• Les Ailés

     

     

     

    « Les étoiles sont l'alphabet des dieux. »

    [La Compagnie des Rois Mages]

     

    « Il y a trois types d'individus les Prédateurs, les Proies et les Protecteurs.»

    [American Sniper - 2015]

     

    Les Ailés

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

     La Croix Ferrée

     

    Laulne (50) - 05/01/1975 - vers 19 h

     

    [Laulne/habitants : 235 (25.9 hab/km2) en 1968 - 200 (22.1 hab/km2) en 1975 - 193 (21.3 hab/km2) en 2020 - Commune rurale peu ou très peu dense - Superficie : 9.06 km2 - Climat océanique franc]

     

     

    Mise à jour de la carte au 12/08/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

     

    Laulne (50)

    la Seigneurie du Roi des Aulnes

     

    • D'argent à six feuilles de chêne de sinople, posées 3, 2 et 1.

     

     

    Trace en forme de Fer à Cheval et Triangle au sol

     

    5 janvier 1975, Laulne (50), à " La Dignerie ", Yvon Vildier, 12 ans, sort vers 19 heures dans la cour pour uriner en allumant la lumière extérieure. Il voit alors à 120 m de la maison dans un champ, un engin bizarre : il n'en voit que le dôme percé d'un hublot jaune brillant, le reste étant caché par une haie. Il est frappé de stupeur et quelques secondes après l'objet s'est élevé en tournoyant jusqu'à 100 m de haut à la verticale. Il semblait être composé de 3 ou 4 étages, et il y avait dans la partie supérieure 5 hublots de la grosseur d'un bol. Trois pieds de 50 cm de haut semblaient être reliés au centre de la base pour former une assise et sont rentrés dans l'engin lors du départ. Il estime la grandeur à 15 m sur 3 m, de forme ovale. Sans les pieds la hauteur pouvait être de 4 m. Il est parti sur la gauche à grande vitesse. Durée de l'observation : 30 secondes. L'enfant est rentré commotionné, ne pouvant dire un mot tellement il a eu peur. Traces en forme de " U " et trois trous en Triangle au sol avec analyses effectuées. 01 Témoin Direct & plusieurs Indirects : Source : LDLN N°1 46 p. 6 à 10.

     

     

     

    7 JANVIER 1975 ATTERRISSAGE, TRACES ET ANALYSES

    Procès-verbal, enquête préliminaire, gendarmerie nationale, groupement de la Manche, compagnie de Coutance, brigade de Lessay.

    Le 7 janvier 1975, à 8 heures, une observation d'objet volant non identifié nous est rapportée verbalement. Ce phénomène se serait produit à Laulne, département 50, au lieu-dit La Dignerie, nous gendarmes O ... et B. .. nous nous transportons sur les lieux.

    Situation à l'arrivée des enquêteurs

    A notre arrivée nous sommes accueillis par le témoin oculaire du phénomène, le jeune V ... Yvon, douze ans et par ses parents. Yvon nous déclare que dimanche soir, vers 19 heures, alors qu'il se trouvait sur le pas de la porte de son domicile, il a remarqué posé dans le champ situé face à lui un objet de forme bizarre qui a décollé pour s'éloigner rapidement. Il décrit l'objet comme ressemblant à une soucoupe volante. Des traces suspectes sont visibles dans le champ où l'OVNI a atterri. Aucune modification n'aurait été apportée au lieu.


    Mesures prises, immédiatement

    Nous rendons compte à notre commandant de brigade qui informe sans délais notre commandant de compagnie à Coutance. Nous demandons le concours des spécialistes de la brigade des recherches afin d'effectuer des prises de vues photographiques et des moulages d'empreintes. A 10 heures, le capitaine et les gendarmes nous rejoignent sur les lieux.

    État des lieux

    Le lieu d'observation de l'engin se situe à Laulne, au lieu-dit La Dignerie, l'endroit est délimité par les chemins départementaux 530, 430 E, 430 El, 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d'atterrissage, il faut partir du chemin départemental 530, emprunter une voie sans issue. Le champ à usage de prairie a une surface de 8 000 mètres carrés environ et mesure entre 13 et 14 mètres de large et 50 à 60 mètres de long. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure orientée au nord-ouest, il est entouré d'une haie d'arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 mètres. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage. Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 mètres de la haie nord et 22,80 mètres de la haie est. A cet endroit, l'herbe est couchée vers le bas du champ et donne l'impression d'avoir supporté une masse quelconque. Nous remarquons tout d'abord une trace en forme de « U» dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U » dont l'ouverture est orientée vers le sud-est a le contour délimité par une traînée noirâtre huileuse de un centimètre de large dont l'odeur rappellerait le pétrole ou un dérivé. Sur le côté droit du «U », si nous nous plaçons du côté opposé à l'ouverture, la traînée s'élargit pour former une bande de 13 centimètres de large sur 1,15 mètre de long. Au fond du creux nous constatons la présence d'herbe qui a été écrasée par la masse qui a pris appui en ce lieu. Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur du « U ». Au centre de celui-ci trois trous sont disposés en triangle quelconque. Ceux-ci sont de forme et de profondeur semblables, leur fond est plat et les angles légèrement arrondis. Nous remarquons également une coloration noire autour de ces trous qui peuvent être assimilés aux empreintes de pieds observées par le jeune V ... L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos constatations, aucun changement dans sa coloration n'est intervenu. La couche superficielle de la terre arable, argileuse, semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d'avoir été dégagés par l'engin. Aucune trace que celle précédemment décrite n'a été relevée dans le champ.

    Enquête

    Les auditions du jeune V ... Yvon font l'objet des procès-verbaux d'audition joints. Il est à noter que celui-ci n'a jamais changé de version bien que nous l'ayons interrogé plusieurs fois en tentant de l'induire en erreur. Il a fourni les mêmes éléments aux nombreuses personnes qui sont venues le voir intéressées par son observation. Des renseignements recueillis tant auprès des gens le connaissant qu'auprès du directeur du C.E.G. qu'il fréquente, il passe pour un garçon équilibré. Dans cette école, nous n'avons pas pu entendre son professeur principal, celui-ci étant en congé de longue maladie. Nous avons appris que l'année dernière il avait été fait allusion aux OVNI sans qu'aucune étude particulière ne soit entreprise sur le sujet, le jeune V ... avait été intéressé mais sans plus. Il nous a également été signalé qu'il n'avait pas cherché à tirer une popularité de son observation et qu'il était resté assez discret. Aucun changement notoire dans son comportement n'a été remarqué.

    Renseignements divers, vérifications effectuées

    Des échantillons de terre prélevés sur les traces et à 20 mètres de distance pour servir de prélèvements témoins ont été effectués. Aucun laboratoire local n'étant à même d'effectuer l'analyse de ceux-ci et en l'absence de toute directive particulière, nous avons confié une partie de ces prélèvements à M. L ... , pharmacien possédant un laboratoire qui a accepté bénévolement le travail. Son rapport d'analyse est joint en annexe de la présente pièce. M. L ... nous a montré l'éprouvette dans laquelle il a réussi à isoler un liquide pouvant être soit du kerdanne soit du kérosène, l'odeur se dégageant du récipient est très caractéristique de ces deux produits. Une analyse distincte a été demandée par M L. .. , membre de L’Association « Lumières dans la nuit », qui s'est engagé à nous communiquer le résultat de celle-ci dès qu'elle reviendrait des laboratoires de Paris. A ce jour, les résultats ne sont pas encore parvenus à sa connaissance. Des vérifications ont également été faites auprès des services de l'E.D.F afin de savoir si des perturbations électriques, courts-circuits ou autres anomalies ne s'étaient pas produites sur le réseau dans la soirée du 5 janvier 1975. La réponse a été négative, Auprès de l'aérodrome de Lessay, pour connaître les mouvements des aéronefs enregistrés le 5 janvier vers 19 heures, aucun décollage ou atterrissage ou survol n'est signalé dans ce moment-là. Auprès de la population voisine du lieu d'atterrissage qui n'a constaté aucune perturbation radio ou électrique, dans le champ et la maison du jeune V ... pour vérifier si l'observation telle qu'il nous l'a décrite est possible. De nos constatations, il ressort qu'il y a compatibilité entre l'état des lieux et les faits relatés. Les conditions atmosphériques du 5 janvier 1975 étaient les suivantes : ciel légèrement couvert avec crachins intermittents. L'observation de l'OVNI relatée par la presse avec plus ou moins d'affabulations a suscité peu d'intérêt parmi la population qui a commenté celle-ci avec amusement en général. Seuls quelques membres représentant « Lumières dans la nuit» ont paru intéressés par le phénomène. Clôture du procès-verbal le 27 janvier 1975.

    Copie du rapport d'analyse, laboratoire d'analyses médicales n" 1669. A. L. . , pharmacien (de Caen - 14, en réalité membre discret du C.N.R./NdT).

    Analyse n" 750060, examen de prélèvement de terre, sol d'herbage en deux échantillons remis par la gendarmerie de Lessay. Premier échantillon-témoin: petite motte épaisse de 6 centimètres enveloppée dans du papier journal, végétation saisonnière d'apparence normale, brins d'herbe bien verts présentant un très faible pourcentage d'éléments secs. Nature de la terre: argileuse, odeur du musc: très franc, mesure du pH égale 6, le papier d'emballage ne dégage aucune odeur, brûle franchement malgré quelques taches d'humidité. Quelques parcelles de cet échantillon ont fait l'objet de manipulations sommaires analogues à celles entreprises sur l'échantillon suivant.

    2. Échantillon suspect: épaisseur de la motte: 6 à 7 centimètres, même emballage que le précédent mais beaucoup plus humidifié, la végétation également abondante a été foulée, une bonne moitié des brins d'herbe présente une couleur jaunie, desséchée, l'ensemble une odeur très nette d'hydrocarbure, le pH de cet échantillon égale 6 comme l'échantillon-témoin. La terre a été, comme celle du témoin d'ailleurs, et séparément, transformée en bouillie claire au mortier avec une quantité triple d'eau bi-distillée. Après un séjour de vingt-quatre heures nous avons décanté le liquide surnageant la sédimentation. Ce liquide a été placé dans une ampoule à décantation de fine allonge. Nouveau séjour de vingt-quatre heures environ, après addition de quelques gouttes de lugol fort employé comme colorant sélectif, nous avons pu faire les remarques sommaires que voici : échantillon-témoin: aucun liquide surnageant et de couleur différente n'a été décelé. Échantillon suspect: on note une très faible quantité de liquide nettement séparé à forte dose de pétrole et laissant sur papier bulle des taches graisseuses. Sans qu'il nous soit possible de déterminer la nature exacte de cet hydrocarbure, nous pouvons indiquer qu'il dégage une odeur se rapprochant du kerdane, de l'essence de pétrole ou du kérosène. A noter que le liquide sous-jacent obtenu après séparation ne dégage qu'une légère odeur d'iode provenant du lugol comme d'ailleurs l'extrait de l'échantillon-témoin et aucune odeur étrangère.

    Le papier d'emballage de l'échantillon n" 2 brûle avec une flamme plus fuligineuse que celle de l'emballage du témoin et son résidu est plus compact et plus important. A Lessay, le 17 janvier 1975.

    Procès-verbal d'audition de V ••• Yvon, douze ans, écolier.

    Dimanche 5 janvier 1975 vers 19 heures, je regardais la télévision avec mes parents sur la première chaîne, je suis sorti dans la cour. Pour ce faire j'ai allumé la lumière extérieure. Alors que j'arrivais dans l'embrasure de la porte, j'ai aperçu un engin de forme bizarre qui était posé dans un champ à 120 mètres environ de la maison. A ce moment-là je n'ai vu qu'un dôme percé d'un hublot de couleur jaune brillant, le reste de l'appareil étant caché par une haie. J'ai été frappé de stupeur. Quelques secondes après l'objet s'est élevé dans les airs en tournoyant jusqu'à une altitude de 100 à 150 mètres à la verticale de son point de stationnement. C'est à ce moment-là que j'ai aperçu la forme complète de l'engin, dont voici la description: trois ou quatre étages dont celui composant la partie supérieure était percé de cinq hublots qui m'ont semblé être de la grosseur d'un bol pour donner une échelle. Trois pieds de 50 centimètres de haut qui semblaient reliés au centre de la base de l'engin et qui s'écartaient pour former une assise au sol. La plus grande largeur de l'engin pouvait être de 15 mètres et la plus petite de 3 mètres. Lorsqu'il a commencé à tournoyer je me suis rendu compte qu'il était de forme ovale. La hauteur totale sans les pieds pourrait être de 4 mètres. Le tour de l'appareil était lumineux et la masse était de couleur marron grb. La couleur n'a changé à aucun moment, seul le hublot supérieur s'est éteint. Je n'ai perçu aucun bruit tout au long de mon observation qui a duré trente secondes. Je n'ai rien ressenti, aucun effet de chaleur ou de souffle, je n'ai aperçu aucun signe de vie à proximité. Lorsque l'engin a eu terminé son ascension il est parti sur la gauche à grande vitesse en s'élevant légèrement et en continuant à tourner sur lui-même. Je n'ai pas pu le suivre longtemps car il a été caché par le toit d'une dépendance. Je précise que lorsque l'objet a été en l'air et avant de s'éloigner, deux trappes, qui étaient en dessous, se sont ouvertes comme pour les trains d'atterrissage d'avion et les pied sont rentrés en se pliant. Je n'ai pas remarqué d'antennes. Une fois mon observation terminée j'ai poussé un cri qui a alerté mes parents.

    Cependant lorsqu'ils sont venus sur le pas de la porte, l'engin avait disparu. C'est tout ce que je peux vous dire.

    Le 7 janvier 1975, 17 h 50.

    15 janvier 1975, nouvelle audition de V .•• Yvon, douze ans, qui déclare :

    Je ne vois aucune précision à vous fournir quant à la description de l'objet que j'ai faite dans ma déclaration du janvier 1975. Je m'intéresse à ce qui a un rapport avec la science et je suis désormais particulièrement attiré par les objets volants mystérieux.

     

     

     Le Blason du Blason

     

     

    Vue générale de la Trace en Forme de " U ", au centre l'herbe couchée.

    Enquête de M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE

    LDLN N° 146

    https://archive.org/details/LDLN_lumieres_dans_la_nuit_pdf_collection/LDLN%20-%20No%20146/page/n3/mode/2up

     Vue générale des Traces en forme de " U ", Yvon Vildier marqué d'une Croix.

    Vue prise de l’endroit où se trouvait le jeune Vildier lors de son observation. Derrière la haie, emplacement de l’objet, à 120 m.

     

     

     Laulne, près de Lessay (Manche) le 5-1-1975


    par M. Y. TOUROUL-CHEVALERIE (Enquêteur n° 1422)

    (Extrait)

    Lieu de l’observation : Le lieu de l'observation de l'engin se situe à Laulne, près de Lessay (50), au lieu-dit « La Dignerie ». L’endroit est délimité par les CD 530, 430 E, 430 E 3. 197. Pour accéder au champ dans lequel est visible le point d’atterrissage il faut, à partir du CD 530 emprunter une voie sans issue (rue de la « Dignerie »), qui mène au domicile des Vildier et suivre sur une centaine de mètres le chemin communal dit rue des Juscries, qui est presque impraticable par temps de pluie.


    Le champ, à usage de prairie, a une surface de 8.000 m2 environ et mesure entre 13 et 14 m de largeur et de 50 à 60 m de longueur. Il est légèrement en pente, sa partie supérieure, orientée au N-O. Il est entouré de haies d’arbres d'une hauteur moyenne de 6 à 7 m. Deux barrières permettent d'entrer dans cet herbage : l'une au N-O, l'autre au N-E. Des vaches sont parquées dans la partie supérieure pendant la journée mais sont rentrées à l'étable la nuit.


    Elles sont retenues par une clôture électrique et n’ont pas divagué dans la partie inférieure, dont l’herbe est foulée uniquement à l’endroit où ont été relevées les traces. Il est à noter que le propriétaire des bovins accède à ce champ par la partie supérieure.


    Les traces sont visibles dans la partie inférieure du champ à 6,70 m de la haie N et 22,80 m de la haie E. A cet endroit l'herbe était couchée vers le bas du champ. On a l’impression que quelque chose a été posé dessus.

    On distingue tout d’abord une trace en forme de « U » dont les côtés seraient légèrement incurvés. Ce « U », dont l'ouverture est orientée vers le S-E, a le contour délimité par une traînée noirâtre, huileuse, de 1 cm de large et porte une forte odeur de pétrole ou d’un dérivé. Sur le côté droit de l’« U », en se plaçant au bas de l’« U », la traînée s'élargit pour former une bande de 0,13 m de large sur 1,15 m de long.


    A l'extérieur de cette limite, sur le côté droit, une empreinte est visible sur le sol. Sa forme est légèrement arrondie et sa profondeur dans le sol est de 0,03 m.


    Au fond de ce creux on voit des brins d’herbe qui semblent avoir été écrasés par la masse qui a provoqué la dépression.

    Deux traces identiques sont relevées sur le bord intérieur de l’« U ».

    Au centre de celui-ci, trois trous sont disposés en un triangle irrégulier. Ces trous sont de forme et de profondeur semblables. Leur fond est plat et les angles légèrement arrondis (voir croquis).

    On remarque aussi une coloration noire autour de ces trous, qui peuvent être assimilés aux empreintes des pieds observées par le jeune Vildier.


    L'herbe ne paraît pas brûlée et plusieurs jours après nos premières constatations aucun changement n’est intervenu. La couche superficielle de la terre arable (argileuse) semble n'avoir subi aucune transformation due à la chaleur ou à la présence de corps chimiques susceptibles d’avoir été dégagés par l’engin.


    Aucune autre trace que celles précédemment décrites n’a été relevée dans le champ.

     

    Le Limes

     

    Le Blason des Stellaires

     

    Selon les Membres de la Confrérie des Sages du Nord, les anciens nous ont transmis leurs connaissances sur les portails multidimensionnels, qu'ils nommaient les portes induites des stellaires, en les encodant sur les normes géométriques qui structurent l'architecture des blasons qui décorent traditionnellement les écus d'armes, dont la base géométrique est triangulaire, les transformant ainsi, en carte du ciel, où les anges sont devenus des étoiles et les dieux des planètes.

     

     

    Il semblerait bien que ces anges et ces dieux stellaires ne nous ont pas oubliés, et qu'ils nous visitent régulièrement avec leurs vaisseaux volants non-identifiés, que l'on confond régulièrement avec des ovnis, en nous signalant, parfois, leur passage par de mystérieuses traces qu'ils impriment dans la Luzerne, et que l'on a fini, avec le temps, par identifier à des agroglyphes porteurs de sens, et d'épiphanies.

     

    L'Astrolabe

     

    Les Visiteurs du Soir

     

     

    Les Arcs en Ciel

     

     L'épiphanie, au soir du 05 Janvier 1975 à Laulne (50), apparaît en transposant le dessin et ses repaires, tracés au sol par la soucoupe volante vue par Yvon Vildier, sur la carte du ciel, à la géolocalisation du lieu et à l'heure de sa cratophanie.

     

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    Les Messagers

     

     La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.

    Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ...  sont les théophanies des anciens.

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global, tels la toponymie ou les noms des témoins.

     

    Laulne renvoie au royaume des ombres et des anges du brouillard.

    Yvon = If la devise (balise) qui borne en sentinelle l'accès à l'Autre-Monde.

    Vildier = Ville-Dieu, celui qui est de la Ville de Dieu.

    Le chemin communal dit rue des Juscries = les Cris des Justes = Jésus-Christ.

    Le 05 janvier 1975 est le dimanche de la fête de l'Épiphanie signifiant une manifestation ou apparition de la lumière verbe, du soleil/Christ dont la forme ronde de la galette de la fête des Rois Mages représente.

     

    Comme pour la RR2/cratophanie de Mulhouse/Riedisheim (68) - Alsace - du 25/06/1971 [cf. Les Capsules Temporelles - Les Moulins à Vent (32) ] nos visiteurs célestes, ont imprimé le message de leur épiphanie directement sur le sol  avec leur engin tournant comme une toupie gyroscopique, ce genre d'empreinte/trace a été nommé, autrefois, nid à soucoupe volante, puis de nos jours, crop-circles.

     

    [« Les RR2 et les RR3 classiques du XXe siècle ont été surclassées au XXIè siècle par les RR4 et les Crop-Circles qui furent induits en premier par ces mêmes RR2 et RR3. » - L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Geipan]

     

    Toupie Gyroscopique

     

    Définition | Gyroscope | Futura Tech

     Futura

     Crop-Circles de la Roue d’Ézéchiel - Tétramorphe Angélique

     

    Les apparitions d'ovnis sont, en effet,  souvent animés d'une rotation très rapide sur eux-mêmes, et que les témoins comparent à des toupies, c'est-à-dire à des gyroscopes, qui est un instrument permettant de mesurer ou de maintenir l'orientation et la vitesse angulaire d'un objet en utilisant le principe de la conservation du moment cinétique, sur un, deux ou trois axes par rapport à un référentiel inerte.

    Inventé par le physicien français Léon Foucault, en 1852, avec son partenaire Froment, il réalise qu'en bloquant certaines pièces de son pendule, ce dernier s'aligne  sur le méridien et indique le nord : le compas gyroscopique est né. 

    Il est utilisé en remplacement du compas magnétique, inefficace lorsqu'il est trop proche des pôles. 

    Ce système est aujourd'hui présent sur les navires, dans les avions de ligne, la Station Spatiale Internationale (ISS), les satellites, les télescopes, les missiles, les drones, le pilotage automatique, et, est devenu indispensable à la navigation. [Cf. Futura]

    Rien de surprenant à ce que les stellaires voyageurs du temps et de l'espace l'utilisent, depuis longtemps (Cf. la vision du Prophète Ézéchiel).

     

     La Mise en Demeure

     

    En ce début de l'année 1975, ce que les ufologues-amateurs prennent, une fois encore, pour de banales empreintes/traces laissées par un engin volant non-identifié, recèle bien autre chose en s'adressant au jeune Yvon Viledier (qui deviendra menuisier comme Joseph le père de Jésus, selon La Légende Dorée), à savoir l'identité des occupants qui pilotent le char céleste.

     

     

    Les pilotes de ce vaisseau des étoiles nous révèlent leur nature avec les éphémérides de la date, de l'heure et du lieu de leur manifestation/apparition, en imprimant au sol six trous, qui comme les cupules des mégalithes représentant des astres ; ici se sont des astres de notre système solaire, qui dessinent, lorsqu'ils sont reliés en surimpression sur la trace principale du fer à cheval/ blason/écu d'armes, le profil d'une silhouette ailé (losange + 2 triangles = ange/ailé).

    Cette épure, est confirmée en transposant sur la carte du ciel, les aspects de ces astres, avec son support trigone/triangle équilatéral (= triangle divin)/écu d'armes.

    Nous obtenons ainsi une silhouette affinée d'un archange avec ses 4 ailes éployées.

     

     

    L'épiphanie, au soir du 05 Janvier 1975 à Laulne (50), devient numineuse/lumineuse dès lors que l'on applique le code de lecture blasonné des stellaires, en transposant le dessin et ses repaires, tracés au sol par la soucoupe volante vue par Yvon Vildier, sur la carte du ciel, à la géolocalisation du lieu et à l'heure de sa cratophanie, le fer à cheval est le symbole de la chevalerie comme les écus/blasons (que les Compagnons d'Armes et les Chevaliers du Temple du Christ ont structurés et diffusés avec l'art du blason et la science héraldique au XIIe siècle), il s'agit donc de la Milice Chevaleresque Céleste Angélique, dont le chef tutélaire est Saint Michel Archange, Saint Patron de la Normandie.

     

     

     

     

    En multipliant et en accélérant, depuis les années 1970, avec le Land-Art des Crop-Circles, cette écriture hiéroglyphique (symbolique et sacrée), nos visiteurs stellaires nous encouragent à rétablir le lien perdu noué par les anciens, cette hiérogamie du Ciel et de la Terre qui passe par l'Alliance des Hommes et des Dieux.

     

     

    Le Roi des Aulnes

     

    Laulne (50)

     

    Qui chevauche si tard à travers la nuit et le vent ?
    C'est le père avec son enfant.
    Il porte l'enfant dans ses bras,
    Il le tient ferme, il le réchauffe.

    « Mon fils, pourquoi cette peur, pourquoi te cacher ainsi le visage ?
    Père, ne vois-tu pas le roi des Aulnes,
    Le roi des Aulnes, avec sa couronne et ses longs cheveux ?
    — Mon fils, c'est un brouillard qui traîne.

    — Viens, cher enfant, viens avec moi !
    Nous jouerons ensemble à de si jolis jeux !
    Maintes fleurs émaillées brillent sur la rive ;
    Ma mère a maintes robes d'or.

    — Mon père, mon père, et tu n'entends pas
    Ce que le roi des Aulnes doucement me promet ?
    — Sois tranquille, reste tranquille, mon enfant :
    C'est le vent qui murmure dans les feuilles sèches.

    — Gentil enfant, veux-tu me suivre ?
    Mes filles auront grand soin de toi ;
    Mes filles mènent la danse nocturne.
    Elles te berceront, elles t'endormiront, à leur danse, à leur chant.

    — Mon père, mon père, et ne vois-tu pas là-bas
    Les filles du roi des aulnes à cette place sombre ?
    — Mon fils, mon fils, je le vois bien :
    Ce sont les vieux saules qui paraissent grisâtres.

    — Je t'aime, ta beauté me charme,
    Et, si tu ne veux pas céder, j'userai de violence.
    — Mon père, mon père, voilà qu'il me saisit !
    Le roi des Aulnes m'a fait mal ! »

    Le père frémit, il presse son cheval,
    Il tient dans ses bras l'enfant qui gémit ;
    Il arrive à sa maison avec peine, avec angoisse :
    L'enfant dans ses bras était mort.

     Le Roi des Aulnes - Johann Wolfgang von Goethe - 1782 

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     
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