• Les Hommes Déshumanisés

     

     

    L'Ombre !

     

    « Tu nais que l'ombre de toi-même  ! »

    « Je sentais ma raison se déliter peu à peu pour laisser la place à cette présence mystérieuse qui voulait m'habiter. »

    [Lettre d'un Fou victime du Mothman ou Homme - Phalène, du Horla (oxymore : Hors Là !) le Hors la Loi ou le Horsain (l'étranger au Pays) - d'après les nouvelles fantastiques de Guy de Maupassant parues en 1886 et 1887]

     

    « Souvent on les voit se transformer en serpents, en crapauds, chats-huants, corbeaux, boucs, ânes, chiens, loups ; ils se transmuent en hommes et aussi en anges de lumière, ils remuent bancs, tables, ils corrompent les corps, l'entendement, la vie et la santé des hommes dont ils sont esclaves et vassaux. »

    [Ambroise Paré + 20/12/1590]

     

     

     

     Les Hommes Déshumanisés

    par Bellator

    Guillaume Chevallier

     

    Les Hommes Déshumanisés

     

    « Pour ces combattants de l’ombre, qui se cachent le jour et marchent la nuit, l’existence se résume à un état de réflexe presque animal : 

    Devenir rapide comme le renard et mauvais comme le loup avec, pour repaire, les haies et les fossés. »

    [Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin - Alain Landurant - 2006]

     

      Cette « transformation animale » c’est, selon Alain Laudurant celle de Bellavidès, [Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin Alain Landurant - 2006] et des combattants chouans partisans des « blancs », de l’ancien régime royaliste, qui ont fait régner, la terreur et la férocité[incluant les tortures] alors qu’ils étaient censés les combattre ainsi que les « bleus » républicains [et révolutionnaires qui, eux, ont de surcroit pratiqué le cannibalisme, comme certains pirates/corsaires lors de leurs expéditions, et ces tueurs/tueuses assassins parisiens].

    Ce comportement « déshumanisé » et « abêti » est, en fait, typique de l’emprise d'entités de nature éthérée ou énergétique qui ont une origine endogène, indigène, ou même exogène et qui prennent « possession » [provisoirement ou pas] des personnes ayant subi des pressions intenses, ou qui ont vécu, des expériences extrêmes, d’une rare violence ou des traumatismes quasi-insurmontables.

     

    « Le palais du duc parut tout en feu, une tour s'écroula, une chouette se glissa dans la chambre de la duchesse et éteignit avec ses ailes, l'une après l'autre, toutes les bougies qui se rallumèrent d'elles-mêmes. »

    [Robert le Diable - Paul Boiteau - 1861 - Le Secret de la Naissance de Robert le Diable - Duc de Normandie - Hybridations & Métamorphes dans l'Histoire - 1956]

     

    [cette sorte de mutation est « évoquée » par la tradition ancestrale, ou « apparait » directement dans les légendes de Loup-Garou, ou Lycanthropie, de la pratique chamanique, ou des ulfarks : les guerriers-loups, des « berserkers » : des guerriers-ours, des svinfylkingars : des guerriers-sangliers, qui sont les berserksgangrs, « incarnations des guerriers-fauves » rendant les guerriers scandinaves surpuissants et capables des plus invraisemblables exploits ! cf. Wkipédia]

     

    Les victimes de ces véritables « possessions » ne sont plus réellement « maîtresses » d’elles-mêmes, allant jusqu'à adopter un comportement dit « bestial », comme dans les « viols », les meurtres horribles ou les massacres particulièrement odieux.

    Le folklore de nos campagnes en a d'ailleurs gardé, le souvenir, d'abord pour une mise en garde préventive, et afin de nous signifier que la « régression de cette possession » est toujours possible, même si elle est longue, et souvent accompagnée de séquelles indélébiles.

    Comme l’illustre le récit de la « vie tragique » de ce héros, et officier d’État-Major de l’ultime armée de la chouannerie normande [de l'automne 1793 au printemps 1800], commandée par Marie-Pierre Comte Louis de Frotté, Maréchal de Camp, dit « Blondel » :

     

    Gaultier de Carville

    Le Cadet !

     

    « Léonard-Louis-Gabriel Gaultier de Carville, qui avait servi aux Mousquetaires Rouges, troupe d'élite au sein des Mousquetaires, qui jura de venger sa sœur Mademoiselle Adélaïde Gautier de Carville, âgée à peine de quinze ans, et qui avait été assassinée dans son château, par des soldats républicains.

    Ayant appris cette triste nouvelle, Gaultier de Carville leva une troupe parmi les paysans mécontents de la situation politique de la France. Et elle compta bientôt 120 hommes déterminés et courageux.

    A leur tête, l'ancien Mousquetaire, parcourant le pays, fusillait sans aucune pitié les Bleus qu'il rencontrait, ainsi que les acheteurs des biens nationaux, ceux qui avaient achetés les biens du clergé. Il n'avait aucune pitié aussi pour tous ceux qui s'étaient engagés aux côtés de la Révolution.

    Sa troupe était crainte car elle laissait derrière elle le feu et le sang. À sa tête son chef faisait montre d'un courage exceptionnel, portant son uniforme des Mousquetaires Rouges qui le désignait aux coups des Bleus.

    Sa vengeance était effrayante car il avait été exaspéré par la mort ignominieuse de sa jeune sœur. Et comme dans la plupart de ces cas, les victimes étaient des gens qui n'avaient aucun rapport avec le massacre dont avait été victime Mademoiselle de Carville, même si c'était des soldats de la République Maudite. » [cf. Sous le bonnet Rouge - Georges  Lenotre - 1949]

    Comme elle le lui devait !, l’histoire fait mourir Gaultier de Carville, le Mousquetaire Rouge, à la suite d’un combat héroïque mais la « sagesse populaire », qui connaît invariablement la « véritable histoire », sait que son calvaire ne s’arrêta pas là, et qu’il poursuivit sa « malheureuse vie » dans la misère, pourchassé et toujours harcelé par tous ses vieux « démons », réussissant à lui fait perdre inéluctablement la tête, avant de le faire sombrer définitivement dans la Folie.

    Son « histoire vraie » elle nous la transmise à peine voilée, sur un mode léger, et sur le ton de la farce, sans doute pour en atténuer la violence, au travers de la renommée d’un autre : « Cadet », lui, Auxerrois, nommé « Rousselle » et qui est la dénomination, à deux lettres près du véritable Nom de Guerre[et de résistant à la barbarie révolutionnaire républicaine], car Gaultier de Carville, le Mousquetaire Rouge, l'illustre combattant  de la chouannerie normande se faisait appeler, lui-aussi :

     

    « Cadet Roussel » !

     

    Cadet Roussel a trois maisons

    Qui n'ont ni poutres ni chevrons:

    C'est pour loger les hirondelles;

    Que direz-vous d'Cadet Roussel

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois habits :

    Deux jaunes, l'autre en papier gris;

    Il met celui-là quand il gèle,

    Ou quand il pleut ou quand il grêle;

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois chapeaux :

    Les deux ronds ne sont pas très beaux,

    Et le troisième est à deux cornes,

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois beaux yeux

    L'un r'garde à Caen, l'autre à Bayeux

    Comme il n'a pas la vue bien nette,

    Le troisième c'est sa lorgnette :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a une épée

    Très longue mais toute rouillée

    Aussi chacun de dire d'elle

    Qu'ell'ne fait peur qu'aux hirondelles

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois souliers

    Il en met deux dans ses deux pieds ;

    Le troisième étant pour bancroche,

    Quand il le met c'est dans sa poche :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois cheveux :

    Un pour chaqu'face, un pour la queue,

    Pourtant parfois avec adresse

    Il les met tous les trois en tresse :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois garçons

    L'un est voleur, l'autre est fripon,

    Le troisième est un peu ficelle

    Il ressemble à Cadet Roussel

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois gros chiens:

    L'un court aux lièvres, l'autre aux lapins,

    L'troisième s'enfuit quand on l'appelle

    Comm' le chien de Jean de Nivelle :

     Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois beaux chats,

    Qui n'attrapent jamais les rats,

    Le troisièm' n'a pas de prunelles,

    Il monte au grenier sans chandelle :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a marié

    Ses trois filles dans trois quartiers ;

    Les deux premières ne sont pas belles

    La troisième n'a pas de cervelle :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel a trois deniers,

    C'est pour payer ses créanciers ;

    Quand il a montré ses ressources,

    Il les remet dedans sa bourse :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel s'est fait acteur,

    Comme Chénier s'est fait auteur ;

    Au café quand il joue son rôle,

    Les aveugles le trouvent drôle :

    Ah! Ah! Ah! mais vraiment,

    Cadet Roussel est bon enfant.

     

    Cadet Roussel ne mourra pas

    Car avant de sauter le pas

    On dit qu'il apprend l'orthographe

    Pour faire lui-même son épitaphe :

    Ah! Ah! Ah ! mais vraiment

    Cadet Roussel est bon enfant !

    Libro & Aratro

     Guilhem de Saint-Martin

     

     

     

    Les Aliens dans la Chanson 

    [Rubrique Ufo-Génpi]

     

    « Les poly-métamorphes ont réussi à illusionner, pendant des siècles les ministres de l'Église, avec leur parodie-démoniaque, avant de duper, les ufologues-amateurs avec leur imposture-alien, mais pour combien de temps encore ? »

    [L'Office de la Sainte Inquisition est l'Ancêtre du Geipan] 

     

    Quelques explorateurs sans frontières comme George Hunt- Williamson nous ont familiarisé avec l’idée des visiteurs qui migrent d’étoiles en étoiles pour nous éclairer sur le chemin, qui nous conduit de la bestialité à la divinité.

     

    Ces moissonneurs des enfants des étoiles qui ressemblent aux humains, s’aventurent, pour des durées variables, dans les villes où ils se mêlent à la population pour s’acquitter, au mieux, de leurs différentes missions. 

     

    Et si, à l’époque moderne peu d’ufologues, ont eu le courage de témoigner, directement, de leurs rencontres avec eux, comme Michel Zirger,

    [Cf. Visiteurs sans passeport « Ils » sont là !, novembre 2016, Édition Le temps présent Collection Énigma]

    c’est que ces expériences subjectives sont toujours intimistes, orientées vers la transcendance, et souvent de l’ordre de l’ineffable. 

     

    Dès lors, l’on comprend mieux la gêne, la réserve prudente, et la pudeur, de la plupart d’entre-nous, et tout particulièrement celles des ufologues, ce qui n'est pas le fait des chanteurs et des poètes qui nous font partager, avec bonheur, les sentiments inspirés, de ces Rencontres (parfois très) Rapprochées avec ces personnes venues d’ailleurs !

    (voici ci-après quelques-unes de leurs œuvres parlantes)

     

      

     

    Elle est d’ailleurs - Pierre Bachelet - 1980

     

    Elle est D'ailleurs

    Elle a de ces lumières au fond des yeux
    Qui rendent aveugle ou amoureux
    Elle a des gestes de parfum
    Qui rendent bêtes ou rendent chiens
    Mais si lointaine dans son cœur
    Pour moi c'est sûr
    Elle est d'ailleurs

    Elle a de ces manières de ne rien dire
    Qui parlent au bout des souvenirs
    Cette manière de traverser
    Quand elle s'en va chez le boucher
    Quand elle arrive à ma hauteur
    Pour moi c'est sûr
    Elle est d'ailleurs

    Et moi je suis tombé en esclavage
    De ce sourire de ce visage
    Et je lui dis emmène moi
    Et moi je suis prêt à tous les sillages
    Vers d'autres lieux, d'autres rivages
    Mais elle passe et ne répond pas
    Les mots pour elle sont sans valeur
    Pour moi c'est sûr
    Elle est d'ailleurs

    Elle a ces longues mains
    De dentellière
    A damner l'âme d'un Wermer
    Cette silhouette vénitienne
    Quand elle se penche à ses persiennes
    Ce geste je le sais par cœur
    Pour moi c'est sûr
    Elle est d'ailleurs

    Et moi je suis tombé en esclavage
    De ce sourire de ce visage
    Et je lui dis emmène moi
    Et moi je suis prêt à tous les sillages
    Vers d'autres lieux, d'autres rivages
    Mais elle passe et ne répond pas
    L'amour pour elle est sans valeur
    Pour moi c'est sûr
    Elle est d'ailleurs

    Et moi je suis tombé en esclavage
    De ce sourire de ce visage
    Et je lui dis emmène moi
    Et moi je suis prêt à tous les sillages
    Vers d'autres lieux, d'autres rivages
    Mais elle passe et ne répond pas

     

    Qui va jouer

     

    Qui va nous faire danser

     

    Qui va mener le bal

     

    Les braillards, les taiseux

     

    Les paillards, les peureux 

     

    Les mange misères

     

    Les tire galères 

     

    Les pousse chimères

     

    Fantassins en déroute

     

    Entrez donc dans la danse

     

    Et que le bal commence

     

     

    Dernier Bal - Pierre Bachelet - 1988

     

     

     

    Les Aliens dans la Chanson 

    [Rubrique Ufo-Génpi]

     

     Le thème fort des ingérences extérieures des aliens, que la tradition appelle : ceux-du-dehors, assimilés aussi à des dieux dans les mythes, ces aliens sont qualifiés de maîtres du temps et de l’espace et dont on identifie facilement, l’empreinte de leurs actions dans de nombreuses anomalies historiques (avec lesquelles les historiens se perdent en conjecture, tombent en confusion et sombrent en perplexité) nous les retrouvons très souvent signalées dans les écrits et la littérature avec les romans (cf. le Voyageur Imprudent de René Barjavel, 1943/1944, L'Alliance (l'Antienne) - Jean-Claude Carrière – 1963  & L’Alliance – Film de Christian de Chalonge - 1971, dont la l’intrigue  finale diffère du Roman original - 1963 de Jean-Claude Carrière «  Les animaux ont un comportement étrange qui laisse présager un danger imminent ! »),  les nouvelles (cf. Le Horla [Hors-là !] de Guy de Maupassant - 1887) ou les Films (cf. Premier Contact ou L’Arrivée [Arrival] film de Denis Villeneuve - 2016), que l’on qualifie généralement de science-fiction, alors même, qu’il s’agit à de rétro-activité induite.

    L'anticipation est souvent réduite, abusivement, à de la science-fiction, comme avec les célèbres romans de Jules Verne (1828 -1905) qui manifestent, de fait, l'antéro-causalité quantique (l'anticipation) à partir de la rétro-causalité (à partir de la science-fiction), autrement-dit,  le « futur », imaginé dans le « passé », oriente « par anticipation rétroactive »,  son propre « à-venir ».

    La chanson aborde régulièrement ce thème de l'ingérence hétérogène, de l’antéro-rétro-causalité, comme celle, très explicite, interprétée par Gérard Lenormand intitulée :

     

    Quelque Chose et Moi - 1974

     

       

     

     Il était un soir
    Il était une fois
    Quelque chose et moi

    Il était un soir
    Il était une fois
    Quelque chose et moi

    Un signe un espoir
    Une image une voix
    Quelque chose et moi

    Et je n'étais plus seul au monde
    Et je n'avais plus peur ni froid
    Et je vivais chaque seconde
    Et j'étais partout à la fois
    Et une araignée de légende

    Tisse le ciel de ma nuit
    Comme je suis heureux dans ma chambre
    Je ne sais pourquoi ni pour qui

    Je vais et je viens
    Mal et bien sous mon toit
    Quelque chose et moi

    Et je n'attends rien
    Ni des dieux ni des rois
    Quelque chose et moi

    Comme un prisonnier s'émerveille
    A regarder vivre une fourmi
    J'ai reçu de bonnes nouvelles
    Il paraît que ça va bien la vie

    J'ai envie d'ouvrir la fenêtre
    Pour me voir passer dans la rue
    Savoir si j'ai changé de tête
    Revoir ce que je ne suis plus

    Et je n'étais plus seul au monde
    Et je n'ai plus peur ni froid
    La nuit ne sera plus très longue
    Oui, je sais que tu existeras

    Il était un soir
    Il était une fois

     

     

    La Chimère !

    Griffon (Femelle Inaptère)

    « Ils ont la guivre, la licorne, la serpente, la salamandre, la tarasque, la drée, le dragon, l’hippogriffe. Tout cela terreur pour nous, leur est ornement et parure. Ils ont une ménagerie qui s’appelle le blason, et où rugissent les monstres inconnus. »

    [L’Homme qui rit - Victor Hugo - 1869] 

     

     

     

    Annulus Draconis

     

     

     

    « mon cœur

    rappelle-moi

    l'encens

    de sa danse féérique

    la myrrhe

    de ses cheveux

    le baume

    de ses lèvres »

    [Rapport d'une Rencontre Rapprochée - 2011 - Normandie - France- 0vnis]

     

     

     On the Moon - J.M.

     

    Fly away ... Fly away ...  Away ...

    To the moon ... On the moon ...

    I find my way ... Yes I find my way ...

    To  go

     

     

    Rue des étoiles - G.

     

    Y avait trop de monde sur la Lune

    Il fallait descendre à l’azur

    Et toi où es-tu dans l’espace

    Attends je n’entends plus je passe

    Dans un tunnel d’astéroïdes

    Tu disais avant le trou noir

    On pourrait se rejoindre

    J’ai des rêves à te peindre

    On se baladera sur Neptune

    C’est deux planètes après Saturne

    Il faudra suivre les comètes

    On apercevra Uranus

    Aussi Pluton le terminus

    Là où la galaxie s’arrête

    Retrouve moi Rue des étoiles

    La deuxième après Jupiter

    D’où l’on peut voir tout l’univers

    Retrouve-moi Rue des étoiles

    Pas loin du Boulevard de l’éther

    A bord de mon vaisseau spatial

    On se rappellera la Terre

    Toi et Moi

     

     

    Les Aliens dans la Chanson 

    [Rubrique Ufo-Génpi]

     

    Il y a bien un domaine où les Rencontres Rapprochées (ou très Rapprochées) ufologiques sont régulièrement évoquées, outre ceux, des arts, de la peinture, de la littérature et de la cinématographie, c’est bien celui des chansons.

    Ici, les ufologues (et les mélomanes) les plus avertis, reconnaitront, une praxéographie significative (un discours contextuel) restituant l'atmosphère empirique des RR4, qui rendent compte des abductions ou des disparitions [20 000 disparitions définitives sur (bien) plus de 50 000 déclarées chaque année en France cf. l'article de l'Orden de Chevalerie intitulé : Le Collège Invisible]  : 

     


     

     

    Moonlight Shadow - Mike Oldfield - 1983

    [Une ombre au clair de lune ]



    La dernière fois qu'elle l'a vu
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    Il s'en allait, soucieux et l'avertissant
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    Égaré dans le mystère samedi soir dernier
    Au loin dans l'autre monde
    Il s'est retrouvé au milieu d'une lutte désespérée
    Et elle a été incapable de trouver un moyen

    les arbres qui chuchotent en soirée
    emportés par une ombre au clair de lune
    chantent une chanson de peine et de chagrin
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    Elle n'a vu que la silhouette d'une arme
    Au loin dans l'autre monde
    il a été touché six fois par un homme en fuite
    Et elle a été incapable de trouver un moyen

    Je reste
    Je prie
    Je te vois au paradis très loin
    Je reste
    Je prie
    Je te verrai au paradis un jour

    A quatre heures du matin
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    J'ai regardé ton image se former
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    Les étoiles bougent lentement dans la nuit d'argent
    Au loin dans l'autre monde
    Est-ce que tu viendras me parler cette nuit ?
    Mais elle a été incapable de trouver un moyen

    Au milieu de mille personnes et cent
    La nuit était lourde mais l'air était vivant
    Elle a été incapable de trouver un moyen

    Entraîné par une ombre au clair de lune
    Entraîné par une ombre au clair de lune
    très loin dans l'autre monde.

     

     

        

     

    Cambodia - Kim Wilde (1981)

     

    Cambodia (Cambodge)

    Il était basé en Thaïlande ... elle était dans l'armée de l'air ... il avait l'habitude de voler le week-end ... c'était une vie tranquille ... mais ils arrivèrent autour ...

    Et il commença à changer ... elle ne s'est pas posée de questions ... elle ne pensait pas que c'était étrange ... mais il fut engagé ... il devait partir cette nuit ... il ne pouvait pas en dire trop ... mais il ira pour le mieux ... il n'a pas eu besoin de faire son paquetage ... ils se reverraient la nuit d'après ... il avait un travail à faire ... voler pour le Cambodge ...

    Aussi vite que défilées les nuits ... elle essayait de se remémorer le passé ... la façon dont il avait de regarder ... la façon qu'il avait de rire ... je crois qu'elle ne saura jamais ce qu'il avait dans son âme ... elle ne pourra le faire sortir ... elle n'a pas put tout prendre ...

    Il avait les yeux les plus tristes que la fille ait jamais vu ... il pleurait parfois la nuit comme s'il vivait un rêve et comme elle le serrait si prés ... Il cherchait son visage comme si elle avait su la vérité ... perdu au Cambodge ...

    Mais alors il y eut un autre appel ... ils disaient qu'il serait bientôt à la maison ... elle devait faire une valise et ils se donneraient rendez-vous ... mais maintenant un an a passé et pas un seul message et tout l'amour qu'elle a connu a disparu dehors dans la brume ...

    Cambodge ne pleure pas maintenant pas de larmes maintenant ...

    Et maintenant les années ont passé avec toujours aucun message ... mais il y a seulement une chose encore je le sais pour sûr ... elle ne reverra plus jamais son visage ...

     

    Loin d'ici - Jeanne Masse (1985)

     

    Elle a grandi loin des cités, là où la mer n'écoute jamais ses pensées
    Glisse incertaine, vague infidèle, ne te moque pas d'elle
    Été si chaud, c'était trop beau quand tu dansais, étourdie par la fumée
    Plage déserte, où sont mes rêves ? Si seule, je reste

    Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues
    Loin d'ici, rien qu'une seconde, je rêve aussi d'un autre monde
    De tendresse

    Le jour faiblit, si loin l'été, dans sa colère, la mer a tout emporté
    Elle se soulage, tache le sable de quelques larmes
    Elle reste là, fixe la marée
    Le temps paresse, les souvenirs sont froissés
    Espoir rebelle, je veux qu'on m'emmène, besoin qu'on m'aime

    Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues
    Loin d'ici, rien qu'une seconde, je rêve aussi d'un autre monde
    De tendresse

     

    Gemme - Nolween Leroy (2017)

     

    On rêvait d'irréel
    De joyaux sous les pierres
    De pépites
    Dans le lit des rivières
    Sous nos crânes de cristal
    Des fantômes d'illusion
    Nous cachaient
    Le néant et le mal
    Moi je veux chercher
    Moi je veux creuser
    Trouver sous la terre
    Trouver sous la chair
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Arc-en-ciel, arc-en-ciel
    Si mon cœur est pur
    Si je m'émerveille
    Oui, je serai sûre
    De trouver ces gemmes
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Éternelles, immortelles
    On tenait palpitant
    Sous nos peaux d'Érythrée
    Dans sa cage
    Un rubis non taillé
    Moi je veux chercher
    Moi je veux creuser
    Trouver sous la terre
    Trouver sous la chair
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Arc-en-ciel, arc-en-ciel
    Si mon cœur est pur
    Si je m'émerveille
    Oui je serai sûre
    De trouver ces gemmes
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Éternelles, immortelles
    Moi je veux chercher
    Moi je veux creuser
    Et trouver ces gemmes
    Et celui que j'aime
    Pas si loin du ciel
    Sur la terre
    Dans ma chair
    Moi je veux chercher
    Moi je veux creuser
    Trouver sous la terre
    Trouver sous la chair
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Arc-en-ciel, arc-en-ciel
    Si mon cœur est pur
    Si je m'émerveille
    Oui, je serai sûre
    De trouver ces gemmes
    Ces gemmes arc-en-ciel
    Éternelles, immortelles
     
     
    Stephen - Nolwen Leroy - Gemme - 2017
     

    Quand on aura marché les yeux au ciel.

    Pour un jour buter sur le réel.

    Oubliant la terre sous nos pieds.

    Pour un nuage qui passait.

    Quand on aura peur des orages.

    De ces brûlants sarcophages.

    Craignant l’ombre quand vient le soir.

    Vivant d’illusoire.

    Qui sait. Mais qui peut savoir.

    Combien d’étés d’enfer.

    Nous restent à vivre avant l’exode.

    On a pillé, vidé les mers et trafiqué les codes.

    On a ignoré l’alarme.

    Les signes annoncés.

    On a perdu, notre âme.

    Il ne reste plus qu'à tout abandonner.

    Que restera t-il ?

    Une vie de pierre.

    Après tant de vies heureuses sur la terre.

    Autant de vies brisées.

    Et il faut s’en aller.

    Des vents mortels brulant nos hémisphères.

    Il est grand temps, pour nous de changer d’air.

    D’émigrer vers Jupiter.

    Partir comme les hirondelles.

    Ils étaient tous devenus fous.

    Voilà ce que l’on dira de nous. Ils écriront sur nos stèles :

    Votre demeure était belle.

    Et on a roulé au bas de la pente.

    Rien a freiné notre descente.

    On va périr comme les éphémères.

    On doit choisir le ciel ou la terre.

    Que restera t-il ?

    Une vie de pierre.

    Après tant de vies heureuses sur la terre.

    Autant de vies brisées.

    Et il faut s’en aller.

    L’échelle se balance.

    Il faut la saisir.

    L’espace tend ses cordes.

    L’espace nous attire.

    S’en aller.

    Oui il faut s’en aller.

     

     

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