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Les Hommes Déshumanisés
Par Bellator dans L'Apocalypse des Ovnis - Livre III - Le Vrai Visage des Aliens le 29 Janvier 2023 à 00:00« Tu nais que l'ombre de toi-même ! »
« Je sentais ma raison se déliter peu à peu pour laisser la place à cette présence mystérieuse qui voulait m'habiter. »
[Lettre d'un Fou victime du Mothman ou Homme - Phalène, du Horla (oxymore : Hors Là !) le Hors la Loi ou le Horsain (l'étranger au Pays) - d'après les nouvelles fantastiques de Guy de Maupassant parues en 1886 et 1887]
« Souvent on les voit se transformer en serpents, en crapauds, chats-huants, corbeaux, boucs, ânes, chiens, loups ; ils se transmuent en hommes et aussi en anges de lumière, ils remuent bancs, tables, ils corrompent les corps, l'entendement, la vie et la santé des hommes dont ils sont esclaves et vassaux. »
[Ambroise Paré + 20/12/1590]
Les Hommes Déshumanisés
par Bellator
Guillaume Chevallier
Les Hommes Déshumanisés
« Pour ces combattants de l’ombre, qui se cachent le jour et marchent la nuit, l’existence se résume à un état de réflexe presque animal :
Devenir rapide comme le renard et mauvais comme le loup avec, pour repaire, les haies et les fossés. »
[Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin - Alain Landurant - 2006]
Cette « transformation animale » c’est, selon Alain Laudurant celle de Bellavidès, [Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin Alain Landurant - 2006] et des combattants chouans partisans des « blancs », de l’ancien régime royaliste, qui ont fait régner, la terreur et la férocité, [incluant les tortures] alors qu’ils étaient censés les combattre ainsi que les « bleus » républicains [et révolutionnaires qui, eux, ont de surcroit pratiqué le cannibalisme, comme certains pirates/corsaires lors de leurs expéditions, et ces tueurs/tueuses assassins parisiens].
Ce comportement « déshumanisé » et « abêti » est, en fait, typique de l’emprise d'entités de nature éthérée ou énergétique qui ont une origine endogène, indigène, ou même exogène et qui prennent « possession » [provisoirement ou pas] des personnes ayant subi des pressions intenses, ou qui ont vécu, des expériences extrêmes, d’une rare violence ou des traumatismes quasi-insurmontables.
« Le palais du duc parut tout en feu, une tour s'écroula, une chouette se glissa dans la chambre de la duchesse et éteignit avec ses ailes, l'une après l'autre, toutes les bougies qui se rallumèrent d'elles-mêmes. »
[Robert le Diable - Paul Boiteau - 1861 - Le Secret de la Naissance de Robert le Diable - Duc de Normandie - Hybridations & Métamorphes dans l'Histoire - 1956]
[cette sorte de mutation est « évoquée » par la tradition ancestrale, ou « apparait » directement dans les légendes de Loup-Garou, ou Lycanthropie, de la pratique chamanique, ou des ulfarks : les guerriers-loups, des « berserkers » : des guerriers-ours, des svinfylkingars : des guerriers-sangliers, qui sont les berserksgangrs, « incarnations des guerriers-fauves » rendant les guerriers scandinaves surpuissants et capables des plus invraisemblables exploits ! cf. Wkipédia]
Les victimes de ces véritables « possessions » ne sont plus réellement « maîtresses » d’elles-mêmes, allant jusqu'à adopter un comportement dit « bestial », comme dans les « viols », les meurtres horribles ou les massacres particulièrement odieux.
Le folklore de nos campagnes en a d'ailleurs gardé, le souvenir, d'abord pour une mise en garde préventive, et afin de nous signifier que la « régression de cette possession » est toujours possible, même si elle est longue, et souvent accompagnée de séquelles indélébiles.
Comme l’illustre le récit de la « vie tragique » de ce héros, et officier d’État-Major de l’ultime armée de la chouannerie normande [de l'automne 1793 au printemps 1800], commandée par Marie-Pierre Comte Louis de Frotté, Maréchal de Camp, dit « Blondel » :
Gaultier de Carville
« Léonard-Louis-Gabriel Gaultier de Carville, qui avait servi aux Mousquetaires Rouges, troupe d'élite au sein des Mousquetaires, qui jura de venger sa sœur Mademoiselle Adélaïde Gautier de Carville, âgée à peine de quinze ans, et qui avait été assassinée dans son château, par des soldats républicains.
Ayant appris cette triste nouvelle, Gaultier de Carville leva une troupe parmi les paysans mécontents de la situation politique de la France. Et elle compta bientôt 120 hommes déterminés et courageux.
A leur tête, l'ancien Mousquetaire, parcourant le pays, fusillait sans aucune pitié les Bleus qu'il rencontrait, ainsi que les acheteurs des biens nationaux, ceux qui avaient achetés les biens du clergé. Il n'avait aucune pitié aussi pour tous ceux qui s'étaient engagés aux côtés de la Révolution.
Sa troupe était crainte car elle laissait derrière elle le feu et le sang. À sa tête son chef faisait montre d'un courage exceptionnel, portant son uniforme des Mousquetaires Rouges qui le désignait aux coups des Bleus.
Sa vengeance était effrayante car il avait été exaspéré par la mort ignominieuse de sa jeune sœur. Et comme dans la plupart de ces cas, les victimes étaient des gens qui n'avaient aucun rapport avec le massacre dont avait été victime Mademoiselle de Carville, même si c'était des soldats de la République Maudite. » [cf. Sous le bonnet Rouge - Georges Lenotre - 1949]
Comme elle le lui devait !, l’histoire fait mourir Gaultier de Carville, le Mousquetaire Rouge, à la suite d’un combat héroïque mais la « sagesse populaire », qui connaît invariablement la « véritable histoire », sait que son calvaire ne s’arrêta pas là, et qu’il poursuivit sa « malheureuse vie » dans la misère, pourchassé et toujours harcelé par tous ses vieux « démons », réussissant à lui fait perdre inéluctablement la tête, avant de le faire sombrer définitivement dans la Folie.
Son « histoire vraie » elle nous la transmise à peine voilée, sur un mode léger, et sur le ton de la farce, sans doute pour en atténuer la violence, au travers de la renommée d’un autre : « Cadet », lui, Auxerrois, nommé « Rousselle » et qui est la dénomination, à deux lettres près du véritable Nom de Guerre, [et de résistant à la barbarie révolutionnaire républicaine], car Gaultier de Carville, le Mousquetaire Rouge, l'illustre combattant de la chouannerie normande se faisait appeler, lui-aussi :
« Cadet Roussel » !
Cadet Roussel a trois maisons
Qui n'ont ni poutres ni chevrons:
C'est pour loger les hirondelles;
Que direz-vous d'Cadet Roussel
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois habits :
Deux jaunes, l'autre en papier gris;
Il met celui-là quand il gèle,
Ou quand il pleut ou quand il grêle;
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois chapeaux :
Les deux ronds ne sont pas très beaux,
Et le troisième est à deux cornes,
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois beaux yeux
L'un r'garde à Caen, l'autre à Bayeux
Comme il n'a pas la vue bien nette,
Le troisième c'est sa lorgnette :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a une épée
Très longue mais toute rouillée
Aussi chacun de dire d'elle
Qu'ell'ne fait peur qu'aux hirondelles
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois souliers
Il en met deux dans ses deux pieds ;
Le troisième étant pour bancroche,
Quand il le met c'est dans sa poche :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois cheveux :
Un pour chaqu'face, un pour la queue,
Pourtant parfois avec adresse
Il les met tous les trois en tresse :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois garçons
L'un est voleur, l'autre est fripon,
Le troisième est un peu ficelle
Il ressemble à Cadet Roussel
Ah! Ah! Ah! mais vraiment
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois gros chiens:
L'un court aux lièvres, l'autre aux lapins,
L'troisième s'enfuit quand on l'appelle
Comm' le chien de Jean de Nivelle :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois beaux chats,
Qui n'attrapent jamais les rats,
Le troisièm' n'a pas de prunelles,
Il monte au grenier sans chandelle :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a marié
Ses trois filles dans trois quartiers ;
Les deux premières ne sont pas belles
La troisième n'a pas de cervelle :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel a trois deniers,
C'est pour payer ses créanciers ;
Quand il a montré ses ressources,
Il les remet dedans sa bourse :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel s'est fait acteur,
Comme Chénier s'est fait auteur ;
Au café quand il joue son rôle,
Les aveugles le trouvent drôle :
Ah! Ah! Ah! mais vraiment,
Cadet Roussel est bon enfant.
Cadet Roussel ne mourra pas
Car avant de sauter le pas
On dit qu'il apprend l'orthographe
Pour faire lui-même son épitaphe :
Ah! Ah! Ah ! mais vraiment
Cadet Roussel est bon enfant !
Libro & Aratro
Guilhem de Saint-Martin
Les Aliens dans la Chanson
[Rubrique Ufo-Génpi]
« Les poly-métamorphes ont réussi à illusionner, pendant des siècles les ministres de l'Église, avec leur parodie-démoniaque, avant de duper, les ufologues-amateurs avec leur imposture-alien, mais pour combien de temps encore ? »
[L'Office de la Sainte Inquisition est l'Ancêtre du Geipan]
Quelques explorateurs sans frontières comme George Hunt- Williamson nous ont familiarisé avec l’idée des visiteurs qui migrent d’étoiles en étoiles pour nous éclairer sur le chemin, qui nous conduit de la bestialité à la divinité.
Ces moissonneurs des enfants des étoiles qui ressemblent aux humains, s’aventurent, pour des durées variables, dans les villes où ils se mêlent à la population pour s’acquitter, au mieux, de leurs différentes missions.
Et si, à l’époque moderne peu d’ufologues, ont eu le courage de témoigner, directement, de leurs rencontres avec eux, comme Michel Zirger,
[Cf. Visiteurs sans passeport « Ils » sont là !, novembre 2016, Édition Le temps présent Collection Énigma]
c’est que ces expériences subjectives sont toujours intimistes, orientées vers la transcendance, et souvent de l’ordre de l’ineffable.
Dès lors, l’on comprend mieux la gêne, la réserve prudente, et la pudeur, de la plupart d’entre-nous, et tout particulièrement celles des ufologues, ce qui n'est pas le fait des chanteurs et des poètes qui nous font partager, avec bonheur, les sentiments inspirés, de ces Rencontres (parfois très) Rapprochées avec ces personnes venues d’ailleurs !
(voici ci-après quelques-unes de leurs œuvres parlantes)
Elle est d’ailleurs - Pierre Bachelet - 1980
Elle est D'ailleurs
Elle a de ces lumières au fond des yeux
Qui rendent aveugle ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bêtes ou rendent chiens
Mais si lointaine dans son cœur
Pour moi c'est sûr
Elle est d'ailleurs
Elle a de ces manières de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette manière de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sûr
Elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sûr
Elle est d'ailleurs
Elle a ces longues mains
De dentellière
A damner l'âme d'un Wermer
Cette silhouette vénitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cœur
Pour moi c'est sûr
Elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sûr
Elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pasQui va jouer
Qui va nous faire danser
Qui va mener le bal
Les braillards, les taiseux
Les paillards, les peureux
Les mange misères
Les tire galères
Les pousse chimères
Fantassins en déroute
Entrez donc dans la danse
Et que le bal commence
Dernier Bal - Pierre Bachelet - 1988
Les Aliens dans la Chanson
[Rubrique Ufo-Génpi]
Le thème fort des ingérences extérieures des aliens, que la tradition appelle : ceux-du-dehors, assimilés aussi à des dieux dans les mythes, ces aliens sont qualifiés de maîtres du temps et de l’espace et dont on identifie facilement, l’empreinte de leurs actions dans de nombreuses anomalies historiques (avec lesquelles les historiens se perdent en conjecture, tombent en confusion et sombrent en perplexité) nous les retrouvons très souvent signalées dans les écrits et la littérature avec les romans (cf. le Voyageur Imprudent de René Barjavel, 1943/1944, L'Alliance (l'Antienne) - Jean-Claude Carrière – 1963 & L’Alliance – Film de Christian de Chalonge - 1971, dont la l’intrigue finale diffère du Roman original - 1963 de Jean-Claude Carrière « Les animaux ont un comportement étrange qui laisse présager un danger imminent ! »), les nouvelles (cf. Le Horla [Hors-là !] de Guy de Maupassant - 1887) ou les Films (cf. Premier Contact ou L’Arrivée [Arrival] film de Denis Villeneuve - 2016), que l’on qualifie généralement de science-fiction, alors même, qu’il s’agit à de rétro-activité induite.
L'anticipation est souvent réduite, abusivement, à de la science-fiction, comme avec les célèbres romans de Jules Verne (1828 -1905) qui manifestent, de fait, l'antéro-causalité quantique (l'anticipation) à partir de la rétro-causalité (à partir de la science-fiction), autrement-dit, le « futur », imaginé dans le « passé », oriente « par anticipation rétroactive », son propre « à-venir ».
La chanson aborde régulièrement ce thème de l'ingérence hétérogène, de l’antéro-rétro-causalité, comme celle, très explicite, interprétée par Gérard Lenormand intitulée :
Quelque Chose et Moi - 1974
Il était un soir
Il était une fois
Quelque chose et moiIl était un soir
Il était une fois
Quelque chose et moiUn signe un espoir
Une image une voix
Quelque chose et moiEt je n'étais plus seul au monde
Et je n'avais plus peur ni froid
Et je vivais chaque seconde
Et j'étais partout à la fois
Et une araignée de légendeTisse le ciel de ma nuit
Comme je suis heureux dans ma chambre
Je ne sais pourquoi ni pour quiJe vais et je viens
Mal et bien sous mon toit
Quelque chose et moiEt je n'attends rien
Ni des dieux ni des rois
Quelque chose et moiComme un prisonnier s'émerveille
A regarder vivre une fourmi
J'ai reçu de bonnes nouvelles
Il paraît que ça va bien la vieJ'ai envie d'ouvrir la fenêtre
Pour me voir passer dans la rue
Savoir si j'ai changé de tête
Revoir ce que je ne suis plus
Et je n'étais plus seul au monde
Et je n'ai plus peur ni froid
La nuit ne sera plus très longue
Oui, je sais que tu existerasIl était un soir
Il était une foisGriffon (Femelle Inaptère)
« Ils ont la guivre, la licorne, la serpente, la salamandre, la tarasque, la drée, le dragon, l’hippogriffe. Tout cela terreur pour nous, leur est ornement et parure. Ils ont une ménagerie qui s’appelle le blason, et où rugissent les monstres inconnus. »
[L’Homme qui rit - Victor Hugo - 1869]
Annulus Draconis
« mon cœur
rappelle-moi
l'encens
de sa danse féérique
la myrrhe
de ses cheveux
le baume
de ses lèvres »
[Rapport d'une Rencontre Rapprochée - 2011 - Normandie - France- 0vnis]
On the Moon - J.M.
Fly away ... Fly away ... Away ...
To the moon ... On the moon ...
I find my way ... Yes I find my way ...
To go
Rue des étoiles - G.
Y avait trop de monde sur la Lune
Il fallait descendre à l’azur
Et toi où es-tu dans l’espace
Attends je n’entends plus je passe
Dans un tunnel d’astéroïdes
Tu disais avant le trou noir
On pourrait se rejoindre
J’ai des rêves à te peindre
On se baladera sur Neptune
C’est deux planètes après Saturne
Il faudra suivre les comètes
On apercevra Uranus
Aussi Pluton le terminus
Là où la galaxie s’arrête
Retrouve moi Rue des étoiles
La deuxième après Jupiter
D’où l’on peut voir tout l’univers
Retrouve-moi Rue des étoiles
Pas loin du Boulevard de l’éther
A bord de mon vaisseau spatial
On se rappellera la Terre
Toi et Moi
Les Aliens dans la Chanson
[Rubrique Ufo-Génpi]
Il y a bien un domaine où les Rencontres Rapprochées (ou très Rapprochées) ufologiques sont régulièrement évoquées, outre ceux, des arts, de la peinture, de la littérature et de la cinématographie, c’est bien celui des chansons.
Ici, les ufologues (et les mélomanes) les plus avertis, reconnaitront, une praxéographie significative (un discours contextuel) restituant l'atmosphère empirique des RR4, qui rendent compte des abductions ou des disparitions [20 000 disparitions définitives sur (bien) plus de 50 000 déclarées chaque année en France cf. l'article de l'Orden de Chevalerie intitulé : Le Collège Invisible] :
Moonlight Shadow - Mike Oldfield - 1983
[Une ombre au clair de lune ]
La dernière fois qu'elle l'a vu
Entraîné par une ombre au clair de lune
Il s'en allait, soucieux et l'avertissant
Entraîné par une ombre au clair de lune
Égaré dans le mystère samedi soir dernier
Au loin dans l'autre monde
Il s'est retrouvé au milieu d'une lutte désespérée
Et elle a été incapable de trouver un moyen
les arbres qui chuchotent en soirée
emportés par une ombre au clair de lune
chantent une chanson de peine et de chagrin
Entraîné par une ombre au clair de lune
Elle n'a vu que la silhouette d'une arme
Au loin dans l'autre monde
il a été touché six fois par un homme en fuite
Et elle a été incapable de trouver un moyen
Je reste
Je prie
Je te vois au paradis très loin
Je reste
Je prie
Je te verrai au paradis un jour
A quatre heures du matin
Entraîné par une ombre au clair de lune
J'ai regardé ton image se former
Entraîné par une ombre au clair de lune
Les étoiles bougent lentement dans la nuit d'argent
Au loin dans l'autre monde
Est-ce que tu viendras me parler cette nuit ?
Mais elle a été incapable de trouver un moyen
Au milieu de mille personnes et cent
La nuit était lourde mais l'air était vivant
Elle a été incapable de trouver un moyen
Entraîné par une ombre au clair de lune
Entraîné par une ombre au clair de lune
très loin dans l'autre monde.Cambodia - Kim Wilde (1981)
Cambodia (Cambodge)
Il était basé en Thaïlande ... elle était dans l'armée de l'air ... il avait l'habitude de voler le week-end ... c'était une vie tranquille ... mais ils arrivèrent autour ...
Et il commença à changer ... elle ne s'est pas posée de questions ... elle ne pensait pas que c'était étrange ... mais il fut engagé ... il devait partir cette nuit ... il ne pouvait pas en dire trop ... mais il ira pour le mieux ... il n'a pas eu besoin de faire son paquetage ... ils se reverraient la nuit d'après ... il avait un travail à faire ... voler pour le Cambodge ...
Aussi vite que défilées les nuits ... elle essayait de se remémorer le passé ... la façon dont il avait de regarder ... la façon qu'il avait de rire ... je crois qu'elle ne saura jamais ce qu'il avait dans son âme ... elle ne pourra le faire sortir ... elle n'a pas put tout prendre ...
Il avait les yeux les plus tristes que la fille ait jamais vu ... il pleurait parfois la nuit comme s'il vivait un rêve et comme elle le serrait si prés ... Il cherchait son visage comme si elle avait su la vérité ... perdu au Cambodge ...
Mais alors il y eut un autre appel ... ils disaient qu'il serait bientôt à la maison ... elle devait faire une valise et ils se donneraient rendez-vous ... mais maintenant un an a passé et pas un seul message et tout l'amour qu'elle a connu a disparu dehors dans la brume ...
Cambodge ne pleure pas maintenant pas de larmes maintenant ...
Et maintenant les années ont passé avec toujours aucun message ... mais il y a seulement une chose encore je le sais pour sûr ... elle ne reverra plus jamais son visage ...
Loin d'ici - Jeanne Masse (1985)
Elle a grandi loin des cités, là où la mer n'écoute jamais ses pensées
Glisse incertaine, vague infidèle, ne te moque pas d'elle
Été si chaud, c'était trop beau quand tu dansais, étourdie par la fumée
Plage déserte, où sont mes rêves ? Si seule, je reste
Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues
Loin d'ici, rien qu'une seconde, je rêve aussi d'un autre monde
De tendresse
Le jour faiblit, si loin l'été, dans sa colère, la mer a tout emporté
Elle se soulage, tache le sable de quelques larmes
Elle reste là, fixe la marée
Le temps paresse, les souvenirs sont froissés
Espoir rebelle, je veux qu'on m'emmène, besoin qu'on m'aimeLoin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues
Loin d'ici, rien qu'une seconde, je rêve aussi d'un autre monde
De tendresseGemme - Nolween Leroy (2017)
On rêvait d'irréel
De joyaux sous les pierres
De pépites
Dans le lit des rivières
Sous nos crânes de cristal
Des fantômes d'illusion
Nous cachaient
Le néant et le malMoi je veux chercher
Moi je veux creuser
Trouver sous la terre
Trouver sous la chair
Ces gemmes arc-en-ciel
Arc-en-ciel, arc-en-ciel
Si mon cœur est pur
Si je m'émerveille
Oui, je serai sûre
De trouver ces gemmes
Ces gemmes arc-en-ciel
Éternelles, immortellesOn tenait palpitant
Sous nos peaux d'Érythrée
Dans sa cage
Un rubis non tailléMoi je veux chercher
Moi je veux creuser
Trouver sous la terre
Trouver sous la chair
Ces gemmes arc-en-ciel
Arc-en-ciel, arc-en-ciel
Si mon cœur est pur
Si je m'émerveille
Oui je serai sûre
De trouver ces gemmes
Ces gemmes arc-en-ciel
Éternelles, immortellesMoi je veux chercher
Moi je veux creuser
Et trouver ces gemmes
Et celui que j'aime
Pas si loin du ciel
Sur la terre
Dans ma chairMoi je veux chercher
Moi je veux creuser
Trouver sous la terre
Trouver sous la chair
Ces gemmes arc-en-ciel
Arc-en-ciel, arc-en-ciel
Si mon cœur est pur
Si je m'émerveille
Oui, je serai sûre
De trouver ces gemmes
Ces gemmes arc-en-ciel
Éternelles, immortellesStephen - Nolwen Leroy - Gemme - 2017Quand on aura marché les yeux au ciel.
Pour un jour buter sur le réel.
Oubliant la terre sous nos pieds.
Pour un nuage qui passait.
Quand on aura peur des orages.
De ces brûlants sarcophages.
Craignant l’ombre quand vient le soir.
Vivant d’illusoire.
Qui sait. Mais qui peut savoir.
Combien d’étés d’enfer.
Nous restent à vivre avant l’exode.
On a pillé, vidé les mers et trafiqué les codes.
On a ignoré l’alarme.
Les signes annoncés.
On a perdu, notre âme.
Il ne reste plus qu'à tout abandonner.
Que restera t-il ?
Une vie de pierre.
Après tant de vies heureuses sur la terre.
Autant de vies brisées.
Et il faut s’en aller.
Des vents mortels brulant nos hémisphères.
Il est grand temps, pour nous de changer d’air.
D’émigrer vers Jupiter.
Partir comme les hirondelles.
Ils étaient tous devenus fous.
Voilà ce que l’on dira de nous. Ils écriront sur nos stèles :
Votre demeure était belle.
Et on a roulé au bas de la pente.
Rien a freiné notre descente.
On va périr comme les éphémères.
On doit choisir le ciel ou la terre.
Que restera t-il ?
Une vie de pierre.
Après tant de vies heureuses sur la terre.
Autant de vies brisées.
Et il faut s’en aller.
L’échelle se balance.
Il faut la saisir.
L’espace tend ses cordes.
L’espace nous attire.
S’en aller.
Oui il faut s’en aller.
« Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »
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