• Le Blason Oublié - Part VIII

     

    Le Lion de Dieu

     

    «  Le pouvoir politique est assujetti à l'autorité religieuse qui est inféodée à la puissance occulte. »

    [Le Tricéphale - Bellator]

     

     

    Le Blason Oublié - Part VIII

     

    Le Tricéphale 

     

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre]

     

    La Doctrine Secrète

    par Bellator

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

    Selon la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961)  révéle la trame occultée du parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    Les Capsules Temporelles

     

     Au fil du temps certaines œuvres se révèlent alternatives et polysémiques à l’exemple du Livre de l’Apocalypse ou de la Révélation de Saint-Jean (Ier siècle), des Centuries de Michel de Notre Dame (1555), et comme c’est manifestement le cas avec le tableau « Lucet in Tenebris » commandé par l'abbé Auguste Coudray et inspiré par la vision de son compagnon d'armes Michel Roy.

     

     

    [Tableau intitulé : « Lucet in Tenebris », qui est une œuvre imaginative (censée représenter le débarquement de Saint Louis en Égypte, au cours de la 7ème croisade, dans le delta du Nil le 5 Juin 1249 & la prise de Damiette le 6 Juin), décore la chapelle Sainte Catherine de Notre Dame de Lizio (1616), dont le temple (ancien prieuré templier vers 1200) et le pardon attenants ont été restaurés et réhabilités grâce au dévouement exemplaire et à la sapience (Don du Verbe) de l’abbé Auguste Coudray décédé le jour de la fête de Sainte Catherine, le 25/11/2000.]

    Ces œuvres sont traditionnellement qualifiées de capsules temporelles puisque leurs messages polysémiques apparaissent, progressivement, selon les éclairagenumineux appliqués, à la manière des éclairages lumineux qui révèlent les Baphomets des « Castrum Templum ».

    Les Baphomets sont des intailles, empreintes, sceaux sculptés ou taillés en creux, dans la pierre, formant des compositions émergentes à certaines heures, dates et années en fonction de l'incidence des rayons de la lumière solaire ou lunaire.

     

    Les Codes Figuratifs

     

     La lecture polysémique de la toile de Lizio repose sur l'identification différenciée de ses codes figuratifs.

    L'une de ces lignes de lecture est induite par sa géolocalisation conventionnelle.

    Le temple, sanctuaire ou mastaba néo-égyptien (d'où sortent les templiers) semble bien indiquer la côte égyptienne (à partir d'Alexandrie) se prolongeant vers l'ouest, passant le golf de Sidra de la Lybie et le cap de la Tunisie / Algérie, jusqu'à l'isthme du Maroc, figuré par la citadelle / forteresse, dont le nom est désigné par la similitude phonétique de la coiffe du chamelier (de l'arabatier) : fez = tarbouche, couvre-tête, bonnet rouge, pour Fèz = la cité septentrionale marocaine.

    Or la ville de Fèz, est traditionnellement reconnue comme à la capitale spirituelle du Maroc et le cœur religieux du Maghreb, avec sa zouïa (confrérie) soufie.

    Ce cœur religieux ou mystique évoque pour les adeptes de l'ésotérismes le chemin ou de la voie intérieure, propre à la doctrine du soufisme (= voie ou chemin de la purification de l'âme), courant ésotérique et initiatique de l'islam, se consacrant à la recherche d'un état spirituel qui permet d'accéder à la connaissance cachée, reçue par Mahomet, et qu'il n'aurait partagées qu'avec son gendre et cousin, l'imam Ali (et avec quelques-uns de ses compagnons).

    Cette citadelle / forteresse, en lieu et place de la cité de Fèz, est aussi un rappel du redoutable corps armé des janissaires (= nouvelle milice), issu de la mouvance soufie de l'islam, équivalent militaire de la milice des templiers (d'où le jeune janissaire à la tunique rouge accompagné d'un templier se dirigeant vers le Saint-Roi et sa Milice Céleste, imagés par les deux cavaliers aux écus croisés sur le tableau de Lizio).

     

    La Doctrine Secrète

     

     Le tableau de Lizio associe l'ésotérisme chrétien et l'ésotérisme islamique avec d'autres marqueurs propres aux adeptes de la connaissance secrète, par exemple :

     Utinam 

    (Plaise à Dieu)

      Chrysopolis

    (la ville d'or)

    (Besan Sum = je vaux de l'or)

     

    avec les 2 colonnes rouges du temple d'Alexandrie, emblèmes des arcs de triomphes romains (voir le blason de la ville du saint empire romain germanique de Besançon/Byzance ou la Porte de Mars de la ville de Reims), qui sont le rappel des 2 colonnes séparées (ou rapprochées) par  d'Héraklès/Hercule, ouvrant ainsi le passage au royaume perdu de l'Atlantide, entre le rocher espagnol de Gibraltar et le mont Abyle, sur les rives du Maroc (patrie du jardin des Hespérides), 

    avec la bannière d'azur (bleu) au lion d'or, le lion étant la représentation de la souveraineté royale chrétienne, et, aussi l'évocation directe de Ali Asadullah (Ali Lion de Dieu surnom donné par le prophète Mahomet à son gendre et cousin),

    avec le cœur délimitant les visages des fantassins à la bannière au lion, le cœur symbole du Sacré-Cœur de Jésus, et réceptacle de l’esprit divin pour les soufis, associé à des ailes et au croissant de lune, se remplissant de la lumière divine du soleil jusqu'à sa plénitude ou pleine lune, qui sont, l'une et l'autre, représentées au sommet de la citadelle / forteresse,

    avec la ceinture portée par la troupe armée sortant de la porte de la citadelle / forteresse (porte élevée, dont l'on voit un seul montant démesuré sur le tableau, ou sublime porte des adeptes soufis), qui symbolise la chasteté mystique des disciples du soufisme (d'où le voile immaculé du caparaçon du cavalier leader brandissant l'épée), ou chasteté de la conception immaculée, vœu majeur des pauvres chevaliers du Christ ou templiers, qui arborent, également, avec les soufis les mêmes couleurs emblématiques, le blanc (pauvreté) et le rouge (vie spirituelle).

    Autre indicateur majeur de l'affirmation de l'existence de la doctrine secrète (partagée par les soufis, les templiers, les désirants,  itinérants et résidants du divin), la tunique du cavalier leader brandissant l'épée, dont la livrée verte (sinople) constellée d'or, évoquant le cyprès sempervirent (toujours vert = actuel et vivant) dont les inflorescences, disposées par paires, sont jaunes-dorées, arbre associé au monde souterrain, des ombres et donc aux occultistes et invisibles aux yeux des profanes non-initiés.

    Ainsi, le tableau de Lizio témoigne de l'unité et de l'universalisme de cette doctrine occulte, avec les modèles des chevaliers religieux templiers ou du cavalier leader brandissant l'épée, couvert de la cape pourpre impériale, soulignant ainsi son communauté orientale et occidentale, présentés sous la métaphore gémellaire des deux monolithes dressés au centre du tableau, et, avec l'amas de roches dessinant un lion / lionne symbolisant leurs ministères fonctionnels, d'état et de charge, mis au service d'une spiritualité contemplative et opérative partagée.

     

     La Rotonde de l'Archi-Maître !

     

     

    L'œil de l'Afrique

    par Bellator

     

     

     

    L'œil de l'Afrique

     

     La structure de Richat (dôme de Richat), surnommée « l’œil de l'Afrique » ou traditionnellement Guelb (Cœur) er Richât (de Plumes), est une structure géologique située dans le Sahara de Mauritanie qui mesure environ 50 km de diamètre.

     Depuis sa découverte, en 1916, cette exceptionnelle anomalie géologique continue à enflammer les esprits à cause de sa ressemblance avec le plan en cercles concentriques de la mythique cité de l'Atlantide, renforçant ainsi une tradition tenace d'une colonisation antique d'origine Atlante, de l'Atlas et du Sahara, relayée au 1903 par  Pierre Benoît, avec la publication de son roman, L'Atlantide, mettant en scène Antinéa, reine de la mystérieuse cité du massif du Hoggar, au cœur du Sahara, à l'exemple de l'ancienne Égypte, héritière présumée de la civilisation Atlantidéenne.

     

    La Vierge Noire

     

     Cette structure cyclopéenne de la Mauritanie est visible, sur le tableau de Lizio, dans le prolongement de la chaîne de l'Atlas (représentée par les roches aux Lion / Lionne) aux portes du Sahara (figuré sur le tableau de Lizio par l'aloès-verrat) pour nous signifier l'héritage occulte de la filière Anne (Hannah = grâce, faveur des tradition hébraïque et musulmane), dont les templiers seraient les bénéficiaires (représentation de l'entrée de la nécropole de la vallée des rois et des reines, près de Thèbes / Louxor, et des tombeaux égyptiens, sur la terrasse, au pied du magister templier), par le biais de leur initiation à la doctrine secrète, de la confrérie (zouïa) soufie, signalée sur le tableau de Lizio, par la coiffe du chamelier (de l'arabatier) : fez = tarbouche, couvre-tête, bonnet rouge, pour Fèz = la cité septentrionale marocain, qui est traditionnellement la capitale spirituelle du Maroc et le cœur religieux du Maghreb, associée à la confrérie soufie.

     

    Le Culte Occulté

     

     Le culte de Sainte-Anne, mère de Marie, et grand-mère maternelle de la divinité (Jésus fils de Dieu), diffusé par les textes apocryphes gnostiques, a été largement adopté en Armorique (bien avant les apparitions, du XVIIe siècle, au paysan Nicolazic de Sainte-Anne-d'Auray) car c'était déjà le culte ancestral de la grand-mère mythique des bretons, Ana / Dana, déesse-mère des Tuatha Dé Danann, la mythique tribu d'Ana = déesse tutélaire des divinités de l'Irlande gaélique, êtres surnaturels qui habitent l'Autre Monde et qui interagissent avec les humains.

     

    [NdT : L'Âne et le Bœuf de la Crèche de Bethléhem occultent la Divinité An, adorée par les Rois-Mages.]

     

     

    [NdT : Ana ou An divinité akkadienne ancêtre des Anunna. Son symbole était une couronne à cornes. Son signe cunéiforme était une étoile pouvant signifier aussi bien ciel, dieu ou haut. Son animal-symbole était le taureau (que l'on retrouve dans la chapelle de Sainte Catherine de Lizio et qui l'animal/totem de l'Atlantide) et on lui attribuait le chiffre 60, l’unité de base du système sexagésimal. Cf. : Louis Galador,  Dictionnaire illustré des divinités et des symboles de la Mésopotamie.]

    Le même syncrétisme cultuel s'est opéré, entre Marie et sa mère Anne (respectivement mère et grand-mère de la divinité avec la Sainte-Famille Joseph, Marie et Jésus, fuyant en Égypte les persécutions du roi Hérode) et le culte préexistant à Isisdéesse-mère funéraire et grand-mère tutélaire des populations du nord-africain, de même avec la persistance du culte de la Vierge Noire, qui a été assimilée de la même manière à Sainte-Anne. 

    Dés lors, les membres de la filière Anne, ou filière marocaine, apparaissent bien, ici, comme les héritiers supposés des mystères occultistes et gnostiques de l'Égypte antique (prônant l'emprise des entités métamorphes), avec l'hermétisme, l'alchimie, l'astrologie, les arts divinatoires, la nécromancie, la médecine magique, la thaumaturgie, et les disciplines kabbalistiques, hindouistes, bouddhiques, vaudous, animiques, chamaniques, spirites-médiumniques de la compagnie des rois-mages, comme le prouve la pratique du da'waa (épiclèse = invocation = mantra) des Joumblatts (des âmes d'acier), marabouts soufis, ou celle de la Sema (audition spirituelle) des derviches-tourneurs, et initiés à la communication télépathique individuelle et en réseau (favorisant le parasitage psychique collectif des xénomorphes), et dont les pseudos-templiers de la toile de Lizio seraient les adeptes-associés, ce qui en ferait des simoniaques (gnostiques) détournant les préceptes évangéliques, tout en inversant ainsi le profil authentique de pauvres chevaliers du Christ, restés fidèles à leur règle canonique.

     

    « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »

    [Matthieu 7.15]

     

     

    Le Tricéphale 

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre - Guillaume Chevallier]

     

    Le Temple Occulte

    «  Le Pouvoir Politique est assujetti à l'Autorité Religieuse qui est inféodée à la Puissance Occulte. »

    [Le Tricéphale - Bellator]

     

    Le Tricéphale 

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre - Guillaume Chevallier]

     

    Le Temple Occulte

    par Bellator

     

    L'Archange

    (L'Arc des Anges)


     L'Encodage

     

     L’abbé Auguste Coudray et Michel Roy ont discrètement balisé le chemin des pèlerins, menant au sanctuaire de Sainte Catherine de Notre Dame de Lizio, pour les préparer à recevoir une profession de foi ésotérique, exposée sur le tableau intitulé : « Lucet in Tenebris ».

    La signalétique utilisée repose sur la symbolique, mais aussi sur l'encodage de l'écriture du parlant, du cachant et du signifiant propre aux Mages, aux Gouliards et à la Société Savante des Angéliques.

    Ainsi, sur le pardon menant à la chapelle se présente une fontaine, alimentant un petit bassin qui est aménagé d'un double dallage de fond coloré noir et blanc, renvoyant directement à la symbolique du gonfanon templier beaucéant (de deux couleurs pie : noire et blanche) ; la nuit et le jour, l'obscurité et la lumière, nous incitant à voir au-delà du visible, afin de contempler ce que ce cite sacralisé recèle de non-visible.

    Beaucéant = Beau (et) Céans, autrement-dit, il y a quelque chose de merveilleux (de beau) qui a été dissimulé, ici, en ce lieu (céans).

     

     

    En remontant le cours de l'eau, jusqu'à sa source, la réponse nous est donnée, sous la forme d'un rébus qu'il faut déchiffrer :

    un blason accosté à dextre du nombre 16, et à senestre du nombre 61 (nombres miroirs nous signalant une double chose visible et invisible).

    Ce blason, nous enseigne sur la nature de la merveille à découvrir, et sur le lieu où elle est dissimulée, car il invite implicitement à le blasonner (blasonnement = description par un discours) :

    1/ il s'agit donc d'une parole cachée en attente de sa découverte (puisque le blason, vierge de pièces et de meubles signifie explicitement la table d'attente qu'il faut combler ou remplir) 

    2/ le lieu où l'on peut le décrier pour l'entendre, avec sa forme spécifique qui est celle d'un rectangle triangulé renvoyant au plan général de la nef et du cœur de la chapelle Sainte-Catherine.

    Les nombre 16 et 61 se lisent à la phonétique des Gouliards :

    16 - (contour du blason / chapelle) - 61 

    isix - (contour du blason / chapelle) - sixi

    ici - (contour du blason / chapelle) - ci-git

    Autrement-dit : à l'intérieur de la chapelle Sainte-Catherine vous pourrez voir de vos yeux de chair, une œuvre qu'il vous faudra contempler à la vue éclairée de l'esprit.

     

     

    Au même titre, la date 1616, gravée sur le chapiteau de l'entrée sud de la chapelle, avec ses deux "i" et ses deux "6", est exemplaire pour nous signaler une autre écriture transcrite en :

    i - six (6) - i - six (6) = ici (est) isis,

    cette inscription lapidaire est ainsi très parlante pour les initiés familiers à ce double langage ou écriture.

    Signalons, enfin, que cette dédicace secrète (encodée) à la déesse Isis, à la porte sud du sanctuaire, est directement associé aux templiers :

    avec le symbole de la croix grecque (+) rouge fichée (croix munie d'un pied pointu ou aiguisé), visible sur le montant (senestre) de l'entrée.

    Autrement-dit : préparez-vous à pénétrer dans un sanctuaire du temple occulte, voué et consacré, secrètement à la déesse Isis.

     

     Portail sud de la chapelle de Lizio

    « En quittant mes amis rencontrés à l'étape, là-haut sur la colline, je leur dirai : Adieu laissez-moi repartir, avec le vent, je ne suis pas de ce pays. »

    [Auguste Coudray]

    L'Escarboucle

     

    « Tout ce que je vous dis viendra dans l’autre siècle, plus tard aux deux-mille ans ».

    « Le roi et le pape ne feront qu’un, une seule religion et un seul royaume ». 

    [Maximin Giraud La Très Sainte Vierge Marie aux jeunes bergers de la Salette (1846)]

    « Un pasteur, aimé et élu de Dieu, entrera au temps donné, dans le Temple. Il purgera et réformera l’Église, et tous admireront, stupéfaits. Ce pasteur sera assimilé au Roi David. La primitive unité sera rétablie, tous les membres dépendront du même chef et toutes les bergeries particulières feront partie de l’unique bercail du Christ ». 

    « Ce roi et ce pape ne feront qu’un. Il n’y aura qu’une seule religion et qu’un seul royaume ».

    [Révélation faite par l’Archange Saint Gabriel au Bienheureux Amédée, évêque de Lausanne (1110-1159)] 

    « Toutes mes paroles prophétiques véritables, ô Roi de l’exil, t’appellent et t’acclament ».

    [Marie-Julie du Crucifix prophète (1858-1941)]

     

    «  Le pouvoir politique est assujetti à l'autorité religieuse qui est inféodée à la puissance occulte. »

    [Le Tricéphale - Bellator]

     

    Le Tricéphale 

    « Les politiques sont les métayers et les religieux les fermiers généraux de nos colonisateurs célestes. »

    [Les Têtes de l'Hydre - Guillaume Chevallier]

     

     

    Le Grand Monarque Pontife

    par Bellator


    L'Épiphanie de Lizio

     

     Sur le tableau de Lizio, l'écu d'argent, à enquerre (contraire aux usages pour attirer l'attention), porté par le Saint-Roi, à cheval, recevant l'hommage du jeune janissaire à la tunique rouge accompagné d'un templier, est frappé d'une croix or qui rappelle l'enquerre des armoiries du royaume de Jérusalem avec sa croix or sur argent

     

    Jérusalem si je t'oublie !

    Cette similitude nous renseigne sur l'identité symbolique du Saint-Roi, avec la figure messianique du roi de Jérusalem, le grand prêtre et roi de justice (zédeck) et de paix (salem), Melchizédek, personnage mythique à l'aura céleste (melek = roi et maleakh = ange sont très proches) qui n’est, ni le fils ni le père de personne, sans origine ni fin, ce qui le rend semblable au fils de Dieu ; il est Michael (Michel), Mikaël = Qui est semblable à Dieu, dont la souveraineté est celle de la Jérusalem Célestielle, comme le souligne, sur le tableau de Lizio, l'étendard des Chateaubriand, de gueules (rouge) semé de lys d'or (symbolisant le feu du divin esprit céleste et les lumières aurifères de ses étoiles angéliques).

    [Cf. : Le mystère Melchizedek ( Monde des Religions Juillet/Août 2019 ) — Blanche de Richemont]

     

    Château Brillant de la Jérusalem Céleste

     

    « L'Archange Michel rassemblera les saints autour de la bannière de Dieu. »

     [Enim Praescius Cor]

     

    L'immanence transcendante de son éternité l'a fait représenter sous l'image chimérique du Phénix, l'oiseau de feu (rouge comme la tunique du Saint-Roi), dont la renaissance est perpétuelle, nichant dans un palmier-dattier (Phoenix dactylifera), qui, sur le tableau de Lizio, l'adombre de ses palmes, ultime confirmation de sa souveraineté-sacerdotale.

    Ce renaissant perpétuel, est aussi représenté sur le tableau de Lizio, allongé et apparemment en dormition (sommeil provisoire avant la résurrection), en arrière-plan avec les monts, sous la représentation d'un vénérable sage, figure emblématique du Roi du Monde, inhérent à la tradition primordiale universelle, propre à la religion.

     [Cf. : Le Grand Monarque - Orden de Chevalerie (orden-de-chevalerie.org)]

     

     [Cf. : Chapitre CXVII : Le Temple Occulte - Les Capsules Temporelles (5) - L’Apocalypse des Ovnis (eklablog.com)]

     

    L'épiphanie (prise de conscience, éclairage) fondatrice du tableau de Lizio apparait, dès lors, comme l'annonce du retour d'un grand monarque et pontife (d'où la bannière du Vatican à la triple tiare et clefs en sautoir du souverain pontife, représentée sur la toile de Lizio), roi et prêtre, selon l'Ordre de Melchizédek, grand roi-mage, marqué de l'étoile à l'escarboucle rubis étoilée (figurée sur la bannière et les manteaux des Templiers), et surnommé Mikaël, exerçant sa mission unificatrice et pacificatrice, selon l'évangile (= la bonne nouvelle) du divin Sauveur.

     

    Le Roy du Monde

    (Griffon gardien céleste)

     

    Leopardes !

     

    « Je me nourris à la fleur de l'arbre de vie » 

     

     

    Le Pont de Sépharée

    Bellator

     


     « Sept Cavaliers quittèrent la Ville au crépuscule, face au soleil couchant, par la porte de l'Ouest qui n'était plus gardée. Tête haute, sans se cacher, au contraire de touts ceux qui avaient quitté la ville, car ils ne fuyaient pas, ils ne trahissaient rien, espéraient moins encore et se gardaient d'imaginer. Ainsi étaient-ils armés, le cœur et l'âme désencombrés scintillant froidement comme du cristal, pour le voyage qui les attendait. Sur ordre du margrave héréditaire, simplement, ils allaient, ils s'étaient mis en mouvement et le plus jeune d'entre eux, qui n'avait pas seize ans, fredonnait une chanson. »

    [Sept Cavaliers de Jean Raspail - 1993]

    Le Margrave

     

     Sept Cavaliers, est un roman éditée (en 1993) de Jean Raspail, et adapté, en Bandes Dessinées, par Jacques Terpan (en 2009).

     

    Les  7  Cavaliers

     

     

    Une contrée au XIXe siècle, placée sous l'autorité d'un Margrave, ou marquis ou comte de la marche, en charge de la garde de la frontière, a été dévastée par une mystérieuse pandémie rendant furieux les jeunes, qui sont pris de folie-meurtrière, et dévastent le pays.

    La citadelle et la contrée du Margrave est totalement isolée et désertée par ses habitants.

    Le Margrave héréditaire, qui ne règne plus que sur une terre à l’agonie, charge 7 cavaliers (7 chevaliers) d'explorer au-delà des murs de sa citadelle, et si possible retrouver sa fille, Myriam, à la ville de Sépharée, le poste-frontière, sur le fleuve, qui devient le but ultime de leur voyage.

     

    Le Pont de Sépharée

     

     Ces deux œuvres, le tableau de Lizio, « Lucet in Tenebris » et le roman les « Sept Cavaliers », partagent des thèmes, introduisant et révélant une trame allégorique, directrice, unique et sous-jacente. 

    La citadelle et les 7 acteurs (présents dans les deux œuvres) sont les supports fondateurs de ce narratif communautaire.

    Le 7, étant le symbole du chercheur de vérité absolue, et la citadelle, la représentation de la civilisation humaine, en quête du sens de sa propre destinée.

    Le roman de Jean Raspail imagine directement la signification de cette quête, avec le Pèlerinage des 7, à Sépharée, via le Pont de Sépharée, transposition du Pont de Séphora, qui fait le lien avec le chant subtil des oiseaux, des volatiles éthérés, unissant le monde matériel, physique, et le monde immatériel, métaphysique, du territoire des Vallées (en référence aux Vallées des Sépulcres des Rois et des Reines Égyptiennes), où réside Myriam.

    Il incombe aux 7 héros de Jean Raspail de franchir le fleuve-frontière séparant la sphère naturelle visible du Margrave, de la sphère surnaturelle invisible (dissimulée par la brume) de sa fille Myriam (la Bien-Aimée recherchée), afin de les lier et de réaliser leur interdépendance consubstantielle (au-delà du Pont de Sépharée / Séphora, où la causalité et la temporalité sont inversées), cratophanie / épiphanie de la prééminence d'une surréalité, ordonnée par l'une et orientée par l'autre.

    La grande chevauchée de ces 7 éclaireurs manifeste la fonction opérative du pontificat et du pontifex (figurée sur le tableau de Lizio par le bannière du Vatican) emblème du pontifex maximus, le gardien des portes et le porteur des clefs, celui de l'explorateur de l'Autre-Monde, dont il est l'ambassadeur-légataire attitré et le représentant sur Terre.

     

     

     Ciel - Mer - Terre

     

     

    Le Fanal / Sentinelle (le Fanil Ouest de la Porte de Saint-Gabriel)

     

     

     Cf.  Les Signes du Ciel - Le Royaume du Grand Monarque L'Aigle Rapace - Lux Dies - Les Portes du Ciel Ouvertes sur la Nuit de notre Destin - Le Roi des Aulnes - L'Epée du Seigneur - L’Oeil de l'Afrique - La Doctrine Secrète - Le Temple Occulte - Lucet in Tenebris -  Les Hommes et le Ciel - Star Wars - Le Testament des Templiers - La Science de l'Art - Les Ressuscités - Les Hommes Libres - La Porte à Trois Tenailles - Les Ides de Mars - Le Char du Guerrier - Les Cendres La Super Nova - Le Collège Sacré InvisibleL'Île des Bienheureux - Les Chimères Extraterrestres - Hybridation/Hiérogamie - Les Ovnis en Direct / Live - Les Apothéoses - La Guerre des Mondes - Lifeforce - La Colonisation Alien - Les Attrape-Rêves - La Transfiguration


    Les Capsules Temporelles 

     

     

    Le Bouclier Ardent

     

     

     

     

    01 fois, c'est le hasard, 02 fois c'est une coïncidence, 03 fois, c'est tout le contraire !

    Les Apparitions des Ovnis et les Manifestations des Surnaturels en Normandie

    Les Ovnis et les Surnaturels

     

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    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

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    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

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    Crop-Circles - 2023 - Partie 04

    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

    Crop-Circles - 2023 - Partie 06 

     

    L'Hyper-Physique des Aliens !

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