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Les Pontifex
Par Bellator dans L'Apocalypse des Ovnis - Livre XII - Les Rencontres Rapprochées le 28 Janvier 2024 à 17:00« Après cela je vis une porte qui était ouverte dans le ciel . »
[Apocalypse 4-1]
Les Pontifex
RR3 du 23/09/1954 - à Moussoulens (11) - France
Bellator
Guillaume Chevallier
[Moussoulens (11) - Aude - Occitanie - France - est une commune rurale, peu ou très peu dense, au climat océanique altéré - Habitants : 473 (24.13 hab/km2) en 1946 - 451 (23.01 hab/km2) en 1954 - 519 (26,5 hab/km2) en 1968 - 498 (25,4 hab/km2) en 1975 - 1 003 (51,2 hab/km2) en 2020 - Superficie : 19,6 km2]
Moussoulens (11)
les deux colonnes
D'or aux deux pals d'azur.
RR3 de Monsieur Marcellin Rouzeaud, 42 ans, 23/09/1954, à 03 h - "Les Pépinières de Bernardo", dans un secteur appelé "Le Pays de Cammas de Pezens", à 2 kilomètres de Moussoulens (11) - Aude - Occitanie - France - Enquête de Mrs Taset et Baillon fichier d'Alain Gamard, citant le bulletin OBRIS-OVNI N.1 de 1969 et citant le bulletin GEOS International N.2 de septembre 1969.
Le témoin roule sur la D629 venant de Moussoulens pour aller à Carcassonne. Soudain à peu près à mi-chemin entre le chemin menant au lieu dit La Cammas et le carrefour avec la N113 son véhicule se trouve bloqué par une masse bizarre en forme de moitié d’œuf placée au milieu de la chaussée. Il arrête son véhicule à dix mètres de l'objet et en descend. Il aperçoit alors une forme humaine de taille moyenne qui paraît surgir de la masse. Le témoin lui demande s'il a besoin d'aide pensant avoir affaire à un autre automobiliste victime d'une panne. Il va pour s'approcher quand l'individu le repousse d'une main en prononçant quelques mots dans une langue inconnue. Par geste il lui désigne la Lune puis son appareil et cela plusieurs fois de suite. Un second occupant de taille plus petite sort de la masse lumineuse. Le premier personnage dépose dans l'herbe au bord de la route un petit objet en faisant comprendre au témoin qu'il ne faut surtout pas y toucher. Les deux personnage réintègrent l'objet au milieu de la route qui décolle à la verticale sur deux cents mètres pour se diriger comme une flèche à l'horizontale vers le nord.
La description des entités est la suivante : environ 1m30 à 1m35 dont seule la tête dépasse d'une sorte de cape couvrant tout le reste du corps à l'exception des bras. L'objet était lumineux comme phosphorescent et la lumière était plus puissante que les phares de la voiture du témoin.
Par la suite le témoin revint sur les lieux et retrouva le petit objet déposé sur le bas-côté. Il avait la dimension et la forme d'une châtaigne mais un aspect terreux et lisse. Quelques temps plus tard le témoin fini par révéler son aventure à deux habitants de Carcassonne qui se firent conduire sur les lieux et s'emparèrent du petit objet. Le témoin voulu quelque temps plus tard récupère l'objet, les deux compères prétendirent avoir envoyé l'objet à un laboratoire de Paris pour analyse qui ne leur avait jamais rendu disant qu'il s'agissait d'un vulgaire morceau de mâchefer. [Base Ovni-France]La vague française de 1954
Enquête de Mrs TASEI et BAILLONJean Sider : Le Dossier 1954 et l'Imposture Rationaliste", livre par Jean Sider.
L'auteur indique que le 23 septembre 1954, à 03:00, Mr. Rouzeaud, 42 ans, avait juste quitté Moussoulens, pour chercher un ami venant de Marseille à la gare de Carcassonne, en conduisant sa voiture "Traction Avant" sur la route nationale 269, et entrait dans un virage quand il a vu posé au plein milieu de la route un objet qu'il n'a pas pu identifier.
L'endroit est au niveau de "Les Pépinières de Bernardo" dans un secteur appelé "Le Pays de Cammas de Pezens", à 2 kilomètres de Moussoulens, au carrefour des RN269 et RN113.
Mr. Rouzeaud a approché en pensant qu'un certain véhicule bloquait la route et est venu à 10 mètres de l'objet. Il a arrêté sa voiture et est sorti voir ce que c'était, et a distingué une petite forme humaine semblant sortir de l'objet ; il est dit que cette forme ressemblait à une "petite meule de gerbes" ou à un "demi-oeuf".
Mr Rouzeaud a demandé à ce personnage s'il avait besoin d'aide, il n'a obtenu aucune réponse, il s'est encore approché mais le personnage qui semblait porter une cape et dont le visage n'était pas clairement distinct, l'a repoussé d'une main tout en disant des mots dans une langue que Mr Rouzeaud n'a pas pu comprendre.
Le personnage a fait des gestes vers Mr Rouzeaud pour lui signifier qu'il ne devait pas toucher l'objet et qu'il devait se reculer. Il a ensuite, toujours par des gestes, montré la Lune et son appareil, à plusieurs reprises, et Mr Rouzeaud en a déduit que le personnage voulait lui dire qu'il reviendrait à la prochaine lune.
Un deuxième occupant a alors émergé de l'objet, décrit comme ayant une hauteur de 1,30 à 1,35 mètres, son visage n'étant pas distingué non plus.
Immédiatement, les deux personnages sont entrés dans l'objet, le témoin ne pouvant pas dire comment. Le témoin a cru que l'appareil serait alors garé au bord de la route, mais à la place, il entend d'abord un bruit semblable à celui du "froissement d'une toile de tente" ou "d'une troupe de perdreau", et voit l'objet s'élever jusqu' à une hauteur d'environ 200 mètres, puis aller vers le nord "comme une flèche."
Mr. Rouzeaud est alors retourné à sa voiture, se demandant s'il avait rêvé.
Jean Sider indique que l'enquête par François Taset et Jean-Claude Baillon a révélé que Mr Rouzeaud n'a d'abord rien dit par peur du ridicule, mais 15 jours plus tard, en faisant les vendanges chez son père qui ne croyait pas aux soucoupes volantes, il en a parlé, et ensuite tout le village a été au courant.
Jean Sider indique que Mr Rouzeaud a prétendu avoir trouvé un objet sur la route, apparemment plusieurs jours après l'observation, et qu'il a donné cet objet à un marchand de chaussure nommé Alary, de Carcassonne, qui était avec un Mr Rives, afin faire analyser cet objet.
Cet objet est décrit par Jean Sider comme "pas plus grand qu'une châtaigne", avec un dessus lisse comme si il avait été verni, de la couleur de la terre, et ayant résisté à une tentative de l'entamer avec un couteau.
Mr Alary a prétendument déclaré que les chimistes contactés pour analyser cet objet n'ont pas pu déterminer sa composition, et il est affirmé que lorsque Mr Rouzeaud a demandé l'objet, il ne l'a pas obtenu parce qu'il lui a été dit qu'il a été envoyé à Paris pour davantage d'analyses. Jean Sider indique que Mr Rives était un propriétaire de bar de Carcassonne à cette époque, qui a déménagé à Perpignan en 1967, et que Mr. Rouzeaud, vendeur de voitures d'occasion, était un de ses amis parce qu'il faisait parfois ses affaires dans le bar de ce Mr Rives. Jean Sider indique qu'il semble que c'était ce Mr Rives qui a demandé à Mr Rouzeau de retourner sur les lieux de l'observation pour y rechercher d'éventuelles preuves matérielles.
Jean Sider indique que les enquêteurs ont rendu visite à Mr Alary à Carcassonne le 13 octobre 1968, et ont appris que le fils de Mr Alary, Jean a d'abord nié l'affaire, puis a admis avec embarras qu'il avait enquêté sur l'affaire en 1954 mais que les détails ont été perdus dans les brumes du temps. Il a ensuite admis qu'il avait obtenu l'objet, mais que c'était un morceau de mâchefer ordinaire, que "le laboratoire à Paris" avait envoyé à un rapport d'analyse mais n'avait pas renvoyé l'objet.
Jean Sider indique que les enquêteurs ont conclu que l'observation était vraie, qu'ils ont envoyé leur rapport au groupe d'ufologie GEPA pour publication mais que pour quelque raison le GEPA ne l'a pas fait.
Jean Sider indique que la source de ce qui précède est le fichier d'Alain Gamard, citant le bulletin OBRIS-OVNI N.1 de 1969 et citant le bulletin GEOS International N.2 de septembre 1969 aux pages 5 à 11.
MAGAZINE D'UFOLOGIE "GEOS INTERNATIONAL": article dans le bulletin d'ufologie OBRIS-OVNI, France, N° 1, 1969.
NOUS PUBLIONS CE CAS EN COLLABORATION AVEC L'ORGANISATION BORDELAISE DE RECHERCHES ET D'INFORMATIONS SCIENTIFIQUES
SUR LES O.V.N.I.ATTERRISSAGE D'UN O.V.N.I. PRES DE MOUSSOULENS (AUDE) - LE 23 septembre 1954 - A 3 HEURES DU MATIN.
Témoin: Monsieur MARCELLIN ROUZEAUD, viticulteur domicilié à Moussoulens (Aude) - il avait 42 ans en 1954.
Déclarations du témoin enregistrées à Moussoulens le 4 septembre 1967.
C'était le 23 septembre à 3 heures du matin en 1954 je me rendais à Carcassonne, et sur la route, là, sur la 629, que vous dirais-je ? 800 mètres avant d'arriver sur une ligne droite, j'ai vu quelque chose sur la route, en pleine route posé - près des pépinières de Bernado, au Cammas qu'on appelle "le Cammas de PEZENS"; je me suis approché croyant que c'était quelqu'un qui encombrait la route : un véhicule quelconque un camion qui avait peut-être viré ou n'importe : je me suis approché, bien approché, et j'étais quand même à moins de dix mètres : je m'arrête, et je descends pour voir ce que c'était. Comme je m'approchais il est sorti une forme humaine un homme, si on peut dire.
- Pas d'une porte ?
Non... je n'ai pas vu d'où il sortait... Il est sorti... C'était une forme qui était, oui, comme un gerbier, une meule de gerbes, vous voyez ? un demi-oeuf, seulement assez haut : ça faisait quand même 1 mètre 80, voyez, à quelque chose près, ça m'est revenu depuis... Ça prenait toute la route. Alors à ce moment là, comme je m'approchais, il est sorti cette forme humaine là, cet homme, qui était... il n'avait que la tête dehors, dans une cape, dans une toile, une tente, qui arrivait presque par terre, je veux dire, ça n'avait pas de manches, ce n'était pas un pantalon.
- Ça n'avait pas de ceinture ?
Non, non, non, pas de ceinture, il était tout à fait englobé dans son appareil là.
Même les pieds ?
Ah... les pieds, je n'ai pas remarqué comment ils étaient. Le bonhomme se déplaçait ah, comme nous ; mais, j'ai demandé à ce bonhomme s'il voulait un coup de main, qu'est-ce qu'il avait fait, pour se tirer de là ; il ne m'a pas répondu et j'ai fait signe à l'engin, et avec je crois, sa main, sensément, ou son bras qui n'émanait pas, voyez, de son "chose", il m'a poussé, il m'a retenu, il m'a retenu. En me faisant signe, il avait un parler, ma fois [sic] un parler... C'était un son de voix, mais, quant à comprendre, je ne savais pas si c'était de l'arabe je n'en savais rien. Je n'ai pas compris. Je n'ai pas compris. Ça avait un son de voix humaine, et à ce moment là, le bonhomme m'a fait signe qu'il ne fallait pas le toucher; il m'a poussé, vous savez, ... qu'au moins, il ne fallait pas toucher ça, comme qui dit "attention, ne touchez pas ça... reculez-vous !"
- Avec les deux mains ?
- Avec une main, non, non, avec une main, une main... il m'a fait signe : reculez-vous, ne touchez pas ça - attention - comme qui dit "attention!"... Moi j'ai dit "Qu'est-ce que c'est ?"... Il est parti, il est allé prendre, dans son engin dans cet appareil qui était posé là, il est allé prendre une espèce de "témoin", si vous voulez... moi j'appelle ça, comme ça, pour moi ça n'a pas de mot de qualification. Il m'a posé ça dans l'herbe sur le bord de la route... en me faisant des gestes avec son espèce de main que je n'ai pas regardé, voyez, si c'était une main une patte... distinctement je n'ai pas regardé, voyez, si réellement il avait des doigts ou quoi. J'étais en présence de quelque chose qui... Vous savez, ça là : il m'a fait un geste à la lune, il me faisait signe à la lune, à la forme de la lune, et sur l'engin de nouveau. De la lune à l'engin.
- A l'engin qui était posé ?
- A l'engin qu'il venait de poser par terre, oui, comme qui dit "à la prochaine lune, à la même époque, on reviendra ici avec ça", et qu'il fallait pas le toucher, comme à l'engin mais ce qu'il me disait, je n'en sais rien ; et à part ça, le bonhomme, quand il a eu fait tous ces gestes là, je me suis aperçu qu'il en est descendu un autre. A peu près la même coupe d'homme, voyez ; 1 m 30, 35 peut-être... je ne calculais pas la grandeur de l'homme à ce moment là, je vous dit, on est plutôt surpris que tout autre chose. Et à ce moment là ils sont partis tous les deux je n'ai pas vu où qu'ils rentraient, ni par une porte, ni. Je m'attendais moi à ce qu'ils allaient serrer leur appareil. Ils sont montés dedans. J'ai entendu un bruit comme un froissement de toile de tente vous savez, un vol de perdreaux qui s'en va... mais pas de son moteur, voyez ça s'est levé en verticale, assez rapidement, et quand ça a été à une certaine hauteur, la distance, je ne vous le dirais pas, mais c'était pas excessif, c'était peut-être à 200 m, même pas, alors à ce moment là, directement c'est parti vers le Nord, mais alors... comme une flèche vous savez.
- C'était fini ?
- Je n'ai plus rien vu. Je me demandais en moi-même si je n'avais pas rêvé. J'ai été à ma voiture et je suis parti, je ne me rappelle même pas si j'avais éteint le moteur ou pas. Je ne me rappelle pas vous voyez.
- Les phares de la voiture éclairaient-ils...?
- Toujours pareil, oui, oui, éclairaient l'engin, mais .. la couleur de l'engin était beaucoup plus puissante que les phares, ça ressortait beaucoup plus : les phares étaient plutôt noyés.
- Et pourtant, ça n'éclairait pas les alentours ?
- Ah ! Ah ! non... C'était une espèce de phosphorescence quand on allume une allumette le phosphore qui commence à brûler : un bleu comme ça, un bleu vif. C'était vert.
- Mais comment avez-vous pu prendre ça pour un camion ?
- Ah, moi, j'ai eu cette idée, vous voyez. J'ai dit, "C'est un camion qui a versé ? C'est enveloppé de tente. C'était des ballots de laine ?" Je n'en savais rien moi. Je me suis approché tout naturellement comme si ça avait été tout autre chose pour donner la main à ces gens-là.
- C'était d'une couleur uniforme ?
- Uniforme, oui, tout de la même couleur, je n'ai pas remarqué qu'il y ait.. Ça ne m'a pas frappé de dire "té, il y a un..." Non.
.../...
0ui, et c'est tout ce que je peux vous dire... Maintenant quant à ce "témoin", il y a Monsieur ALARY, là, le marchand de chaussures de Carcassonne, Ils sont venus avec Monsieur RIVES... parce que je n'ai dit cela que bien après.. oh ! 15 jours après: Je n'avais rien dit à personne. C'est en vendangeant chez mes parents que j'ai commencé à cracher le morceau... au pauvre mon père qui ne croyait pas qu'il y en avait, de ça, et moi, j'ai dit "ce n'était qu'un engin comme ça, ce n'était qu'une soucoupe volante d'après moi, enfin quand on en a entendu parler par la suite aussi, vous comprenez, parce que je crois qu'il y en avait eu encore d'autres après ça. Et lui n'en croyait pas ses yeux. Je lui ai dit "si, vous pouvez le croire, parce que j'ai été en présence." Et j'ai été obligé de raconter l'histoire et tout ça. Quant au morceau qu'ils m'avaient laissé, Monsieur ALARY l'a pris, ils ont prétendu qu'ils l'avaient fait analyser, et ils ont prétendu qu'ils n'avaient pas trouvé la matière de ce que c'était. Je voulais qu'ils me le rendent, et ils ne me l'ont jamais rendu. Ils m'avaient dit qu'ils l'avaient envoyé à Paris pour des analyses. Maintenant,... je ne puis rien vous dire. Il y avait Monsieur RIVES aussi, mais il est à Perpignan actuellement ; il tenait le bar Édouard à l'époque (à Carcassonne) ; comme je faisais le voiture d'occasion, j'avais mon "bureau" chez lui. J'étais tout le temps chez lui. Et naturellement, quand il a su ça, vous savez ce que c'est, "tu nous blagues, tu nous ceci, tu nous cela..." J'ai dit : "non si tu ne veux pas le croire, viens, tu verras" car je n'en croyais même pas moi mes yeux voyez, ça me travaillait cette histoire là, et ce n'est qu'en venant déjeuner par la suite : j'ai dit : "tout de même, il faut que tu t'arrêtes pour voir si réellement ils t'ont laissé quelque chose, si c'est vrai, si tu as eu une hallucination ou quoi que ce soit. Ça se passe tellement vite, vous comprenez ? Ça s'est passé tellement rapidement et puis inattendu. Je me demandais moi-même si je l'avais vécu. Et j'ai bien vu tout de même qu'il y avait le "témoin". De temps en temps, je m'arrêtais comme ça pour voir si ça y était toujours et ça y était toujours je n'avais rien dit à personne.
- Et vous n'osiez pas le toucher ?
- Ah! Je ne l'ai jamais touché, non. C'était gros comme une châtaigne, un marron.
- Le même aspect ?
- Un morceau de terre, mais lisse dessus, On aurait dit c'était vernis, c'était potelé vous voyez ? C'est tout je n'ai jamais compris, ni... c'est après, quand j'ai réellement vu qu'il y avait l'appareil là, j'ai dit : "nom de nom ; c'est vrai, tu n'as pas rêvé, il ne t'est rien arrivé en route, tu l'as vécu, et ces gens-là, ils t'ont bien fait signe qu'avec ça il ne fallait pas le toucher, qu'ils reviendraient. D'après moi, j'avais calculé ça, j'ai dit ; "il t'a fait signe à la lune que quand elle serait comme ça, ils reviendraient sur les lieux avec ça. Seulement les autres sont arrivés. J'ai eu le malheur de commencer à le dire une quinzaine de jours ou 20 après. Ils sont venus voir ce fameux témoin. Ils ont commencé à l'emmener et puis ça a été fini. Je n'ai plus su quoi que ce soit...
.../...
- Sur le moment, je n'ai pas eu peur, oh non, ce n'est pas une frousse personnelle, je veux dire, parce que j'avais déjà fait la guerre, j'avais vu beaucoup plus que ça.
- Dans le village, personne d'autre que vous n'a vu "quelque chose" ?
- Non ! Tellement bien, qu'ici, je ne le disais pas à cause de ça. Je me disais, "les gens, ils vont te prendre pour un farceur," il y en a beaucoup qui ne voulaient pas le croire, il y en a certains d'autres qui me le faisaient raconter: "C'est vrai Rouzaud ?" ... "Oui, c'est vrai". Telle chose comme ça, textuellement comme je viens de vous le raconter, je ne peux pas en dire davantage ni moins, il en est ainsi.
.../...
- Pas de trace de fumée ni d'odeur... Quand il sont partis ces deux bonshommes moi, je croyais qu'ils allaient serrer leur engin, l'enlever de là pour me laisser passer. Vous savez, ça monte carrément devant moi... et puis après, allez, direction : le Nord.
- Quel temps faisait-il ?
Il faisait beau. Le temps était plutôt frais. On voyait bien la lune .../... D'après ce que j'ai entendu dire, soi-disant qu'un mois après, la veille, le 22, du côté de FANJEAUX, ils auraient aperçu un appareil comme ça. Çà aurait correspondu. Peut-être était-ce le même engin qui aurait voulu essayer de retrouver ce même point. Çà, ce sont mes raisonnements à moi .../... (A propos de l'objet abandonné) - Ils l'avaient tous tripoté, tous avaient regardé ce que c'était, ils avaient même essayé de gratter avec un couteau le couteau ne voulait pas de cette matière, c'était dur. .../... - Je ne me rappelle pas si j'avais arrêté le moteur ou pas. Ceci se passe exactement comme quand vous tombez sur un accident qui vient de se produire : vous ne remarquez pas, carrément vous allez voir ce qui se passe, vous êtes un peu affolé. Vous dites : "qu'- est-ce que c'est ? Il y a des ceci, des cela, il y a des morts ? Comment ça s'est produit ? Qui c'est ?" ... Alors, le temps de revoir tout ça terminé, fini ! Çà vous revient, petit à petit, mais... Il y a certains points qui ne vous échappent pas... d'autres... par exemple, le bonhomme avait des cheveux, il n'en avait pas je n'en sais rien... Il avait une tête... Maintenant la forme de son visage, ça, je ne peux pas vous le dire. Son appareil aurait éclairé tout autour, j'aurais dit : "tiens, c'est bizarre, c'est un phénomène, il n'est pas comme nous"... je n'ai pas remarqué.
L'engin était lumineux sur lui même, mais ne répandait pas de lumière... tout ce que je peux vous dire, c'est que si il y a des gens qui ont blagué dessus ... eh bien moi, je ne blague pas, j'ai été en présence, mon ami : je vous le vend au prix que je l'ai acheté vous savez. ... Pourquoi, pourquoi, faire des histoires là-dessus ? Moi je sais bien que je l'ai bien vécu. Mais la même matinée que ça, s'est produit : ça me travaillait dur, je me demandais si réellement... J'ai dit, "Quand même, tu es venu en voiture, tu étais à tel endroit, t'as pas eu de syncope, tu t'es pas "foutu" en l'air avec la voiture, tu serais pas arrivé à l'heure ici. Peut-être 5, 10 minutes tu as perdu... question d'arrêter, que ça se produise, repartir : c'est du réel, tu l'as vécu" ... Et il me tardait de voir le petit "témoin": ah non ! ils te l'ont laissé ça, réellement, ça y est. J'ai gardé ça. Ça me travaillait, ça, tout seul. Je me disais : tiens mais ces gens là, ils pouvaient t'amener, pourquoi pas ? c'est une chose qui était à leur portée, ils étaient à 2, voyez ils me ligotaient, ils me mettaient dans l'engin, ils partaient, c'était fini.
- Vous ne l'avez pas pensé sur le moment ?
- Non, c'est après je me suis dit "mais ils pouvaient t'emmener chez eux, pourquoi pas ? C'est une chose qui arrive ça !
- Quand il vous a touché à l'épaule, à quelle hauteur ?
- Non, non, c'est devant.
- L'estomac ?
- Oui, il m'a serré comme qui dit "n'approchez pas, c'est dangereux, n'approchez pas". Le bonhomme, qu'est-ce qu'il disait dans son jargon, je n'en sais rien, mais enfin, il m'a même fait reculer, voyez, oui. Il a forcé sur moi, je l'ai bien senti, j'ai bien senti qu'il me touchait le bonhomme.
- Et l'autre vous avait parlé aussi ?
- Non, non : le second, je l'ai tout juste aperçu quand il (le premier) voulait déposer cet outil là, qu'il me faisait signe à la lune : té, je me suis dit, mais il y en a un autre. Tellement que je regardais plutôt à lui, voyez, souvent que le premier : je me disais : "Qu'est-ce qu'il va faire celui-là ?"
- Il n'a rien fait ?
- Non, non, non, il n'a même pas approché... pas plus, il était tout juste hors de l'engin. C'était à peu près le même genre de forme, la même bête, si l'on veut dire, le même être humain... C'était pas des bêtes.
Ça devait ressembler à une quille ?
- La tête dehors, c'est tout, oui. Vous avez un drap, voyez, vous fait un trou milieu, vous le mettez dessus terminé, c'est tout ce que c’était.
- Pas de bras, rien ?
- Rien !
- Mais, quand il... Comment...?...
- Non, non non. Dans sa cape, que c'était grand, enfin ça flottait...
- Il a dû remuer les mains dans sa cape ?
Oui, sans doute ?... J'ai senti qu'il me touchait, mais je n'ai pas vu, voyez, émaner un bras, non... Quand il a amené cet engin, je n'ai pas remarqué s'il tenait ça dans une main, s'il avait des griffes, s'il avait... Non... Là je ne peux rien dire, je ne les a vus. Je ne l'ai pas remarqué.
... / ...
DETAILS COMPLEMENTAIRES SUR LE
CAS "ROUZAUD"- Le jour de l'observation le témoin faisait le trajet: MOUSSOULENS-CARCASSONNE dans "sa traction avant", pour prendre à la gare de cette ville une personne de MARSEILLE : Il s'agissait d'un rendez-vous d'affaires - ayant sans doute quelques rapports avec la "voiture d'occasion"...
Le lieu de l'atterrissage est situé à deux kilomètres de Moussoulens, à 800 mètres de l'intersection formée par la RN 113, et à 8 km au Nord-Ouest de Carcassonne. La route forme à cet endroit un léger coude. D'autre part, la chaussée étant large de 5 à 6 mètres, on peut estimer l'envergure de l'engin a environ trois mètres.
- M. Rousseau est né le 20 septembre 1912.
Les gens du village connaissent bien l'histoire de l'atterrissage et, sans avoir d'opinion bien arrêtée sur le témoignage "Rouzeaud", jugent ce dernier "intelligent, honnête et... malin." A noter que ni les journaux, ni la gendarmerie n'ont eu vent de l'affaire.
Observations complémentaires:
(cf.: "M.O.C." de Aimé MICHEL - p. 84 à 86).
Le 22/9/1954 : vers 20 heures cigare des nuées, rouge, au-dessus de l'agglomération parisienne.
Le 23/9/1954 : observation: nocturne (après 0h) - témoins à bord d'un cargo : le disque faiblement lumineux de couleur rougeâtre - immobilité - aux jumelles: mouvements variés (rotation) et de temps en temps : reflets verts très vifs. Observations diurnes au Puy, et dans plusieurs villages des environs.
ENQUÊTE COMPLÉMENTAIRE DE Mrs TASET ET BAILLON
13 OCTOBRE 1968.- Le 13 octobre 1968, peu avant midi, nous sommes allés voir Monsieur ALARY à son domicile, 60 rue Jean Bringer à Carcassonne. On apprit ainsi que le fils de Mr Alary, directeur théâtral à Carcassonne avait effectivement mené son enquête personnelle à l'époque. Mr Allary a eu l'obligeance de téléphoner à son fils afin que je puisse enfin terminer l'enquête (fin 1967, j'avais écrit, en effet à Mr Alary, sans pour autant recevoir de réponse).
- Le directeur théâtral apparut très gêné lorsque j'ai abordé la question : feignant d'abord l'ignorance totale, il m'a ensuite avoué que cela se perdait dans la nuit des temps", pour enfin m'affirmer que le petit objet en question était un débris de mâchefer. Le laboratoire de Paris n'aurait d'ailleurs renvoyé que le résultat de l'analyse, gardant par devers lui le "caillou". D'autre part Monsieur Allary m'a fait part de la prudence qu'il fallait observer avant d'affirmer quoi que ce soit : il n'a voulu me donner aucune précision personnelle sur le "cas ROUZEAUD".
En guise de conclusion, voici ce que nous supposons, Jean-Claude et moi-même :
I) - Monsieur ROUZEAUD a été témoin de l'atterrissage d'un "O.V.N.I"; de même il a vu 2 petits êtres auprès de l'engin : les détails fournis par le témoin coïncident en effet avec ceux que les "ufologistes" connaissent de témoignages notamment postérieurs au 23 septembre 1954.
2) - On peut concevoir qu'ayant réellement vu quelque chose d'extraordinaire, le témoin a cherché un support matériel à son témoignage, cela étant, d'ailleurs un trait de caractère des paysans : je me souviens que lors de ma première visite, au domicile du témoin n'ayant trouvé que sa femme, celle-ci me dit pour introduire l'affaire "ah oui ! le petit engin qu'"ils" lui ont laissé dans l'herbe" : ceci semble bien prouver la forte impression que produisit à l'époque cet "additif" (artificiel ?).
La Capsule Temporelle de la Rencontre Rapprochée RR3 de Monsieur Marcellin Rouzeaud
En lieu et place des ovnis et de la théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la méthode de lecture traditionnelle reposant sur la symbologie des anciens pour les Cratophanies/Théophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.
Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.
Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.
La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.
Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.
Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé, aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.
Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).
Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.
Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?
Elle nous répond indirectement avec la Rencontre Rapprochée RR3 de Monsieur Marcellin Rouzeaud.
La synchronicité des mots et des imagesLa RR3, dont Monsieur Marcellin Rouzeaud a été le témoin, à 3h du matin ... reflète, en mode formel, les éléments constitutif du ciel astronomique de Moussoulens, le 23/09/1954, ... les indices constitutifs de cette représentation sont probants, comme :la date du 23/09/1954 marque le passage de l'équinoxe d'automne ;le départ à l'horizontal de l'engin comme une flèche vers vers le nord, ... évocation cartographique :la voie routière sur laquelle est posé l'engin, ... est un renvoi analogique à la voie lactée, ... à la carte du ciel astronomique ;la forme de l'engin ressemblant à une demi sphère/"petite meule de gerbes", de couleur bleu/vert/phosphore figure le rayonnement électromagnétique céleste, libre de planètes, des constellation du Cancer au Verseau, entre la Lune au 14° 00' du Lion et la planète Mars, à 13° 01' du Capricorne ;la petite sphère/châtaigne/couleur terre/brune/marron (couleur rouge marron de Mars) de mâchefer = résidu solide provenant principalement de la fusion de minerais ferreux, représente la planète Mars (à laquelle est rattachée le fer, ... qui lui donne sa couleur rouge par oxydation) ;la partie supérieure lisse/vernie de la petite sphère/châtaigne/marron de mâchefer représente la voûte céleste (Milieu du Ciel), et la partie brute le plan terrestre (Fond du Ciel) ;la Lune, à 6° 23' du signe de la Vierge (au 22 octobre 1954), correspondant à l'Ascendant de l'horizon Est, ... confirme l'intuition/interprétation de Monsieur Marcellin Rouzeaud du retour programmé, au cours de la Lune suivante (Lune suivante = mois suivant : "à la prochaine lune, à la même époque, on reviendra ici avec ça" ), d'une éphéméride astronomique équivalente à celle du 23 septembre 1954, ... à la date estimée du 22 octobre 1954/ou dans le délai de cette nouvelle lunaison ;le trois éléments associés par le personnage/ufonaute :1/Lune, 2/l'engin/petite meule/demi sphère céleste, 3/la petite sphère de mâchefer/Mars, ... qui pronostiquent, ... entre les deux dates du 23 septembre 1954 et du 22 octobre 1954, ... l'ouverture d'un portail ufologique/d'une porte induite, ... associé(e)s aux apparitions des ovnis, ... dans le secteur de Moussoulens (Aude), ... ce qui a été confirmé/vérifié avec certains témoignages ufologiques, en proximité de lieu et de temps :dans la nuit du 3 au 4 octobre 1954, avec un engin en forme de disque de 10 m de diamètre qui s'est posé dans un champ entre le village de Lagrasse et le Hameau de Villemagne (Aude, à environ 13/15 km de Moussoulens), [Source : Ovni, Premier dossier complet - Figuet/Ruchon - 1979], ...lorsqu'un témoin qui revenait de Castelnaudary, le 9 octobre 1954, à une dizaine de kilomètres de Carcasonne (soit très certainement sur la commune de Pezens, à environ 4 km de Moussoulens), vit sur la route une sphère métallique brillante avec deux silhouettes d'apparence humaine, debout à l'intérieur (Rencontre Rapprochée équivalente à celle dont Monsieur Marcellin Rouzeaud a été le témoin dans le secteur appelé "Le Pays de Cammas de Pezens"), [Source : Ovni, Premier dossier complet - Figuet/Ruchon - 1979], ...le 10 octobre 1954, à Cavanac (Aude, à environ 15 km de Moussoulens), avec le témoin qui revenait à motocyclette de son travail à Carcassonne observa un objet en forme ovale brillant, posé au milieu de la route. [Source : LDLN/Base Ovni France].La Porte du Ciel s'ouvre les nuits du destinEn conclusive, la RR3 de Moussoulens évoque prioritairement l'ouverture des portails multidimensionnels, ... chers aux occultistes et aux apprentis sorciers, adeptes des évocations/projections, des canalisations, impliquant les manifestations/apparitions/matérialisations des entités/esprits éthérées extraterrestres (anges ou démons), ... confirmant l’existence de pontifex astronomiques censés relier la sphère stellaire au globe terrestre, ... les allogènes aux terrestres.La Structure Nomade des Ovnis
Mise à jour de la carte au 31/05/2023
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
« Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »
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