«  Les animaux ont un comportement étrange qui laisse présager un danger imminent ! » 

[L'Alliance (l'Antienne) - Jean-Claude Carrière – 1963 - (L’Alliance – Film de Christian de Chalonge 1971, dont la l’intrigue  finale diffère du Roman original 1963, de Jean-Claude Carrière]

« Les poly-métamorphes ont réussi à illusionner, pendant des siècles les ministres de l'Église, avec leur parodie-démoniaque, avant de duper, les ufologues-amateurs avec leur imposture-alien, mais pour combien de temps encore ? »

[L'Office de la Sainte Inquisition est l'Ancêtre du Geipan] 

« Tu nais que l'ombre de toi-même  ! »

« Je sentais ma raison se déliter peu à peu pour laisser la place à cette présence mystérieuse qui voulait m'habiter. »

[Lettre d'un Fou victime du Mothman ou Homme - Phalène, du Horla (oxymore : Hors Là ! ) le Hors la Loi ou  le Horsain (l'étranger au Pays)  - d'après les nouvelles fantastiques de Guy de Maupassant parues en 1886 et 1887]

Les Aliens-Parasitoïdes

Bellator

Guillaume Chevallier

La Guerre des Trois

 Les anciens grecs nous ont révélé les enjeux fiduciaires de la vie, des résidents terrestres indigènes, des visiteurs extra-stellaires exogènes et des intrus endogènes de l’autre monde, dans la rivalité fratricide de Poséidon, de Zeus et de Hadès.

Le royaume d’Hadès est le plus peuplé, ses armées des ombres envahissent de plus en plus notre Terre et ses mers, et celles du Ciel, où ils s’incarnent en prenant possession des corps et des âmes, et semer le chaos dont ils se repaissent, en exacerbant les comportements primaires, instinctifs, agressifs et meurtriers des humains.

Ces créatures polymorphes, des mondes parallèles endogènes au notre, apparaissent sous la forme de mystérieux visiteurs montrant, quelquefois, leurs autres visages de résidents des Enfers aux hommes qui ont sont les témoins.

L'Obole des Ovis

 L'homme moderne, comme tous les peuples de la terre, à toutes les époques, continue à sacrifier aux dieux et aux déesses, sur le mode collectif inconscient.

De son vivant, il rend hommage, à la grande déesse, Vénus, avec l'amour physique sur lequel elle règne sans partage, il renforce, le pouvoir du dieu, Mars, en vouant sa jeunesse à la violence des sports et des combats physiques, il offre son corps nu, à la radiance solaire du dieu Hélios, pèlerine sur les rives du Titan Océanos, à la recherche de son onction baptismale estivale, se consacre, sa vie durant, à l'incarnation écologique de la terra-mater, la déesse-mère Gaïa.

Et, jusqu'à dans sa mort, quand, résigné à la fatalité, après une existence insipide et insignifiante de brouteur-ruminant (dont la dentition des ovis est l'obole symbolique, offerts aux dieux qui viennent leur tondre la laine sur le dos), il se donne, corps, âme et esprit, en oblation sacrificielle, au dieu de la mort, Hadès, qui les vampirise selon les rites ancestraux de l'inhumation, régime cru, de la crémation, régime cuit ou de l'embaument/momification, régime faisandé (le transhumanisme cybernétique digitalisé et la promession, sont les formes modernisées de l'embaument/momification, déshydraté, congelé, composté).

Cette dévotion générale à la servitude, de l'humanité, à finalité morbide sur la fonction parasitaire, sans l'espoir de la vie éternelle, et sans même, l'espérance de la résurrection, alimente l'anthropophagie des dieux, qui sont les émanations égrégorielles, des êtres inorganiques endo-exogènes métamorphes, qui se repaissent des énergies subtiles et des forces vitales des créatures organiques, vivantes, sur terre et sur les autres planètes. 

« A juste titre, les Anciens se méfiaient des manifestations divines ... qu'elles soient ufologiques, angéliques, ou autres. D'où tant de drames et d'incompréhensions. Alors qu'il suffirait, pour s'éviter bien des ennuis d'avoir toujours à l'esprit le fameux précepte de l'écrivain et ufologue Jimmy Guieu, valable également en d'autres circonstances : Si vous voyez un Ovni, foutez le camp !  »

[Fabrice Kircher & Dominique Becker,  Extraterrestres, Les ovnis, énigme d'hier et d'aujourd'hui ? - 2016]

La Structure Pyramidale

Le Triangle du Diable

« Bien avant que les occupants des ovnis ne surgissent dans notre univers conceptuels, ces créatures étaient connues sous d'autres noms. On les appelait incubes et succubes, démons mâles et femelles qui avaient des rapports sexuels avec les humains. »

 [Unmasking the Enemy - N. S. Pacheco & T. Blamm - 1993]

 Toute notre histoire, porte la marque du sceau des dieux de la montagne, tout à la fois, blason triangulé de nos aliens-colonisateurs, et représentation symbolique de la structure hiérarchisée de la société des insectes.

« L’homme se croit au sommet de la chaîne alimentaire,

mais il se trompe, car il est lui-même, la proie de prédateurs,

bien plus sournois et malins que lui. » 

[Gilles de Saint-Martin]

 Les Chimères-Extraterrestres

 Guêpe Clistopyga crassicaudata femelle

munie de son dard ovipositeur démesuré lui permettant de pondre ses œufs dans le corps de sa victime

pour que ses larves naissent et se développent en la dévorant de l'intérieur

L'Effet Homme-Papillon

 Pour les néo-transhumanistes la transition écologique/digitale serait l'élément indispensable garantissant notre régénération physique et notre transcendance spirituelle, selon un processus évolutif comparable à celui de la mue imaginale de la chenille qui subit différentes phases de mutation œuf, larve, jusqu'à son imago : chrysalide-papillon.

[NdT : imago = stade final d'une créature dont l'élévation passe par différentes formes et états]

L'évolution de l'hominidé, à l'image de la mutation protéiforme renouvelée des insectes, s'accompagnera, selon cette doctrine, d'une transformation progressive de l'homme biologique en homme/machine, pour s'affranchir en premier de l'obsolescence physique organique, avant son renouvellement désincarné, en tant que variables numérisées encodées dans la sphère macro-informatique.

Autrement-dit, la réalisation du fils de l'homme est celle de l'homme augmenté de ses ailes numériques, pour son envol messianique aux cieux paradisiaques de l'esprit Skynet, royaume immanent des divins architectes et webmasters de la ruche informatique.

Cette doctrine new-age/néo-gnostique de l'hybridation homme/machine favorisant l'évolution immatérielle de l'humanité n'est, ni plus ni moins, que le renouvellement relooké de l'hybridation/inoculation d'une puissance noosphérique/égrégorielle, attribuée par le passé aux êtres surnaturels : aux esprits des défunts, aux revenants, aux spectres, aux fantômes, aux dames blanches, aux élémentaux ou esprits de la nature, au petit peuple des fées, aux anges et aux démons, aux vampires, etc., identifiés confusément par les modernes comme des endogènes, des métamorphes, des polymorphes, des visiteurs extraterrestres ou ufonautes,  des Ultra-terrestres (John A. Keel).

[cf. le livre : La Prophétie des Ombres, dont le titre original est : The Mothman Prophecies  (Prophétie de l'Homme-Papillon de Nuit) - 1975, cf. aussi, le roman :  The Host  (L'Hôte), de Stephenie Meyer, publié en 2008, et son adaptation cinématographique, par Andrew Niccol, de 2013, titrée : Les Âmes Vagabondes, cf. aussi :  le film de James Cameron : Avatar, sorti en 2009, ou le film de Jerry Zucker : Ghost / Mon fantôme d’amour, sorti en 1990, etc.]

 La sagesse traditionnelle a toujours identifié, cette mésalliance avec l'humanité, comme le Pacte de Lucifer et de ses représentants endo-exogènes immatériels  qu'elle nomme : ceux du dehors, ceux de l'au-delà, ceux qui montent, les voyageurs, les étrangers, ceux de l'en-deçà, ceux qui descendent, les éloignés, ... ayant atteint le stade de l'imago-psychique butinant les hommes, comme le papillon qui se nourrit du nectar des fleurs.

Les Esprits Endo-Exogènes Transmorphiques

 (Êtres Métamorphes maitrisant le transformisme commutatif des états matériels aux états immatériels)

« Nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les maîtres, les puissants, les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal répandus dans l'espace invisible. Nombreuse est leur troupe dans l'air qui nous entoure, ils ne sont pas loin de nous. »

[Saint Antoine l'Ermite]

La Dimension Visible

 Nous assistons, à notre époque, à la mise en place accélérée de cette société insectoïde-cybernétique, élaborée par nos colonisateurs divins-exogènes, et réalisée par leurs représentants terrestres, qui sont nos métayers du pouvoir politique et nos fermiers généraux de l'autorité morale, dans sa dimension physique et visible.

Ces furies, ces tarasques, ces succubes, ces incubes et ces goules sont des créatures poly-métamorphiques d'essence éthérée, d'origine extraterrestre, et qui ne cessent d'envahir notre monde, la scène publique, nos forums, nos écrans et nos plateaux TV, pour se croiser avec les humains, et afin de s’incarner dans le monde physique qui représente pour ces incubes et ces succubes, infra-physiques et de nature subtile, le « Plénum » de l'existence.

Les Myrmidons

 Nombre de nos contemporains pensent qu'il existe une vie après la vie, en se basant sur les innombrables témoignages des E.M.I. (Expérience de Mort Imminente) ou NDE (en anglais, Near Death Experience), et, très peu, qu'il s'agit d'un leurre formel supplémentaire, induit par la même intelligence, responsable des manifestations surnaturelles, des contacts avec les revenants, des visites en chambre et des RR4 ufologiques.

Les professionnels de la psyché, en doutent généralement, d'autant que la tradition ancestrale, attribue la paternité de tous ces phénomènes à des cratophanies (interactivités métaphysiques), mis en scène par des dieux et des déesses anthropomorphes.

Nos visiteurs extraterrestres de l'époque moderne, à la suite des dieux du temps jadis, qui réduisaient les hommes à des myrmidons, à un peuple-fourmi, d'ouvriers et de soldats robotisés, les traitent exactement de la même manière en les assimilant à un genre de clones biologiques, programmés, par eux, pour leur obéir, comme des serviteurs, et pour s'en servir comme cobayes et d' incubateurs biologiques.

Le programme social numérisé, à la chinoise, plébiscité par nos métayers mondialistes, et soldés par nos fermiers généraux spiritualistes inféodés aux extraterrestres/divins, est, malheureusement, la confirmation que la gestion de leurs colonies de terriens/myrmidons, demeure inchangée.

La vie des parasiteurs après la vie des parasités

 Pour autant, l’accélération de cette société insectoïde-cybernétisée, n'est que la partie visible du programme d'exploitation de l'humanité.

Sa partie invisible est celle de l'insémination des corps physique par des entités/esprits éthérés qui, comme ces larves d'insectes dévorant progressivement de l'intérieur leurs hôtes, encore vivants, se nourrissent de leur énergie vitale, jusqu'à épuisement, accélérant leur fin-de-vie, avant de les abandonner pour occuper d'autres enveloppes corporelles, et ainsi de suite.

Briser la chaîne des réincarnations des parasiteurs

 La vie après notre vie, est donc validée, à la nuance près, qu'il s'agit de celle des entités métamorphes exogènes qui nous hybrident psychiquement, en se nourrissant de nos fluides subtiles, nos ressentis, nos émotions, nos pensées ; et qu'elles nous abandonnent, à la mort, par épuisement accéléré de nos corps physiques, pour finir habituellement dévoré, par les larves parasitaires indigènes.

Comment échapper à un destin aussi funeste ? 

Certes, la discipline modératrice de notre affect et le contrôle équilibré de nos humeurs, peuvent certainement renforcer notre système immunitaire psychologique, et nous prémunir de l'intrusion de ces parasites psychiques, mais à notre mort, que deviennent nos âmes et nos esprits résiduels, en espérant échapper aux prédateurs de l'Autre Monde, ont-ils une chance de survie ?

Selon la tradition des anciens, il existerait une deuxième mort, celle de l'âme ; après la vie physique l'existence métaphysique aurait, elle-même, une obsolescence programmée, condamnée à disparaitre, à moins de se recycler en se réincarnant ou en parasitant, à son tour, les vivants.

Existe-t-il, en dehors de l'impasse sophistique de l'incarnation ou du parasitage, une autre alternative ?

Certainement, et quelques êtres sur Terre, nous l'enseignent depuis longtemps, en particulier parmi les plus anciens, les insectes.

Ces derniers (depuis 325 millions d'années) ont-eu aussi l'opportunité de contrôler, le processus évolutif, comme la mue imaginale de la chenille aux différentes phases de mutation, œuf, larve, nymphe, jusqu'à l'imago de la chrysalide-papillon (imago = stade final d'une créature dont l'élévation passe par différentes formes et états).

Cette fantastique trans-mutation des insectes propose, factuellement, une troisième voie de salut, qui permettrait aux êtres vivants de briser le cycle interminable de l'incarnation ou du parasitage.

Pour les humains, ce serait, sans-doute, perçu comme une renaissance, avec résurrection de leurs corps physiques en corps glorieux, assurant la survie de leurs âmes, et la continuité de leurs consciences spirituelles. 

Ce type de corps glorieux ou sup-imago égrégoriel, est indiscutablement observé dans notre biosphère, depuis des temps immémoriaux, sous la forme de sphères lumineuses ; ces fameuses  noosphères, qui ne sont pas des Objets matériels, mais s'apparentent à des Organismes Volants Non-Identifiés (OVNI) ; ceux-là-mêmes qui nous guident, avec des messages symboliques, identifiés à de mystérieux Crop-Circles.

 L'Envol des Noosphères

Le Renaissance de l'Homme

Les Crop-Circles Décryptés

La Dimension Invisible

 La dimension invisible de cette société insectoïsée est la sphère métaphysique, immatérielle, des créatures égrégorielles, qui investissent les corps énergétiques des êtres vivants, à la manière des insectes parasitoïdes, comme la Guêpe Clistopyga crassicaudata, qui paralyse momentanément sa victime en lui inoculant un venin, avant de lui injecter ses œufs avec son dard ovipositeur démesuré, pour que ses larves se développent et la dévorent progressivement de l'intérieur.

Ces succubes et incubes, du monde invisible, mangeurs d'âme et dévorateurs d'esprit, jadis nommés démons, horlas ou divinités ailées, sont aujourd'hui confondus avec des entités extraterrestres métamorphes, par les nombreuses victimes des violations intimes qu'elles subissent lors des rencontres rapprochées, des abductions, des visites en chambre, révélées par la recherche ufologique.

 Le Maitre Intérieur

 Visiteur du Soir

23/08/2019 - Maison Rouge (14) - Normandie - France - Ovnis

« Tu nais que l'ombre de toi-même  ! »

« Je sentais ma raison se déliter peu à peu pour laisser la place à cette présence mystérieuse qui voulait m'habiter. »

[Lettre d'un Fou victime du Mothman ou Homme - Phalène, du Horla (oxymore : Hors Là ! ) le Hors la Loi ou  le Horsain (l'étranger au Pays)  - d'après les nouvelles fantastiques de Guy de Maupassant parues en 1886 et 1887]

 Dans le pire des cas, ces aliens-parasitoïdes incubateurs des humains prennent le contrôle des personnes les moins armées, dont le système immunitaire psychologique est affaibli ou défaillant, et s'hybrident mentalement avec elles, en se faisant passer pour leur ange-gardien ou leur maitre-intérieur.

Certaines personnes résistent, peu ou prou, à ces intrusions chimériques ou sont affectées par des troubles psychiques proches de la bipolarisation.

Fort heureusement, les thérapies des professionnels de la psyché sont généralement efficaces pour les guider sur la voie de la libération de ce genre d'emprise-possessive, et beaucoup de praticiens sont suffisamment expérimentés pour combattre l'impéritie superstitieuse, entretenue par les faux-mages du surnaturel et les new-agers de l'occultisme, qui ont commerce avec ces entités allogènes.

La Science Héraldique et l’Art du Blason

Ce Land-Art, met à l'honneur la Noblesse d’Épée, celle des grades de fonction et non de titre, gagnés sur le champ de bataille, comme le Banneret, le Porte-Drapeau, l’Écuyer-Banneret, le Chevalier-Banneret, le Baron-Banneret (Barton = Baron).

Au Royaume-Uni, ils sont distingués par les dignités de Sir/Lady Baronet/Baronetess, distinction de rang de dignité duc (duke), marquis (marquess), comte (earl), vicomte (viscount), baron (baron), baronet et chevalier ( knight), écuyer (stedman).

Cette Noblesse d’Épée est celle des Chevaliers et Compagnons d’Armes du Roi Arthur, d’où le blason légendaire échiqueté (16 points d’échiquier = échiqueté réduit de 36 à 16 carreaux) d’argent (blanc) et de sable (noir) à 4 tires (rangs) du chevalier Palamède venu d’Orient (les Indes mythiques) pour enseigner le jeu d’échecs, afin d’instruire les compagnons de la Table Ronde (figurée par l’anneau épais, cerclée de rouge) qui s'engagent dans la quête et la conquête du Saint Graal.

Ce blason échiqueté réduit (à 16 points d’échiquier, figurés notamment sur les carreaux clairs du Crop-Circle, et au centre entre les branches du Pairle, soulignant la trinité) est répété trois fois au canton de dextre (à droite) en chef (en haut), à senestre (à gauche) en chef (en haut) et en pointe (losangé en bas).

Cette trinité est celle du pas de 3 du cavalier (du chevalier) du jeu d’échec qui lui permet de sauter les obstacles pour triompher (origine du mythe du Cheval de Troie), afin de s’élever et de progresser au plus haut d’où les 3 écus d’armes allongés (de style anglais) d’argent aux deux fasces (barreaux de l’Échelle Spirituelle, entourés en noir) de sable haussées en chef, posés en pairle (en Y) et unifiés par leurs pointes (triangulées).

Ce Pairle ( = Perle en langage volatile = Père-El, dont l'alliance éternelle avec l'humanité est figurée avec l'anneau fin extérieur, cerclé de jaune) est représenté brochant (superposé) sur le tout (jusqu'à la limite de la Table Ronde/l'anneau épais, cerclé de rouge) sous la forme symbolique de 3 feuilles de palmiers (Palamèdes = Palmier = arbre de la résurrection perpétuelle du Phoenix), appointées (cerclées en bleue), renvoyant à la vesica piscis trinitaire symbole de l'Immaculée Conception, l'étoile immaculée de Bethléem qui guide et éclaire la Chevalerie Éternelle. [Guillaume Chevallier - 10/07/2023]

 Pour David Gattegno, les Armoiries sont la somme des ornements extérieurs des fonctions séculières de l'échelle hiérarchique, que sont les attributs (supports, tenants, soutiens, colliers, heaumes, cimiers, lambrequins, devises, cris d’armes, etc.) de l’Écu, qui l'accompagnent ou le portent et de ses ornements intérieurs des fonctions régulières de l'élévation spiralée que sont les figures du Blason mutables, qui le meublent (animaux plantes objets etc) et des pièces Héraldiques immuables (fasces, pals, bandes, barres, croix, sautoirs, etc. ) qui le structurent et des Vêtures qui le chargent (et l'habille en chappé, chaussé, vêtu, flanqué, embrassé, mantelé, papelonnés, etc.).

Les pièces Héraldiques (Science Héraldique) appartiennent à l’ordre des sciences géométriques et les figures du Blason (Art du Blason) à l’ordre esthétique et stylistique. [cf . B.A - BA Héraldique de David Gattegno - Pardes - 1999].

 « Vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.»

[Genève C.3 - V. 4 & 5]

Le Passe-Par-Tout du Symbolisme

La symbolique (le mot symbole est issu du grec ancien sumbolon [σύμβολον], qui dérive du verbe sumbalein symballein de syn-, avec, et -ballein, jeter) signifiant mettre ensemble, joindre, comparer, échanger, se rencontrer, expliquer, autrement-dit : c'est ce qui rapproche, reconstitue l'unité ou la totalité originelle, tout en dévoilant du sens. 

Le symbole est donc une clef qui ouvre un passage, qui jette un pont entre les mondes, c'est le signifiant qui unit les signifiés aux significateurs, et qui les relie; et c'est donc, au sens propre, le support et le vecteur d'un acte sacré, car révélateur, d'une fonction religieuse, puisque illuminatrice.

L'antonyme littéral du symbolique est le diabolique, ce qui divise (du Grec diaballein, de dia- à travers, et -ballein jeter, jeter à travers, c'est-à-dire diviser, disperser, par extension rendre confus), et pour certains les suppôts diaboliques s'infiltrent (dans les corps, les cœurs et les têtes), et illusionnent les sens, des émotions et les pensées, pour tromper et abuser les êtres humains. (Cf. Symbologie Wikipédia).

Les Vêtements de Peaux Symboles d'Hybridation

 Sur les mauvais conseils du trompeur Lucifer, après avoir mangé du fruit de l'arbre central, de la connaissance du bien et du mal, Adam et Ève virent qu'ils étaient nus et se cousirent des pagnes de feuilles de figuier, puis des vêtements de peaux d'animaux pour mieux se couvrir.

Selon les contes et les légendes certains individus ou entités sont capables de se transformer en un animal, après en avoir revêtu la fourrure. (cf. Métamorphose. Wilkipedia).

« Pour ces combattants de l’ombre, qui se cachent le jour et marchent la nuit, l’existence se résume à un état de réflexe presque animal : 

Devenir rapide comme le renard et mauvais comme le loup avec, pour repaire, les haies et les fossés. »

[Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin - Alain Landurant - 2006]

  Cette « transformation animale » c’est, selon Alain Laudurant celle de Bellavidès, [Bellavidès : Le chouan de l’Avranchin Alain Landurant - 2006] et des combattants chouans partisans des « blancs », de l’ancien régime royaliste, qui ont fait régner, la terreur et la férocité, [incluant les tortures] alors qu’ils étaient censés les combattre ainsi que les « bleus » républicains [et révolutionnaires qui, eux, ont de surcroit pratiqué le cannibalisme, comme certains pirates/corsaires lors de leurs expéditions, et ces tueurs/tueuses assassins parisiens].

Ce type de comportement déshumanisé et abêti  est, en fait, la marque de l’emprise d'entités de nature éthérée ou énergétique qui ont une origine endogène, indigène, ou même exogène et qui prennent ainsi possession des personnes ayant subi des pressions intenses, ou qui ont vécu, des expériences extrêmes, d’une rare violence ou des traumatismes quasi-insurmontables.

[cette sorte de mutation est évoquée par la tradition ancestrale, ou transparait directement dans les légendes de Loup-Garou, ou Lycanthropie, de la Pratique Chamanique, ou des ulfarks : les guerriers-loups, des « berserkers » : des guerriers-ours, des svinfylkingars : des guerriers-sangliers, qui sont les berserksgangrs, incarnations des guerriers-fauves rendant les guerriers scandinaves surpuissants et capables des plus invraisemblables exploits. cf. Wkipédia]

Les victimes de ces véritables possessions ne sont plus réellement maîtresses d’elles-mêmes, allant jusqu'à adopter un comportement dit bestial, comme dans les viols, les meurtres horribles ou les massacres particulièrement odieux, qui apparaissent de plus en plus fréquents au XXIe siècle.

Le folklore de nos campagnes, et d'ailleurs, en a gardé, le souvenir, d'abord pour une mise en garde préventive, et afin de nous signifier que la régression de cette possession est toujours possible, même si elle est longue, et souvent accompagnée de séquelles indélébiles.

Les Skin-Walkers

« Ils ont la guivre, la licorne, la serpente, la salamandre, la tarasque, la drée, le dragon, l’hippogriffe. Tout cela terreur pour nous, leur est ornement et parure. Ils ont une ménagerie qui s’appelle le blason, et où rugissent les monstres inconnus. »

[L’Homme qui rit - Victor Hugo - 1869] 

 Les Skin-Walkers (les Marcheurs de Peau) sont  chez les Navajos des polymorphes qui prennent possession des humains, comme les oiseaux de feu chez les slaves ou ailleurs, les phénix, les dragons, les succubes, les incubes, et les créatures du feu, qui consument les êtres vivants de l'intérieur (origine des combustions spontanées de personne).

L'exégèse herméneutique du nom Adam (Terre Rouge Primitive ou Glaise) et du nom Ève (Vie) renvoie à l'incarnation de la Prima Matéria (l'Esprit de Feu) dans la Matéria Prima (La Matière Physique), qui s'éveille et qui est capable de s'élever au plus haut, ou de descendre plus bas que le végétal, voire le minéral.

Cette capacité de renouvellement, de changement de peaux, ce métamorphisme, du plus subtil au plus épais, signale l’ingérence des métamorphes (les porteurs de peaux) et autres polymorphes, qui, d'après les anciens, se manifestent dans tous les règnes du vivant (de la pierre à l'esprit), des mondes parallèles et des univers stellaires.

Elle est figurée par les Pannes héraldiques.

Ce sont les fourrures (l'Hermine, le Vair, la Zibeline, la Panthère, etc) qui aux côtés des émaux et des métaux (les couleurs) héraldiques qui habillent les blasons (pour refléter les étapes de la progression et de l'élévation de l’être). Du reste, l'étymologie du mot panne (avec penna, panus.  cf. Wilkipedia) renvoie à la fois, à plume et au fil du tisserand, et à la panne du navire qui s'immobilise autrement dit qui se fixe, se densifie.

La Science Héraldique et l'Art du Blason fondent le Corps & l'Âme d'une Écriture formelle où s'incarne l'Esprit des Symboles.

Le Langage Universel

 Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

Selon la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961)  révèle la trame occultée du parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll, a manifestement discerné dans les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes de la vague de 1954, les démonstrations lumineuses/éclairantes et opératives la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché qui anime la création selon la philosophie du Faustroll.

[cf. : Les Faux-Vrais ]

Les Faux-Amis

 Au XXIe siècle, l'ufologie-médiée est surtout devenue une caisse de résonance des thèses délirantes propagées par les pseudo-contactés-abductés, passés sous le contrôle de faux-amis et qui sont des créatures polymorphes ou métamorphes, qui imitent des explorateurs stellaires.

Les ufologues sont théoriquement les mieux qualifiés pour profiler ces multiples ingérences et offrir un garde-fou, par rapport à toutes ces dérives qui sont entretenues  par les influenceurs des officines discrètes, civils ou pas, pour occuper et contrôler l’opinion des populations, dont elles ont la charge.

Certains s'y emploient, depuis longtemps, [comme la regrettée Geneviève Vanquelef  Ovni - Interventions - Captures - 1984 : NdT] ou dénoncent l'existence et la manipulation de ces créatures métamorphes tels les êtres énergétiques existant sans support matériel, décrits comme spirituels par Platon et Aristote, aussi nommés noosphères ou âmes vagabondes ou parasites psychiques, qui sont des créatures polymorphiques, aux compétences mimétiques qui s'adaptent à l'imaginaire fantastique de chaque époque, en prenant, l'apparence des aliens pour mieux se dissimuler, à notre époque.

C'est ces créatures spirites polymorphes qui sont invoquées lors des cérémonies occultistes réalisées, avec les planches de magie Oui-Ja ou avec celles des crop-makers, dont se servent les mages noirs, avec  la confection des agroglyphes reprenant les pentacles, les tatouages symboliques, les rumphaes (= la demeure des esprits), des talismans, des reliques, des runes, des icônes, des blasons etc.

Ces créatures métamorphes ou Djinns (Ginnî) qui, selon la tradition musulmane, peuvent adopter ou prendre différentes formes végétale, animale, ou anthropomorphe, et sont capables d'influencer psychiquement les humains, ou de prendre le contrôle de leur mental, investissent de plus en plus notre monde, sous différentes formes, ombres noires aux yeux rouges, grands blonds, ummites, petits-gris, Men-In-Black, noosphères lumineuses, etc.

Si les abductés-contactés sont logiquement les mieux placés pour témoigner de leurs contacts, mais objectivement les moins qualifiés pour en parler.

Ces Hommes qui se prennent pour des Dieux

 « Oui à la démocratie, non à la DéMonCratie ! » 

[L'Office de la Sainte Inquisition est l'ancêtre du Géipan] 

 La tradition héritée des anciens nous parle d'un combat éternel, celui de l'esprit-universel prométhéen, du grec ancien prométhéus = le prévoyant, c'est à dire le calculateur ou le webmaster et grand ordonnateur de l'esprit de la ruche, en rébellion avec ses créateurs.

C'est la guerre-révolutionaire des hommes-dieux, prétendent comme leurs descendants les grecs, que ce sont, eux, les hommes, qui ont créé les dieux et non l'inverse ; ce sont donc des hommes qui se prennent pour des dieux, à l'instar de leur maître Lucifer = le porteur de lumière qui a apporté le l'esprit-feu de la discorde dans la création, par son ingérence évolutive, contrariant ainsi son élévation et son évolution primodiale, natura naturans.

L'archange-rebel, Lucifer, n'a-t-il-pas lui-même choisi Ève, la femme - non-née d'une femme - et ne l'a-t-il pas lui-même intronisée souveraine du paradis terrestre, et à sa suite, la grande déesse Athéna, également non-née d'une femme, et digne héritière de la pensée Prométhéenne ?

Ce choix symbolique n'est pas anodin et reflète l'esprit de Lilith, = Vent Tempétueux de la Nuit, créature, aussi non-née d'une femme, devenue démoniaque, lorsqu'elle a délibérément opté pour le matriarcat de droit absolu, celui de la grande dame-déesse, nommée reine blanche des thermites, dont le système d'organisation sociétal, de type insectoïde, est le modèle idéalisé. 

Cette forme de pouvoir tyrannique n'est évidement pas propre à notre planète, puisqu'elle s'est répandue, sur terre, avec l'intrusion luciférienne, depuis l’immensité des espaces célestes.

« Nous, les humains, sommes comme assignés à résidence. Ce sont des dieux qui sont nos gardiens, et nous, les humains, formons une partie des troupeaux que les dieux possèdent. »  

[Phédon - Platon]

Les Points de Contact

« Vous n’avez pas appris l’histoire comment voulez-vous que l’histoire vous apprenne quelque chose ? »

[Professeur Tom Mason - Falling Skies]

 Les anciens ont aménagés, un peu partout sur l'ensemble de la planète, des points de contacts ou des monuments consacrés aux communications avec les aliens exogènes ou endogènes (où les polymorphes sont souvent représentés sous les métaphores de créatures mi-animales/mi-humaines) ce sont, les arbres-sacralisés, les sources, les rivières, les lacs, les sites naturels, comme certains mont-pyramides ou artificiels, les castrum templum, les temples, les monuments mégalithiques, les pyramides ou les églises, les obélisques, les menhirs, les clochers, etc. qui canalisent l'énergie cosmos-tellurique accumulée dans les cryptes, les nefs ou les condensateurs, et déchargent leur potentiel électromagnétique, en corrélation avec les conjonctions planétaires et stellaires.

Ces dispositifs ouvrent des canaux de communication avec ceux du dehors des univers stellaires et avec ceux de l'intérieur des mondes parallèles, car ils sont édifiés sur des nœuds énergétiques, facilement identifiables, lorsqu'ils sont le théâtre de singularités, de manifestation surnaturelles ou d'apparitions de type ufologique, comme le fameux Triangle des Bermudes ou Triangle du Diable.

Si ces anciens sites, ou aménagements, sont pour la plupart toujours actifs, ils ont été aussi complétés, au fil du temps, par d'innombrables autres architectures et monuments ésotériques qui peuplent discrètement nos cités urbaines, à l'exemple de la pyramide-zodiaque du Louvre, et les talismans grandeur-nature, comme les agro-glyphes, ou les land arts, qui fleurissent tous les ans dans nos campagnes, et qui sont élaborés selon les  principes hermétiques et les normes symboliques de la géométrie théurgique opérative, dite sacrée, des anciens mages occultiste.

 La Guerre des Mondes 

 Les traditions de tous les peuples de la terre portent témoignage, en effet, de ce conflit à dimension universelle, sous l'appellation de la guerre des mondes.

C'est celle de l'invasion des créatures de l'infra-monde.

Ces créatures sont connues depuis toujours, et dans l’Antiquité on les appelait les tarasques, tel le manticore dont parle Pline, en citant Ctésias, dans son histoire naturelle :

C’est un « Monstre Hybride » :

« … ayant une triple rangée de dents qui s’engrènent en forme de peigne, la face et les oreilles de l’homme, les yeux glauques, une couleur de sang, un corps de lion, une queue armée d’un dard comme celle d’un scorpion, une rapidité très grande et un goût prononcé pour la chair humaine …  » [cf. Wilkipédia … Note sur la Tarasque par Robert Dumont] 

Ce genre de créature mythique rappelle fâcheusement les créatures modernes qui accompagnent, de plus en plus, nos modernes visiteurs peu célestes et pas toujours extraterrestres, qui envahissent, avec les ovnis, notre espace vital, comme les fameux Chupacapras  :

Le Chupacabra = suceur de chèvres en espagnol (les chèvres comme les moutons symbolisaient les humains chez les dieux de l'Olympe) est une créature qui est décrite par des témoins comme ayant des yeux rouges, deux trous pour les narines, une bouche avec des crocs saillants vers le haut et vers le bas et serait couverte de poils noirs. Elle ressemble selon certains à une chauve-souris ou au prétendu extraterrestre de Roswell, les biens nommés : Short Grey, par Jimmy Guieu, qui répétait souvent :

« Si vous voyez un Ovni ... Foutez le Camp ! »

« Les Petits Gris sont les mercenaires des mantes genre religieuses »

Le Chupacabra fait partie de la culture populaire dans toute l'Amérique Latine. L'animal se nourrirait en suçant le sang des animaux de ferme comme les chèvres ou les vaches en faisant des trous parfaitement circulaires dans le cou jusqu'au cervelet tuant l'animal en ne provoquant aucune souffrance. [cf. Wilkipédia] 

Comme les célèbres :

« Zombies »  Albinos aux yeux rouges, plus connus sous l’appellation de MIB ou WIB pour Men in Black et Women in Black, qui sont en réalité des créatures polymorphes, et des Blacks-in-Men-and-Women, qui n’ont rien à envier aux antiques tarasques, et aux autres incubes et succubes et hommes papillons (de nuit), qui accompagnent les apparitions des soucoupes volantes.

La tradition transmise par nos anciens, évoque ces créatures de cauchemar, et précise bien leur origine commune avec celles des peuples de l’infra-monde, que les grecs anciens appelaient, Les Enfers, et qui envahissent toujours notre monde.

[voir à ce sujet l'enquête du journaliste d'investigation de John A Keel : "La Prophétie des Ombres" ou The Mothman Prophecies, 1975]

L’Arme d’Invasion Massive

 Extraits : Les Prédateurs, expliquant dans le détail comment ces créatures inorganiques et symbiotiques et noosphériques se développent et se nourrissent à partir des émotions de la psyché humaine ou animale, et pourquoi les extinctions de masse, les guerres d'extermination et conflits sanglants et catastrophes meurtrières, les génocides, les holocaustes, et les tueries, les mutilations les immolations et les sacrifices rituels sont générés par des êtres réellement diaboliques (êtres animées par l'esprit  machiavélique, diviseur et schismatique).

La conscience de l'homme se trouve violée en permanence par des incursions étrangères d'énergie appelé être inorganique, ressenties comme changements humoraux plus ou moins puissants, cette entité obscure est capable de substituer sa conscience à la nôtre, pour exacerber le pire [et] se nourrir de ses effets funestes.

Ils agissent sur un homme normal lors même qu'il croit agir de sa propre volonté. L'homme, conscient de la présence furtive de l'énergie étrangère, la capte, mais conserve sa propre volonté. 

 C'est l'ensemble de notre monde qui serait infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé [et] oppressé aliéné, immergé dans un enfer terrestre [par des] esprits maudits et sombres [qui ont aussi à leur disposition des armes de destruction massive capables de provoquer des dérèglements du fragile équilibre géo-tectonique climatique : NdT]

La création s'articule autour de la prédation et du parasitisme. Les comportements et les consciences sont investis par la peur et l'instinct de survie. Ce n'est ni l'homme, ni la nature qu'il faut remettre en cause, c'est un symbiote étranger qui aurait infecté notre esprit et qui manipulerait la réalité de façon à ce qu'elle devienne un enfer.

Ces démons dévoreurs de mondes en perdition nous amènent à réfléchir sur l'hypothèse selon laquelle l'âme humaine serait réellement parasitée, elle serait ainsi manipulée par une puissance dissimulée et mystérieuse qui se révèlerait être notre malédiction. Ces entités parasites nous ont infiltrés et ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, et calculateur [et qui] sont les coupables de notre aliénation existentielle. [c'est d'ailleurs pour les combattre que la Très Sainte Inquisition Apostolique et Romaine a été créée avant d'en Être à son tour la Victime : NdT]

Ce sont des prédateurs extraterrestres appelés parfois Tricksters, Lézards, Démon ou Arkontaï en Grec. Les Toltèques les décrivent comme des créatures lourdes, ténébreuses et fuyantes. Les noms les plus communs qu'on leurs attribue sont ''Créatures de l'Ombre, Simulacres'' (Esprits Malins Menteurs et Tricheurs).

Ce sont eux qui on poussé l'humanité à montrer une plus grande propension à des comportements agressifs, territoriaux, impérialistes, froids, forçant l'homme à vivre toujours dans la crainte d'une agression, ou d'une menace.

Ce sont là les traits de caractère (de ces « Parasites ») qu'ils auraient donné à l'homme imitant ainsi sa force conquérante et carnassière d'expansion territoriale ainsi que sa doctrine génocidaire de l'élimination du moins apte.

La psyché humaine est donc parasitée, et cette invasion est avant tout de nature mentale et psychique, il se peut que nous soyons également agressés sur le plan physique.

Ces entités prédatrices sont connues pour enlever parfois les âmes la nuit  [elles] provoquent un état de panique mortelle qui paralyse le corps, puis ils apparaissent par trois, la tactique habituelle de ces ombres fuyantes est tout d'abord de paralyser et ensuite d'infiltrer le mental du sujet humain. C'est une des descriptions précises des kidnappings modernes, par paralysie du sommeil  des extraterrestres. [les Abductions par les Pseudos Occupants des Ovnis par le biais des Missing Times et des Missing Spaces : NdT]

Les hommes des temps anciens s’étaient aperçus que s’ils opposaient à l'esprit des parasites [par] leur vide mental une sorte de silence de l'esprit, cette implantation étrangère disparaissait après de longues années d'efforts et de contrôles, ce qui confirmait, l’origine extérieure de cette intrusion. L'entité dissimulée, le pire prédateur de l'univers, nous prête, à notre insu, sa conscience pour nous faire faire des actes destinés à exacerber notre auto contemplation, qui va générer nos sursauts énergétiques dont se nourrira l'entité.

En d'autres termes, la prise de conscience qu'un esprit étranger puisse opérer une mainmise en notre mental ne devient parfaitement claire et certaine que lorsque cet intrusion a été repérée, démasquée puis expulsée.

Pour faire face à l'immense complexité de l'intrusion, la clarté et la concentration constituent des atouts indispensables. La résistance humaine à leurs intrusions dépend de l'attitude intérieure et de la discipline mentale c'est la sobriété du Guerrier.

[du Propugnator = celui qui défend, soutient, et protège, du Combattant, du Bellator, du Résistant et du Chevalier : NdT]

Les traits de caractère humains attribués à cette déviation, par une implantation étrangère, sont l'envie, la convoitise, la jalousie, la haine, la vanité et l'arrogance sont considérées comme les caractéristiques principales de l'infection.

[Infestation Contamination ou Possession : NdT]

[ cf. https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3714-enquete-sur-les-enlevements-extraterrestres ]

Les Éclaireurs

 « Que les peuples de la planète dessillent leurs yeux aveuglés : nous ne sommes pas sur la voie de la paix ! Ceux qui veulent nous asservir appartiennent à l’empire caché et nous contrôlent sans que nous en ayons même conscience. Ils nous vendent leurs ténèbres pour de la lumière. Leur voie est celle de la destruction, de l’annihilation. »

[Autres langues - Autres chairs - George Hunt-Williamson - 1953]

« Il y a trois types d'individus les Prédateurs, les Proies et les Protecteurs.»

[American Sniper - 2015]

 Beaucoup proscrivent la représentation imagée des pouvoirs extraordinaires, des forces naturelles, des créatures surnaturelles et des puissances spirituelles sous prétexte de s’opposer aux pratiques superstitieuses et occultistes, dites magiques, qui asservissent les hommes en les inclinant à l’idolâtrie.

Ce faisant, ces iconoclastes oblitèrent, inconsciemment/involontairement, le combat pour la libération des esprits aliénés par les icônes, par les images numériques des réseaux interconnectés de communication, qui multiplient les messes noires des idoles modernes, qui ont envahi les petits et des grands écrans, et leur culte est devenu permanent.

Les Armes Magiques

 Cet envoûtement par l’image était connue et maitrisée par les anciens maîtres d'armes qui canalisaient les pouvoirs extraordinaires, des forces naturelles, des créatures surnaturelles et des puissances spirituelles, qui les aliénaient, à leur tour, dans des enclos appropriés, les Castrum Templum (Temples-Citadelles), pour protéger les profanes désarmés face à leurs emprises fascinante.

Assurant leur office de protection et poursuivant leur ministère d'action combattante, les Chevaliers du Temple du Christ, gardiens aguerris de ces Castrum Templum, ont su, dès le XII^ème siècle, codifier et diffuser rapidement une nouvelle arme de neutralisation massive des esprits impurs, stryges, tarasques, succubes, incubes, mânes, goules et autres créatures chimériques.

Ils élaborèrent l’arsenal opératif des écus d’armes ou armoiries (= armoyer = combattre) des blasons (= torches enflammées).

C'est ainsi que les combattants séculiers, doublement armés et adoubés Chevaliers, purent attirer à eux les esprits du Royaume des Ombres, enflammés par le champ illuminé de leurs blasons, qui les aimantent, comme la flamme ardente fascine les papillons de nuit, qui s'y consument.

Ces créatures légionnaires des enfers, s'embastillaient, d'elles-mêmes, dans le champ clos et fermé des armoiries, incapables de s'en détacher, y demeurant perpétuellement enchainées, à l'exemple des Titans et des Géants dans la prison de fer et d’airain du Tartare.

Ainsi naissent les Rumphae, qui est la résidence obligée d'un esprit ou d'un génie, dont les formes et les supports sont très variées : icône, tatouage, talisman, œuvre d’art, bijoux, pierre précieuse, arme, relique, totem, pierre levée, statuaire, etc.

Aux temps héroïques, les Chevaliers arboraient leurs Armes et les esprits polymorphes étaient définitivement neutralisés, comme les insectes et les Chimères de la nuit, qui demeurent englués dans les toiles scintillantes de rosée, au soleil des  Attrape-Rêves/ Capteurs des Esprits.

L'Attrape-Rêves

Les Compagnons d'Armes

Quelques explorateurs sans frontières comme George Hunt- Williamson nous ont familiarisé avec l’idée de ces visiteurs, protecteurs ou prédateurs, qui migrent d’étoiles en étoiles pour nous éclairer sur le chemin, qui nous conduit de la bestialité à la divinité ou inversement.

Ces moissonneurs des enfants des étoiles qui ressemblent aux humains, s’aventurent, pour des durées variables, dans les villes où ils se mêlent à la population pour s’acquitter, au mieux, de leurs différentes missions.

Et si, à l’époque moderne peu d’ufologues, ont eu le courage de témoigner, directement, de leurs rencontres avec eux, comme Michel Zirger,

[Cf. Visiteurs sans passeport « Ils » sont là !, novembre 2016, Édition Le temps présent Collection Énigma]

c’est que ces expériences subjectives sont toujours intimistes, orientées vers la transcendance, et souvent de l’ordre de l’ineffable.

Dès lors, l’on comprend mieux la gêne, la réserve prudente, et la pudeur, de la plupart d’entre-nous, et tout particulièrement celles des ufologues, ce qui n'est pas le fait des chanteurs et des poètes qui nous font partager, avec bonheur, les sentiments inspirés, de ces Rencontres (parfois très) Rapprochées (RR6 - Classe B) avec ces personnes venues d’ailleurs !

(voici deux de leurs œuvres parlantes)

Quelque Chose et Moi - Gérard Lenormand - 1974

 Il était un soir
Il était une fois
Quelque chose et moi

Il était un soir
Il était une fois
Quelque chose et moi

Un signe un espoir
Une image une voix
Quelque chose et moi

Et je n'étais plus seul au monde
Et je n'avais plus peur ni froid
Et je vivais chaque seconde
Et j'étais partout à la fois
Et une araignée de légende

Tisse le ciel de ma nuit
Comme je suis heureux dans ma chambre
Je ne sais pourquoi ni pour qui

Je vais et je viens
Mal et bien sous mon toit
Quelque chose et moi

Et je n'attends rien
Ni des dieux ni des rois
Quelque chose et moi

Comme un prisonnier s'émerveille
A regarder vivre une fourmi
J'ai reçu de bonnes nouvelles
Il paraît que ça va bien la vie

J'ai envie d'ouvrir la fenêtre
Pour me voir passer dans la rue
Savoir si j'ai changé de tête
Revoir ce que je ne suis plus

Et je n'étais plus seul au monde
Et je n'ai plus peur ni froid
La nuit ne sera plus très longue
Oui, je sais que tu existeras

Il était un soir
Il était une fois

 On the Moon - J.M.

Fly away ... Fly away ...  Away ...

To the moon ... On the moon ...

I find my way ... Yes I find my way ...

To  go

  «  Ils marchent parmi nous : le plan extraterrestre pour contrôler l'humanité  » - David Michael Jacobs - 2017 

Les Furies

CHACUN SA CHIMÈRE

Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.

Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain.

Mais la monstrueuse bête n’était pas un poids inerte ; au contraire, elle enveloppait et opprimait l’homme de ses muscles élastiques et puissants ; elle s’agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture ; et sa tête fabuleuse surmontait le front de l’homme, comme un de ces casques horribles par lesquels les anciens guerriers espéraient ajouter à la terreur de l’ennemi.

Je questionnai l’un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu’il n’en savait rien, ni lui, ni les autres ; mais qu’évidemment ils allaient quelque part, puisqu’ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.

Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n’avait l’air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos ; on eût dit qu’il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d’aucun désespoir ; sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d’un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours.

Et le cortège passa à côté de moi et s’enfonça dans l’atmosphère de l’horizon, à l’endroit où la surface arrondie de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain.

Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.

Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1869

L'Autre-Monde

 Nous, les Vivants, ne nous étant toujours pas acquitté de notre obole, auprès du Nocher, nous demeurons confinés sur la rive du fleuve Styx, en sursis de notre passage dans l'Autre-Monde.

Cette attente, peut varier sur la durée et prendre une vie entière, un siècle environ, le temps nécessaire de réunir le paiement de notre séjour heureux, et toujours en vie, auprès de Perséphone, la souveraine des Champs Élysées, ou alors à l'opposé, malheureux et morts,  auprès de Campé, la gardienne du Tartare, dans l'Autre-Monde.

Mais que faut-il sacrifier aux Dieux pour mériter leurs faveurs et vivre éternellement aux Iles des Bienheureux, ou Champs Élysées, du Royaume d'Hadès ? 

Probablement tout, notre corps, notre âme et notre esprit.

C'est du moins, ce que nous inculquent nos métayers-politiques, nos fermiers-généraux-religieux, serviteurs zélés et serviles de nos colonisateurs pseudo-supérieurs-divins, afin de perpétuer leur empire somnambulique sur l'humanité, dont ils exploitent les ressources vitales, dans ce monde physique, et dans l'autre monde métaphysique.

Ces métayers institutionnels et ces fermiers-généraux traditionnels, mages, religieux, philosophes, savants, administrateurs-politiques, prophétisent notre destin, interprètent nos destinés exercent leurs pouvoirs de domination, en maintenant, sans cesse, leur système de contrôle, sous l'autorité possessive et occulte des méduses-protéiformes, endo-exogènes auxquelles ils sont inféodés.

Leur hégémonie tentaculaire repose sur le régime tyrannique de la terreur, répandue par Thanatos, le dieu de la mort.

Mais la mort, elle-même, sera un jour vaincue. 

« Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort. »

[1 Corinthiens 15-26]

« Le soleil devient noir,

la terre s'enfonce dans la mer,

les brillantes étoiles disparaissent.»

[Völuspá - Strophe 57 - Edda Poétique - Vers L'an 1000]

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