• Les Piliers

     

    « Sancta Maria, Ora Pro Nobis. »

    [Sainte Marie, priez pour nous.]

     

    « Lorsque les dieux écartent les sphères pour observer l’humanité et la terre, quelques étoiles s’échappent par le vide créé, c'est le moment propice pour parler aux dieux, en formulant un vœu ou une prière. »

    [Claude Ptolémée - IIe siècle]

     

     

    Les Piliers

    Bellator

    Guillaume Chevallier  

     

    [Rabat (11) - Capitale du Royaume du Maroc - habitants :  231 000 ( 1949.36 hab/km2) en 1960 - 275 000 ( 2320.37 hab/km2) en 1971 - 1 781 740  (5 447 hab/km2) en 2014 - Superficie : 118,5 km2 - Climat méditerranéen semi-aride à influence maritime ou continentale océanique]

     

    Étendard Royal du Maroc

    les 5 piliers

     

    Shahada (la profession de foi) ; Zakât (l'aumône) ; hajj (le pèlerinage) ; le sawm (le jeûne) ;  lalât (la prière).

     

     

    RR2 du 08/12/1968 - à 03 h 30 - El-Harhoura - Rabat - au Maroc - de Mr et Mme Caviglioli - Source : L'Histoire des ovnis au Maroc - Gérard Lebat

     

    8 DECEMBRE 1968 - El-Harhoura - RABAT - Source : L'Histoire des ovnis au Maroc - Gérard Lebat


    Par M. DUTUIT dans LDLN contact lecteur n99bis de mai 1969à Rabat une soucoupe volante se pose
     

    Le dimanche 8 décembre 1968, à 3 h 30 du matin, M. et Mme Caviglioli viennent de quitter Rabat en voiture en direction de Casablanca, leur résidence.


    II y a peu de circulation à cette heure, la route est libre, la voiture fonce dans la nuit ; le ciel est noir, teinté de rouge. Ils arrivent à l'entrée de Rabat, 3 km avant l'embranchement d'Harhoura.


    A côté de son mari, Mme Caviglioli lui dit soudain : « ...Regarde la lune, elle est bizarre ce soir... elle est toute rouge ! »
    « ...Luna rossa... la, la, la... », fredonne !e conducteur.


    « ...Mais, regarde! elle tourne... elle va tomber... »


    Et, en effet, derrière les arbres, cette espèce de lune rouge descend du ciel. Elle va plus vite que la voiture, beaucoup plus vite, et paraît tourner sur elle-même... Elle s'approche du sol et soudain s'arrête, et c'est fait, la « chose » vient de se poser en peu en avant de la voiture, à 800 mètres de nos témoins.


    Le conducteur ne plaisante plus, ne chantonne plus, il a stoppé la voiture pour mieux observer.


    « Un spectacle impressionnant », dira-t-il plus tard. « Je frissonne quand j'y pense », ajoute Mme Caviglioli.


    L'objet rougeoyant et étincelant qui fonçait dans le ciel, dans un tournoiement vertical, éclaira sa descente de faisceaux lumineux multicolores dirigés perpendiculairement au sol.

     

    II est là maintenant, posé ou presque au-dessus d'un champ bordant la route.


    II apparaît un moment sous la forme d'un « cigare » auréolé de lumière rouge : comme deux assiettes renversées, dira M. Caviglioli à notre correspondant, M. Dutuit.


    Quelques minutes s'écoulent, et au centre du « cigare » s'éclaire un rectangle d'un blanc brillant non aveuglant, des projections lumineuses partent du dessous de l'engin, éclairant le terrain au- dessous. II est rare, nous semble-t-il, de trouver dans nos récits d'observation, une description aussi complète d'un atterrissage d'engin ; on les voit partir le plus souvent.


    De leur voiture, à 800 m de là, tous phares éteints, nos deux témoins observent ce qu'il va se passer.


    « Pas de doute, c'est une soucoupe », dit le mari. « ...Partons, j'ai peur », répond Mme Caviglioli. Au même moment, la « chose » se soulève, vient vers eux, oscillant légèrement « comme sur des coussins d'air, au ras du sol ».

    Elle progresse, Mme Caviglioli s'affole : « ...Partons vite, on ne sait pas ce qu'il va se passer, ce qu'ils vont faire... ».


    Mais, voici que l'engin opère une marche arrière, et au même instant la voiture reprend sa route...


    « Je serais bien resté sur place, dit M. Caviglioli, mais ma femme avait très peur ».


    Plus loin, la curiosité fut plus forte que la peur. Ils arrêtent leur voiture et M. Caviglioli tente de s'approcher du lieu de l'atterrissage, en contournant une élévation de terrain.


    L'engin avait disparu, il ne reste plus, à son emplacement, qu'une lueur rouge braise, comparable à la réverbération d'une ville pendant la nuit.
     

    M. Caviglioli est architecte et c'est un homme très sérieux. II est retourné plusieurs fois, mais en vain, sur le lieu de ''atterrissage pour recueillir des indices.

    C'est M. Dutuit, notre correspondant à Casablanca, qui a recueilli, auprès de M. et Mme Caviglioli, quelques renseignements complémentaires sur cette observation qui a été publiée par  : « La Vigie Marocaine » (l'ouverture était blanche et non orange).


    Le dessin composé par M. Caviglioli est extrait du journal.


    Nous espérons quelques détails complémentaires en liaison avec les failles (à l'heure où nous écrivons, un séisme assez violent vient d'avoir lieu), ils ne nous sont pas parvenus. Nous pensons que tel quel, ce récit présente beaucoup d'intérêt.


    N.D.L.R. - De Nice, en dernière minute, M. Watrin nous adresse un plan et croquis de la ville et de la région. Nous sommes en mesure de préciser que l'atterrissage a eu lieu sur faille géologique.

     

    D’après le dessin composé par M. Caviglioli  extrait du journal « La Vigie Marocaine »

    Source : L'Histoire des ovnis au Maroc - Gérard Lebat

     


    L’OBSERVATION EST ICI PLACÉE A UNE DATE DIFFÉRENTE
    NUIT DU 30- 11- 1968 AU 1- 12 – 1968 RABAT


    Entre Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969) :


    Non loin de Rabat, et sur la côte occidentale du Maroc, M. et Mme Caviglioli furent, dans la nuit du 30.11 au 1.12.1968, les témoins d'une étrange apparition. Cet incident donna lieu à un article dans « La Vigie Marocaine » du 8.12.68 et fit l'objet d'une brève mention dans « Paris-Jour » du 10.12.68, mention que J.-L. Becquereau eut l'obligeance de nous faire parvenir.


    Nous aurions pu en rester là - tant d'observations nous parviennent dont il ne nous est pas possible de faire état ! - si nous n'avions reçu d'un de nos membres résidant au Maroc, M. D., une lettre datée du 13.12.68 dans laquelle il nous faisait part de son intention de mener sur ce cas une enquête approfondie.


    Quelque temps après, il nous adressa un compte rendu provisoire qui fut suivi de ce qu'il considéra comme le rapport définitif.


    L'observation elle-même est des plus intéressantes mais la qualité de l'enquête menée par Mr. D. ajoute encore à cet intérêt.


    Nous avons eu le plaisir de rencontrer à Paris Mr. D. et il nous a inspiré la plus entière confiance. Le fait que nous pensions plus prudent de lui conserver, pour des raisons d'ordre professionnel, un certain anonymat, ne doit lui retirer aux yeux de nos lecteurs aucun crédit.


    Comme il nous l'a lui-même suggéré, nous dirons ici que notre correspondant appartient à un service scientifique de recherche où il se consacre à des études visant un tout autre sujet que celui qui nous préoccupe.


    Il y a un peu plus d'un an, mésestimant - à son jugement actuel - la masse, la cohérence, la signification des témoignages sur le phénomène OVNI, et pensant que, de ce fait, ledit phénomène n'était pas encore mûr pour l'étude, il était enclin à le considérer avec scepticisme.


    C'est un témoignage du type IV A de Jacques l'allée (1), rapporté par un des ouvriers travaillant sous sa direction, qui déclencha chez lui, sur la base de réflexions personnelles, la prise de conscience de la réalité possible des OVNIs, une prise de conscience qui fut accélérée par son étude ultérieure des travaux concernant ces objets. L'ouvrier en question était un paysan berbère illettré, n'ayant subi, dans ce domaine aucune influence psychosociale et dont
    le témoignage fut ensuite corroboré par celui d'autres paysans berbères habitant dans la même région.


    L'enquête qu'on va lire est la première faite en cette matière par ce chercheur.
     

    Conditions de l'enquête.


    L'enquête a été menée comme il suit :


    - Une relation générale de l'observation a été faite par M. Caviglioli. Des précisions étaient demandées au témoin au cours du récit, La sincérité, l'esprit critique et la mémoire du témoin étaient testés chaque fois que possible.


    M. Caviglioli, qui est architecte, accompagnait son récit de nombreux dessins.


    - M. Caviglioli me conduisit le lendemain sur les lieux de son observation. Son épouse était présente et tous deux effectuèrent au cours du trajet, parcouru lentement, une sorte de reconstitution qui me permit de noter quelques différences entre ce qu'avait perçu M. Caviglioli et ce qu'avait perçu son épouse.

    Ces différences, minimes d'ailleurs, dans les témoignages seront notées dans le compte rendu d'enquête.


    - Un questionnaire préalablement établi d'après l'ouvrage des Vallée (.1. et l. Vallée), « Les phénomènes insolites de l'espace », La Table Ronde, Paris 1966) a été soumis à M. Caviglioli, après qu'il eut fait son exposé général, dans le but de lui faire approfondir plusieurs aspects de son témoignage et de ne rien oublier qui soit essentiel.


    - L'enquêteur est ensuite retourné seul sur le terrain.


    Ce travail a été effectué les 15, 16 et 17 janvier 1969, donc un mois et demi après l'événement. L'objet a été vu par les témoins du bord de la route par une nuit très noire. Des pluies torrentielles ont sévi à plusieurs reprises entre l'observation et l'enquête. Par conséquent, bien que les témoins connaissent parfaitement la route de Casabianca à Rabat, une certaine imprécision règne en ce qui concerne la connaissance du lieu d'atterrissage et le couloir de déplacement de l'« objet » au sol, qui ne peuvent être donnés qu'à 300 m près.

    Une visite des lieux ne nous a rien montré de particulier. De toute façon, dans ce cas, étant donné le délai après lequel a été effectuée l'enquête, et les autres circonstances dont il a été question plus haut, les erreurs qui pourraient naître d'un examen trop imaginatif du terrain sont trop aisées à commettre pour que l'on se risque à cet examen.


    Généralités.


    L'avis de l'enquêteur ayant, dans les enquêtes concernant les Objets Volants Non Identifiés, une certaine importance, je dirai que les témoignages ont été précis, surtout celui de M Caviglioli, et que leur honnêteté ne semble pas devoir être mise en cause. Sur le plan professionnel, M. Caviglioli avait probablement plus à perdre qu'à gagner en laissant publier le récit de ce qu'il avait vu.

    Peut-être faut-il signaler que, rentrés à leur domicile à Casablanca à 6 heures du matin, les témoins ne dormirent que quelques heures et repartirent immédiatement vers Rabat pour voir si la configuration du terrain, les points de repère qu'ils avaient pris, correspondaient bien à la réalité. Ils étaient à tel point ébranlés par leur nuit, qu'ils ne répondirent même pas à des amis qui leur faisaient signe d'arrêter sur leur route.


    La remarque que je ferai maintenant est assez formelle car, comme le souligne Vallée dans l'ouvrage déjà cité, la cohérence ou l'incohérence de l’ensemble des phénomènes de cette catégorie ne peuvent apparaître que lors d'une étude globale faisant intervenir des méthodes perfectionnées de traitement de l'information.

    Cette remarque concernant la présente enquête est la suivante : Dans la mesure où l'enquêteur croit M. et Mme Caviglioli sincères et honnêtes, l'observation de type I (cf. Vallée, même référence) qu'ils ont décrite ne peut être réduite dans son intégralité à un phénomène naturel actuellement  connu.

    Toujours si l'on admet la sincérité et l'honnêteté des témoins, la complexité de structure et de  comportement du phénomène décrit (Phase V) ne peuvent s'expliquer que par une hallucination très complexe des témoins, ou bien alors par une structure intelligente du phénomène décrit.


    Météorologie : Observation faite de nuit, le ciel étant très noir (couverture nuageuse complète), sans pluie ni vent ni brouillard. Ces indications viennent des témoins et n'ont pas été vérifiées.


    Réseau routier : Dans le territoire intéressé par l'observation, existent trois routes allant de Rabat à Casablanca, parallèlement à la côte, c'est-à-dire selon une orientation Nord-Est/Sud-Ouest.


    - La plus côtière est la route secondaire 222.
    - Un peu plus à l'intérieur du pays est la route principale 36.
    - La troisième route est la principale N 1.


    La trajectoire de l'objet se situerait d'après les indications des témoins entre la R.S. 222 et la R.P. 36, ou carrément au-dessus de l'océan.


    Les évolutions de l'objet au sol se situent entre la R.S. 222 et ]a R.P. 36, environ 800 m avant la bretelle de raccordement de ces deux routes au niveau de El-Harhoura (cf, carte Michelin).


    la route la plus fréquentée est la R.P. 36, qu'ont suivie les témoins. Mais, même sur cette route, la circulation est très faible la nuit.


    Cartes disponibles et Géologie.


    - Carte Michelin n 169 du Maroc au millionième avec agrandissement de la région Rabat-Casablanca au six-cent-millième.


    - Carte I.G.N. « Temara » au cinq-cent-millième. Feuille n NI-29-X1I-3c de 1927 révisée en 1935-1936. C'est un fond topographique qui ne reflète plus l'infrastructure du pays. La R.P. 36 n'y figure pas.


    - La carte géologique du Maroc au 500.0000°, feuille de Rabat, publiée en 1954.


    La géologie du territoire consiste en une couverture de sédiments quaternaires d'origine littorale et sans tectonique superficielle. Ces sédiments sont cartographiés qMD : Quaternaire marin et dunaire consolidé. Trois lignes de dunes consolidées longent ainsi la côte et, portant pâturages et cultures, déterminent de petits plateaux de 40 m d'altitude environ.


    L'OBSERVATION.


    Il s'agit, selon la classification de Vallée, d'une observation de type I faisant suite à une observation de type IV. Elle eut lieu dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 1968, sur un segment de route de 6 km environ, à la sortie de Rabat. Débutant à 3 h 50 du matin, elle dura 45 minutes.


    Dans la succession des faits décrits par les témoins, nous distinguerons six phases, les trois premières se rapportant à une observation du type IV et les trois dernières, à une observation du type I.


    Phase 1


    La voiture de M. et Mme Caviglioli, une Citroën DS 21 à phares à iode pivotants, sort de Rabat en direction de Casablanca et aborde le rond-point de croisement de la route Hôpital Avicenne quartier de Yacoub-El-Mansour avec celle de Casablanca.

    Au rond-point même, Mme Caviglioli qui est devant et à droite pousse un cri d'étonnement et montre à son mari, qui conduit, une boule rouge orangé à 45° de hauteur environ, au-dessus de Yacoub-El-Mansour, à l'Ouest. M. Caviglioli chantonne : « Luna rossa, etc. ».


    La voiture dépasse le rond-point et s'engage dans la ligne droite (1 km environ) qui aboutit à la bifurcation de la R.P. 1 avec la R.P. 36. A ce niveau se trouve le cabanon de la Sécurité routière.

    Cette ligne droite est bordée de très grands eucalyptus. A gauche de la route (en direction de Casa) se trouvent les pépinières Vita, à droite, une alternance de terrains vagues et d'édifices divers.

    Toujours à sa droite, Mme Caviglioli aperçoit derrière le feuillage des arbres une lueur. Elle demande à son mari : « Mais tu t'amuses avec tes phares ? ».

    A la réponse négative de M. Caviglioli, tous deux regardent plus attentivement et constatent qu'il s'agit toujours de la « lune rousse » vue à travers les eucalyptus, à une hauteur angulaire peut-être moins grande qu'au carrefour. Cette boule est toujours un peu en avant de la voiture.


    La D.S. arrive au cabanon de la Sécurité routière. Le caractère d'étrangeté de la boule n'avait pas encore dû apparaître à M. Caviglioli puisqu'il me dit au cours de la reconstitution : « Je prends tantôt l'une, tantôt l'autre de ces routes ; ce soir-là, j'ai pris la grande route » (la R.P. 36).


    II m'a alors semblé que la motivation consciente de son choix n'avait pas été l'objet insolite.


    C'est tout de suite après cet embranchement de routes qu'il remarque que l'objet prend de l'avance sur leur voiture. L'étrangeté de la chose le frappe alors et il demande à son épouse de prendre un point de repère. En amorçant la grande courbe en montée (800m environ) par laquelle débute la R.P. 36, M. Caviglioli accélère à 140 km/h environ pour tenter de suivre l'objet.


    Description de l'objet (vu au cours de cette première phase).


    Selon M. Caviglioli le diamètre apparent de l'objet était de une demi-lune. Son épouse ne peut préciser car elle fut surtout étonnée par les couleurs. Elle crut d'abord voir la lune.

    Rappelons que cette nuit-là était très noire ; c'était aussi cinq nuits avant la pleine lune. Mme Caviglioli a employé le terme « fuligineux » pour décrire un ensemble de rouge et d'orangé brouillé, avec des stries circulaires de ces deux teintes et un halo lumineux trouble. Le tout lui parut très beau.


    Elle s'est étonnée que cette lune lui ait donné l'impression d'être « verticale » dans le ciel alors que d'ordinaire elle 1a trouve « oblique ». A l'enquêteur qui lui demande de préciser sa pensée, elle traduit après coup que l'objet, qui devait se révéler ensuite à ses yeux comme étant discoïde, devait être à ce moment « de champ » dans le ciel.


    « Cela donnait l'apparence de tourner sur soi-même comme une roue, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre " précisera M. Caviglioli.

    A ma demande, il affirme que ce mouvement se faisait sans fibration, et qu'il ne s'agissait pas d'un déplacement global de l'objet autour d'un point extérieur au centre du disque visible avec une translation linéaire surajoutée. Il m'est confirmé que sur sa trajectoire linéaire le disque était affecté, ou semblait affecté, d'un mouvement circulaire net, régulier, dont le centre était celui du disque (cf.Fig 1).

     

    Premier aspect de l'objet à la sortie de Rabat

    Figure 1

    D'après le dessin du témoin Mr Caviglioli


    Phase 2


    Toujours très vite, après le virage en montée, la voiture aborde le deuxième virage en descente, et en sens inverse du premier. La première courbe escalade le deuxième cordon de dunes consolidées, et le deuxième virage en descente, rapprochant la route de la côte, l'amène dans la dépression entre le premier et le deuxième cordon de dunes (voir le panorama).


    Lorsque la voiture s'engagea dans la petite dépression existant entre les deux lignes de collines, l'objet se trouva un court instant dissimulé derrière le cordon de dunes le plus côtier.

    Il se confirme donc que l'objet était en descente et l'enquêteur suppose que l'objet volait plutôt au-dessus de l'océan, non loin de la côte, qu'au-dessus du littoral. C'est ce que semble indiquer la comparaison entre la grandeur apparente donnée par les témoins à l'objet pendant cette phase de l'observation et la dimension qu'ils lui attribuèrent plus tard lorsqu'ils le virent au sol (15 m).


    Phase 3


    Les témoins avaient roulé sur trois kilomètres à partir de l'embranchement des R.P. 1 et R.P. 36. 1e cordon côtier de dunes est à cet endroit très bas et ils revoient l'objet qui passe instantanément de l'aspect discoïde à l'aspect lenticulaire comme si le disque d'abord vertical avait basculé de 90° pour se mettre horizontal.


    Phase 4


    L'objet leur paraissant avoir arrêté sa course, M. et Mme Caviglioli arrêtent leur voiture au bord de la route, environ 1 km avant la route de raccordement avec la R.S. 222. Les deux routes sont ici très proches l'une de l'autre : 600 à 1000 m. Ils descendent de voiture après en avoir éteint les phares et regardent en direction de l'objet et de l'océan, océan qu'ils n'auraient d'ailleurs pas pu voir même de jour, car les collines côtières les en séparaient. Ils distinguent, lointain dira M. Caviglioli, le disque rouge, et Madame Caviglioli dit : « C'est peut-être un reflet sur l'eau ».

    Son mari, qui connaît particulièrement bien la route, pour la prendre plusieurs fois par semaine, lui fait remarquer que l’océan n'est pas visible de l'endroit où ils sont.

    Face à l'enquêteur, il se demandera plus tard si les « phares » de l'objet (voir plus loin) n'étaient pas alors déjà allumés et si ce n'est pas leur éclat sous le disque qui a amené son épouse à penser à un reflet sur l'eau.


    Les événements prennent ensuite un tout autre cours.


    Le temps d'une seconde, (M. Caviglioli me mimera : hop-hop) le disque, de très lointain qu'il était, s'impose soudain à leurs yeux comme très proche.


    « C'était maintenant un énorme cigare».


    L'adjectif énorme est employé, précise ensuite le témoin, par contraste avec ce qu'ils avaient vu jusqu'alors. J'estime à 250 m environ la distance de l'objet à ce moment. Je pense que c'est le chiffre que M. Caviglioli a eu le plus de mal à estimer et qu'il est très imprécis. Mieux vaudrait peut-être dire entre 250 et 600 m.


    Il est possible que cette imprécision, que je déduis des hésitations du témoin à la formuler et des autres chiffres qu'il me donna d'abord, il est possible, dis-je, que cette imprécision soit la conséquence de l'intense surprise des deux témoins et de l'aspect de l'objet à ce moment.

    Il se présente alors comme un cigare rouge (le rouge d'un métal échauffé par frottement dira M. Caviglioli) cerné par une gaine de lumière d'un rouge étincelant et surmonté, sur une hauteur de trois étages, d'une colonne de lumière diffuse rose-rouge, un peu comme la lumière d'une ville dans le lointain mais plus brillante (cf. Fig 2).

     

    Objet presque au sol (quasi-atterrissage)

    figure 2

    D'après le dessin du témoin Mr Caviglioli

     

    M. Caviglioli confirme, alors que je le questionne, qu'il s'agissait bien d'une colonne de lumière et non d'un halo mal circonscrit. L'objet est à ce moment juste au-dessus du sol, sans le toucher.


    Phase 5


    C’est la plus étrange de cette observation et probablement celle qui prête le plus a discussion.


    Une « fenêtre » de lumière blanche comparable, dira M. Caviglioli à celle de phares à iode, mais n'éclairant pas le paysage, « s'ouvre » entre les deux moitiés inférieure et supérieure de l'objet dont la forme apparait alors nettement, Les témoins sont d'accord pour dire que la meilleure représentation à donner de l'objet à ce moment est celle de deux assiettes dont les cavités se font face, ces deux assiettes, étant séparées par un intervalle (Figure 3).

     

    Objet au cours de la phase 5 après allumage des "phares"

    Figure 3

    D'après le dessin du témoin Mr Caviglioli


    C'est cet intervalle qui présentait la luminescence d'une lampe à iode, tandis que les « Coques » inférieure et supérieure paraissaient maintenant plutôt grises que rouges, par contraste peut-être avec l'éclat de la « Fenêtre » médiane.

    Monsieur Caviglioli dit qu'il pense que cette « fenêtre » faisait le tour de l'objet discoïde et il emploiera l'image suivante : « Comme un tour de
    papier adhésif sur l'anneau séparant les deux assiettes ».

    Il insistera sur le fait que l'objet était nettement symétrique.

    Des « phares » blancs à pinceaux très peu ouverts sont allumés sur le pourtour de la coque inférieure et éclairent obliquement le sol. Cela n'avait pas l'allure de tigelles lumineuses mais bien de phares à faisceaux peu divergents. Sur le pourtour du disque, la « fenêtre » lumineuse était en léger retrait par rapport aux bords des deux coques inférieure et supérieure.


    Dès que sa partie médiane s'est éclairée, l'objet s'est lentement mis en route en direction des témoins qui se trouvaient toujours sur le bas-côté de la route. Il s'avançait de façon très douce « comme sur un coussin d'air », en allant, un peu, de droite et de gauche. M. Caviglioli apprécie sa vitesse à ce moment à 20 km/h environ.

    L'objet s'est arrêté à 150 m d'eux au plus et l'architecte dit avoir pu l'examiner aussi aisément qu'un prototype d'automobile à la même distance.


    Selon lui, le diamètre du disque était de 15 m et son épaisseur au centre d'environ 3 m.


    Lorsque l'objet se fut stabilisé à 100 150 m d'eux M. Cavigilioli dit à son épouse : « J’y vais ! ».


    Celle-ci se récria, demandant à partir immédiatement et expliquant qu'elle avait entendu parler d'enlèvements perpétrés par des choses semblables ou lu des récits à ce sujet.


    L'objet alors, recula de la même façon qu'il s'était approché, et jusqu'au point d'où il était parti, approximativement.


    Je demande aux témoins quels étaient leurs états d'âme au moment de l'approche vers eux de l'objet qu'ils décrivent, s'ils avaient eu peur, Leurs réponses sont très différentes. M. Caviglioli dit qu'il n'avait pas eu peur. Il avait été émerveillé par la beauté de « l'objet» et de sa marche, il en avait ressenti une joie intérieure et avait éprouvé un désir ardent d'aller vers l'objet.

    Pour avoir par la suite discuté avec lui de sujets beaucoup plus généraux et plus « terrestres » que les soucoupes volantes, je crois volontiers que la peur, si elle a existé en lui à ce moment, est passée inaperçue et que c'est la curiosité et d'autres conditionnements qui ont pris le dessus.


    Mme Caviglioli quant à elle, dit avoir eu peur. Elle avait confié à son mari que, plutôt que d'avoir ressenti une réelle frayeur, elle s'était crue « reportée aux premiers âges de l'humanité, lorsque l'homme voyait des divinités partout et s'effrayait de choses qui nous paraissent aujourd'hui naturelles ». Je ne cite pas fidèlement ses paroles mais je ne dénature pas leur sens.


    Phase 6


    L'objet disparut ensuite sur place d'une façon inexpliquée par les témoins. Il est resté à son emplacement une rémanence lumineuse en colonne telle que nous l'avons décrite pour la phase IV.

    M. Caviglioli a tenté d'arrêter deux camions qui vinrent à passer sans que les chauffeurs ne le voient ou ne veuillent s'arrêter. Cette colonne lumineuse devait persister vingt minutes au dire de M. Caviglioli. Elle ne faisait encore que commencer à se dissiper lorsqu'ils partirent vers Casablanca.


    L'objet disparu, et voyant à sa place la colonne, ils se demandèrent si l'objet était vraiment parti ou s'il était dissimulé à leur vue parce qu'il avait reculé en direction de la mer, de l'autre côté de la colline.

    Afin de le savoir, ils remontèrent en toute hâte dans leur véhicule et, roulant aussi vite que possible, prirent la bretelle de raccordement de la R.P. 36 avec la R.S. 222 puis, une fois sur cette dernière, à El-Harhoura, s'engagèrent sur une centaine de mètres en direction de Rabat. La colonne demeurant visible pendant tout ce trajet, mais non l'objet, M. Cavigliolï arrêta sa voiture et décida de quitter la route a pied et de marcher jusqu'à la colonne lumineuse. Son épouse s'y opposa de nouveau vigoureusement, et ils rejoignirent ! la R.P. 36 sur laquelle ils s'engagèrent en direction de Casablanca.


    Comme nous l'avons dit, la rémanence lumineuse se dissipait à peine.

     

    Précisions complémentaires.


    On trouvera ci-après quelques précisions qui n'avaient pas trouvé place dans la relation précédente :


    L'ancienne dune qui longe le littoral entre la R.P. 36 et la R.S. 222 ne porte pratiquement, tout du long à ma con-naissance, aucune habitation, tout au moins jusqu'à la bretelle de raccordement des deux routes citées. Il n'y a sur ce petit plateau que des pâturages et des cultures. De jour, il y a toujours un ou deux troupeaux de vaches.

    Les habitations les plus proches sont relativement éloignées, et de l'autre côté de la R. P. 36 vers l'intérieur. Il faut faire exception du village balnéaire d’El-Harhoura, qui devait être l'agglomération la plus proche du lieu d'atterrissage. Encore faut-il remarquer qu'à cette époque ce genre de village balnéaire est
    assez déserté.

     


    M. et Mme Caviglioli ont informé la Gendarmerie Royale de ce qu’ils avaient vu. La Gendarmerie n'y a pas prêté d'attention.


    - M. Caviglioli voit très bien de loin. Il est un peu presbyte. Mme Caviglioli n'a pas été interrogéesur son acuité visuelle.


    - M. et Mme Caviglioli revenaient cette nuit du domicile d'amis chez lesquels ils avaient passé la soirée et la première partie de la nuit. M. Caviglioli , qui souffre de l'estomac ne boit pas d'alcool, son épouse ne supporte pas d'alcool et en boit très peu.


    - C'est la première fois que ces témoins ont vu ce genre de phénomène Un ami de M. Caviglioli, pilote de ligne. avait vu un objet semblable au sol, plaine de Ben Guérir (70 km au nord de Marrakech).


    - il n'a pas été souligné dans le récit de l'observation que strictement aucun bruit n'a été entendu tout au long des évolutions de l'objet que ce soit en l'air ou au sol.


    -- Il n'a été procédé à aucune recherche concernant le magnétisme ou la radio-activité de quoi que ce soit.


    Nous remercions très vivement Mr. D de l'enquête si minutieuse à laquelle il s'est livré et dont il a bien voulu nous faire part.


    Ce témoignage, émanant d'observateurs dignes de foi et recueilli par un enquêteur dont le souci d'objectivité est évident, acquiert une très grande valeur par le fait qu'il porte sur le quasi atterrissage d'un objet insolite qui, au cours de la cinquième phase de l'observation, a été vu à courte distance.


    On notera qu'au cours de la phase 1 M. Caviglioli attribue à l'objet, vu « de champ » dans le ciel, un mouvement de rotation « net et régulier ».


    Au cours de la phase 4. l'objet apparaît « cerné par une gaine de lumière d'un rouge étincelant », ce qui fait penser une fois de plus, à un phénomène d'ionisation.


    Lors de la phase 5, des « phares » s'allument sur le pourtour de la coque inférieure de l'objet, éclairant obliquement la sol. Il nous est dit dans le compte rendu que les pinceaux de ces « phares » n'avaient pas « l'allure de tigelles lumineuses mais bien de phares à pinceaux peu divergents » . Apparemment, donc, il n'y avait là ni phénomène de « tigelles » ni emploi de sources de lumière cohérentes (lasers) - à l'encontre de ce qui semble bien s'être passé dans le cas de Monte Maiz (Bulletin du G.E.P.A. N 6. trimestre 1964, p. 23).


    Le silence qui règne au cours des mouvements puis du stationnement à une faible distance du sol, de cet objet insolite déjà de grande taille (15 m de diamètre environ), possédant une structure bien définie et symétrique ainsi que des sources de lumière distinctes dont l'allumage paraît bien commandé, ce silence, disons-nous, écarte d'emblée tout mode de sustentation classique. Aucun avion ou hélicoptère n'aurait pu évoluer ni se maintenir si proche du sol et des témoins dans un pareil silence. On n'imagine pas non plus un ballon ou même un dirigeable se livrant à ce genre de manœuvres. D'autre part, la structure précise de l'objet sa « fenêtre » équatoriale et l'existence de faisceaux de lumière distincts, tout cela exclut absolument qu'il ait pu s'agir d'un des plasmoïdes chers à Philip Klass.


    L'inexplicable disparition de l'objet, ne laissant subsister qu'une « rémanence lumineuse » tenace -- et qui pourrait bien être, cette fois, un authentique plasma – a déconcerté les témoins.


    De ce point de vue, l'observation décrite paraît bien s'ajouter à la liste de toutes celles au cours desquelles les objets semblent s'évanouir sur place, comme s'ils s'échappaient dans quelque dimension insaisissable à nos sens ou comme s'ils n'avaient été que la « projection » tridimensionnelle dans notre espace, et à des fins inconnues, d'objets dont la réalité matérielle se serait située ailleurs.


    Il est remarquable que, là encore, et en conformité avec la loi statistique formulée par Jacques Vallée (« Flying Saucer Review », 5-6-68, page 11), cette manifestation insolite est survenue dans une zone qui, comme le note l'enquêteur, était, à l’époque de l’année, déserte.


    Le remarquable effort de M. D. pour préciser les conditions géographiques et géologiques ainsi que le déroulement de cette observation mérite tous nos compliments.


    Source Lumières dans la nuit. Phénomènes Spatiaux du GEPA.
    Référence Ufocat : 49224 – 54867 – 62580 – 75755

     

    La Capsule Temporelle de la Rencontre Rapprochée RR2 de Mr et Mme Caviglioli

     

     En lieu et place des ovnis et de la théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la méthode de lecture traditionnelle reposant sur la symbologie des anciens pour les Cratophanies/Théophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

    Le fait d'analyser le contenu sémantique individuel de chaque apparition ufologique nous conduit à dégager sa cause, son origine et sa nature.

    La base de données fournies par la perception, la réception, le vécu, la description et la transmission du témoin ciblée par l'intelligence qui est à l'origine de sa rencontre rapprochée, nous en donne la possibilité.

    Le compte-rendu tant subjectif qu'objectif du témoignage fait apparaitre, en effet, une interprétation analogique qui sous-tend, son déroulé et qui échappe le plus souvent totalement à l'intelligibilité ordinaire des témoins, et demeure ignorée par la plupart des enquêteurs ufologiques, eux-mêmes.

    Cette trame polysémique nous déroule le fil conducteur de la pensée de l'intelligence qui se manifeste, au travers d'une représentation d'un discours figuratif et imagé, aménagé, adapté au profil psychologique du témoin, à son vécu et à son héritage socio-culturel.

    Ce constat n'est pas récent, les anciens nommaient ce type de rencontre rapprochée, cratophanie (apparition/manifestation surnaturelle) et les attribuaient aux puissances célestes, venues guider ou instrumentaliser les humains en leur délivrant une épiphanie (un message/une révélation).

    Autrement-dit, une intelligence non-humaine s'adresse aux humains depuis des temps immémoriaux.

    Quel est son objectif, sa motivation, son programme, qui est-elle ?

    Elle nous répond indirectement avec la Rencontre Rapprochée RR2 de Mr et Mme Caviglioli.

     

    La  synchronicité des mots et des images

     

     L'étymologie du patronyme des époux Caviglioli = cheville, nous révèle, au sens figuré, l'épiphanie de l'apparition surnaturelle (cratophanie) dont ils ont été les témoins privilégiés, ... la cheville = l' agent, l'instrument essentiel, d'une entreprise, d'un organisme ;

    cette cheville (oeuvrière) est emblématique de l'Astragale, les 7 os (os = so) ou « Sceaux » de la cheville oeuvrière du Pied de Mouton sur laquelle repose la hampe de la bannière de l'Agneau du Christ, dont la Croix de Malte (la Croix de Sauveté) à huit pointes, ou Chiffre Templier, est le Signe. [Cf. Le Mystère des Cathédrales et Les Demeures Philosophales de Fulcanelli] ;

    La Rotonde de l'Archi-Maître !

     

    La Croix de Malte

     

    l'Astragale

     

    cette RR2/cratpohanie apparait dès lors comme une théophanie, ... confirmée par le lieu de son apparition El-Harhoura = Haut-Lieu  du Maroc = Terre Sacrée placée sous la protection de Dieu ;

    le premier aspect de l'objet apparu à la sortie de Rabat, a l'apparence d'un disque tournant dans le sens antihoraire, ... comme le sens de rotation du Soleil qui symbolise le Christ ;

    l'objet au cours de la phase 5 allume, d'après le dessin de Mr Caviglioli, 8 "phares", ... le 8 = l'analemme solaire du Christ ;

    sa teinte argentée qui renvoie à l'inaltérabilité du métal affirme l'éternité immuable du Christ ;

    comme la pièce honorable héraldique de la fasce (barre horizontale), ... la barre horizontale blanche lumineuse (de l'objet gris) signale le face à face, de la rencontre rapprochée avec le céleste ;

    les couleurs orange, rouge, rose, des apparitions caractérise la dimension angélique (orange = or-ange = spiritualité céleste), et affirme la résurrection spirituelle de l'Esprit Divin (couleur rouge du feu) du Verbe fait chair (couleur rose), le Christ  ;

    la forme de soucoupe volante (de deux assiettes jointes) renvoie au symbolisme de la Sainte Coupe du Graal (ayant recueilli le Sang du Christ), objet/sujet de la Queste des Chevaliers du Christ, ... qui sont sous ... la Coupe de la Voûte Céleste ;

    l'objet aux 2 assiettes jointes fusionnées, ressemblant à un cigare figurato de type pyramide (pyramide = siège de la divinité), dans une colonne lumineuse rose-rouge... exprime la fusion harmonieuse de la Créature humaine (le rose de la chair) avec son Créateur (le rouge/feu de l'Esprit Divin), ... la hiérogamie (mariage sacré), ... l'élévation transcendantale céleste.

     

     

    La Porte du Ciel s'est ouverte en cette nuit du destin

     

     Comme le souligne Gérard Lebat (L'Histoire des ovnis au Maroc) : il y a un phénomène particulier qui s’appelle « quand la porte du ciel s’ouvre » qui est très intéressant et que l’on pourrait traduire dans notre langage par des observations d’ovni, en effet, dans beaucoup de régions du Maroc lorsqu’on observait des lumières intenses dans le ciel on considérait que c’est une porte du ciel qui s’ouvre et qu’on le doit faire des vœux pour qu’ils puissent se réaliser (exactement comme s’il s’agissait du passage d’une étoile filante et que l’ont doit faire des vœux en culture occidentale sauf que dans les cas marocains ils s’agissait plutôt de grosses lumières intenses parfois stationnaires avec des couleurs différentes donc rien à voir avec des comètes).


    De plus, les attributions de ces phénomènes changent d’une région à l’autre et d’une culture à l’autre, par exemple les explications de ces phénomènes dans les régions berbères seraient différentes de celles des régions du Sahara ou encore des régions différentes.


    La culture locale musulmane et le coran approuvent l’existence des djinns (= ceux qui se cachent, êtres mystérieux qui vivent dans un autre monde parallèle au notre, créatures éthérées métamorphes malveillantes fréquentant les lieux impurs, qui se nourrissent des effluves des  charognes ou des matières en décomposition, qui sont responsables des maladies mentales par possession, et qui sont capables de se transformer en animaux), … la plupart des cas ont été expliqués en tenant compte de ce genre de chose.

    « Lorsque les dieux écartent les sphères pour observer l’humanité et la terre, quelques étoiles s’échappent par le vide créé, c'est le moment propice pour parler aux dieux, en formulant un vœu ou une prière. »

    [Claude Ptolémée - IIe siècle]

     

    [La conception des étoiles filantes des Anciens diffère de celle des Modernes, qui les appelaient des Météores (= esprits de lumières célestes) qui les identifiaient à des entités spirituelles et non à des objets matériels] 

     

    La Porte du Ciel s'est ouverte en cette nuit du destin du 08 décembre 1968, pour les époux  Caviglioli, ...  pour leur rappeler la forteresse (Rabat = forteresse) de la foi, la Rose du Ciel (Luna rosa) qui les accompagnera cette nuit de décembre 1968, au cardo mundi (axe polaire), et à l'axe/charnière des points cardinaux terrestres Est, Ouest, Nord, Sud, dans la main de Dieu = De Ca (jus) Manus, ... sur le chemin de Casablanca, ... la maison blanche ... de l'Immaculé Conception, la Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu et Reine des Anges.

     

     

    Luna Rosa - 02/02/2024

     

    « Dans la ville endormie le vent frissonne
     

    À tous mes souvenirs je m'abandonne
     

    Pour me parler de toi dans la nuit brune
     

    Je n'ai plus qu'une amie et c'est la lune. »

     

     [Luna Rosa - 1952 -Tino Rossi ]

     

     

     

     

     

     

    L'Agnus Dei

     cardo mundi (axe polaire), à la charnière des points cardinaux terrestres Est, Ouest, Nord, Sud,

    dans la main de Dieu = De Ca (jus) Manus

    Le Bâton (échelle) de Jacob

     

     

    La Structure Nomade des Ovnis

     

    Mise à jour de la carte au 31/05/2023

     

    Les Apparitions Ovnis et les Manifestations Surnaturelles et lignes de Ley – Go

     

     Les Rencontres Rapprochées

     

     Les Messagers

     

    Les Théophanies Futuristes

     

    Les Cratophanies Célestes

     

    Les Capsules Temporelles

     

     « Les vôtres vous parviennent du passé, les nôtre nous arrivent de l'avenir ! »

     

    Crop-Circles - 2023 - Partie 01

    Crop-Circles - 2023 - Partie 02

    Crop-Circles - 2023 - Partie 03

    Crop-Circles - 2023 - Partie 04

    Crop-Circles - 2023 - Partie 05

     Crop-Circles - 2023 - Partie 06  


     Cf.  Les Signes du Ciel - Le Royaume du Grand Monarque L'Aigle Rapace - Lux Dies - Les Portes du Ciel Ouvertes sur la Nuit de notre Destin - Le Roi des Aulnes - L'Epée du Seigneur - L’Oeil de l'Afrique - La Doctrine Secrète - Le Temple Occulte - Lucet in Tenebris -  Les Hommes et le Ciel - Star Wars - Le Testament des Templiers - La Science de l'Art - Les Ressuscités - Les Hommes Libres - La Porte à Trois Tenailles - Les Ides de Mars - Le Char du Guerrier - Les Cendres La Super Nova - Le Collège Sacré InvisibleL'Île des Bienheureux - Les Chimères Extraterrestres - Hybridation/Hiérogamie - Les Ovnis en Direct / Live - Les Apothéoses - La Guerre des Mondes - Lifeforce - La Colonisation Alien - Les Attrape-Rêves - La Transfiguration

     

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