Le Blason Oublié - Part XVI

L’Étreinte Céleste 

Bellator

Guillaume Chevallier

Holiday's Midnight

Cet agrogramme est la représentation de l'Astrolabe/Symbolique des Mages-Astrologues appelé, l'Anaak de Kaalamon (l’Étreinte de la Sagesse Céleste).

L’Étreinte de la Sagesse Céleste (épiphanie du ravissement angélique) est celle des Rencontres Rapprochées, figurées par le Kamon (le blason japonais) de l’Étoile et de la Lune.

Visite d'un Ange (losange au cœur de l’Étoile) de la Sphère Céleste (le demi-grand croissant) venu rencontrer un résident du Globe Sub-Lunaire (la Terre, le demi-petit croissant), au cours des conjonctions Tétramorphiques terrestres/célestes de l'Axe Polaire Céleste Nord/Sud et de l'Orientation Est/Ouest Terrestre (la Croix Pommetée symbolisant les 4 Régents Célestes du Verseau, de l'Aigle/Scorpion, du Lion, du Taureau), comme le chante Anaak dans Holiday's Midnight. Guillaume Chevallier

Holiday's Midnight - Anaak

Sans cible, je ne vise, ni la lune, ni les étoiles, et j'atterris en guise, de but final, toujours sur la banquise, de mes idées glaciales, de mes idées glaciales. 

Sensible à l'abandon, en première je voyage, dans un état second, qui ressemble au naufrage, mais qui fait illusion, aux gens de passage, aux gens de passage.

Sensible, trop sensible, toutes ces voix inaudibles, qui disent de laisser faire, je voudrais les faire taire, sensible, trop sensible, je suis tellement hostile, aux balises, aux repères, que toujours je me perds.

Sans cible, je me crible, de balles en plein poumons, je respire dans le vide, je recrache les démons, et je perds l'équilibre, à chercher le frisson, à chercher le frisson, sensible, je guette, l'étrange à ma fenêtre, les fantômes, les silhouettes, dans le mille de ma tête, regarde comme elle est faite, regarde comme elle est faite...

Sensible, trop sensible, toutes ces voix inaudibles, qui disent de laisser faire, je voudrais les faire taire, sensible, trop sensible, je suis tellement hostile, aux balises, aux repères, que toujours je me perds. Holiday's Midnight - Anaak

Guillain de Bénouville (14)

l'égide

le tutorat et le protectorat

De sable, au chevron d'or, accompagné en chef d'un croissant d'argent à dextre, et d'une étoile à six rais d'or à senestre, et en pointe d'un lion du même lampassé et armé de gueules.

La pratique de la science des Mages-Occultistes qui transcende les présupposés ethniques, étatiques et religieux et sa signalétique est présente jusque sur les emblèmes officiels historiques, culturels, institutionnels, familiaux de tous pays, de l'Orient, au Moyen-Orient, à l'Occident.

L'utilisation du symbole de l’Étoile et du Croissant le prouve avec nombre de drapeaux nationaux/organisations qui l'arborent, comme l'Algérie, l'Azerbaïdjan, des Bosniaques, Chypre du Nord, les Comores, la communauté Turque d'Allemagne, le gouvernement provisoire de Thrace Occidentale, de Hyderabad, (les indépendantistes de Aceh, le khédivat d'Égypte, la Libye, la Mauritanie, la Malaisie, l'Ouzbékistan, le Pakistan, la première République du Turkestan Oriental, la République du Hatay, la République des Maldives, la résistance Turco-Palestinienne, le Tatarstan, la Roumélie, de Siddi, de Singapour, les Turcomans d'Irak, le Turkestan Sud, le Turkménistan, la Tunisie, la Turquie, etc.

Famille de l'Ange et des Anges de la Bourgogne

D'azur à l'étoile d'or accompagnée en pointe d'un croissant d'argent.

Cette association/conjonction de l’Étoile et du Croissant est aussi mise à l'honneur sur les blasons, comme au Japon avec l'Anaak de Kaalamon, ou par exemple en Normandie avec les Guillain de Bénouville, ou en Angleterre à Portsmouth, en lien avec le blason de Constantinople, et des familles établies en France, des Anges de Commènes, de Byzance, de Dalmatie, de Croatie, de Bosnie et d'Arménie etc.

Blason de Portsmouth

Heaven's Light Our Guide

La Lumière du Ciel est notre Guide

D'azur à l'étoile flamboyante à six rais d'or accompagnée en pointe d'un croissant du même.

 William Longchamp chancelier du roi Richard-Cœur-de-Lion 

D'or à l'étoile flamboyante à six rais de gueules accompagnée en pointe d'un croissant du même.

L'origine du couple Étoile/Croissant symbolise la manifestation/l'apparition d'une cratophanie divine/céleste, qui traverse constamment notre histoire commune :

 comme au Japon, avec l'intervention  surnaturelle du dragon aptère dont l'étoile/ronde est l'œil, le croissant le monde sub-lunaire ;

ou, avec le signe du Chrisme primitif le I (iota) et le X (khi) associé à la Croix Grecque (+) = l'astérisque/escarboucle, comme représentation de l'union de la sphère céleste et du globe terrestre, que l’empereur romain Constantin Ier a vu apparaître en rêve, accompagné de ce message par ce signe tu vaincras (In hoc signo vinces),  ce qui lui apporta la victoire à la bataille du Pont Milvius, en 312 ;

ou encore, avec la vision d'un croissant et d'une étoile apparues à Mehmed II, la nuit de la chute de Constantinople en 1453, etc.

Périhélies/P - Aphélies/A des Astres

Croix /Astérisque des Levers et des Couchers aux Équinoxes et aux Solstices

Chrisme: symbole chrétien composé des lettres grecques khi et rhô les deux premières lettres du mot Χριστός (Christ)

La marque de l’Étoile/Croissant est celle de la Compagnie occulte des Rois-Mages, comme le signale le blason mythique du Roi-Mage Gaspard.

Blason mythique du Roi-Mage Gaspard

D'autre éléments symboliques affirment l'existence de cette signalétique, comme le blason de Jean de Gisors, fondateur de Portsmouth et seigneur du fief de Gisors en Normandie dont le château est une forteresse réputée occultiste (cf. la rupture de la Paix de l'Ormeau Ferré du 15/08/1188, rupture des mots de l'or/or-meau, dont les chevaliers/porteurs de la Croix-Ferrée/templiers portent le Verbe/Parole-Divine) :

Château de Gisors (27) - Sanctuaire Occulte

 Les premiers maçons (de free-mason-stone : ceux qui sculptent la pierre blanche de calcaire au grain fin et tendre qui se taille facilement et ancêtres des francs-maçons du XVIIIe siècle) étaient connus en France depuis les environs du VIIIe siècle.

Ils furent soupçonnés de s'adonner aux sciences occultes, à l'alchimie, à l'astrologie et d'être des sorciers.

L'Église les combattit, et en 1189, le synode de Rouen fulminait contre ces sociétés que la Sainte Église a en horreur.

Un document donnant la liste des grands maîtres de la maçonnerie indique, au titre de l'année 1066, le nom du seigneur normand Roger de Montgomery, compagnon du duc Guillaume à Hastings cette même année.

C'est un fils de Roger de Montgomery, Robert de Bellême, comte d'Exmes (61), qui, selon un de ses biographes modernes, le vicomte de Motey, était un véritable personnage diabolique dont on ne prononçait le nom qu'avec crainte, ses gestes, vrais ou faux, étaient des choses merveilleuses qu'on racontait avec effroi, et on pensait qu'il était l'incarnation d'une sorte de démon, fut le bâtisseur du château de Gisors, dont il établit le plan et dirigea personnellement les travaux, signes d'appartenance à cette mystérieuse corporation des frères maçons.

Le roi Henri Ier d'Angleterre, fils du duc Guillaume de Normandie, lui-même grand maître des maçons d'Angleterre, fit vers 1110, achever la construction du château de Gisors, par des maçons-architectes Templiers, selon la norme hermétique, et en fonction de l'état du ciel du 24 décembre à minuit, pour y installer un sanctuaire souterrain réservé aux pratiques occultes (Les Templiers furent accusés, en 1307, d'hérésie, d'occultisme, de magie et de sorcellerie ; et le donjon du château de Gisors recèle de mystérieux graffiti, que l'on retrouve aux forteresses de Chinon (37) ou de Domme (24), où furent incarcérés les Templiers.).

Sources : Thory Acta Latomorum, Publ. Anderson, 1715. E. H. Langlois, Mémoire sur les tombeaux Gallo-Romains découverts à Rouen.

Le Trésor des Templiers 

Le château de Gisors est une construction du XIè siècle (1096) décidée par Guillaume II d'Angleterre et confiée à Robert II de Bellême dont le donjon occupe une motte castrale. 

Il est célèbre par la légende populaire du trésor des templiers qui y serait caché (ainsi que des cantines militaires contenant les archives de la Résistances Française), mais les templiers n'en ont eu la responsabilité qu'entre 1158 et 1160 (30 ans après la création de l'ordre).

La présence templière à Gisors n'est pas à nier. Elle a, au contraire, bien eu lieu : entre 1158 et 1161, 3 chevaliers de l'ordre du Temple seraient restés dans la forteresse. Ils s'appelaient Richard de Hastings, Toestes de Saint Omer et Robert de Pirou. Puis quatre dignitaires de l'ordre du Temple y ont été brièvement prisonniers en 1314 lors de la chute de l'ordre.

Dans les années 1950 (et pendant l'occupation), le gardien du château, Roger Lhomoy, entreprit le creusement de nombreux souterrains qui finirent par déstabiliser la motte et provoquer des fissures dans le donjon. 

En mars 1946, après des fouilles acharnées, Roger Lhomoy découvre une chapelle qu'il décrira fort bien :

" Ce que j'ai vu à ce moment là, je ne l'oublierais jamais car c'était un spectacle fantastique. Je suis dans une chapelle romane en pierre de Louveciennes longue de 30 m, large de 9 m, haute d'environ 4,50 m à la clef de voûte.

Le long de murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 m de long et de 60 cm de large : il y en a 19.

Et dans la nef, ce qu'éclaire ma curiosité est incroyable : 30 coffres en métal précieux, rangés par colonnes de 10.

Et le mot coffre est insuffisant : c'est plutôt d'armoires couchées dont il faudrait parler, d'armoires dont chacune mesure 2,50 m de longueur, 1,80 m de hauteur, 1,60 m de largeur ".

L'homme assura avoir découvert des salles souterraines ainsi qu'une chapelle (Sainte-Catherine) contenant le fabuleux trésor. Le maire ainsi que plusieurs habitants se rendirent sur les lieux mais le souterrain était tellement profond que personne ne voulut descendre. Le gardien reçut l'ordre de reboucher les creux et personne ne put vérifier ses dires.

Des fouilles organisées en 1964 par le ministère de la Culture au château de Gisors pour retrouver le trésor des templiers à la suite du signalement de son jardinier et gardien, Roger Lhomoy, n'ont abouti à rien (pour autant, Michel Roy a témoigné avoir vu des camions lourdement chargés quitter le château de nuit).

Les fondations du château ont été hautement déstabilisées par ces recherches. Un souterrain relierait le château à la tour de la Reine Blanche située à Neaufles-Saint-Martin, à 3 km du château. Sources : Wikipédia - Ville de Gisors - Bellator.

La Croix percée des Templiers

Croix de pierre qui a peut-être été taillée dans un ancien menhir.

Le mégalithe est situé dans un champ au bord de la route départementale entre les communes de Neaufles-Saint-Martin et Gisors.

La Croix du Soleil

Les Land-Arts sont des Origamis (= plier + papier =art sacré chinois/japonais) que l'on doit déplier pour révéler leur trame secrète ; sur celui-ci, l'on peut distinguer clairement le (double) pointage, en obèle = signe discret pour signaler un renvoi/une notation supplémentaire, dont il faut s'enquérir = les 8 petits trous laissant passer la lumière (en jaune) et accompagnant le sillon (les 4 petits traits/raccords, en jaune) initié (initial) de la trame invisible originelle, son point némo, au centre, sur lequel il est forgé ; en prolongeant ces traits nous obtenons le Cercle Crucifère (en rouge) qui est le cœur qui anime ce Crop-Cirles.

Ce Cercle Crucifère (Croix du Soleil et symbole du Christ en Occident) est appelé le Kutsuwa au Japon, et est utilisé comme signe d’identification secrète par les chrétiens nippons.

Le Kutsuwa figure la forme des anneaux latéraux sur la mèche (embout buccal du mord de cheval) de la bride d’un cheval ; Saigo Takamori (1828-77) qui est considéré comme le dernier Samouraï Guerrier de Kagoshima (Samouraï = Serviteur Combattant = Chevalier) du Japon, a été à la base du film de 2003 : Le Dernier Samouraï, arborait le symbole du Kutsuwa sur ses bannières.

Les 4 petits anneaux périphériques entrelacés autour du Kutsuwa sont l'évocation des 4 Fers à Cheval qui composent la Croix Ferrée, emblème de la Chevalerie.

Cet Agrogramme met donc à l'Honneur la Fleur de la Chevalerie (le 05/07/2017 est le jour de la fête de St Antoine = Fleur Inestimable) qui est celle des Chevaliers du Christ (les 8 petits trous qui laissent passer sa lumière, renvoient au 8 formé par l'analemme, l'orbite annuelle apparente, du Soleil qui est la demeure du Christ. Guillaume Chevallier

Le Sigillum Christi/Sceau du Christ

 Jean de Gisors

 De gueules, à la croix engrêlée d'or.

Le blason de Gisors est la figuration  du Sigillum Christi du tétramorphe des quatre vivants/les nuées spirituelles rouges/feu qui cantonnent la croix or, présents dans le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean, pour souligner la portée universelle de la résurrection/transfiguration du Christ/soleil, et de l'action du tétramorphe des 4 éléments Feu, Eau, Air et Terre qui, selon une croyance des mages de l’occulte, sont les bras armés de la nature qu’elle déchaîne lorsque son intégrité est menacée, placés sous l'autorité des 4 Vivants/Animaux Zodiacaux Céleste qui escortent traditionnellement la Mandorle du Christ, souvent sculptés sur le tympan des églises romanes : la constellation du Verseau (l'Ange), la constellation du Lion (le Lion), la constellation du Taureau (le Taureau), la constellation du Scorpion (l'Aigle).

Les Nouveaux Blasons des Crop-Circles

La plupart des Crop-Circles traitent, également, depuis le XXe siècle, de phénomènes astronomiques, de l'activité solaire, de visiteurs des étoiles, sous la norme d'une écriture symbolique et kabbalistique pratiquée par les Mages-Astronomes, dont l'office en thaumaturgie est d'interpréter les signes célestes et de communiquer avec les entités célestes, cette doctrine continue à envahir, subrepticement, notre espace-temporel, par l'implantation de diverses marques occultes (viatiques de possession), dont les Crop-Circles sont les supports kabbalistiques (de la cavale spirite) et les devises (sceaux magiques de domination) actualisées de cette ingérence. 

Le Fax/Fac Simile de l’Étreinte Céleste

Périhélies et Aphélies des Astres des 4 Vivants

De gueules au Chrisme au pied ancré d'or prolongé en chef par le Chiffre 4 à la barre transversale croisetée du même.

L’Étreinte Céleste, dont le couple Étoile-Lune est la représentation tutélaire, a ses applications Thaumaturgiques à l'occasion des Rencontres Rapprochées où les personnes sont étreintes par les esprits célestes, appelées hiérogamies surnaturelles par les anciens, d'où la légende des Comtes Angevins « l’Ange...Vint » dits Ingelger / Engilger = signifiant nés des Anges / Élohim, ces fameux Anges-Volants-Non-Identifiés décrits par Maurice Guingand qui s'hybrident/se marient volontiers avec les humains, et que les modernes nomment clonages / hybridations d'origine aliens. [Cf. : Sur la piste des anges non identifiés - Maurice Guingand - 1976].

Les Rencontres Rapprochées Surnaturelles

La géo-localisation des Rencontres Rapprochées avec les Anges-Volants-Non-Identifiés, met en évidence un ancien maillage équilatéral, dont la mesure des côtés de 18 666 m est proportionnée à la norme kabbalistique du chiffre 666 symbolique de la Bête fait Homme (hiérogamie spirituelle), ou Clef Pax 681 (liée au cycle lunaire des levers de la pleine lune de 18.6 ans), commune aux 3 lieues antiques, ou distance d'une marche rituelle, parcourue par un homme pendant une heure, soit : 2,220 km ou 222 dm x 3 = 666, c'est-à-dire le chiffre de l'Homme fait Bête à Bon-Dieu, offert en oblation sacrificielle à ces Entités Éthérées Endo-Exogènes.

Selon la doctrine occulte des Mages-Astronomes, la Clef Pax 681, ouvre le portail multidimensionnel des Castrum Templum aux Voyageurs et aux Messagers des Étoiles.

La Milice du Ciel

Cet agrogramme est une représentation de la Célèbre Vision/Rencontre Rapprochée du Troisième Type des Deux Roues Concentriques et des Créatures Tétramorphes (Polymorphes), rapportée par le Prophète et Prête Ézéchiel, près du fleuve Keba, en Chaldée, 593 avant J. C.

Ces Créatures Tétramorphes ont été associées par la suite  aux Quatre Évangélistes, Mathieu pour l'Ange, Jean pour l'Aigle, Luc pour le Taureau et Marc pour le Lion, en tant que représentant des Quatre Animaux Vivants = Êtres Doués de Vie, du Char Céleste de la Vision d'Ézéchiel et du Trône Divin de la Vision de Saint Jean, que sont les Arc-Anges ou Étoiles (ou Anges/Ardents) Célestes de la Milice Chevaleresque Célestielle (le choix du 05/06/2009 ; le jour de la fête de St-Igor = le Guerrier, le confirme). Guillaume Chevallier 

 L'Arrivée

Ce Land-Art signale l'arrivée dans notre système solaire d'un Vaisseau des Stellaires, qui a été repéré la veille, le 20/06/2006, et catalogué comme la Comète C/2006 M4 (Swan) ayant une trajectoire hyperbolique et une excentricité élevée.

Ce type de Vaisseau est quasi-unanimement déclaré comme étant une Comète, par la communauté officielle des astronomes (à la manière des dissimulateurs du Géipan, en France, qui réduisent, bien-souvent, les Ovnis à de prosaïques Lanternes Thaïlandaises), excepté par  les astronomes lucifériens du Vatican qui reconnaissent l'existence de nombres d'arrivées de nos Visiteurs Exogènes.

les Anciens, eux, parlent, dans leurs chroniques, des Âmes Vagabondes, des Marcheurs des Étoiles, et du Pèlerinages des Météores (= Vaisseaux de Lumière) observés au moment de l'ouverture des Portails Astronomiques, comme le Solstice d’Été de ce 21/06/2006.

Ce Crop-Circles nous montre un Vaisseau en Pointe de Diamant ou Arche des Anges (Archanges), associé à une trajectoire héliocentrique en forme de spirale, évoquant l'origine galactique de ces Visiteurs Interstellaires.

Le choix de Hessen (= la Terre) nous précise la destination de leur Vaisseau (qui est dupliqué sous l a forme d'un disque noir auréolé sur le dessin de la spirale) : notre Planète  la Terre ; tandis que le glyphe du Soleil, cercle pointé (au centre de la spirale), accosté du Croissant de Lune (en blanc) nous révèle leur destination d'arrivée : une de leurs bases lunaires. Guillaume Chevallier

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