• Les Dirigeants

     

    Pâques

     

     

     

    « Ce n'est pas tous les jours Pâques ! »

    [Proverbe]

     

     

    [Sauvigny-le-Bois (89) /habitants : 423 (27,6 hab/km2) en 1968 - 480 (31,3 hab/km2) en 1975 - 553 (36,0 hab/km2) en 1982 - 729 (47,5 hab/km2) en 2020 -  Commune rurale peu ou très peu dense - Superficie : 15.34 km2 - Climat océanique à tendance semi-continentale]

     

    Sauvigny-le-Bois (89)

    les sentinelles

    De sable aux deux léopards d'or.

     

     

     Les Dirigeants

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    Sauvigny-le-Bois (89) - Yonne - Bourgogne-Franche-Comté - 05/02/1067 - 21 h 45

    RR3 de M. (69 ans) et Mme Louis Monin et de leur petite fille Marie-Solange (17 ans) et de sa mère

     


    Deux femmes, Jeanne la mère, et sa fille Marie-Solange, âgée de 17 ans en 1967, sortent dehors pour voir si le médecin arrive.

    Elles observent alors une très grosse étoile dans le ciel, dont le diamètre apparent est du quart ou du tiers de celui de la Lune, étoile qui grossit sur place lentement.

    Puis un peu plus tard la mère observe des lumières vers le cimetière depuis sa maison, mais elle rentre chez elle, son mari étant alité avec de la fièvre, en attente du médecin, qui ne viendra en fait que le lendemain.

    La mère parle cependant de cette étoile bizarre à son époux. Sa fille se rend alors, comme chaque soir, chez ses grands parents, chez qui elle dort à cette époque, dans la maison voisine, à trente mètres de distance de celle de ses parents.
       

    Les faits se déroulent ensuite dans la propriété des grands-parents, dont la maison et le jardin sont situés en bordure du village. Louis, le grand père, éclaire la lampe d'un perron et descend dans sa cour, comme il le fait chaque soir, pour fermer à clef la porte extérieure de la propriété.

    La nature est silencieuse, engourdie de froid. En se retournant, il aperçoit, au dessus du mur du cimetière, à 120/60 mètres vers l'Ouest, de bizarres lueurs blanches qui s'approchent en éclairant les tombes au sol et en balayant les ténèbres , il les observe avec Marie-Solange qui vient d'arriver.

    Il distingue maintenant un engin en forme de cigare. Sa lumière est éblouissante. Aucun son n'est audible. Cet appareil rougeâtre et lumineux s'arrête à environ 25 mètres du témoin.

    Depuis le perron surélevé de sa maison, Louis appelle alors son épouse, Et l'invite à venir voir ces lumières inhabituelles. Ils observent alors tous les trois.

     
    Après avoir pensé à un laboureur tardif, hypothèse qu'il considère ensuite impossible un dimanche de février, Louis s'attend à voir déboucher du chemin du cimetière une camionnette venant de déposer des gravats dans une décharge sauvage.

    Mais ce n'est pas un véhicule roulant qui apparaît, mais un engin qui survole le cimetière à très basse altitude. L'appareil est de forme ovoïde, comme un gros cigare [M. Monin, qui a fait la guerre, le compare à une saucisse/ballon dirigeable de la Première Guerre Mondiale], il est lumineux, comme entouré d'une espèce de halo lumineux, de couleur rouge vif, comme un fer qui sort des braises.

    L'engin éclaire le sol, sous lui, d'une vive lumière blanche. Il survole lentement le mur du cimetière à quelques mètres d'altitude. En dessous de l'appareil, on aurait dit une barre néon, la lumière dépassait l'engin, l'éclairait blanc comme un tube néon, on voyait les tombes comme en plein jour, on aurait pu lire les inscriptions.

     

    Ils observent l'engin qui amorce un mouvement de balancement pendulaire. Il n'a ni feu, ni projection lumineuse, ni traînée, ni halo et aucune structure n'est visible.


    La grand-mère est prise de peur-panique, craignant que la maison soit incendiée par ce phénomène inconnu, et se précipite dans sa maison tandis que Louis et Marie-Solange restent sur le perron à observer, stupéfaits et anxieux.

    Le cigare volant s'avance vers eux, lentement, dans un silence total. Parvenu à une distance de 35/25 mètres, au dessus du potager de Louis, il oscille horizontalement 4 à 5 fois de quelques mètres, avec une période de l'ordre de 2 à 4 secondes, puis se met à descendre brusquement comme une pierre.

    Dès son atterrissage, des flammes sortent par le dessous, de chaque côté.

    Il se pose dans le potager, à 35/25 mètres des témoins, où il y a tout juste la place pour qu'il puisse tenir en largeur. Louis estime d'abord qu'il mesure 15 mètres de long et 6 à 7 mètres de haut. Mais il se révélera que les dimensions du potager et les obstacles divers ne peuvent guère permettre l'atterrissage d'un volume de plus de 7 mètres en largeur et 10 mètres en profondeur.


    L'émotion des deux témoins est considérable. Des extrémités gauche puis droite de l'engin s'échappent alors successivement, vers le sol, des flammes ou des étincelles, comme un très gros chalumeau, de couleur rouge et orange, de plusieurs mètres de longueur, avec un bruit de crépitement de feu de broussailles ou de chalumeau.

    Marie-Solange veut s'approcher, mais son grand-père l'en dissuade. Elle rentre quelques dizaines de secondes pour inviter sa grand-mère, paniquée, à revenir observer avec eux, mais celle-ci refuse.

    Dès son atterrissage, des flammes sortent par le dessous, de chaque côté.


    Pendant ce temps Louis continue à observer depuis le perron de sa maison.

    Après quelques dizaines de secondes, il observe pendant 2 à 3 secondes, devant les flammes de droite, devenues plus faibles et silencieuses, un nain d'une taille de l'ordre de 1 mètre (1.10 m/1.20 m/0.60 m), revêtu d'une combinaison grise brillante, comme métallisée. Il ne distingue toutefois ni bras ni jambes, le nain (cosmonaute nain) se tourne vers lui d'un quart de tour, comme au garde-à-vous. Puis il n'a plus bougé.


    Louis rentre un instant et appelle sa femme et sa petite fille, en disant il y a un bonhomme ! mais seule Marie-Solange revient observer avec lui.

    Sur l'herbe du potager, le cigare a pris la forme d'une grosse boule lumineuse rouge d'environ dix mètres de diamètre, en train de se former.

    Louis pense que le cigare était en train de se tourner ou de basculer.

    Marie-Solange pense qu'elle l'observait alors sous un angle tout à fait différent. 

    La boule s'élève soudain verticalement de 10 ou 15 mètres, à hauteur des sapins, puis s'arrête pendant quelques secondes.

    Ensuite elle part tout-à-coup à une vitesse vertigineuse vers Avallon, le Sud-Ouest, et disparaît en quelques secondes comme un point lumineux dans le ciel étoilé.

    Un départ sans aucun bruit.


    Le lendemain, Louis constatera qu'il n'y a aucune trace laissée par cet atterrissage, au sol, ou sur la végétation, dans son potager.

     

    Sources : Gravitation : Les Universons, énergie du futur - Claude Pohers - RR3 Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France, Julien Gonzales, 2014 - Inventaire 1872 - 2014 des manifestations O.V.N.I. dans l'Yonne - Rémy Fauchereau - 2014

     

     

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

    La Capsule Temporelle de Sauvigny-le-Bois

     

    La date du  dimanche 05/02/1967, jour du Quinquagésisme (= le 50e jour avant la fête de Pâques), nous donne la clef qui ouvre la capsule temporelle (la théophanie) de cette RR3 vécue de la famille Monin à Sauvigny-le-Bois (89).

     

    Éléments  allégoriques :

     

    La grand-mère, la mère de Marie-Solange et cette dernière figurent les Saintes Femmes (les myrrhophores) les porteuses de parfums, qui portaient des pots d'aromates myrrhe et aloès pour embaumer le corps du Christ ;

    Marie (= amertume/aimée) - Solange (= la solennelle, consacrée, qui revient chaque année) qualifie la fête de la mort et de la résurrection du Christ ;

    Sauvigny (= j'ai été sauvé) - le - Bois (= celui de la potence de la croix) évoque la crucifixion et la victoire sur la mort de Jésus Christ ;

    Louis (= illustre, combat renommé) Monin (= Simon/Pierre) renvoie au combat sacré mené par l’Église de Saint Pierre contre la mort et la résurrection à la vie éternelle ;

    le cigare en forme de dirigeable (qui est comparé par Louis Monin à une saucisse/dirigeable de la Première Guerre Mondiale, qu'il a effectuée) + les jets de flammes et d'étincelles + l'apparition du nain qui est la caricature d'un petit soldat de plomb, confirment cette dimension du combat spirituel (dirigeable aérien) ;

    le cosmonaute nain se lit dans la langue volatile des oiseaux : le naute (le voyageur, le messager) de l'Un (du Dieu unique) ;

    ce dirigeable/dirigeant aérien (en forme de capsule hermétique porteur d'une épiphanie spirituelle de la couleur rouge feu du Saint Esprit) apparait en premier sous la forme d'une étoile (= ange) reflet de l'étoile qui guida les hommes à Bethléem où naquit l'enfant Jésus, et vient de l'Ouest qui est le royaume symbolique des morts, pour éclairer d'une lumière blanche immaculée de la nouvelle vie les tombes du cimetière où reposent les défunts, figuration de leur futur réveil au Jour du Jugement Dernier par le Christ, qui est figuré par la sphère formelle prise par le dirigeable/dirigeant aérien, qui est l'image du Soleil Glorieux du Christ Ressuscité.

     

    En synthèse :

     

    Cette théophanie, imagée, est le fait d'un messager divin rappelant la promesse faite à l'humanité (souffrante, symbolisée par le père de Marie-Solange qui est malade dont elle attend, avec sa mère, l'arrivée, d'un médecin du corps assiste, à celle d'un médecin de l'âme) à ceux qui reçoivent la lumière immaculée (lumière blanche) du baptême du Saint Esprit (lumière rouge/feu) garant de leur Résurrection à la vie éternelle par Jésus (le Sauveur) Christ (le Messie/l'Oint), qui est la Lumière de la Vie.

     

     

     

     

    Les Capsules Temporelles 

     

     

     

     

    Losange des Anges

      

     

     

     

    Le Bouclier Ardent 

     
     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

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    L’Étreinte Céleste - Livre VI

     

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    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »

     

    Cf.  Les Signes du Ciel - Le Royaume du Grand Monarque L'Aigle Rapace - Lux Dies - Les Portes du Ciel Ouvertes sur la Nuit de notre Destin - Le Roi des Aulnes - L'Epée du Seigneur - L’Oeil de l'Afrique - La Doctrine Secrète - Le Temple Occulte - Lucet in Tenebris -  Les Hommes et le Ciel - Star Wars - Le Testament des Templiers - La Science de l'Art - Les Ressuscités - Les Hommes Libres - La Porte à Trois Tenailles - Les Ides de Mars - Le Char du Guerrier - Les Cendres La Super Nova - Le Collège Sacré InvisibleL'Île des Bienheureux - Les Chimères Extraterrestres - Hybridation/Hiérogamie - Les Ovnis en Direct / Live - Les Apothéoses - La Guerre des Mondes - Lifeforce - La Colonisation Alien

     

    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

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    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

     Crop-Circles - 2023 - Partie 06  

     

    L'Hyper-Physique des Aliens !

     

     

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