• Les Héritiers

     

    La Croisière

     

     

    « Ève lève-toi ! » 

    [Julie Petri - 1986]

     

    Les Héritiers

    Bellator

    Guillaume Chevallier

     

     

    Riec-sur-Belon (29) - Carrefour de la Villeneuve - 29/09/1974 - 00h45 - RR3 de M. Francie Le Bihan, 46 ans, marin de commerce, Mme Yvonne Le Bihan, née Sallin, 43 ans, sans profession, M. Younic Le Bihan, 20 ans, militaire.

     

    Enquête de MM. J.-L. Brochard, Délégué LDLN et Pascal Gireaudot.

     

    Dans une lettre pleine de sincérité Mme Le Bihan, 46 ans, nous faisait part des événements extraordinaires dont elle avait été le témoin avec son mari et son fils et demandait l’envoi d’un enquêteur L.D.L.N. pour lui en faire le récit détaillé. C’est le compte rendu de cette visite qui est fait avec la collaboration de la brigade de gendarmerie de Pont-Aven, plus spécialement du brigadier Rampi, dont M. Brochard tient à signaler la parfaite coopération.

    Riec-sur-Belon (Michelin 58, pli 16) près de Pont-Aven, est une commune du sud Finistère, de 1 233 résidences avec 4 400 habitants.

    Le dimanche 29 septembre 1974, il est 00:45 du matin quand M. et Mme Le Bihan sont brusquement réveillés par leur fils Younic Le Bihan (20 ans), sergent dans l’armée de l’Air, rentrant d’une soirée et qui vient de surgir dans leur chambre... Celui-ci leur demande de bien vouloir venir dans sa chambre en prenant soin de ne pas allumer. (Mme Le Bihan nous dira avoir cru à un incendie de leur villa à la façon dont son fils fit irruption dans leur chambre).

    Ils purent alors, de la fenêtre du premier étage, orientée S-SE, contempler un spectacle d'une rare beauté...

    M. Francis Le Bihan, 46 ans, marin de commerce, fera la réflexion suivante :

    « On dirait un paquebot illuminé au milieu d’une prairie... ».

    L’objet, à quelque 500 m à vol d’oiseau, leur apparut aux jumelles comme un demi-globe dont la partie supérieure ressemblait à tous niveaux a un « foyer » aux contours vaporeux indéfinis. En son centre, des sortes de hublots dégageant une lumière très vive, d’une couleur très belle, mais assez difficile à définir, tenant de l’orangé et du vert.

    A ce qui leur sembla être la base de l’objet, et de chaque côté, un feu, de la grosseur chacun de deux phares de voiture, d’un rouge très vif, de teinte rappelant celle des « stop » de voiture, circulaire, mais là aussi aux contours vaporeux et flous.

    Aucun pied ne fut aperçu, ils ont même pensé que l’objet pouvait reposer sur un coussin d’air, car il semblait vibrer, oscillant de droite à gauche. Peut-être même tournait-il sur lui-même, mais les témoins ne sauraient le dire avec certitude. Toujours est-il que l’objet ne touchait pas le sol, mais qu’il était à environ 0 m 60 de celui-ci.

    Il paraissait de grandes dimensions : 10 m de large pour 7 m de haut. Il ne s’est à aucun moment déplacé, les témoins virent toujours l’objet de face.

    Brusquement, ce fut le noir là où une fraction de seconde avant se trouvait l’objet lumineux, et M. et Mme Le Bihan purent voir dans le ciel, très haut, un point lumineux jaune disparaître à grande vitesse.

    C’est à cet instant que Younic aperçut trois « êtres » et passa les jumelles à sa mère en lui demandant ce qu'elle voyait...

    Trois apparences « humanoïdes », assez grands, 1 m 70 peut-être, de forte corpulence — Mme Le Bihan fera une comparaison avec le bonhomme Michelin — se déplaçant assez lourdement, se balançant de droite à gauche — exactement comme les astronautes marchant sur la lune —. Aucun détail n’était visible, ils étaient enveloppés d’une combinaison d’une couleur métal en fusion — couleur papier aluminium — mais non éblouissant —. Leur tête était ronde, aucun détail de leur visage n’était visible. Ils ne portaient pas de coiffure.

     

     

    Brusquement, les trois « êtres » changèrent de direction et vinrent droit sur les témoins, en formation de V :

    un devant au centre, les deux autres, un de chaque côté — même disposition que le dessin de couverture de LDLN 132 — et semblaient alors voler au-dessus du sol, traversant tous les obstacles.

     

    Ceux qui sont nés de la femme

     

    Draguignan (83) - 01

    Alios Nutrio, meos devoro.

    Je nourris les autres, je dévore les miens.

    De gueules, au dragon d'argent.

     

    Draguignan (83) - 02

    Alios Nutrio, meos devoro.

    Je nourris les autres, je dévore les miens.

    D'argent, à un dragon de sinople.

     

    Riec-sur-Belon (29) - La Porte Neuve (XIIIe siècle)

    la gardienne du trésor

    D'or au griffon de gueules.

    (le griffon est une chimère femelle, évirée de  nature)

     

     [Riec-sur-Belon (29) - Finistère - Cornouaille - Bretagne - est une commune rurale peu ou très peu dense, au climat océanique franc - Habitants : 4 308 habitants en 1968  (78,8 hab/km2) - 4 158 habitants en 1975 (76,1 hab/km2) - 4 240 habitants en 2020 (77,6 hab/km2 ) - Superficie : 54.64 km2]

     

    La Dorsale du Dragon

     

    L'allée couverte de Keriantec [Wikipédia]

     

    De nombreux monuments mégalithiques sur le territoire de la commune attestent d'une occupation humaine dès le Néolithique, notamment l'allée couverte de Keriantec, longue d'une dizaine de mètres, qui date du 3e millénaire avant notre ère et qui servit de sépulture collective à un groupe d'agriculteurs ou d'éleveurs. Son originalité tient dans le choix architectural de faire reposer une paroi de l'allée couverte par l'autre (la paroi sud, très inclinée), ce qui permit de faire l'économie de dalles de couverture. Ce type d'allée couverte n'existe qu'en 8 exemplaires situés dans le Morbihan et le sud du Finistère. Cette allée couverte est classée monument historique  depuis le 16 décembre 1953.

     

    RR3 de Riec-sur-Belon (29) - Carrefour de la Villeneuve - 29/09/1974 - 00h45 - RR3 de M. Francie Le Bihan, 46 ans, marin de commerce, Mme Yvonne Le Bihan, née Sallin, 43 ans, sans profession, M. Younic Le Bihan, 20 ans, militaire.

     

    Enquête de MM. J.-L. Brochard, Délégué LDLN et Pascal Gireaudot.

     

    Pris de panique, les témoins s’écrièrent :

    « ils nous ont repérés... ils vont nous irradier... il faut évacuer la maison... ».

    Sitôt dit, sitôt fait, et ils quittent leur maison pour se réfugier chez leur mère, habitant plus haut dans la rue. Ils regardent constamment en arrière, s’attendant à tout moment à voir surgir les « êtres ».

    Mme Le Bihan sera tellement terrorisée qu’au bout d’un moment elle demeura au milieu de la rue, incapable de faire un pas de plus, criant à son mari et à son fils de fuir, de l'abandonner, qu’elle se sacrifiait pour qu'ils puissent fuir et qu’il reste quelqu’un pour pouvoir raconter aux autorités le cauchemar qu’ils avaient vécu. Revenant sur leurs pas, M. Le Bihan et son fils porteront Mme Le Bihan, mais s’engouffreront chez le voisin le plus proche, un gendarme en retraite.

    Ces voisins nous diront que les témoins étaient verts, la figure déformée par la terreur (M. Jean Cadic, fut surpris de voir Younic et sa mère épouvantés. Ils étaient pâles et tremblaient. Ils étaient effrayés à un point tel qu'il a craint qu'ils n'aient un malaise, surtout Younic), et ils passeront la nuit chez eux.

    M. et Mme Le Bihan possèdent un chien, Fox, qui hurlera à la mort peu avant les faits, et continuera tout au long de leur fuite éperdue.

    Le temps ce soir-là était à l’orage, et peu de temps avant l’observation, deux coups de tonnerre d’une rare violence avaient fait vibrer les fenêtres de la maison et une pluie diluvienne avait suivi.

    Curieusement, les éléments s’étaient calmés complètement au moment de l’observation : vent pratiquement nul, ciel couvert, température relativement douce.

    Mme Le Bihan constatera que son horloge, remontée normalement ce soir-là, s’est arrêtée à l’heure précise de l'observation et sera repartie normalement le lendemain matin (M. Francis Le Bihan aurait seulement oublié de la remonter d'après Julien Gonzales).

    Aucune observation concernant les montres.

    Le lieu présumé de l'atterrissage, quadrillé par la gendarmerie, ne révéla aucune trace. Le sol était particulièrement gorgé d’eau par les pluies tombées les jours précédents.

    Aucune faille géologique dans la zone (la carte au 1/1.000.000 e fait état du grand complexe qui part dès au-delà de Nantes jusqu’à la pointe du Raz, dont une faille S passe au S de Quimperlé, à 1 km 5 au N de Pont-Aven, et approximativement à 2 km au N de Riec-sur-Belon). Deux lignes, haute et basse tension, au-dessus de l’endroit présumé de l’atterrissage.

    Physiquement et psychiquement, Mme Le Bihan demeurera très traumatisée durant trois jours suivant l’observation. Elle aura des insomnies, des maux de tête, l’impression d’avoir le cerveau enveloppé dans de la ouate, et percevra sur tout son corps des picotements, comme provoqués par des aiguilles. Ces picotements disparaîtront aussi brusquement qu’ils étaient apparus, quelques jours plus tard.

    Outre ces séquelles, Mme Le Bihan a perdu 12 kg depuis.

    M. Le Bihan, comme son fils, malgré le temps passé, n’arrivent pas à se libérer de cette vision, et sont encore eux aussi assez traumatisés.

    Un complément d’enquête doit être fourni par M. Brochard.

    On remarquera la différence de facture entre le croquis de Younic et de sa mère.

    Younic dessine une structure comme son père la décrit. M. Brochard ne fournit pas d’explication pour ces différences.

    Il semble, d’après le texte du dessin, qu’il y a eu plusieurs phases. Il était question de masses lumineuses au début de l’observation, la forme ne semble se préciser qu'après.

    Puis Mme Le Bihan prend les jumelles que lui tend son fils... La mise au point a-t-elle été bien faite ?... Mme Le Bihan a-t-elle bien traduit ce qu’elle a vu ?... L'objet s’est-il modifié entre temps, et est-ce l’aspect qu’il a pris ensuite ?... Ce sont des détails d'un certain intérêt, mais qui n’apportent aucun élément nouveau sur la réalité de l’observation, et la présence d’un objet qui a traumatisé les trois témoins.

    N. D.L.R. — Il n’y a aucun commentaire à faire pour appuyer la réalité de ces événements extraordinaires et dramatiques, le récit se suffit à lui-même, les aveugles volontaires pourront à loisir tatillonner sur les détails, je regrette seulement que ces phénomènes restent ignorés de la science officielle.

    C’est avant-hier, avant de recevoir l’enquête de M. Brochard, que je commentais une enquête en provenance de la Finlande, et qui vont trouver ici un écho et des prolongements.

    Nous sommes ici en présence d’une observation objectivement décrite, bien observée aux jumelles, pas très éloignée — 500 m — donc assez précise, avec trois témoins, dans un temps confortable.

    Bien que le phénomène est décrit comme un objet, que des structures soient indiquées, il est flou à tous les niveaux, dans tous ses détails, et ressemble à un « foyer ».

    Il n’a pas ici l'apparence d’un objet matériel en dur, que l’on a l’habitude de qualifier d'engin.

    Puis c’est la nuit... la luminosité a disparu... rien n’indique que l’objet lui-même a disparu, il n’est simplement plus visible dans le lointain. La masse sombre invisible de l’observation finlandaise et Cie va entrer dans la lice.

    C’est à ce moment que les « êtres » apparaissent. Rien ne permet d’affirmer qu’il s’agisse d’êtres dans l’acception du terme, mais seulement d’une apparence suggérée par la forme, d’ailleurs assez grossière, où il est question de tête ronde non coiffée, mais sans visage, se déplaçant en se balançant.

    Ces soi-disant êtres « lumineux mais non éclairant » pourraient bien ressembler à ne qu’on appelle en parapsychologie des ectoplasmes : « ils semblaient voler au-dessus du sol, traversant tous les obstacles ».

    Il est bien évident qu’il ne s’agit pas d’être tels que nous le comprenons.

    Une autre façon de voir les choses, est de concevoir ces formes comme des « antennes » de la masse sombre douée de vie et de pensée (voir Finlande déjà citée et qui, je l'espère, passera au moins en même temps sur LDLN) qui, peut-être s’essaye à donner des apparences à ses antennes, pour mieux leurrer les témoins, et tenter une approche.

    Farfelu peut-être, au lecteur de juger...

    Il est à peu près certain que ces « antennes » devraient rechercher le contact, par la volonté de l’objet, et nul ne sait ce qu’il serait advenu s’il avait été réalisé.

    Il semblerait d’ailleurs que les dites antennes, d’apparence ectoplasmiques, se déplacent difficilement, cherchant leur but, tout au moins dans les cas connus.

     

    F. Lagarde.

     

    COMPLÉMENT

     

    Déclaration de Younic LE BIHAN

    Le dimanche 29 septembre 1974, vers 0:45, je rentrais à mon domicile. Je venais de raccompagner une camarade, Maryvonne Cadic, chez elle (à 300 m de son domicile).

    Lorsque j’arrive au portail de ma propriété, il se produit une très forte averse.

    Je rentre et vais à la cuisine prendre un rafraîchissement. Pendant que je suis dans la cuisine éclate un violent coup de tonnerre. Le bruit va en s’amplifiant jusqu’à éclatement qui me paraît très proche. Cela dura environ 30 secondes. J’ouvre la porte du salon au moment où le bruit s'éteint.

    Il est 0:50 environ. J’ai le temps de faire un ou deux pas et je perçois une lueur fugitive de couleur jaune-orangé. Je pense à l’éclairage d’une maison voisine...

    Il me faut environ 10 secondes pour monter à ma chambre. En pénétrant dans la pièce, j’aperçois immédiatement par la fenêtre un halo de couleur rouge. Je pense à un incendie... Sans allumer, je pose mon blouson et me dirige vers la fenêtre.

    J’aperçois, à un endroit que je ne puis déterminer mais qui me paraît être aux environs du carrefour de « la Villeneuve », à 500 ou 600 mètres à vol d’oiseau, un grand brasier de l’importance d'une maison. Je pense toujours à un incendie dans une des fermes du secteur.

    Je reviens allumer puis je prends mes jumelles. Ce que je vois d’abord, ce sont trois rectangles de couleur rouge vif, genre « trappes », surmontées d’un volet rabattable.

    Presque simultanément je vois passer bien en-dessous de ces trappes, trois masses lumineuses d’un blanc phosphorescent, sans contour défini, mais sensiblement de la forme et de la taille d’un corps de mouton. Ces trois masses apparaissent brusquement et disparaissent vers la gauche en amorçant un arc de cercle comme pour faire le tour de quelque chose.

    En examinant les rectangles rouges, je distingue nettement une forme. Il s’agit d’une sorte de socle horizontal d'une hauteur d’un mètre environ, chanfreiné à son extrémité gauche, surmonté en son milieu d’un genre d’habitacle en forme de cône tronqué, d’une hauteur de 4 m environ, qui entoure les trois rectangles rouges.

    Les contours sont nettement définis par des lignes droites. Seule la base du socle est invisible. L’ensemble est de couleur grise, qui se détache sur la nuit sombre. L’engin a une position stationnaire, paraît se tenir légèrement en suspens et semble vibrer.

    Durant tout le temps de la présence de la masse lumineuse, celle-ci a été animée d'un mouvement de va-et-vient en arc de cercle (comme une voiture qui fait marche arrière puis avant roues braquées). Le mouvement était lent, régulier, sans à-coup et très ample.

    Je ne vois qu’une partie de l’objet ; la partie droite est masquée par un obstacle que je ne peux déterminer, probablement une haie ou un rideau d'arbres. Le paysage aux alentours n’est pas éclairé : je ne distingue pas.

    Pour examiner les abords immédiats, je baisse légèrement mes jumelles et je vois alors en avant de l’engin, dans ma direction, des silhouettes ayant l’apparence d’êtres humains. Elles sont de même couleur que les trois masses lumineuses aperçues au début, couleur d’un arc électrique.

    Elles semblent avoir la taille d’un être humain, soit 1 m 70 environ. Elles sont de fortes constitutions, la tête proportionnée au corps et je distingue nettement les jambes.

     Leur corps a la forme ovale avec un ronflement arrondi de chaque côté. La couleur des êtres est vif argent (du genre métal chauffé à blanc), elle n'est pas rayonnante et n'émet aucune lueur. Leur visage et leurs bras ne sont pas visibles.

    Je descends alors rapidement réveiller mes parents au rez-de-chaussée. Je leur dis :

    « Venez vite, mais surtout n’allumez pas, sans leur préciser l’objet de mon intervention. Ils montent immédiatement derrière moi. Ceci m’a demandé une minute à une minute et demie.

    En arrivant dans la chambre, mes parents prennent les jumelles à tour de rôle. J’observe à l’œil nu pendant ce temps-là et je ne vois que le brasier que j’ai vu au départ. Par contre, je vois nettement trois silhouettes comme décrites plus haut.

    Elles tiennent une position en « V », c’est-à-dire, un en avant et deux légèrement en retrait sur les côtés. Elles se déplacent dans notre direction. Je reprends les jumelles et je les vois distinctement, leur pas est lent et lourd, mais leur progression semble tout de même se faire à la vitesse d’une personne qui marche vite.

    De par leur pas lent et lourd, elles ont un balancement lent ; leurs mouvements sont parfaitement synchronisés. Elles ne paraissent pas avoir contact avec le sol mais il semble qu’elle ont tout de même un point d’appui. Je ne distingue aucun trait sur la face, je ne vois pas de membres supérieurs.

    Je relève légèrement mes jumelles pour regarder l’engin et évaluer la distance qui le sépare des silhouettes. A ce moment-là, il paraît avoir un léger soubresaut latéral puis disparaît brusquement. J’ai un léger recul et, instantanément, mes yeux perçoivent une lueur rouge-orangé très fugitive, à ma droite, très haut dans le ciel, du genre flash.

    Les trois silhouettes sont toujours au sol, dans la même position et se dirigeant toujours vers nous...

    C’est à ce moment que, craignant d’avoir été repéré, je décide de quitter la maison et incite mes parents à en faire de même. Nous nous réfugions chez M. Cadic, à 300 m environ de notre maison. Je prends mon chien (Fox-Terrier) au passage.

    Durant le trajet, je me retourne plusieurs fois, mais ne vois rien. L’apparition a duré de 3 à 4 minutes en ce qui me concerne.

    La nuit était très sombre, le temps couvert, les étoiles et la lune n’étaient pas apparentes.

    L’engin, si j’évalue sa partie cachée, pouvait avoir une longueur de 9 à 10 mètres.

    Pendant toute la durée du phénomène, je n’ai perçu aucun bruit ni son. Je n’ai ressenti aucun effet, ni immédiat, ni ultérieurement, de quelque sorte que ce soit.

    Lorsque nous avons emmené notre chien, il n’a eu aucune réaction (âgé de trois ans, qui était craintif, sans plus). Par contre, au retour, environ une heure plus tard, il n’a pas cessé de gémir en approchant de la maison (il s'est plaint et a pleuré pendant tout le trajet. Il n'a pas cherché à s'amuser, s'est glissé sous les couvertures d'un lit où il est resté immobile).

    Je n’ai rien remarqué d’anormal par ailleurs dans son comportement.

    Les silhouettes paraissaient vêtues de combinaisons des pieds à la tête.

    Je suis persuadé d’avoir vu un « OBJET ». Les « personnages » étaient réels.

    Il ne peut s'agir d'un phénomène naturel dû à l'orage ou à une autre cause, mais bien d’un « engin » ayant des contours et des proportions bien définies.

    Enquête réalisée par MM. Jean-Louis Brochard (Délégué régional) — Pascal Gireaudot (Enquêteur 56).

     

    N.D.L.R. — Ainsi que nous l’avions supposé, il y a plusieurs phases d’observation. Engin : d’abord un brasier, puis un engin aux contours nets, sauf le bas. des structures qui suggèrent un habitacle avec baies et volets rabattables, et dans un temps très court on retourne à la forme du brasier aux contours indéfinis.

    Personnages : d’abord des masses dont la forme rappellerait des moutons. Autrement dit un volume horizontal. Puis c’est une forme « humanoïde » à cause que l’on distingue deux jambes et une forme de tête. Il n’y a pas de bras visible, pas de visage. Cela rappelle le « morceau de sucre » de Prémanon (enquête Tyrode), cas 160 du catalogue Vallée.

    Cette transformation des « personnages » justifie le rapprochement avec l’ectoplasme du médium. Comme l’écrit un correspondant dans « Vues Nouvelles », « il y a singeries, métamorphoses », mais pour induire en erreur. Le marin y voit un beau navire, le mouton se transforme en être inquiétant. Cela indique en partie les différentes interprétations de Younic et de sa mère.

     

    Fernand Lagarde.

     

    Sources : LDLN n° 145 - Enquête de MM. J.-L. Brochard, Délégué LDLN et Pascal Gireaudot - RR3 Le dossier des Rencontres du Troisième Type en France, Julien Gonzales, 2014.

     

     
    Les Capsules Temporelles

     

     Fabrice Kircher et Dominique Becker ont développé l'hypothèse selon laquelle les ovnis ouvriraient des sas de passage vers l'anti-monde, où le temps s'écoulerait en sens inverse du nôtre. [Extraterrestres... Viennent-ils de l’anti-monde ? - 2005]

    Si la théorie de Fabrice Kircher et Dominique Becker est fondée, les apparitions ufologiques nous livreraient des témoignages ou des messages à la manière des capsules temporelles, dont le caisson est une coque de protection qui défie les siècles. 

    L'utilisation de capsule protégeait, aussi, les précieux parchemins enluminés et les phylactères (banderoles) que l'on roulait dans des tubes métalliques, afin de les préserver des atteintes du temps.

    Ainsi, les Rencontres Rapprochées ufologiques représenteraient, des capsules/cratophanies/apparitions surnaturelles, dont le contenu/l'épiphanie/révélation constitue le rouleau enluminé d'un parchemin, d'un phylactère, conçu et élaboré à la manière d'un Mutus-Liber/d'un Livre Muet, ou de planches dessinées, sans bulles, sans paroles et sans légendes écrites.

    Cette conception visionnaire des soucoupes volantes, était déjà défendue, en 1954, par M. Devenne, 

    [cf. Les Capsules Temporelles - Les Faux-Vrais (21)]

     pour qui les apparitions de ces engins et de leurs occupants étaient la concrétisation de la théorie de la pataphysique élaborée par le dramaturge, poète, écrivain, romancier Alfred Jarry créateur de la pièce de théâtre Ubu Roi (1895), inventeur de la pataphysique, qui, selon Alfred Jarry (Laval 1873-Paris 1907), est la science des solutions imaginaires qui s’étend aussi loin au-delà de la métaphysique que la métaphysique au-delà de la physique.

    Cette néo-science des pataphysiciens (précédant et précurseuse du surréalisme - années 1920 - et du réalisme-fantastique, cf. André Breton, Jacques Bergier, Louis Pauwels, le Matin des Magiciens - 1960 - la revue Planète - 1961) induisait/annonçait les mystérieuses apparitions des soucoupes volantes. 

    M. Devenne, initié aux arcanes du Faustroll (la bible de la pataphysique), a manifestement discerné, dans les récits des soucoupes volantes,  de la vague de 1954, la trame occultée qui les sous-tend, le parlé signifiant du caché, qui anime la création, comme l'affirme la philosophie du Faustroll : c'est l'univers supplémentaire que l'on peut ou que l'on doit voir, au-delà des apparences, la science de ce qui se surajoute au-delà de la physique et de la métaphysique.

    Selon la tradition, les symboles sont la représentation tangible de cette vision/perception et les interfaces dynamiques nous reliant aux données/informatives mémorielles, stockées, dans l'océan des fréquences fluidiques universelles. (cf. L'Hypothèse de Broglie/L'hypothèse La Mémoire de l'Eau de Jacques Benveniste).

     

    La Communication du langage universel

     

     Le langage universel des symboles est compréhensible ou accessible à tous, en théorie, malheureusement peu en sont familiers, d'autant que les symboles sont associés par nos contemporains agnostiques à un mode d'expression obsolète, occulte, superstitieux, voire, religieux, mais qu'importe, car si le Noble-Art de la Symbologie n'est pas perçu consciemment, il est toujours assimilé, in fine, sur les modes subconscient/supconscient.

    Son écriture (polysémique, sur plusieurs niveaux enchâssés) repose sur l'analogie, l'association d'idées, la parabole, l'allégorie, la métaphore et la litote, caractérisant la sublimation de la pensée, l'élévation de la conscience spirituelle, la révélation éclairante, en un mot l'épiphanie d'une manifestation et d'une apparition perçue comme supranaturelle.

    En lieu et place, de l'interprétation littérale, suivie majoritairement par les ufologues-amateurs progressistes, afin de faire correspondre les apparitions des ovnis à leur théorie des visiteurs extraterrestres conventionnels avec leurs drôles d'engins non-conventionnels, nous vous proposons de suivre la lecture traditionnelle des anciens qu'ils appliquaient lors des Cratophanies/Rencontres Rapprochées avec l'ineffable.

    Pour nos ancêtres ces manifestations/apparitions supranaturelles sont porteuses de message transmis, individuellement, et destiné à la collectivité humaine, dans le déroulé précis, d'une mise-en-scène préméditée et savamment orchestrée, où les événements/éléments particuliers sont constitutifs du sens de lecture et de la lecture du sens global.

     

     

    Les Messagers

     

     La plupart de nos contemporains traite de manière identique, par le déni, le mépris, et au mieux par l'indifférence, les témoignages ufologiques et les récits des démonstrations prodigieuses ou miraculeuses, ... cette attitude face à ces phénomènes, anciens ou modernes, peut s'expliquer par l'ignorance, l'incompréhension, le parti pris idéologique, la méfiance instinctive, la peur en réaction à l'inconnu, au mystère, à l'ineffable.

    Pour autant, ces occurrences surnaturelles sont universelles, intemporelles, et la manifestation d'une intelligence non-humaine omnisciente et omnipotente qui s'adresse à tous, ... tôt ou tard, chacun rencontrera cette intelligence et ses représentants qui nous communiquent ses messages, ... les rencontres rapprochées de ce type ...  sont les théophanies des anciens.

     

    01 fois, c'est le hasard, 02 fois c'est une coïncidence, 03 fois, c'est tout le contraire !

     

    Éléments allégoriques :

     

    L'interprétation figurative de la RR3 de  Riec-sur-Belon (29) - Carrefour de la Villeneuve, du dimanche (jour du Seigneur) 29/09/1974 nous livre un autre sens de lecture pour une lecture de sens dans le registre spirituel/métaphysique :

    Le tonnerre, la pluie violente et l'éclair annoncent traditionnellement les apparitions/manifestations divines (cf. Les Chasses Hennequins = petits diables/ La Chasse d'Odin/Le Marteau de Thor/Les Nuées Célestes de Yahvé) ;

    Le jeune chien Fox-Terrier de trois ans réagit selon son tempérament timide, comme nombre d'animaux qui sont très sensibles aux manifestations surnaturelles, cf. à ce sujet L'Alliance (l'Antienne) de Jean-Claude Carrière – 1963 - (L’Alliance – Film de Christian de Chalonge 1971, dont la l’intrigue finale diffère du Roman original 1963, de Jean-Claude Carrière, et qui tout-à-fait en phase avec la RR3 de la famille Le Bihan : « Les animaux ont un comportement étrange qui laisse présager un danger imminent ! »  ;

    Younic Le Bihan voit passer trois masses lumineuses d’un blanc phosphorescent, sans contour défini, mais sensiblement de la forme et de la taille d’un corps de mouton (il n'y a pas de moutons aux alentours), cette vision furtive est un renvoi à la figure symbolique l'Agneau de Dieu (le Christ) ;

    Le déplacement des humanoïdes ressemble à celui du bonhomme Michelin (Le Bibendum) selon Mme Yvonne Le Bihan,  ce qui renvoie à l'homo spiritus/pneumatique = présence pneumatique = présence spirituelle ou présence réelle mystique :

    [Le Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin.

    Au Canada comme en France, on l'appelle aussi le Bonhomme Michelin.

    Cet emblème publicitaire des pneumatiques de la marque Michelin a aussi pour devises :

    Nunc est bibendum (c’est maintenant qu’il faut boire), Michelin, le pneu qui boit l'obstacle.

    Dans la langue volatile des maîtres Gouliards du verbe parlant, cachant, signifiant, Michelin se lit :

    . ce qui est à mi-chemin,

    . Michelin = le petit Michel, dont l'étymologie signifie : Qui est comme Dieu ?

    de même la devise : c’est maintenant qu’il faut boire, s'entend : c’est maintenant qu’il faut voir,

    (ce slogan publicitaire étant emprunté originellement à celui d'un projet d'affiche pour une brasserie qui montrait une momie brandissant une chope de bière, rappelons ici que la mise en bière signifie placer le corps du défunt à l'intérieur du cercueil : tout un programme ! Source : Wilkipédia)

    Autrement dit, les ufonautes/Bibendums, nous délivrent un message d'alerte :

    Attention, l'humanité qui a une vocation spirituelle transcendante évolutive (l'homo spiritus/pneumatique = présence pneumatique = présence spirituelle ou présence réelle mystique), est à la croisée du chemin (ou à mi-chemin) de s'enfermer dans le carcan, mécanisé et mortifère, du consumérisme/hédonisme immanent involutif] ;

     

    M. Younic Le Bihan au Carrefour de la Villeneuve

    Source : LDLN

     

    Le Carrefour de la Villeneuve, est la clef de cette RR3, car elle est la représentation imagée du thème de L'Origine du monde, homonyme du fameux tableau libertin de Gustave Courbet (1819 - 1877), le vase sacré du corps fertile de la femme, fille d'Eve, la mère de tous les hommes qui sont issus de cette maison neuve (maison dans le sens héraldique = famille), qui s'est alliée à l'homme (Adam) façonné avec l'argile rouge par Dieu, à qui il a insufflé son Saint Esprit, pour en faire ses Enfants ;

    La position des humanoïdes en « V », c’est-à-dire, un en avant et deux légèrement en retrait sur les côtés, le confirme avec le triangle équilatéral renversé (l’apex = pointe vers le bas) évoquant le sexe féminin, symbole de l'eau de la vie, de pluie (soulignée par la très forte averse de l'arrivée à son domicile du jeune Younic Le Bihan) et de fertilité ;

    La similitude avec la disposition identique en "V" des humanoïdes de la RR3 de Draguignan (83) - Var - Provence-Alpes-Côte-d'Azur -19/10/1973 - LDLN n° 132, relevée par Fernand Lagarde est parfaitement justifiée, d'autant que les humanoïdes de la RR3 de Draguignan (83) apparaissent avec un spot lumineux rouge au niveau du nombril, soulignant ainsi la cicatrice arrondie sur le ventre des humains, à l'endroit où le cordon ombilical a été sectionné, au moment de leur naissance, et que la tradition appelle, ceux qui sont nés de la femme ;

    Le thème central de cette RR3 de  Riec-sur-Belon (29), la femme mère de l'humanité actuelle apparait également avec Mme Yvonne Le Bihan (née Sallin) qui sera tellement terrorisée qu’au bout d’un moment elle demeura au milieu de la rue, incapable de faire un pas de plus, criant à son mari et à son fils de fuir, de l'abandonner, qu’elle se sacrifiait pour qu'ils puissent fuir et qu’il reste quelqu’un pour pouvoir raconter aux autorités le cauchemar qu’ils avaient vécu.

    Revenant sur leurs pas, M. Francis (= libre) Le Bihan et son fils porteront Mme Yvonne Le Bihan, mais s’engouffreront chez le voisin le plus proche, un gendarme en retraite. Ces voisins nous diront que les témoins étaient verts, la figure déformée par la terreur, et ils passeront la nuit chez eux ;

    Yvonne = arbuste Sallin = les saules, nous relient à l'arbre-symbole, du Paradis Terrestre, de la Vie et de la Connaissance, l'Arbre Cosmique, à l'arbre généalogique d'Eve et à sa descendance Le Bihan = le petit = aussi le modeste, l'humble ;

    Maryvonne = if, arbuste Cadic = combat, combattant, guerrier ;

    Jean = Yahvé fait grâce Cadic = combat, combattant, guerrier ;

     

     

    L'alignement des cinq spots plus brillants de la masse lumineuse vue par Mme Yvonne Le Bihan  symbolise les cinq étapes de  son existence humaine :

    L'âge de l'enfance, l'âge de l'adolescence, l'âge de la jeunesse, l'âge de la maturité, l'âge de la sagesse, qui relient le départ de l'existence, la naissance et son arrivée, la mort, représentés par les deux phares/balises rouges (l'ectoplasme du personnage la représente, ce qui justifie sa forte réactivité émotionnelle) ;

    L'image et le comportement combattant de la mère-courage Mme Yvonne Le Bihan criant à son mari et à son fils de fuir, de l'abandonner, qu’elle se sacrifiait pour qu'ils puissent fuir et qu’il reste quelqu’un pour pouvoir raconter aux autorités le cauchemar qu’ils avaient vécu, est reconnu exemplaire, et glorifie les filles d'Eve, de même que son alliance avec l'homme, Francis = libre Le Bihan = petit, et sa descendance Younic = Dieu fait Grâce Le Bihan = petit (= au plus petit, au plus modeste, au plus humble serviteur et combattant) ;

    Les 3 silhouettes fantomatiques sont la projection/représentation de la famille Le Bihan (c'est pour cette raison qu'elles se déplacent vers leur habitation familiale), image symbolique de la Sainte Famille/Famille Sainte (d'où les 3 ouvertures rouges du beau paquebot/vaisseau illuminé de la croisière de leur vie commune) ;

    Mme Le Bihan constatera que son horloge, remontée normalement ce soir-là, s’est arrêtée à l’heure précise de l'observation et sera repartie normalement le lendemain matin (M. Francis Le Bihan aurait seulement oublié de la remonter d'après Julien Gonzales), dans les deux cas de figure, cet arrêt du temps ordinaire symbolise la mise au point d'une Rencontre Rapprochée Extraordinaire des 3 membres de la famille (RR3), à une étape médiane de leur vie commune (d'où la moitié seulement visible du château du Paquebot).

     

    Épiphanie :

     

     La forme d’habitacle en forme de cône tronqué rappelant le château gaillard d'un Paquebouc/paquebot/packet-boat pour paquet = bateau transportant des paquets de courrier, nous confirme que cette cratophanie recèle ce message :

    la cellule familiale est ici sacralisée comme le foyer idéal de la vie communautaire.

    La cratophanie de  Riec-sur-Belon (29) exalte le comportement altruisme, courageux, combattant du filem des hommes et des femmes libres représentants terrestres et héritiers de la Chevalerie Spirituelle manifestée par Michel (= qui est comme Dieu ?) le prince des anges, Gabriel (Force de Dieu) le messager par excellence, Raphaël (Dieu a guéri) figure bienveillante de la providence divine, reflétés par les trois silhouettes lumineuses vif argent (métal en fusion), ce qui correspond à une une théophanie traditionnelle.

     

     

    Source : LDLN

     

     Elle est induite par les lieux et son histoire légendaire  :

    Avec le forme en double Y  jointifs du Carrefour de la Villeneuve, anciennement la Porte Neuve, qui dessine l'analemme (orbite annuelle apparente) du soleil dessinant un 8, symbole de  l'éternité (Christique/Divine), ce qui qualifie l'Alliance des héritiers de l'humanité avec leur Créateur ;

    Avec le toponyme de Riec-sur-Belon, Riec = Rioc = roi -sur- Belon = Belen dieu du soleil (reflet du Christ), sauvé du paganisme décrit sous les traits d'un Dragon (entité métamorphe parasitaire) dévorateur d'âmes humaines,

    [le nom de la commune vient de « Rioc », un Saint breton du vie siècle qui vécut comme ermite près de Camaret après avoir été sauvé sur les rives de l'Elorn par Saint Derien et Saint Néventer revenant de Terre Sainte, ils auraient repêché le comte Elorn, de la noyade dans le Dour Doun = Eau profonde, Eau Noire (= Elorn) et sauvé son fils Riok, alors âgé de 2 ans, des griffes d'un dragon qui dévorait les hommes et bêtes dans le pays, d'après la tradition, c'est le cheval de Néventer qui aurait marqué une pierre de son empreinte toujours visible près du grotte de la vallée de l'Elorn, autrement-dit Rioc et ses parents auraient été ainsi sauvé du paganisme, représenté par un Dragon anthropophage, par leur propre conversion/rédemption]

    Ce Dragon dévorateur est identique à celui qui a donné le nom à la ville de Draguignan,

    [selon la légende, le lieu serait né de la lutte contre un dragon (draconem), avec la légende de l'évêque d'Antibes, le pieux Hermentaire qui aurait combattu victorieusement vers l'an 400 un dragon ailé, à la suite de Saint Georges chef tutélaire de la Chevalerie terrestre]

    et qui figure d'argent (blanc) sur les armes médiévales de la ville sur deux champs (fonds) différents l'un rouge (de gueules) et l'autre vert (de sinople).

    Comment faut-il interpréter ce même blason aux couleurs différentes ?

    Sa devise énigmatique nous donne la réponse :

    Alios Nutrio, meos devoro. = Je nourris les autres, je dévore les miens.

    En héraldisme l'argent, le blanc, représente l'eau = la vie, le gueules, le rouge = le feu, il s'agit donc du feu spirituel vivifiant qui consume, dévore/exalte les créatures qui le reçoivent (baptême du Saint Esprit) en les sublimant, les nourrissant, les alimentant pour leur revitalisation transcendante, leur renaissance renouvelée, symbolisée par la verdure printanière du sinople, de la couleur verte qui associe, le jaune et le bleu, l'or de la  lumière céleste.

     

    En résumé :

    La Résurrection/Rédemption du Christ est offerte à tous, aux âmes impies comme aux autres, par leur libre conversion/adhésion à la Foi, à la Charité et à l'Espérance de l’Évangile.

     

     

     

     

     

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