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Ceux de l'Autre Monde
Par Bellator dans L'Apocalypse des Ovnis - Livre X - Les Cratophanies Célestes le 13 Novembre 2023 à 19:00« Il existe un autre monde, il est dans celui-ci. »
[Paul Éluard 1895-1952]
Ceux de l'Autre Monde
Bellator
Guillaume Chevallier
[Corseul (22) - Les Côtes du Nord/d'Armor - Bretagne - France - commune rurale peu ou très peu dense, au climat océanique franc - Habitants : 1 925 (46,1 hab/km2) en 1968 - 1 955 ( 46,8 hab/km2) en 1975 - 2 022 ( 48,4 hab/km2) en 1982 - 2 223 (53,3 hab/km2) en 2020 - Superficie : 41,74 km2]
Corseul (22)
Glorieux d'Corseu
D'or à trois fusées de gueules chargées chacune d'une moucheture d'hermine de sable, accompagnées de sept tourteaux de gueules, quatre rangés en chef et trois en pointe ordonnés 2 et 1.
Corseul (22) lieu-dit "Le Vauhesry" - Les Côtes du Nord/d'Armor - Bretagne -France - 12/04/1981 - entre 03 h 30 et 04h 00 - Enquête de J.L. Bochereau, Délégué Régional, et M. Huet - croquis montage de M. Philippe Planard - LDLN n° 213-214
RR2 de M. Jean-Claude Letort
Enquête de J.L. Bochereau, Délégué Régional, et M. Huet.
Corseul (Côtes du Nord)
(voir sur la couverture le croquis montage de M. Philippe Planard d'après photo du site
• Interprétation libre)
DATE ET HEURE : dans la nuit du 11 au 12 avril 1981 entre 3 h 30 et 4 h.
LIEU : sur la D. 794 au lieu-dit "Le Vauhesry" à proximité immédiate du village de Corseul (environ 2000 habitants, situé à 10 km de Dinan).
TEMOIN PRINCIPAL : Monsieur Jean-Claude LETORT, marié, trois enfants. Chauffeur routier de profession il est également animateur de bals de mariages. Habitant Corseul.
TEMOIN SECONDAIRE : Monsieur Jean-Paul BENOIT, marié, quatre enfants, profession soudeur. Habitant au lieu-dit "Le Vauhesry".
ENVIRONNEMENT :
Historique de Corseul (d'après A. Gauttier). La préhistoire et la protohistoire n'ont pas oublié Corseul comme l'ont prouvé les collectes de surface de haches en pierre polie et les urnes funéraires de la fontaine ST URIAC (450 avant J.C.) dont l'eau de qualité a toujours retenu les populations comme le montrent les différents niveaux de stèles et de croix retrouvés (actuellement, l'eau de cette source est utilisée en eau de table). L'âge de bronze avec ses haches et bracelets figure aussi à l'inventaire de Corseul, les haches de troc prémonnaies puis les statères Coriosolites.
C'est en 57 avant J.C. que l'alliance avec Rome, puis la conquête pacification des lésions apporte l'expansion urbaine de la cité des Coriosolites. Trois siècles d'occupation permettront l'expansion et la construction d'habitations, de monuments étonnants par leur ampleur et leur importance (temple de Mars, villa, lieux publics, thermes) ainsi que la mise en place d'une civilisation urbaine avancée alliant le raffinement des bijoux, des enduits peints et de l'art de la statuaire, aux preuves d'une urbanisation avancée, carrefour des voies vers ERQUY, ALETH, AVRANCHE, RENNES, VANNES,... réseaux d'égouts autour des voies urbaines bien quadrillées à angle droit.
Avec la décadence de l'empire romain, l'invasion des nordiques, Corseul, nœud routier, capitale des Coriosolites sombre alors dans l'oubli (400 après J.C.). C'est vers le Xlème siècle qu'avec Geffroi 1er de la maison de Dinan que réapparaît le nom de Corseul avec le castellum de Montafilan et vers 1200 avec Rolland 1er, la construction du château de Montafilan dont les ruines imposantes dominent la vallée de la rivière du même nom sous le pont de Cambeuf aux consonances historiques.
Plus prosaïquement, nous ajouterons la présence d'une carrière, d'une ligne électrique de 20 kv, d'une dérivation de cette ligne qui aboutit à un petit transformateur situé à proximité de la maison de Mr Benoit, enfin l'usine d'embouteillage de l'eau de la source St-Uriac.
RÉCIT DE L'OBSERVATION :
Mr LETORT, après avoir animé un bal de mariage rentrait chez lui de Dinan vers Corseul.
Dans le haut de la côte du lieu-dit "Le Paradis", il aperçut une lumière qui, au fur et à mesure de sa progression, lui semblait devenir rapidement plus grosse. Arrivé à proximité de la masse lumineuse la brillance était telle qu'elle l'a obligé à s'arrêter, puis pris de panique, à faire marche-arrière jusqu'au lieu-dit "Le Vauhesry" et à se réfugier chez Mr Benoit.
Q. — Dans quelles circonstances avez-vous été amené à faire cette observation ?
R. — Je revenais de faire un bal, j'ai aperçu une grosse lumière, et plus j'avançais, plus j'avançais, elle devenait de plus en plus grosse. Arrivé à proximité j'ai été obligé de m'arrêter, à ce moment, j'ai pris peur et j'ai passé la marche-arrière.
J'ai reculé et pris la première petite route à droite pour aller réveiller... je ne sais pas qui d'ailleurs. A la première maison, j'ai frappé à la porte. J'ai donc réveillé Mr Benoit, il a d'abord eu du mal à me croire, puis au bout de 10 à 15 minutes je l'ai quand même décidé à me ramener parce que sinon je ne serais jamais rentré tout seul. Lorsque nous sommes passés devant l'endroit, nous n'avons strictement rien vu.
Q. — La masse lumineuse se déplaçait-elle ?
R. — Non, elle est restée tout le temps sur le fossé là où je l'ai vue au début.
Q. — La masse lumineuse ne bloquait pas le passage ?
R. — Non, mais la lumière était telle que je ne pouvais pas passer.
— Quel temps faisait-il ?
R. - Bonne visibilité, pas de pluie ni de brouillard.
Q. — A combien estimez-vous la distance entre vous et la masse lumineuse en début d'observation ?
R. — Environ 300 mètres.
Q.— Et lorsque vous vous êtes arrêté
R.— Environ 15 mètres.
Q. — Quelle était sa forme, sa couleur et y avait-il des pulsations, des projections lumineuses ?
R. — C'était une lumière fixe très brillante, j'en prenais plein la figure. C'était rond et plutôt rouge.
Q.— Pouvez-vous me donner d'autres précisions ?
R.— Non, c'était trop brillant, je n'ai pas vu grand-chose.
Q. — Quelle était la taille de la masse lumineuse ?
R. — C'est difficile à dire, environ la taille d'une petite voiture sans permis.
Q. — Avez-vous ressenti quelque chose pendant l'observation, chaleur par ex.
R. — Non, en dehors d'un fort éblouissement.
Q. — Et par la suite ?
R. — J'ai mis toute la journée du lendemain à m'en remettre mais c'était dû à la peur car j'ai vraiment paniqué !
Q. — Avez-vous eu des problèmes avec votre montre, avec votre voiture (504 diésel) ?
R. — Non, aucun.
Q. — Y a-t-il eu un changement de forme pendant l'observation ?
R. — Pendant que j'approchais, la masse lumineuse augmentait de volume mais ça n'était pas dû uniquement au rapprochement. Elle a, au moins, doublé de volume.
Q. — Avez-vous entendu du bruit ?
R. — Non, aucun.
Q. — Vous intéressiez-vous au phénomène ovni ?
R. — Non, cela m'était indifférent, mais maintenant...
QUESTIONNAIRE RELATIF AU TÉMOIN SECONDAIRE, Mr BENOIT.
Q. — A quelle date Mr Letort est-il venu frapper à votre porte ?
R. — Dans la nuit du 11 au 12 avril vers 3 h 30 du matin. J'ai été réveillé par une série de coups à ma porte et j'ai ouvert à J.C. Letort, une personne que je connais bien, (relation de voisinage).
Q. — Que voulait-il ?
R. — Il m'a dit :
"j'ai été attaqué !".
Je lui ai demandé par qui et il m'a répondu :
"par personne, c'est un truc, une masse lumineuse, je ne sais pas... Je descendais de Dinan et la lumière venait vers moi, quand je ralentissais, la lumière ralentissait, dès que j'accélérais elle venait plus vite vers moi et puis à un moment, j'ai été bloqué. J'ai éteint mes phares et je suis venu en marche arrière jusqu'ici".
Il était tout perdu, il pleurait et était appuyé au mur de ma maison, tout juste s'il tenait encore debout. Nous sommes allés ensemble autour de la maison voir s'il y avait quelque chose. Nous n'avons rien vu et au bout d'une demi-heure environ je l'ai raccompagné chez lui.
Q. — Avait-il l'air ivre ?
R. — Non, du tout. Il était bien à jeun, je suis formel !
Q. — Dormiez-vous profondément lorsqu'il a frappé à votre porte ?
R. — Ah oui, certainement !
Q. — Vos trois chiens n'ont pas hurlé ?
R. — Non, je n'ai rien entendu.
Q. — Mr Letort parlait-il avec cohérence ?
R. — Non, il était perdu et si je ne l'avais pas raccompagné, il serait resté à coucher dans sa voiture.
Q. — Comment l'avez-vous raccompagné ?
R. — Moi dans ma voiture et lui dans la sienne, derrière moi. Nous roulions à 40 km/h, nous n'avons rien vu. Mais, le lendemain J.C. Letort est revenu avec sa femme sur les lieux.
Q. — Avez-vous d'autres précisions à apporter ?
R. — Ce matin là, la lune était au plein, on l'a bien vue et il est impossible qu'il l'ait confondue avec ce qu'il a vu. Je l'ai cru parce que je le connais. Il était très affolé et lorsqu'il a frappé à ma porte, j'ai bien cru qu'il allait me la casser !
REMARQUES SUR QUELQUES POINTS PARTICULIERS.
— Les chiens : Mr Benoit possède deux bergers allemands qui, selon lui, auraient dû aboyer s'ils avaient vu ou entendu quelque chose, or ceux-ci n'ont réagi ni à la présence du phénomène ni aux coups assénés sur la porte par Mr Letort. Il est possible d'admettre que les chiens aient été effectivement alertés de la présence du phénomène et s'en soient effrayés, ce qui expliquerait leur manque de réaction (ce ne serait pas la première fois). D'autre part, ce manque de réaction des chiens permet d'exclure la présence de quelque personne, rôdeur ou autre, dans les environ (distance maison-phénomène : 50 m).
— Phénomène : Il semblerait que le phénomène ait effectivement doublé de volume, le témoin est formel sur ce point, ce n'était pas dû uniquement au raccourcissement de la distance. Le témoin connaît bien la route, les distances évaluées sont correctes et ont été vérifiées sur le terrain en sa compagnie. La couleur donnée est le rouge ce qui a fait croire à Mr Letort, pendant quelques instants, qu'il s'agissait du soleil levant : impossible puisque la direction d'observation est le N.O. difficulté à donner une taille précise étant donné la forte luminosité du phénomène et la panique du témoin. Les environs ont été examinés, aucune trace, ne serait-ce que banale n'a été trouvée. L'aiguille de la boussole, placée en différents endroits, n'a pas enregistré de variations.
— Témoin : Mr Letort est une personne adulte ni plus ni moins impressionnable qu'une autre, il est habitué à circuler seul et fort tard. Aurait-il paniqué en apercevant les phares d'un tracteur (phares rouges, 3 h 30 du matin ?), d'une voiture placée, dans ce cas, fort curieusement sur un talus de trois mètres de haut ?
Nous l'avons vu, il est impossible de mettre son observation sur le compte du soleil ou de la lune, idem pour un avion ou un hélicoptère. L'effet corona est à exclure, la ligne de 20 kv étant trop éloignée, la foudre en boule improbable (le temps n'était pas à l'orage). En admettant même l'une de ces hypothèses, on imagine mal le témoin s'en effrayer, paniquer et se réfugier en pleurant chez le premier venu.
Nous avons même appris par Mr Benoit que le témoin (qui n'en avait pas parlé lors de l'enquête, oubli ou peur du ridicule ?) face au phénomène, avait volontairement éteint ses phares de sa voiture comme pour chercher à se dissimuler.
Mrs Letort et Benoit se connaissent mais n'en sont pas pour autant amis intimes, d'ailleurs Mr Letort, dans son affolement cette nuit là ne savait pas chez qui il se rendait. Les deux personnes ont été interrogées séparément.
CONCLUSION
Outre la richesse historique et archéologique de Corseul, de nombreuses conditions se trouvaient réunies pour faire de ce site le théâtre d'une observation d'ovni. On retrouve en effet le schéma classique propre à de nombreux autres cas :
— Environnement source, ligne électrique, endroit relativement isolé.
— Phénomène de forme sphérique, d'intense luminosité et dont l'attitude à la fois ostentatoire et élusive va dans le sens des observations habituelles.
— Témoin étonnement, curiosité puis peur tournant à la panique face à quelque chose qu'il ne s'explique pas. État de nervosité et d'anxiété le lendemain de son observation, ce qui ne l'empêcher d’ailleurs pas de retourner sur les lieux en compagnie de sa femme comme pour y chercher une explication.
Devant ces faits et la bonne foi évidente des deux personnes interrogées, il est difficile de ne pas croire à la présence d'un ovni cette nuit là dans les environs immédiats de Corseul.
RR1 : Rencontre Rapprochée du premier Type
Apparition surnaturelle atmosphérique
RR2 : Rencontre Rapprochée du deuxième Type
Apparition surnaturelle terrestre
RR3 : Rencontre Rapprochée du troisième Type
Rencontre avec des surnaturels
RR4 : Rencontre Rapprochée du quatrième Type
Emprise des surnaturels
RR5 : Rencontre Rapprochée du cinquième Type
Échange avec les surnaturels
RR6 : Rencontre Rapprochée du Sixième Type
Prédation des surnaturels
RR7 : Rencontre Rapprochée du Septième Type
Hybridation avec les surnaturels
Les Capsules Temporelles
Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005].
Les ovnis nous révéleraient ainsi notre futur - aux rencontres rapprochées des 2 lignes du temps de l'anti-monde et de notre monde - et représenteraient des capsules temporelles ... la fonctionnalité des capsules temporelles est de témoigner et de de transmettre leurs précieux rouleaux à l'abri de l'action du temps ... [cf. Les ovnis : laboratoire du futur - Michel Picard - 2002].
La Pataphysique
Selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), la pataphysique, dont il est l'inventeur, est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.
Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes.
M. Devenne [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)], initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a crut discerner dans les récits des soucoupes volantes de la vague de 1954 la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll :
... l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.
Ainsi, les rencontres approchées (RR1, RR2, RR3, RR4) ufologiques représenteraient des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles élaborées, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le parchemin enluminé/phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites, formulé de manière symbolique.
La Communication du langage universel
Suivant la tradition de la Société Angélique, la représentation symbolique permet cette vision/perception et sert d'interface dynamique qui nous relie aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).
Le langage universel des signes-symboles est compréhensible ou accessible à tous, malheureusement peu en sont familiers, et sont associés, par nos contemporains agnostiques, à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux.
Malgré tout, le Noble-Art de la Symbologie est assimilé, sinon consciemment (directement), toujours subconsciemment et/ou supconsciemment (indirectement), de par son écriture sophistiquée (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) qui induit l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant et favorisant ainsi la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, d'une épiphanie, d'une manifestation et d'une apparition perçue comme transcendante et supranaturelle.
En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.
Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.
La Capsule Temporelle de la RR2 de Monsieur Jean-Claude Letort
Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.
La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.
Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.
Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, à travers une représentation d'un discours figuratif et imagé, aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.
Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).
Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.
Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?
Elle nous répond indirectement avec la RR2 de Monsieur Jean-Claude Letort
LDLN n° 213-214
La synchronicité des mots et des images
La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.
Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ... sont les théophanies des anciens.
Nous effectuons dans notre existence des rencontres cruciales qui déterminent ou orientent le cours de notre avenir, ou nous influencent en changeant parfois radicalement nos choix de vie, ... de telles remises en question se produisent également lors des rencontres rapprochées surnaturelles équivalentes à celle vécue par Monsieur Jean-Claude Letort dans la nuit du 11 au 12 avril 1981, entre 3 h 30 et 4 h, ... ce qui semble être l'objectif recherché par l'intelligence qui lui barre la route ... les indices de cette ingérence volontaire destinée exclusivement au témoin sont pluriels :
le déplacement/comportement de la lumière/masse lumineuse se calque sur celui de Mr Letort, il avance/elle avance, il s'arrête/elle s'arrête ... les 2 chiens Bergers Allemands Mr Benoit sont comme neutraliés ou contrôlés, Mr Benoit ou toute autre personne n'a rien observé ;
la lumière/masse lumineuse s'interpose lorsque Mr Letort veut regagner Corseul (où il réside) ;
Corseul, dans la langue volatile des oiseaux s'entend, corps-seul ... ce sens allusif s'adresse à Mr Letort pour lui signifier :
... que son existence ne se limite pas uniquement au plan physique (Mr Letort, marié, chef de famille, père de 3 enfants, assume de front un double emploi, chauffeur routier et animateur de spectacles, ce qui ne lui laisse probablement pas beaucoup de de temps libre à consacrer, en propre, à son développement individuel et personnel) ...
... et qu'il devrait songer à ne pas négliger son élévation dans la sphère métaphysique, dont la masse lumineuse ronde de couleur rouge est la représentation = sphère céleste et feu spirituelle ;
la lumière/masse lumineuse sphérique de couleur feu augmente de volume, au moins du double, révélant ainsi au témoin sa nécessité impérieuse de s'équilibrer en comblant son déficit spirituel (Jean = Yahvé fait grâce - Claude = le boiteux, Letort = ce qui est de travers) ;
cette lumière/masse lumineuse sphérique de couleur feu a une origine céleste : elle apparait dans le haut de la côte du lieu-dit "Le Paradis" ;
la nature de cette lumière sphérique de couleur feu est divine/angélique, comme nous le confirme les prénoms de Mr Letort :
Jean = Yahvé fait grâce (à) Claude = le boiteux, ... cette infirmité est le rappel de la blessure du patriarche Jacob qui boitait, après son face-à-face avec un être divin, au gué (au lieu-dit "Le Vauhesry" = Vau = gué de la maison du roi = du ciel = le Christ) du Yabboq/Penuel (= j'ai vu un être divin face à face, et ma vie est préservée), car il dit : « j'ai vu Dieu face à face et j'ai eu la vie sauve », ... cette blessure (comme celle de Saint Roch) renvoie à la peine/nostalgie (Mr Letort = s'effondre en larmes au Vauhesry) résultante du souvenir d'une rencontre rapprochée avec l'ineffable ;
Mr Letort est effectivement sauvé en arrivant au lieu-dit "Le Vauhesry" (au gué de la maison du roi = du ciel = le Christ) par Mr Jean-Paul = Yahvé fait grâce (au) Petit/faible/humble = Benoit = béni par Dieu ... « j'ai vu Dieu face à face et j'ai eu la vie sauve » /« Sûrement Dieu est présent ici et je ne le sais pas. » et il était effrayé et dit : « Il n’y a rien que la maison de Dieu et ceci est la porte du ciel. » Livre de la Genèse (28:11-19/32-31) ;
Corseul est la capitale des Coriosolites = l'armée, la troupe, et Corseul = les troupes qui veillent, ... font références aux Saints Veilleurs qui sont des anges qui règnent au ciel.
En résumé, cette cratophanie, en ce dimanche 12 avril 1981, jour de la fête des Rameaux, des Palmes et de la Passion du Christ a contraint physiquement Mr Jean-Claude Letort à faire machine arrière, la suite lui incombait, faire de même dans sa vie spirituelle personnelle, effectuer sa métanoïa, en se retournant vers Dieu, et rejoindre pour le salut et la résurrection de son âme le foyer, la maison, l'église universelle, "Le Vauhesry" (le gué de la maison du roi = du ciel = le Christ) de Benoit = béni par Dieu.
Les Capsules Temporelles
Losange des Anges
Le Bouclier Ardent
Le Bâton (échelle) de Jacob
Encodage stellaire de l'ouverture du nouveau cycle de l'année théurgique, à compter de la pleine lune de l'équinoxe de printemps, annonçant la Pâques, de la résurrection, de l'ascension, et de la pentecôte, dont les 4 décans du Signe de Jonas renvoient au Signe de 4 du Tétramorphe (figuré par la Croix rouge en bannière).
La Couronne Solaire
La Structure Nomade des Ovnis
Mise à jour de la carte au 31/05/2023
Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go
Apocalypse des Ovnis - Livre VII
« Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »
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