteraient des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles élaborées, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le parchemin enluminé/phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites, formulé de manière symbolique.

     

    La Communication du langage universel

     

     Suivant la tradition de la Société Angélique, la représentation symbolique permet cette vision/perception et sert d'interface dynamique qui nous relie aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

    Le langage universel des signes-symboles est compréhensible ou accessible à tous, malheureusement peu en sont familiers, et sont associés, par nos contemporains agnostiques, à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux.

    Malgré tout, le Noble-Art de la Symbologie est  assimilé, sinon consciemment (directement), toujours subconsciemment et/ou supconsciemment (indirectement)de par son écriture sophistiquée (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) qui induit l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant et favorisant ainsi la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, d'une épiphanie, d'une manifestation et d'une apparition perçue comme transcendante et supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle des RR1 Pomarez

     

     Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, à travers une représentation d'un discours figuratif et imagé,  aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec les RR1 de Pomarez.

     

     

    Les Messagers

     

     La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.

    Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ...  sont les théophanies des anciens.

     

    La  synchronicité des mots et des images

     

     Le toponyme de Pomarez est la clef qui ouvre la grille de lecture de l'encodage des 2 cratophanies/RR1 qui se suivent chronologiquement pour se compléter, et dont les premiers destinataires sont M. et Mme Larroque :

    Pomarez = lieu des pommes, ... pommes = Pams  : πν (pân) et μέλι (mèli), = tout en miel = les Pommes (d'Amour) symbolisant les âmes vagabondes, non-physiques, incarnées à la naissance par Dieu dans un corps matériel, physique, évoqué par le patronyme Larroque = la roche, ... cette âme vagabonde (noosphère) est représentée par le rond argenté (la teinte argentée affirme son inaltérabilité éternelle comparée/comparable à celle du métal) ,... insufflé par la divinité céleste (= Ouranienne/Ouranos père de Saturne) figurée par la planète Saturne, dont l'objet, apparu le jeudi 29/11/1979, à 17 h 30, reproduit la forme, et grand-père de Zeus/Jupiter, figuré par les flammes du feu de foudre jupitérien, aux extrémités du dit objet ;

    les couleurs orangée (or-ange) et feu caractérisent la nature angélique et spirituelle de cette apparition ;

    l'objet resté immobile durant l'observation, avant de partir, bascule sur lui-même et à la verticale le rond argenté disparaît  comme par rotation de la masse sur elle-même, ... ce basculement signale la métanoïa, le retournement vers Dieu qui est nécessaire pour réintégrer la sphère (boule) céleste spirituelle, ... symbolisée par la sphère (boule) argentée apparue le lendemain aux époux Larroque, chez eux à Pomarez, le vendredi 30/11/1979, à 7 h ;

    la teinte argentée de cette sphère (boule) céleste qui renvoie à l'inaltérabilité du métal affirme l'éternité immuable de la sphère divine spirituelle ;

    les lumières vertes, bleues, rouges, dans la périphérie médiane et à la base de cette sphère (boule) céleste spirituelle .... est la représentation des cercles hiérarchiques des esprits (des noosphères) angéliques qui la peuplent.

    En résumé, nous pouvons déduire des 2 cratophanies/RR1 de M. et Mme Larroque du 31/07/1979 (jour de la fête de Saint André = homme) et du 29/11/1979 (jour de la fête de Saint Saturnin = plomb), métaphore de l'homme (André) physique (plomb), l'ordonnance suivante : la porte d'accès de l'univers s'ouvrira à l'humanité lorsqu'elle inclinera à l'éthique de l'esprit angélique.

     

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

     

    Le Bâton (échelle) de Jacob

     

    Encodage stellaire de l'ouverture du nouveau cycle de l'année théurgique, à compter de la pleine lune de l'équinoxe de printemps, annonçant la Pâques, de la résurrection, de l'ascension, et de la pentecôte, dont les 4 décans du Signe de Jonas renvoient au Signe de 4 du Tétramorphe (figuré par la Croix rouge en bannière).

     

    La Couronne Solaire

     

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