• Les Brillants

     

     

     

    « L’histoire du christianisme ressemble à un récit de science-fiction. »

     [Emmanuel Carrère]

     

    « On ne devient pas, du jour au lendemain, expert en cratophanies, en épiphanies et en théophanies ! »

    [Les ovnis, énigme d’hier et d’aujourd’hui - Fabrice Kircher & Dominique Becker - 2016]

     

    Les Brillants

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     [Porcieu-Amblagnieu (38) /habitants : 1 105 (69,9 hab/km2) en 1968 - 1 096 ( 69,4 hab/km2) en 1975 - 1 099 ( 69,6 hab/km2) en 1982 - 1 790 (113,3 hab/km2) en 2020 -  Commune rurale peu ou très peu dense - Superficie : 15.8 km2 - Climat tempéré océanique sans saison sèche]

     

     Porcieu-Amblagnieu (38) 

    je relie la Terre et le Ciel

     

     D'azur au griffon rampant de sable.

     

     

    La pierre, richesse de Porcieu-Amblagnieu

     

    Elle est appelée pierre ou choin de Villebois. De nature jurassique, c'est un calcaire commun à grain fin. 

    La pierre de Porcieu-Amblagnieu, bien que connue et utilisée par les Romains, fut exploitée par les gens du pays pour un usage local :

    les pierres-plantes ou pierres plantées : « plaques de pierre » non utilisables pour la construction mais dressées verticalement pour servir de clôture en bordure des champs et des chemins. Elles sont enfoncées dans le sol d'un tiers de leur hauteur ;

    construction de maisons et d'églises, jusqu'au XIXème siècle. A partir de 1820 et tout au long du siècle, l'exploitation des carrières de pierre connut un formidable développement : il y eut à Porcieu-Amblagnieu même, jusqu'à 20 entreprises industrielles et 50 carrières ouvertes sur les 70 de la région ;

    la pierre de Porcieu-Amblagnieu a aussi servi à réaliser de nombreuses constructions dans toute la France ; citons notamment : à Lyon, les ponts du Change, Poincaré, de la Mulatière, les entrées du tunnel de la Croix Rousse, les rues et places piétonnes ; à Paris, le pont du Carrousel, les piles du pont de la Concorde, les quais Rive gauche, le périphérique, la Gare de l'Est et les marches du Trocadéro. C'est encore avec la pierre de Porcieu-Amblagnieu qu'ont été construits, en Suisse, les parapets le long du Lac Léman, les murs de la place des Bastions, de nombreux immeubles de Genève et de Lausanne. [Source : Mairie de Porcieu-Amblagnieu]

     

    Porcieu-Amblagnieu (38) - Isère - Auvergne-Rhône-Alpes - 27/12/1979 - vers 17 h 15 - RR3 de Melle Christel L. (13ans)

     

    Voici le récit que la jeune fille fit aux gendarmes venus l'interroger :

    Je me trouvais en compagnie de mon petit frère âgé d'un an à la maison. Nous étions dans la cuisine et pendant que je m'amusais avec lui, j'écoutais des disques. Le disque se trouvant sur mon électrophone venant de se terminer, je me suis levée pour le changer.

    A ce moment, j'ai regardé par la fenêtre. Tout d'un coup, j'ai vu passer dans le ciel une chose qui avait une forme ronde. Elle venait de la direction du Nord et se dirigeait vers l'étang du Tabouret.

    Elle avait des lampes blanches et rouges tout le tour. Ces lumières ne clignotaient pas ; elles étaient fixes et étaient disposées alternativement : une rouge, l'autre blanche. L'ensemble était brillant et de couleur blanche. Je ne puis vous dire si cette chose avait des fenêtres. Elle volait à une hauteur de 3 mètres environ, pas tellement vite, mais je ne puis préciser à quelle vitesse. Elle se déplaçait légèrement en oblique, c'est-à-dire qu'elle descendait vers la terre. Cet engin faisait un bruit léger, un peu le bruit que fait une moissonneuse-batteuse quand elle roule.

    Voyant cela, je suis sortie avec mon petit frère et je suis partie vers une pierre qui se trouve à gauche de ma maison. Je suis montée dessus et j'ai aperçu la chose qui avait atterri.

    Je n'ai pas vu l'engin effectuer la manœuvre, car le temps que je sorte de chez moi et que je me rende sur la pierre, il s'était déjà posé. Lorsqu'il touché le sol, il avait toujours les lumières allumées et rien n'était changé par rapport au moment où je l'ai vu en l'air. Il émettait toujours le même bruit. Je me suis déplacée pour aller vers la balançoire. Pendant ce déplacement, je voyais toujours l'engin. L'engin au sol était toujours très brillant. Je n'ai rien vu de particulier sur le pourtour de cet engin.

    Je ne puis absolument pas indiquer les dimensions qu'avait la chose. Lorsque je suis arrivée près de la balançoire, j'ai vu près de l'engin un bonhomme. Il était de la taille de mon papa, soit 1.65 mètre environ. Je ne pense pas l'avoir vu en entier. Le vêtement que portait ce bonhomme était brillant, de couleur blanche. C'était le vêtement par lui-même qui brillait. Je ne peux donner aucune précision sur ce vêtement. Je n'ai pas vu la tête de ce bonhomme, ce qui m'a frappée,  c'est qu'il était tout brillant. J'ignore s'il marchait ou ce qu'il faisait. Il me semble qu'il me faisait face. Je n'ai vu personne d'autre dans les environs. Je ne puis dire d'où il est est sorti, car je n'ai vu aucune issue sur l'engin. Je ne peux pas dire s'il  tenait quelque chose dans les mains, car je n'ai pas vu celles-ci. Pendant ce temps, l'engin était absolument immobile. J'ai vu ce bonhomme pendant environ cinq secondes. Durant ce laps de temps, il n'a fait aucun geste.

    Complètement affolée, l'adolescente abandonne son observation et se précipite, avec son jeune frère, chez une voisine qui alerte immédiatement la gendarmerie.

    Les gendarmes alertés sont intervenus le jour-même dès 18 h 30 interroger Christèle L. Ils se rendent à l'endroit désigné par l'enfant et décrivent dans leur rapport ce qu'ils observent sur le terrain :

    Au lieu indiqué, nous constatons que l'herbe est couchée et forme un ovale orienté nord-sud dont l'extrémité Sud ne serait pas fermée.

    L'extrémité Nord de cette trace est située à une distance de 2.60 mètres au bord de la partie cultivée du champ. L'ovale mesurait 2.10 mètres de longueur, 1.20 mètre de largeur dans la partie la plus large, et 0.80 mètre de largeur à la naissance de l'arc de cercle.

    L'extrémité de cet ovale se termine par un rond d'une largeur de 10 cm. Ce dernier est composé d'herbe orientée uniformément vers le sud. Nous remarquons également qu'en aucun endroit l'herbe n'a été brûlée.

    Alerté à son tour par la gendarmerie, le Gépan, organe officiel du Cnes chargé de l'étude du phénomène ovni, se rend sur place pour mener sa propre enquête. La seule preuve de l'événement trouvée par ses enquêteurs est l'effet mécanique de l'herbe couchée, et 14 mois après les faits, un second témoin qui déclare avoir assisté à la disparition du phénomène.

    L'un des chercheurs du groupe chargé de l'enquête, Jean-Pierre Rospars, a fait, dans une des annexes du rapport, la démonstration de la parfaite cohérence du récit de la jeune fille en partant de l'hypothèse de la présence d'un objet physique : en dépit d'insuffisances évidentes de témoignages, une analyse quantitative s'est avérée possible et a permis de mieux comprendre le cas. A la lumière de la reconstitution, certaines déclarations ou détails indiqués par Rosine (pseudo de Christelle) semble prendre un intérêt qu'ils ne possédaient pas initialement et qui, s'ils avaient été connus lors des auditions, auraient pu en modifier le cours. Cela montre l'intérêt, dans tous les cas, d'une réflexion approfondie, si possible quantitative, sur les données initialement recueillies de manière à corriger ses impressions premières et à préparer une seconde investigation dans les délais les plus brefs. L'étude effectuée au chapitre III et en annexe III n'a pas mis en évidence d'incohérence manifeste dans le témoignage de Rosine (pseudo de Christelle) ou d'impossibilités physiques patentes. La méthode quantitative utilisée se prêtait pourtant à leur mise en évidence par la comparaison d'aspects à priori distincts : tailles angulaires et distances, hauteurs angulaires et obstacles, durées et vitesses. Les indications fournies par le témoin, en dépit de leurs insuffisances et de leurs imprécisions sur de nombreux points, présentent donc une remarquable cohérence tant interne qu'externe. Si le présent cas n'est exceptionnel, ni par la qualité des observateurs, ni par la qualité et la quantité des informations qu'ils ont fournies, la cohérence d'ensemble de l'observation de Rosine (pseudo de Christelle), la présence de témoins en deux - peut-être trois - endroits distincts et l'existence d'une empreinte sur le sol apparemment liée au phénomène lui confèrent un indéniable intérêt. Or, on ne peut être que frappé au passage par la facilité avec laquelle toutes les informations recueillies sur cet événement auraient pu ne jamais parvenir à notre connaissance. Tout repose, en définitive, sur la vision très brève d'un phénomène insolite par Rosine (pseudo de Christelle) et sur sa panique ultérieure sans laquelle la gendarmerie n'aurait jamais été prévenue, les traces n'auraient pas été recherchées, pas plus que les autres témoins - puisque nous n'avons eu connaissance de leur existence qu'un an plus tard. Il semble donc que la rareté de telles occurrences tienne d'une part à la faible probabilité d'une observation suivie de rapport et, d'autre part, lorsqu'elles sont rapprochées, à la modicité des efforts accomplis à ce jour pour collecter toutes les informations disponibles.

     

    Sources : Note technique n°8 du Gépan - Robert Roussel, OVNI : Les vérités cachées de l'enquête officielle ; Le Progrès du 29 novembre 1979 -  RR3 Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France, Julien Gonzales, 2014.

     

     

     

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

     Ce jeudi 27/12/1979, l'ovni lenticulaire observé par Melle Christel L. apparait sous la forme imagée d'un œil, pour nous signifier que cette RR3 est le prétexte d'une allégorie visuelle.

     

    Éléments  allégoriques :

     

    La chose/engin vu(e) par Christelle représente un œil, ce qui est confirmé par les 16 lumières fixes rouges et blanches renvoient à la 16e lettre de l'alphabet phénicien la lettre AYIN/Ayin de forme ronde et qui signifie : œil ;

    l'alternance des lumières de couleur blanche avec celles de couleur rouge signifie que le blanc de l’œil est à relier au rouge qui lui ressemble, à savoir la bouche associée à la couleur rouge, ce qui est confirmé par la 17e lettre de l'alphabet phénicien le PÊ/ Pe en forme de boucle et qui signifie : bouche ;

    ces deux lettres sont reproduites imprimées avec les traces laissées par la chose/engin, le rond de 10 cm et l'ovale ouvert ou boucle : AYIN/Ayin +  PÊ/ Pe ;

    la trace réalisée à partir de l'herbe couchée du champ est l'ancêtre/annonciatrice des futurs crop-circles, d'où le son de moissonneuse-batteuse émis par la chose/engin, signalant qu'il faut lire ces traces comme une écriture ;

    dans la langue volatile des oiseaux, Porcieu-Amblagnieu renvoie à celle qui a fait un pas de côté (ambler = entrepas) sur le chemin menant  au port/au havre des cieux (por-cieux), c'est-dire l'humanité qui a dévié de sa destiné depuis le péché originel ; les pierres-plantes ou pierres plantées : « plaques de pierre » non utilisables pour la construction mais dressées verticalement pour servir de clôture en bordure des champs et des chemins et les nombreuses carrières Porcieu-Amblagnieu évoquent la sacralisation des enceintes et des alignements mégalithiques ;

    Christelle = la disciple du Christ (qui représente avec son petit frère métaphoriquement le couple des origines d'Adam et Eve) ;

    le 27 décembre est la fête de Saint Jean = YHWH fait grâce ;

    la taille du bonhomme évoque à Christelle celle de son père (reflet du Père Éternel) ;

    le bonhomme brille d'une lumière blanche comme les brillants, les êtres spirituels céleste, les messagers divins, les anges.

     

    En synthèse :

     

    Christelle (la chrétienne) et son petit frère sont les témoins choisis d'une cratophanie de nature céleste (théophanie), un messager du ciel (le bon-homme, angélique) est venu leur confirmer que le Père Éternel a offert à l'humanité la grâce de la lumière (l’œil lumineux) de la  Rédemption (de tous les péchés) avec  le baptême de son fils unique Jésus (le Sauveur) Christ (le Messie/l'Oint), le Verbe Vivant incarné (la bouche) de la Vérité.

     

     

     

    Les Capsules Temporelles  

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

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    L’Étreinte Céleste - Livre VI

     

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    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »

     

     

    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

    Crop-Circles - 2023 - Partie 02

    Crop-Circles - 2023 - Partie 03

    Crop-Circles - 2023 - Partie 04

    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

     Crop-Circles - 2023 - Partie 06  

     

    L'Hyper-Physique des Aliens !

     

     

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